A la veille d’affronter l’Union Saint-Gilloise en Ligue des champions (J6, mardi 21 heures), Roberto de Zerbi s’est exprimé face à la presse et a indiqué qu’il comptait sur son équipe pour rebondir après deux mauvais résultats en Ligue 1 : un match nul à domicile face à Toulouse (2-2) et un revers au Losc (1-0).
00:00Comment passent les victoires ? Si passent les conflits ?
00:04Eh bien oui, on a perdu, on doit donc maintenant analyser le match.
00:12Pourquoi ? On a perdu le match avec les joueurs, avec le staff, et puis bon, on dit, on m'écoute, et on prépare.
00:20On n'a pas le temps, il faut penser au match, si on se confit, donc que ce soit une victoire avec le Castel ou un match nul, nous on doit préparer le match de demain.
00:35On va bien, parce qu'on sait que ça va être un match très important, si on peut riscattare, et aussi pour oublier ce match de l'île qui a été vraiment mauvais, je crois le plus mauvais depuis que je suis là en Asseille.
00:54Allora, con l'abitudine a stare ad alti livelli, con l'abitudine a non contentarsi di quello che si fa e con l'abitudine a cercare sempre di vedere oltre, di andare oltre le proprie possibilità.
01:10Quand je dis que a Marsiglia bisogna acheter l'ombrelli quand c'est sol, c'est parce qu'on fait un point, c'est qu'on fait un point et un point.
01:22Et non je crois qu'il n'aspect physique, c'est qu'il n'aspect mental, c'est qu'il n'y a de l'éle, comme se dit en Italie, il n'y a de la tenance, la constance, de stare avec l'énergie mentale sur la chose.
01:39Quand nous habituons, et donc quand nous habituons aussi rapidement, parce que les conflits ou les pays avec Angers et Toulouse sont encore,
01:55et donc quand nous habituons à ne pas contenter de ce qui se fait de positif, mais de voir ce qui est négatif, nous ne devons pas faire de mieux.
02:09Alors nous devons aussi développer le point de vue mental, nous devons avoir une nouvelle tête avec le seul accroche pour gagner le match.
02:25Une réaction d'orgueil, une réaction de champion de vos joueurs ?
02:29Oui, oui, bien sûr, je me l'attendais aussi à Lille, parce qu'on avait perdu tout le temps de l'île, mais bon, ce n'est pas parce que moi je voulais quelque chose de plus, sinon ce n'est pas ça.
02:49Mais bon, parfois, comme le journaliste, on a deux faces, et parfois c'est la face la moins positive, la moins bonne.
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