[#Journal] Le 12H30 du 30 Décembre 2025
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00:00C'est un plaisir de vous retrouver sur JMT TV ce mardi 30 septembre 2025 pour le journal de 12h30.
00:16A toutes et à tous, bonjour. En ouverture, après plusieurs semaines d'antérim, le prochain gouvernement gabonais devrait être connu dans les prochaines heures.
00:25Un gouvernement qui, selon une analyse du Gabon, devait être constitué de 18 membres et éventuellement le chef du gouvernement Oligu Nguema pour marquer un nouvel élan pour le Gabon post-transition, suivant cette analyse de Iris Obonga.
00:38Dans quelques heures, le Gabon découvrira le visage de son premier gouvernement, pleinement inscrit dans la pré-transition.
00:45Un moment de vérité politique, mais surtout un test de cohérence, car à l'heure où les discours officiels exaltent la rigueur, la rationalisation des dépenses publiques et l'efficacité de l'action de l'État, un fait s'impose.
00:57On ne peut prêcher la sobriété avec un exécutif pléthorique.
01:01Le signal attendu est limpide.
01:0318 ministres, pas un de plus, éventuellement complété par un chef du gouvernement, suffirait à traduire dans les faits la volonté de rupture affichée par Brice Clotaire Oligu Nguema.
01:1318 ministres, ce sont 18 cabinets au lieu de 30, 18 cortèges officiels au lieu d'une flotte interminable, 18 véhicules de fonction au lieu d'un parc automobile disproportionné et extrêmement coûteux.
01:25En clair, un État qui commence par se discipliner lui-même.
01:29La Ve République gabonaise ne peut naître dans l'abondance administrative.
01:33Elle doit s'installer dans la sobriété stratégique.
01:35Un gouvernement resserré n'est pas un appauvrissement institutionnel, c'est un choix de clarté et de responsabilité.
01:41Regrouper intelligemment les portefeuilles économie, finance et planification, défense et intérieure, justice et droit de la femme, de l'enfant et de la famille,
01:50communication, médias, économie numérique, hydrocarbures, énergie et mines, éducation, formation professionnelle et enseignement supérieur,
01:57environnement, climat, pêche, eau et forêt permettraient non seulement de réduire les coûts, mais aussi de renforcer la cohérence de l'action publique.
02:04Les grandes démocraties l'ont compris depuis longtemps, les États-Unis gouvernent avec 15 secrétaires, l'Allemagne avec 17 ministres, le Japon avec moins de 20.
02:13Ces États-continents n'ont jamais confondu efficacité et inflation ministérielle.
02:18Le Gabon avec moins de 2,5 millions d'habitants peut difficilement justifier une armée de portefeuilles, de conseils spéciaux, de chargés d'études et de missions souvent sans périmètre clair.
02:28Pour les citoyens, l'enjeu est simple, les résultats. Routes praticables, hôpitaux fonctionnels, école digne, sécurité effective, emploi réel.
02:38Un gouvernement resserré envoie un message de sérieux, moins de temps perdu en arbitrage interne, moins de conflits de compétences, plus d'obligations de résultats.
02:46Chaque ministre devient comptable de son action sans l'excuse du chevanchement des responsabilités.
02:51La réduction du train de vie de l'État n'est pas une obsession technocratique, c'est une exigence morale dans un pays où les sacrifices sont d'abord demandés, au plus modeste.
03:00Comment appeler à la patience sociale tout en maintenant, au sommet, une structure budgétive, déconnectée des réalités quotidiennes ?
03:06Le message est tout aussi crucial à l'endroit des partenaires financiers.
03:10Les bailleurs de fonds n'ont cessé d'alerter sur la masse salariale de l'État, particulièrement au sommet de l'appareil exécutif.
03:15Gouvernement hypertrophié, cabinet pléthorique, dépenses de prestige, autant de signaux négatifs dans un contexte de contraintes budgétaires.
03:23Un exécutif limité à 18 ministres serait un acte politique fort, lisible et immédiatement crédible.
03:29Il démontrerait que la réforme commence par le sommet, que la discipline n'est pas un slogan, mais une méthode.
03:35Au fond, la question n'est pas celle du nombre pour le nombre, elle est celle de la sincérité.
03:40La taille du gouvernement, la qualité des profils retenus, la sobriété de leur train de vie, diront si la rupture annoncée est réelle ou cosmétique.
03:48La Ve République ne se bâtira ni avec des ministères fantoches, ni avec des nominations de complaisance.
03:5418 ministres plus un chef de gouvernement, voilà un signal fort.
03:58Un signal de discipline, d'efficacité et de respect envers un peuple qui attend, moins de discours et plus de résultats.
04:05Le reste relèverait de la continuité, là où le pays réclame la vraie rupture.
04:12Et puis alors, où l'année s'achève et où une nouvelle s'annonce, Kulamutu, capitale de Luguelolo, se prépare à accueillir le président de la République, Brice Clotaire,
04:19accompagné de son épouse, Zita Oligu Nguema, pour un séjour placé sous le signe de la proximité et du partage avec les populations.
04:27Suivons cela avec la presse présidentielle.
04:30Kulamutu, la capitale provinciale de Luguelolo, vive au rythme de la Wengidi en cette période de fin d'année.
04:35Dans une atmosphère d'espérance, la cité se prépare à tourner une page de l'année qui s'achève pour accueillir celle qui s'annonce.
04:43Cette effervescence prend une dimension toute particulière avec l'arrivée imminente du président de la République,
04:49chef de l'État, chef du gouvernement, Brice Clotaire Oligu Nguema.
04:52Une visite très attendue par les populations locales qui s'inscrivent désormais dans une tradition républicaine bien établie.
04:59Chaque chef lieu de province a l'honneur de recevoir au moins une fois par an le premier citoyen gabonais.
05:04C'est pour la première fois qu'un président de la République passe la Saint-Sylvestre.
05:12Dans cette province, je suis contente d'accueillir le président de la République dans Luguelolo.
05:18Donc c'est pour nous un honneur, c'est pour nous un plaisir, une joie de recevoir l'office du pays.
05:26Le président apporte du nouveau dans le développement des infrastructures,
05:30l'implantation même des unités de production dans le cadre du développement de la province.
05:36Après Makoku, l'an dernier, c'est aujourd'hui au tour de Luguelolo et plus précisément de Koulamoutou
05:42d'être au centre de l'attention nationale.
05:44Ce séjour présidentiel prévu à l'occasion des festivités de la Saint-Sylvestre
05:49se veut à la fois symbolique et opérationnel.
05:52Il sera marqué par une série d'activités riches et variées,
05:55mais l'envisée de terrain, rencontre avec les forces vives de la province
05:59et échange direct avec les populations.
06:01Je suis contente parce qu'il y a certains de nos frères et nos sœurs
06:06qui étaient dans le chômage, qui ont eu de l'emploi par rapport à ces infrastructures
06:11qui ont été lancées.
06:13Il y a encore beaucoup à faire, il y a un fort potentiel de développement dans cette province
06:17et il faudrait que le président de la République y mette vraiment du sien là-dessus.
06:20Il faudrait qu'il y ait un regard particulier dans cette province.
06:23Au-delà du caractère festif de cette visite, la présence du président de la République
06:28à Koulamoutou traduit la volonté des plus hautes autorités de rester au contact des citoyens,
06:33de renforcer la proximité avec les populations
06:36et de faire de chaque province un maillon essentiel de la dynamique de transformation du pays.
06:41En cette fin d'année, Koulamoutou s'apprête ainsi à vivre un moment historique,
06:46porteur d'espoir et de renouveau dans une ambiance de communion et de partage
06:50à l'image de l'esprit qui anime les fêtes de fin d'année au Gabon.
06:54Et puis en économie, le Gabon fait aujourd'hui face à la chute
06:57d'un de ses principaux piliers.
06:59Il s'agit du pétrole qui fragilise ce secteur
07:01qui représente une part considérable des recettes budgétaires de l'État.
07:06Des détails.
07:08Piliers historiques de l'économie gabonaise,
07:10le secteur pétrolier montre aujourd'hui des signes d'essoufflement structurel.
07:15Déclin naturel des champs matures, retrait progressif,
07:18des grandes compagnies internationales et déficit de nouvelles découvertes
07:21placent le pays à la croisée des chemins.
07:24Pour les autorités, la relance de l'amont pétrolier est devenue un impératif stratégique.
07:29Non tant moteur de la croissance et principale source de recettes publiques,
07:32le pétrole gabonais, entre dans une phase critique.
07:35La production subit l'usure des champs matures,
07:37tandis que les grandes majors internationales,
07:40engagées dans des stratégies de décarbonation,
07:42réduisent leur exposition aux actifs fossiles africains.
07:46Cette double contrainte fragilise un secteur qui représente encore
07:49plus de 60% des recettes budgétaires de l'État.
07:52Pourtant, le potentiel demeure réel.
07:54Comme le rappelle Direct Info Gabon,
07:56près de 72% du bassin sédimentaire gabonais reste inexploré,
08:00laissant entrevoir des marges de manœuvre importantes
08:02pour une relance ciblée de l'exploration.
08:05Un chiffre qui nourrit l'argumentaire des autorités
08:07en faveur d'un repositionnement stratégique du pays
08:09sur la carte pétrolière régionale.
08:12Conscient de l'urgence, le président Brice Clotaire,
08:13a fait de la redynamisation de l'amont pétrolier
08:17un axe central de sa stratégie économique.
08:20L'approche retenue marque une rupture.
08:21Là où les grandes majors se retirent,
08:23le Gabon choisit désormais de s'appuyer
08:25sur des entreprises dites junior.
08:27Selon Direct Info Gabon,
08:28ces sociétés plus agiles et spécialisées
08:30dans l'optimisation de champs matures ou marginaux,
08:34constituent désormais le cœur
08:35de la nouvelle attractivité pétrolière gabonaise.
08:37Leur modèle repose sur des coûts plus faibles,
08:40une meilleure maîtrise technique
08:41et une capacité à prolonger la durée de vie,
08:43des gisements existants,
08:45là où les majors ne trouvent plus leur rentabilité.
08:48Mais ce pari ne pourra aboutir
08:49sans un cadre incitatif solide.
08:51Dans un environnement international
08:52marqué par une concurrence accrue
08:54par les capitaux énergétiques,
08:56le Gabon doit offrir des garanties claires.
08:57Stabilité réglementaire, sécurité juridique
08:59et fiscalité attractive
09:01sont désormais des conditions non négociables
09:03pour séduire des investisseurs
09:05devenus extrêmement sélectifs.
09:07La modernisation du code des hydrocarbures
09:09et la montée en puissance de la Gabon Oil Company
09:11comme partenaire stratégique de l'État
09:14sont perçues comme des signaux positifs.
09:16Ces réformes vont dans le bon sens,
09:18mais leur crédibilité dépendra
09:19de leur application effective dans la durée,
09:22souligne Direct Info Gabon,
09:23insistant sur la nécessité
09:24d'une gouvernance rigoureuse et transparente.
09:27Au-delà des annonces,
09:28le défi est existentiel.
09:29Il s'agit non seulement de prolonger
09:31la rente pétrolière,
09:32mais aussi de créer les conditions financières
09:34nécessaires à la diversification de l'économie.
09:36L'échec de cette transition
09:38exposerait le pays à des tensions budgétaires accrues
09:40et à une vulnérabilité macroéconomique durable.
09:43A l'horizon 2026,
09:44l'enjeu sera donc de transformer
09:46les intentions politiques
09:47en forages concrets
09:48capables de prouver
09:49que le potentiel pétrolié gabonais
09:50n'appartient pas uniquement au passé,
09:53comme le résume Direct Info Gabon.
09:55Pour le Gabon,
09:56la relance de l'amont
09:56n'est plus une option stratégique.
09:58Parmi d'autres,
09:59c'est une nécessité vitale.
10:02Dans la revue de presse de ce mardi,
10:04le ministère de la prospective
10:05et de la planification
10:06à travers le commissariat général
10:07au plan a officiellement lancé
10:09ce lundi
10:09des travaux de validation technique
10:11du plan national de croissance
10:13et de développement PNCD,
10:15lequel vise à renforcer
10:16les synergies nécessaires
10:17pour améliorer durablement
10:18le bien-être des populations.
10:20Pendant deux jours,
10:21des panélistes,
10:22les représentants,
10:22des présidents des institutions
10:23de la République,
10:24les membres du corps diplomatique,
10:26les partenaires techniques et financiers,
10:28ainsi que les hauts responsables
10:29de l'administration,
10:30les acteurs du secteur privé
10:31et les représentants
10:32de la société civile
10:33sont appelés à examiner
10:34la cohérence globale
10:36du PNCD.
10:37Ce dernier repose
10:38sur trois leviers principaux,
10:39la transformation minière,
10:40la transformation agroalimentaire
10:42et le développement
10:43de l'écotourisme
10:44qui sont identifiés
10:45comme essentiels
10:46pour une croissance
10:47inclusive et durable.
10:48L'objectif est de veiller
10:49à la pertinence
10:50et à la faisabilité
10:51du document
10:52dans sa mise en œuvre
10:53l'étanchée de la GP.
10:54Du côté de Gabon Actu,
10:57Guy-Bertre Mappongou,
10:58au représentant du président
10:59de la République,
11:00le prescriteur Oligin Gemma
11:01a été nommé lundi soir
11:02président du Conseil économique,
11:04social, environnemental
11:05et culturel.
11:06Dans la nouvelle équipe
11:07dirigeante de cette institution
11:08consultative,
11:09Sid Vendang,
11:10membre du patronat gabonais,
11:11évoluant dans le secteur
11:12de l'importation,
11:13a été désigné
11:13premier vice-président.
11:15Il s'agit de sa première
11:15fonction publique officielle.
11:17Geoffrey Fonbulali,
11:18Mekama Kosson,
11:19son député de la transition,
11:20occupe quant à lui
11:21le poste de troisième
11:22vice-président du CESC.
11:24Au niveau de la gestion
11:25administrative et financière,
11:27l'ancien ministre
11:27Ernest Mpo et Piga
11:29a été nommé
11:30au premier questeur
11:31assisté de Nikkez
11:33Moulombi,
11:33promu questeur adjoint.
11:35Ces nominations
11:35marquent une nouvelle étape
11:36dans la redynamisation
11:37du CESEC,
11:38appelée à jouer
11:39un rôle important
11:40dans l'accompagnement
11:41des politiques publiques
11:42et la concertation
11:43entre États
11:43et les forces
11:44vives de la nation,
11:45informe le confrère.
11:47Découvrant ce qu'il se passe
11:48hors de nos frontières,
11:49en Afrique de l'Ouest,
11:50le Mali,
11:50le Burkina,
11:51Faso et le Niger
11:52ont officialisé
11:53la création
11:53de la Banque Confédérale
11:54pour l'Investissement
11:55et le Développement
11:57Bécide.
11:58L'inauguration
11:58de cette institution
11:59qui a eu lieu ce mardi
12:00à Bamako
12:01en marge
12:02de la deuxième session
12:03du Collège
12:03des chefs de l'État
12:04de l'Alliance
12:05des États du Sahel
12:05est un acte historique
12:07avec un capital initial
12:08de 500 milliards
12:08de francs CFA.
12:10La Bécide
12:10transcende le rôle
12:11de simple banque.
12:13Elle est le pilier stratégique
12:14de la souveraineté
12:15de la Confédération
12:16dont la mission centrale
12:17est de mobiliser
12:18les ressources indispensables
12:19au financement
12:19des projets structurants
12:21de l'AES.
12:22Cette nouvelle institution
12:23sous-régionale
12:24s'inspire de banques
12:25de développement
12:26telles que la BOAD
12:27à l'UOMOA
12:28ou la BDESC
12:30à la CEMAC.
12:31Elle a pour mission fondamentale
12:32de mobiliser annuellement
12:33des fonds consiguants
12:34afin d'agir
12:34comme un levier
12:35pour les trois pays.
12:36Ces financements
12:37serviront à soutenir
12:38les projets structurants
12:39portés par les secteurs
12:40publics et privés
12:41des États membres.
12:42C'est l'information
12:42de Africa 24.
12:43Au Mali,
12:46deux journalistes
12:46maliens,
12:47Daouda Kouni,
12:48directeur régional
12:48de Douenza
12:49de la télévision publique
12:50et son caméraman,
12:51Salif Sangari,
12:52viennent d'être libérés
12:53trois mois après avoir
12:54été enlevés.
12:55Leur enlèvement remonte
12:56au 4 octobre 2025
12:57alors qu'ils se rendaient
12:58en mission
12:59dans le centre du Mali
13:00sur l'axe routier
13:01reliant Sévaré à Douenza,
13:03une zone régulièrement
13:04exposée aux violences armées.
13:06Leur disparition
13:06avait été signalée
13:07par leur rédaction
13:08et suivie par plusieurs
13:09organisations de défense
13:10de la liberté de la presse.
13:11Selon des sources internes,
13:12les deux hommes ont été
13:13libérés dans la journée
13:14du lundi 29 décembre
13:15et conduits à Mopti,
13:18principal centre urbain
13:19du centre du pays.
13:21Les conditions
13:21de leur captivité
13:22et les modalités
13:23de leur libération
13:23n'ont pas été rendues publiques.
13:25Des sources proches
13:26de la rédaction indiquent
13:27que leur état de santé
13:28est jugé satisfaisant.
13:29La situation vécue
13:30par les deux journalistes
13:31de la télévision publique
13:32s'inscrit dans une série
13:33d'enlèvement
13:34de professionnels
13:35des médias survenus
13:36ces dernières années
13:37dans le centre
13:38et le nord du Mali.
13:39lit-on chez Hapa News.
13:42Voilà pour l'essentiel
13:43de l'actualité
13:44de ce 12h.
13:45On passe au verbatim.
13:47En Nitton,
13:48au SISSEC,
13:48nous ne sommes plus activistes.
13:50Nous devons avoir
13:50la posture républicaine.
13:52Nous n'avons plus
13:52à nous morfondre
13:53sur les réseaux sociaux
13:54dans les médias
13:55alors que nous avons
13:55une plateforme
13:56où tous les problèmes
13:57peuvent être posés.
13:58C'est valable
13:59pour les ONG,
13:59les syndicats
14:00et la société civile.
14:01Notre rôle est
14:02de ramener
14:02la calmie sociale.
14:04C'est proposant
14:05de Nikes Moulambi,
14:06président exécutif
14:07du Rossevac,
14:09la sourcille GMT.
14:11Voilà qui m'a interm
14:11à ce journal.
14:12Merci à vous
14:12de l'avoir suivi.
14:13Bonne suite
14:13des programmes
14:14sur GMT TV.
14:1519h30,
14:16Geneviève Dubounou
14:17sera votre hôte.
14:18Quantement,
14:18je vous dis
14:18à demain,
14:1912h30.
14:20Au revoir.
14:20Sous-titrage Société Radio-Canada
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