Mardi 2 décembre 2025, ils sont trois (CGT, FSU et Solidaires) à vouloir "maintenir la pression sur le gouvernement". Trois mois après le début du mouvement de protestation face à "l'austérité budgétaire" décriée par les organisations, les manifestants battent le pavé à Nice sur l’avenue Thiers. La raison ? Les "avancées obtenues" ne suffisent pas à leurs yeux. Le recul sur la suppression de deux jours fériés, le décalage de la réforme des retraites et l'engagement du Premier ministre à ne pas faire usage du 49-3 : un début, pas une fin en soi pour les militants présents.
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