Maxime Reppert : «Ca fait peur parce qu’on se dit que l’école n’est pas un lieu sanctuarisé, mais aussi que la sécurité de tous peut être très rapidement remise en question», dans #PunchlineWE
00:00Ici, ce sont des élèves qui pâtissent de la délacance, qui pâtissent d'un acte a priori commandité par quatre personnes, d'après ce que j'ai pu lire, sur fonds de représailles, narcotrafic, etc.
00:18Et ça fait peur. Ça fait peur parce qu'on se dit très clairement que nous ne sommes pas en sécurité, que l'école n'est pas un lieu sanctuarisé, on le savait malheureusement depuis trop longtemps déjà, mais que la sécurité de tous peut être très rapidement remise en question.
00:39Là, c'est un incendie en pleine nuit, mais il aurait pu se passer des événements dramatiques en journée. Et là, qui paye les pots cassés ? Eh bien, ce sont les élèves, ce sont les personnels et c'est totalement insoutenable.
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