Dans un bloc ultra-moderne du GHU Paris psychiatrie & neurosciences, les équipes suivent Alexandre, atteint de troubles obsessionnels compulsifs sévères, pendant une chirurgie de stimulation cérébrale profonde (DBS). Sous anesthésie générale, deux longues électrodes sont implantées au millimètre près dans des noyaux profonds du cerveau, grâce a un scanner et un bras robotisé. Alimentées par un boîtier placé sous la peau, elles enverront en continu de petites impulsions électriques pour tenter de contrôler ses TOC, notamment des obsessions de symétrie et d’ordre. Une procédure lourde, réservée aux cas les plus sévères.
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