Le lien qui nous unit,
N’a pas de prix dans cette vie.
Il est indéfectible au-delà de la mort,
Et ce qu’il y a autour est insignifiant.
Il est mon fil d’Arianne,
Mon guide vers la lumière ;
Oui, ma vie a un sens
Même si tu n’es plus.
Avant, je laissais le temps filer entre mes doigts, impassible et las,
Et nos routes se sont croisées, Ami,
Et j’ai cru au Destin.
Car ce que tu m’as apporté ne peut être le fruit du hasard
Tant sa valeur est inestimable :
L’amitié, c’est le sel de la vie,
L’armure qui blinde face aux coups durs.
Malgré la douleur qui me mine depuis ton départ,
Je pense à chaque instant,
A la chance que j’ai eue de te connaître, mon Frère.
Tu m’as tendu la main quand je n’avais plus de voix pour crier.
Il fait froid, je me sens seul,
Depuis que tu n’es plus là.
L’injustice de ton départ a ébranlé mon âme.
Mais je la reconstruirai, mon Frère.
Pierre après pierre, je prendrai le temps qu’il faudra,
Pour que de là haut, tu sois fier de moi.
Je le ferai pour avoir la force d’accomplir en ce monde,
Ce que l’insouciance propre à ta jeunesse,
Ne t’a pas laissé le temps de vivre.
Pourquoi dit-on un « absent » de quelqu’un qui n’est plus ?
Pourquoi ? Alors que pas un jour ne passe sans qu’on ne pense à lui ?
Alors rassure-toi, Ami, car tu vivras dans mon être tant que je tiendrai debout.
S.C.
N’a pas de prix dans cette vie.
Il est indéfectible au-delà de la mort,
Et ce qu’il y a autour est insignifiant.
Il est mon fil d’Arianne,
Mon guide vers la lumière ;
Oui, ma vie a un sens
Même si tu n’es plus.
Avant, je laissais le temps filer entre mes doigts, impassible et las,
Et nos routes se sont croisées, Ami,
Et j’ai cru au Destin.
Car ce que tu m’as apporté ne peut être le fruit du hasard
Tant sa valeur est inestimable :
L’amitié, c’est le sel de la vie,
L’armure qui blinde face aux coups durs.
Malgré la douleur qui me mine depuis ton départ,
Je pense à chaque instant,
A la chance que j’ai eue de te connaître, mon Frère.
Tu m’as tendu la main quand je n’avais plus de voix pour crier.
Il fait froid, je me sens seul,
Depuis que tu n’es plus là.
L’injustice de ton départ a ébranlé mon âme.
Mais je la reconstruirai, mon Frère.
Pierre après pierre, je prendrai le temps qu’il faudra,
Pour que de là haut, tu sois fier de moi.
Je le ferai pour avoir la force d’accomplir en ce monde,
Ce que l’insouciance propre à ta jeunesse,
Ne t’a pas laissé le temps de vivre.
Pourquoi dit-on un « absent » de quelqu’un qui n’est plus ?
Pourquoi ? Alors que pas un jour ne passe sans qu’on ne pense à lui ?
Alors rassure-toi, Ami, car tu vivras dans mon être tant que je tiendrai debout.
S.C.
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