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  • il y a 2 jours
Dans la nuit du vendredi 12 au samedi 13 décembre, un collège de la ville de Dijon a été touché par un incendie. La piste criminelle est privilégiée et une enquête a été ouverte. Le préfet évoque un «lien entre le narcotrafic qui gangrène ce quartier (…) et cet incendie». Pour Richard Millet, écrivain, «brûler un collège, c'est symbolique de quelque chose. C'est l'enseignement, le savoir, contre le narcotrafic. Manifestement, c'est le narcotrafic qui gagne»

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Transcription
00:00Richard Millet.
00:01Oui, vous avez raison, mais je voudrais revenir sur ce que vous disiez,
00:04que le fait que pas un homme politique important se soit déplacé.
00:08Parce que brûler un collège, c'est symbolique de quelque chose.
00:11Bien sûr.
00:11C'est l'enseignement, c'est le savoir contre le narcotrafic.
00:15Manifestement, c'est le narcotrafic qui gagne.
00:19Jacques Serret, pourquoi il y a si peu de réactions politiques ?
00:22Mais où ils sont ?
00:24Moi, ce que je trouve aberrant, c'est que le simple fait d'en parler,
00:27et nous, on en parle, on donne la parole à ces jeunes élèves, à ces parents,
00:32et on nous accuse de brainwasher.
00:34Premier point.
00:35Et l'autre point, j'imagine, je n'ai pas la confirmation,
00:38j'imagine que le ministre de l'Éducation va se rendre sur place,
00:40mais il a réagi, il a dit des mots.
00:43Et ces mots, il faut les lire quand même sur le réseau X.
00:45Il dit, on ne touche pas à une école, à un collège ou à un lycée.
00:49Le fait est que si, on a touché...
00:51Autre phrase, tous ceux qui s'en prennent à nos écoles et à nos enfants
00:54seront identifiés, poursuivis et punis avec la plus grande fermeté.
00:58Permettez-nous d'en douter.
01:01Merci.
01:02Merci.
01:03Merci.
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