Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 1 jour
«Le fait que le protoxyde d'azote ne soit pas reconnue comme une substance psychotrope interdit les policiers et gendarmes de saisir ces capsules lors d'un contrôle», déplore Raphaël Stainville.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Mais au-delà de l'interdiction du protoxyde d'azote, le simple fait qu'elle ne soit pas reconnue comme une substance psychotrope
00:07interdit les policiers et les gendarmes lorsqu'ils interpellent des conducteurs, des contrôles, et qu'ils tombent sur ces fameuses capsules.
00:17Ils ne peuvent pas verbaliser.
00:17Ils ne peuvent pas saisir ces capsules.
00:19Et deuxième chose, lorsqu'il y a un homicide routier qui est provoqué, notamment par un conducteur qui conduit sous substance notamment du protoxyde d'azote,
00:31ce n'est pas considéré comme une circonstance aggravante parce que ça ne rentre pas dans cette nomenclature.
00:39Donc déjà, peut-être commencer par le commencement.
00:40Peut-être commencer déjà par redéfinir la nomenclature qui permettrait de faire rentrer le protoxyde d'azote comme étant un psychotrope.
00:48Par ailleurs, vous l'utilisez, il y a des fins...
00:50Oui, mais si vous ne dites pas que c'est un psychotrope, comment voulez-vous ne serait-ce que faire de la prévention ?
00:56Si ça reste comme une substance festive...
00:59Donc le psychotrope permettrait effectivement de...
01:01Je pense que déjà, ça instale dans l'opinion publique, et notamment chez les plus jeunes, que c'est une substance dangereuse.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations