«Le fait que le protoxyde d'azote ne soit pas reconnue comme une substance psychotrope interdit les policiers et gendarmes de saisir ces capsules lors d'un contrôle», déplore Raphaël Stainville.
00:00Mais au-delà de l'interdiction du protoxyde d'azote, le simple fait qu'elle ne soit pas reconnue comme une substance psychotrope
00:07interdit les policiers et les gendarmes lorsqu'ils interpellent des conducteurs, des contrôles, et qu'ils tombent sur ces fameuses capsules.
00:17Ils ne peuvent pas verbaliser.
00:17Ils ne peuvent pas saisir ces capsules.
00:19Et deuxième chose, lorsqu'il y a un homicide routier qui est provoqué, notamment par un conducteur qui conduit sous substance notamment du protoxyde d'azote,
00:31ce n'est pas considéré comme une circonstance aggravante parce que ça ne rentre pas dans cette nomenclature.
00:39Donc déjà, peut-être commencer par le commencement.
00:40Peut-être commencer déjà par redéfinir la nomenclature qui permettrait de faire rentrer le protoxyde d'azote comme étant un psychotrope.
00:48Par ailleurs, vous l'utilisez, il y a des fins...
00:50Oui, mais si vous ne dites pas que c'est un psychotrope, comment voulez-vous ne serait-ce que faire de la prévention ?
00:56Si ça reste comme une substance festive...
00:59Donc le psychotrope permettrait effectivement de...
01:01Je pense que déjà, ça instale dans l'opinion publique, et notamment chez les plus jeunes, que c'est une substance dangereuse.
Écris le tout premier commentaire