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Spectacle «Historock» déprogrammé à Montrouge : «L'école publique est en partie gangrénée par l'extrême-gauche» estime Alexandre Devecchio
Europe 1
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il y a 12 minutes
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00:00
Professeur d'histoire en zone d'éducation prioritaire, Dimitri Casali, bonjour.
00:05
Vous avez cherché un moyen de capter l'attention des élèves avec ce spectacle historique.
00:10
Vous avez capté l'attention de responsables politiques idéologisés
00:16
qui refusent qu'on chante la marseillaise visiblement
00:20
en présentant votre spectacle comme un spectacle de propagande réactionnaire,
00:26
un dévoiement de l'histoire par l'extrême droite.
00:29
Un extrait de votre spectacle réac.
00:52
Qu'est-ce que c'est que cette histoire, monsieur Casali ?
00:56
C'est complètement dingue.
00:57
Après 43 concerts en 10 ans, on a touché plus de 22 000 enfants de 8 à 15 ans.
01:06
Je le rappelle, 43 villes où ça s'est bien passé, où les maires étaient dits tirambiques.
01:11
On peut les citer, ce sont des maires courageux.
01:13
Gilles Platret, David Lissnard et puis bien sûr Philippe Juvin à la garelle de Colombes
01:20
qui nous engagent pour la quatrième fois le 6 février.
01:23
Et bien voilà, maintenant notre spectacle à Montrouge est annulé
01:26
parce que soi-disant que notre spectacle serait facho.
01:30
Non mais c'est dingue !
01:31
Vous parlez de quoi dans ce spectacle ?
01:33
Alors c'est un spectacle en 20 chansons des cathédrales au général de Gaulle
01:37
qui tient compte en fait, comme je l'explique dans mon dernier livre,
01:41
du double héritage de la France.
01:43
Et c'est ça qui est compliqué à expliquer aujourd'hui aux Français,
01:46
c'est que la France n'est pas née en 1789, comme le dit Mélenchon, tous les jours.
01:51
La France a pratiquement 2000 ans d'histoire,
01:54
elle a un héritage monarchique et chrétien.
01:57
Il faut en être fier et je le rappelle dans ce spectacle
02:00
en commençant par les cathédrales Saint-Louis et Jeanne d'Arc,
02:03
c'est ceux qui me reprochent.
02:04
Et ensuite j'attaque l'héritage républicain et laïque
02:07
avec la Révolution 1848, la Martine
02:11
et même, figurez-vous que le clou du spectacle,
02:14
c'est le tube front pop pop populaire sur Léon Blum.
02:18
Donc quand je vois que les socialistes s'allient à LFI
02:22
pour faire interdire mon spectacle, je vois rouge
02:24
parce que justement, c'est le tube.
02:27
Ils se tirent eux-mêmes une balle dans le pied.
02:29
Dimitri Kézali, vous êtes le créateur de ce spectacle.
02:33
Vous avez écrit, vous le rappeliez, cet ouvrage
02:35
quand la France perd la mémoire, les récits fondateurs de notre histoire
02:39
aux éditions Fayard de Clovis au général de Gaulle.
02:43
Chaque figure historique incarnait une valeur fondatrice de la France
02:47
et vous êtes également professeur d'histoire dans les zones d'éducation prioritaire.
02:51
À Montrouge, qui vous a mis des bâtons dans les roues ?
02:54
Le maire de Montrouge, il vous a soutenu ou pas ?
02:56
Oui, mais mollement, très mollement, parce qu'effectivement...
03:01
Mais qui a interdit de spectacle ?
03:03
Donc il y a trois conseillers municipaux LFI, on peut la citer,
03:08
Annabelle Huet, accompagnés par quatre ou cinq conseillers municipaux socialistes
03:13
et deux ou trois écologistes.
03:15
Donc à eux neuf, ils ont réussi à convaincre,
03:18
ils sont 40 conseillers municipaux à Montrouge,
03:22
à faire changer le maire, David le maire.
03:23
Et figurez-vous qu'hier, France 3 a essayé d'organiser un débat entre moi et Annabelle Huet
03:29
et bien sûr, manque de courage, ils ont refusé de débattre avec moi.
03:35
Juliette Méadelle, pardon, l'ancienne secrétaire d'État qui est dans l'opposition socialiste,
03:39
elle a pris position ?
03:41
Non, non, non, je suis très très très peu soutenu,
03:44
heureusement que vous êtes là, parce que personne ne nous aide.
03:48
Pardonnez-moi, Dimitri Casali, c'est une histoire de dingue.
03:50
Juste, je veux comprendre une chose.
03:52
Comment s'est déroulée cette interdiction ?
03:55
C'était en conseil municipal qu'ils ont dit
03:57
pas question d'avoir ce spectacle chez nous ?
03:59
Ils ont mené une fronde au sein de cette réunion du conseil municipal
04:04
et effectivement, il y a eu des menaces de venir,
04:11
pas des violences, mais à empêcher les élèves de rentrer dans la salle de spectacle
04:17
et puis surtout des pressions auprès des professeurs.
04:19
Vous savez, c'est ça surtout, c'est que les professeurs ont la liberté pédagogique
04:23
et sont libres d'amener leur classe.
04:25
Et là, ils avaient fait un forcing dans la semaine qui auparavant
04:30
et la plupart des profs allaient boycotter le spectacle.
04:35
Mais une ou deux fois, c'était déjà arrivé, on peut le dire,
04:38
à un maire fabuleux, la Charles Aslangueux, l'abri sur Marne.
04:42
Lui, tout de suite, il avait appelé les écoles catho et il avait rempli la salle.
04:46
Là, effectivement, il y avait la moitié des élèves qui risquaient sur 1600 élèves.
04:50
Il n'y en avait que 800 qui devaient venir.
04:53
Effectivement, le maire a préféré annuler.
04:54
Donc, c'est fou.
04:55
Là, c'est la liberté d'expression, la liberté de création qui est en jeu
04:59
et surtout, cette volonté de transmettre notre histoire à nos enfants.
05:03
Nous, on leur fait chanter la Marseillaise,
05:04
on leur fait chanter « Vive Henri IV, vive la laïcité ».
05:08
On leur fait chanter aussi « Front populaire, Front pop ».
05:11
Donc, c'est fou, quoi.
05:13
Alors qu'au départ, vous étiez engagé, quand même, pour le faire ?
05:16
Ah, mais le contrat est ici.
05:17
Il y a une rupture abusive du contrat.
05:19
Oui, j'ai vu mon avocate, Karine Chey,
05:22
qui m'a dit « Si vous voulez, on peut les attaquer.
05:24
Et là, ils vont perdre. »
05:25
Mais là, on est en train de négocier un dédommagement
05:29
et j'espère que pour mes dix musiciens,
05:31
parce que la troupe était complètement...
05:33
Déjà, c'est contraignant pour vous, économiquement,
05:37
mais c'est surtout insultant.
05:38
On vous présente comme un odié réacte d'extrême droite,
05:42
propagandiste.
05:43
Vous avez dit « On me prend pour un facho ».
05:45
Vous avez des musiciens qui ont fait le tour de la France
05:48
pour proposer justement quelque chose d'heureux, d'agréable, de joyeux.
05:54
C'est drôle, c'est rigolo et tout.
05:55
Non, mais attendez.
05:56
Mais moi, tout ce qu'il faut...
05:57
Étienne Langerot, c'est lui le maire de Montrouge ?
05:59
Oui, oui, mais bon, au début, il nous avait signé le contrat.
06:03
Oui, au début, c'est courage-luyon.
06:05
Dès qu'il y a un peu de pression, il part.
06:07
Ce qui est encore plus intéressant,
06:08
si je peux me permettre d'intervenir,
06:10
c'est le lien entre LFI et les écoles.
06:14
Moi, c'est ce qui est le plus sidérant et inquiétant.
06:17
Alexandre Devecchio, bonne analyse.
06:18
Si j'écoute bien Dimitri Casadi,
06:20
en fait, les conseillers municipaux ont été faire pression
06:23
sur les professeurs, les directeurs d'école,
06:26
pour ne pas qu'ils emmènent leurs élèves.
06:29
Donc moi, ça m'inquiète par rapport à l'école publique.
06:32
Ça veut dire qu'elle est gangrénée en partie
06:33
par l'extrême-gauche.
06:34
Vous vous êtes surpris ?
06:36
Pas totalement.
06:37
Mais c'est important de le rappeler.
06:39
On a des faits.
06:40
Ce qui est important de dire,
06:41
et ça, je veux le dire à tous les Français,
06:43
c'est que ce genre de réaction,
06:45
ce genre d'attitude,
06:46
va nous pousser vers les extrêmes.
06:48
Ça, c'est sûr.
06:48
Moi, je suis comme un fou.
06:49
Là, j'en peux plus.
06:50
J'ai été, je peux le dire,
06:51
encarté toute ma vie chez les LR.
06:53
Là, je pense que je vais déchirer ma carte des LR.
06:56
Il y a des responsables politiques,
06:58
des hauts responsables qui vous soutiennent ?
06:59
Le ministère de la Culture a réagi, par exemple ?
07:01
Non, non, non.
07:02
Pourtant, j'aimerais bien un soutien de Rachida Dati.
07:05
Et quels sont,
07:05
parce que vous avez dit,
07:06
je suis bien seul,
07:07
quels sont les médias qui vous ont contacté ?
07:11
Par exemple, France Inter vous a contacté ?
07:13
Non, non, bien sûr que non.
07:14
Non, je vous dis juste...
07:15
France 3, c'est déjà ça.
07:16
Le Figaro, je me permets à faire l'article.
07:20
Je ne parle pas des quotidiens réactionnaires, d'accord ?
07:24
D'extrême droite.
07:25
Je fais très attention à ne pas les citer.
07:27
Parce que moi, Europe 1,
07:28
je suis à l'appel de confiance.
07:30
Je vais les appeler.
07:31
Pourtant, ce n'est pas à vous d'appeler les médias,
07:33
c'est aux médias d'avoir l'information.
07:35
Mais je pense qu'ils ne réalisent pas
07:36
un concert éducatif
07:39
pour les enfants de 8-12 ans,
07:40
interdit parce qu'ils chantent la Marseillaise
07:42
et ralliez-vous à la laïcité.
07:44
Mais la France entière devrait s'insurger.
07:46
Là, tout le monde s'en fout.
07:47
Eh bien, écoutez, nous, on ne s'en fout pas.
07:49
Et on va en parler évidemment ce matin
07:51
et on continuera à en parler dans les prochaines heures.
07:54
Et ne vous inquiétez pas,
07:54
on va en parler.
07:55
Marie et Fabienne sont en direct avec nous.
07:57
Peut-être que Marie et Fabienne découvrent cette histoire
08:00
absolument dingue.
08:01
Marie, bonjour.
08:03
Oui, bonjour.
08:04
Est-ce que vous voulez apporter un petit message de soutien
08:07
à Dimitri Casali, Marie ?
08:09
Écoutez, carrément, parce que là encore,
08:12
c'est incompréhensible.
08:14
Moi, à l'école de la République,
08:16
on m'a enseigné tout ce qu'il vient d'évoquer.
08:20
Saint-Louis, les cathédrales.
08:22
Notre-Dame, on l'a vu encore récemment,
08:25
c'est bien un des fleurons et des flambeaux
08:29
qui représentent la France.
08:31
Donc, comment on peut dire que parler de ça,
08:35
c'est être réactionnaire ?
08:36
Enfin, c'est n'importe quoi, en fait.
08:39
Encore une fois.
08:40
Mais c'est tellement révélateur du climat actuellement en France
08:45
que ce n'est pas si surprenant, pardonnez-moi Marie,
08:49
ce qui lui arrive à Dimitri Casali.
08:52
Là, ce qui pourrait être intéressant,
08:55
c'est de voir si vous avez des grands responsables politiques
08:59
ou même David Lissnard qui va dire
09:01
« Mais attendez, aujourd'hui, on le boycotte,
09:03
mais moi, patron des maires de France,
09:05
il va faire une tournée.
09:07
Il en a fait 42 villes, il va en faire 400.
09:09
Vous allez commencer à bosser un peu plus, Dimitri Casali. »
09:12
C'est très bien pour mes musiciens.
09:13
Mais ce n'est pas que pour les musiciens,
09:15
c'est parce que ça s'appelle la censure, c'est un scandale.
09:17
J'entendais ce matin sur notre antenne le député LFI
09:19
qui intervenait, comme il s'appelle, Adrien Clouet, c'est ça ?
09:24
Et qui disait « Mais d'abord, dans ce spectacle,
09:26
on parle de Saint-Louis, il ne faut pas parler de Saint-Louis,
09:27
il faut parler de Louis IX. »
09:29
Vous voyez, ça va jusque-là.
09:31
Regardez, M. Clouet, député de la France Insoumise,
09:35
est-ce qu'il regrette qu'il y ait cette censure
09:37
qui se déroule en France ?
09:39
M. Clouet, tiens, député de la Nation,
09:41
on va écouter, on va découvrir.
09:43
Non, moi, je ne le regrette pas, d'abord.
09:45
Pourquoi ?
09:46
Parce que je pense que la culture en France,
09:48
elle n'est pas, vous l'avez dit à l'instant,
09:49
mais je reprends vos termes,
09:50
elle n'est pas que catholique,
09:51
elle est très plurielle.
09:52
Il y a plein de gens dans ce pays qui croient,
09:53
qui ne croient pas,
09:54
qui ressentent quelque chose de fort
09:56
en voyant du patrimoine religieux,
09:57
d'autres qui ne le ressentent pas.
09:58
Et je pense que tout le monde vit très bien ensemble
09:59
et que c'est une bonne chose.
10:00
L'histoire, elle n'est pas là pour fédérer,
10:01
l'histoire, elle est là pour comprendre,
10:02
elle n'est pas là pour faire des récits nationaux
10:04
où on marcherait au garde-à-vous
10:06
sous un récit unique.
10:06
Elle est là pour apprendre ce qui s'est passé
10:08
et que tout le monde puisse réfléchir
10:10
à ce qui se passera plus tard.
10:11
Ça, c'est le sens de l'histoire.
10:12
Maintenant, Historoc en question
10:13
comporte beaucoup d'erreurs historiques.
10:15
Moi, je ne trouve pas que c'est une bonne idée
10:16
d'emmener des gamins voir des choses
10:18
qui ont des erreurs historiques.
10:18
Par exemple, l'idée qu'Henri IV...
10:19
Parce que Saint-Louis, Jeanne d'Arc, Louis XIV, Napoléon,
10:22
c'est quand même nos personnages historiques
10:24
qui sont des personnages importants
10:26
qui ont compté dans l'histoire de France.
10:28
Oui, bien sûr, ça a compté.
10:29
D'abord, en régime scolaire,
10:31
on ne devrait pas dire Saint-Louis,
10:31
mais Louis IX, ça serait une bonne chose.
10:33
Je rappelle que c'est quand même le premier
10:35
qui a inventé les discriminations
10:36
contre les Juifs et les Juifs en France.
10:37
Mais bon, je mets ça de côté.
10:39
Mais ce spectacle dit des bêtises.
10:41
Par exemple, que Henri IV serait le père de la laïcité,
10:43
je pense que ce n'est pas bien
10:44
d'aller apprendre à des gamins des bêtises.
10:46
Adrien Clouet, député de la Nation,
10:48
député de la France Insoumise,
10:50
invité d'Alexis de la Fléchère.
10:52
Vous m'avez dit, mais c'était où ça ?
10:54
C'était chez nous, c'était ce matin.
10:55
Mais on voit bien leur ignorance crasse.
10:59
Et leur méconnaissance, ce sont des ignars.
11:01
Ils sont non seulement incapables,
11:03
ils ne connaissent même plus leur histoire,
11:05
leur histoire de France, on le voit.
11:07
Parce que bien sûr, tous les grands spécialistes
11:09
d'Henri IV, de la laïcité,
11:12
savent justement que c'est lui qui a jeté
11:14
les prémices, les premières graines
11:16
avec les dits de tolérance de 1598.
11:18
Mais pour eux, ça les dépasse complètement.
11:20
Et surtout, ils sont incapables d'en faire autant.
11:23
Ils n'ont aucune créativité,
11:24
aucune imagination.
11:26
Comme disait Napoléon, c'est l'imagination qui dirige le monde.
11:28
Eux, ils sont nuls et archi-nuls.
11:30
Et on vous sent en colère.
11:31
Alexandre Desvécu, il ne reste une minute qu'un.
11:33
Je propose que du coup,
11:35
tous les maires de France qui sont républicains,
11:37
pas LR, républicains,
11:39
c'est-à-dire de gauche, de droite,
11:41
du RN, où vous voulez,
11:42
mais qui se reconnaissent dans les valeurs de la République
11:44
dont on nous bassine parfois.
11:46
Ils en ont plein à la bouche,
11:47
mais ils ont du mal à les incarner concrètement.
11:49
Qu'ils invitent Dimitri Casali.
11:51
S'attaquer à Dimitri Casali,
11:53
c'est s'attaquer à la République.
11:55
Voilà la formule.
11:56
La formule républicaine.
11:58
Son public,
11:59
son mot spectateur,
12:00
je connais bien Dimitri Casali,
12:01
il est très républicain.
12:03
Oui, on a bien compris.
12:04
Mais enfin, vous n'avez pas besoin de justifier.
12:07
C'est hallucinant.
12:08
C'est la liberté de créer,
12:09
la liberté justement de...
12:10
Je rappelle qu'il y a les choses d'Einbécoeur.
12:11
Il est attaché à toute la première partie,
12:13
je pense, de la révolution française.
12:14
Il y a Jacob Offenbach,
12:16
il y a tous les grands émigrés
12:17
qu'on fait à la France et tout.
12:18
Non, mais ils sont complètement fous.
12:19
Non, mais ce qui est fou,
12:24
c'est l'indifférence médiatique et politique.
12:25
Ça, c'est encore plus fou.
12:27
Parce que ça n'étonne personne
12:28
ce qui vous arrive.
12:28
Et qui ne dit mot qu'on s'en.
12:29
Vous savez, le terrorisme intellectuel,
12:31
c'est vieux comme le monde.
12:33
Et ça a été très bien décrit,
12:34
c'était il y a 25 ans,
12:35
par Jean Séville,
12:36
qui a proposé une réédition
12:38
Les Habits Neufs du terrorisme intellectuel.
12:40
On est en plein dedans.
12:41
Dimitri Casali,
12:42
je rappelle votre spectacle
12:44
East Rock.
12:45
On peut le voir sur les réseaux sociaux ?
12:46
Oui, et surtout, surtout,
12:47
on peut le voir le 15 janvier
12:48
à Valence,
12:49
grâce au maire Nicolas d'Aragon,
12:51
qui est courageux.
12:52
Et surtout, le 6 février,
12:54
à la Garenne-Colombe,
12:55
grâce à Philippe Juvin.
12:56
Mais tant mieux.
12:56
Mais attendez,
12:57
est-ce que East Rock,
12:58
on peut le voir aussi sur les plateformes ?
12:59
Alors oui,
13:00
il y a YouTube,
13:01
la chaîne East Rock,
13:04
l'histoire en musique.
13:06
Et vous avez 20 vidéos éducatives,
13:08
qui étaient pour toutes les classes
13:10
de France et de Navarre.
13:11
On va en passer quelques-unes
13:12
les prochaines heures.
13:14
Ne vous inquiétez pas,
13:15
Denis Casali,
13:16
pour le plus grand plaisir
13:18
d'Adrien Clouet
13:19
et de tous les censeurs.
13:21
Merci à tous.
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