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  • il y a 2 jours
Transcription
00:00Mais si on ne l'avait pas, ça veut dire qu'il y a plein de petits films
00:02qui n'ont pas forcément les moyens de se faire
00:04produire à une échelle
00:06impressionnante, qui ne pourraient pas avoir leur jour.
00:08Et en fait, c'est littéralement une entrave à la créativité.
00:11Parce que ce qu'il disait
00:13dans ses passages, il est passé plein de fois
00:14à la radio pour se justifier
00:16et en fait, progressivement s'enfoncer, moi je trouve,
00:19c'est qu'il disait qu'ils iront voir des acteurs privés.
00:20Comme si ce n'était pas déjà le cas.
00:23Mais oui, c'est surtout la phrase
00:24qui a beaucoup tourné.
00:26Moi, je pense qu'il y a des bons films, des mauvais films.
00:28Un bon film, c'est un film qui fait
00:30beaucoup d'entrées.
00:31C'est le paradoxe, parce qu'en fait, les films
00:33les plus prestigieux, en général, ils ne marchent pas bien.
00:36En plus.
00:37En fait, ils veulent que la France rayonne.
00:40Mais pour que la France rayonne, il faut financer des trucs.
00:42Donc, il faut une guerre idéologique.
00:44Ils veulent faire des économies. Et en même temps,
00:46c'est une lutte plus globale contre l'idée
00:48que le service public, ce n'est pas bien.
00:50C'est l'argument à chaque fois. Le service public,
00:52il doit rapporter de l'argent. Alors que le service public, il est fait
00:54pour être, entre guillemets, déficitaire.
00:55Non, ce n'est pas ça qui est rapporteuré.
00:56Ce n'est pas rapporteur d'argent. C'est l'idée d'idéologie.
00:59Oui, c'est ça.
01:00Oui.
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