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  • il y a 1 jour
Mardi 2 décembre 2025, ils sont trois (CGT, FSU et Solidaires) à vouloir "maintenir la pression sur le gouvernement". Trois mois après le début du mouvement de protestation face à "l'austérité budgétaire" décriée par les organisations, les manifestants battent le pavé à Nice sur l’avenue Thiers.
La raison ? Les "avancées obtenues" ne suffisent pas à leurs yeux. Le recul sur la suppression de deux jours fériés, le décalage de la réforme des retraites et l'engagement du Premier ministre à ne pas faire usage du 49-3 : un début, pas une fin en soi pour les militants présents.

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Transcription
00:00La mobilisation continue parce qu'on a envie de se faire entendre par le gouvernement
00:05qui est en train d'élaborer un budget qui d'après nous ne va pas dans le bon sens
00:09avec toujours plus de suppression d'emplois dans la fonction publique.
00:16On est très inquiet pour l'avenir parce qu'on se demande jusqu'où ça va aller.
00:21Là on est à l'os et on aurait aimé dans l'éducation en particulier
00:25que le fait qu'il y ait une baisse démographique puisse améliorer les conditions de travail.
00:32Or ce n'est pas la direction que prend le gouvernement et on est très inquiet et en colère.
00:40Malgré les mobilisations qu'on a pu tenir septembre, octobre, novembre,
00:46le gouvernement nous a lâché quelques concessions
00:49mais en tout cas elles ne sont clairement pas à la hauteur de nos revendications.
00:52On revendique toujours la retraite à 60 ans,
00:56on revendique toujours le salaire minimum à 2000 euros
00:58et on peut voir aussi qu'ils s'entêtent avec par exemple
01:03les 3000 suppressions de fonctionnaires dans la fonction publique.
01:07Donc nous on estime que ce n'est clairement pas assez,
01:09on maintient l'impression pour que nos revendications soient entendues.
01:12Merci.
01:13Merci.
01:14Merci.
01:15Merci.
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