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L'édito de Mathieu Bock-Côté : «Entrisme/islamisme : une différence ?»
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il y a 3 minutes
Dans son édito du 25/11/2025, Mathieu Bock-Côté revient sur l'entrisme islamiste.
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00:00
Pourquoi nos sociétés sont-elles si perméables à cet entrisme?
00:05
Alors, le terme d'abord est intéressant.
00:08
Entrisme islamiste.
00:09
Pendant des années, lorsqu'on parlait de l'action des Frères musulmans
00:12
ou de tant d'autres organisations,
00:13
on était accusé de conspirationnisme.
00:16
On était des complotistes, on était des paranoïaques.
00:18
Or, le mot entrisme islamiste,
00:20
qui est validé aujourd'hui par les autorités,
00:22
notamment par le ministère de l'Intérieur,
00:24
dit qu'il y a effectivement une stratégie de conquête
00:27
qui est intentionnelle pour s'emparer des institutions,
00:32
de la société civile, de la culture,
00:34
pour y imposer l'islamisme.
00:36
Donc, c'est une reconnaissance de la part des autorités
00:38
d'un projet, pas d'une forme de mouvement naturel,
00:41
d'un projet de conquête.
00:44
Deuxième élément, le propre du mot entrisme,
00:46
c'est que quand c'est de l'entrisme, ça se voile,
00:48
sans mauvais jeu de mots.
00:49
Ça se voile, c'est-à-dire que l'entrisme ne se présente pas comme entrisme.
00:53
L'entrisme prétend jouer selon nos règles.
00:55
Il prétend jouer selon nos valeurs.
00:57
Alors, il prétend jouer selon nos principes
00:59
pour nous imposer son propre projet
01:02
en retournant nos valeurs contre nous.
01:05
Donc là, je vais donner quelques exemples.
01:07
On le voit, par exemple, avec le voile.
01:09
J'y reviens souvent, Marc aussi.
01:12
Pourquoi le voile est important?
01:13
Parce qu'on nous dit le voile,
01:14
mais ce n'est rien d'autre qu'une tenue individuelle.
01:17
Certaines portent le string, d'autres portent le voile,
01:19
d'autres portent la robe.
01:20
Le rouge à lèvres.
01:21
Qu'importe, on s'en fiche, c'est secondaire.
01:23
Ce n'est qu'une tenue parmi d'autres.
01:25
Donc, récupération de l'individualisme
01:28
au service d'une revendication
01:29
qui est en fait un symbole,
01:30
un étendard communautaire,
01:31
et plus que communautaire, islamiste.
01:34
Deuxième élément,
01:35
on le voit avec le halal.
01:36
Chacun peut bien manger ce qu'il veut.
01:38
Il y a des végétariens, des véganes,
01:39
des gens qui mangent normalement de la viande.
01:41
Et par ailleurs, on nous dit,
01:42
il y a le halal.
01:43
Le halal, ce n'est qu'une préférence parmi d'autres.
01:45
Mais encore une fois,
01:46
à travers cette préférence individuelle,
01:48
on se retrouve au bout de quelques temps,
01:49
quand la masse démographique est là,
01:51
à ce qu'une majorité de la population,
01:52
sinon tout le monde doit manger halal.
01:54
Parce que le halal s'impose à la manière d'une norme.
01:58
Et le génie, on pourrait dire,
02:00
même au niveau des prières publiques, par exemple.
02:02
Rappelez-vous, il y avait des prières publiques
02:03
il y a des années, il y en a encore quelques fois.
02:05
On nous répond,
02:05
mais oui, mais il y a des processions de la fête de Dieu.
02:08
Si les catholiques peuvent se promener dans la rue,
02:09
pourquoi les musulmans ne pourraient-ils pas prier ?
02:12
Ils revendiquent encore une fois nos droits
02:14
pour imposer ce qui est un agenda
02:16
de conquête de l'espace public.
02:18
Alors, on note une chose,
02:20
ça nous est toujours présenté,
02:21
ces éléments de la conquête islamiste,
02:23
de l'antrisme islamiste,
02:25
comme des évolutions naturelles de notre société.
02:28
En fait, s'ouvrir à ces revendications islamistes,
02:30
ce serait être fidèle à nos valeurs et à nos droits.
02:33
Et si on s'oppose à l'islamisme,
02:34
on trahit nos propres valeurs
02:36
parce que c'est au nom de nos valeurs
02:38
qui nous imposent ce projet.
02:40
Comme dirait l'autre, c'est bougrement tordu,
02:41
mais ça finit par fonctionner.
02:43
La démocratie contre elle-même.
02:44
Exactement, Marcel Gaucher a frappé ici
02:46
une formule définitive,
02:48
la démocratie contre elle-même, absolument.
02:50
Alors, la question qu'on peut se poser,
02:52
évidemment, dans tout cela,
02:53
c'est pourquoi sommes-nous si vulnérables ?
02:55
Parce qu'on l'a devant nous,
02:56
on le voit, il n'y a plus de mystère.
02:58
Que se passe-t-il ?
02:59
À bien des égards, nous sommes faibles
03:01
parce que nous nous sommes enfermés
03:03
dans une conception de la société
03:04
qui la déréalise.
03:06
Par exemple, l'individualisme.
03:08
L'individualisme, c'est bien en tant que tel,
03:09
je suis individualiste, vous l'aide, on l'est tous,
03:11
mais un individualisme mental, méthodologique
03:14
qui fait qu'on ne voit désormais que des individus.
03:17
Donc, on voit le croyant musulman,
03:19
le croyant bouddhiste, le croyant catholique,
03:21
l'athée, faites la liste, les libertins,
03:24
mais on ne voit plus les masses historiques.
03:26
Les masses historiques, c'est-à-dire
03:28
qu'au-delà de chaque croyance
03:30
tout à fait légitime et digne en elle-même,
03:32
il y a des masses qui, quelquefois, s'entrechoquent.
03:34
Et une de ces masses, c'est l'islam.
03:36
L'islam est une masse historique
03:38
et c'est une masse travaillée par l'islamisme
03:41
qui cherche à le fanatiser.
03:43
Donc ça, c'est une réalité.
03:44
Autrement dit, à ne voir que des individus,
03:46
on ne voit plus la réalité de l'histoire.
03:47
On croit aller au plus proche de la réalité.
03:49
Il nous manque, en fait, le grand tableau.
03:52
Deuxième élément, l'obsession de l'antidiscrimination.
03:55
À force de ne vouloir discriminer personne,
03:58
on n'est pas capable de nommer cette menace spécifique
04:01
qu'est l'islamisme sur nos sociétés.
04:03
On n'ose pas le nommer parce qu'on croit
04:04
qu'on va discriminer, qu'on va stigmatiser.
04:06
Le problème avec cela, c'est que ça donne des lois
04:08
qui devaient, à l'origine, s'en prendre à l'islamisme
04:11
et finalement, elles s'en prennent au séparatisme,
04:13
au sens large.
04:14
Et pour bien prouver qu'on ne critique pas spécialement
04:16
l'islamisation ou l'islamisme,
04:18
eh bien, on va taper de temps en temps sur les catholiques
04:20
et même d'abord taper sur eux
04:21
ou sur les protestants ou les orthodoxes,
04:23
quand sais-je, pour montrer qu'il n'y a pas
04:25
une préoccupation spécifique avec l'islam et l'islamisme.
04:29
Autre élément dans cette analyse,
04:30
qui me semble importante,
04:32
nous avons presque oublié notre propre identité.
04:34
Nous l'avons dit, elle est devenue invisible.
04:36
Pourquoi? Parce qu'on ne sait plus
04:37
à quoi on veut assimiler les gens.
04:39
Nous ne sommes plus que des, je dirais, des termes creux.
04:42
Nous sommes états de droit.
04:43
Nous sommes république.
04:44
Nous sommes démocratie.
04:46
Mais ces termes-là, premièrement, on l'a dit,
04:48
on peut être retourné dans un sens comme dans l'autre,
04:50
mais plus encore, la réalité concrète d'un pays,
04:52
ce sont des mœurs.
04:53
C'est charnel.
04:54
Donc, quand je dis de l'identité,
04:55
l'identité, c'est une langue, une littérature,
04:57
une nourriture, une manière de manger,
04:59
le fromage, le vin, la viande, le porc,
05:02
les églises, les paysages mentaux,
05:03
l'humour, la séduction,
05:05
les rapports entre les hommes et les femmes,
05:06
et ainsi de suite.
05:07
C'est très, très, très concret.
05:09
Or, quand on nous dit seulement
05:10
valeurs de la République, état de droit, démocratie,
05:12
mais il n'y a rien de concret à travers tout ça.
05:14
Et vous noterez que les islamistes, eux,
05:16
proposent un mode de vie concret.
05:17
Charlotte nous le rappelle souvent.
05:19
Ils proposent des mœurs, une manière de fonctionner,
05:21
et nous nous opposons à cela
05:22
que les principes désincarnés.
05:24
Et donc, on a invisibilisé la France,
05:26
mais aussi tous les autres pays occidentaux
05:28
qu'on ne se trompe pas derrière des grands mots à majuscules.
05:30
La réalité concrète,
05:31
c'est à quoi nous voulons les assimiler.
05:33
Nous ne le voyons plus.
05:34
Si on ne le voit plus,
05:35
on ne peut plus l'incarner.
05:36
Et à travers cela,
05:37
il y a la peur d'essentialiser les cultures.
05:39
Quand on dit, par exemple,
05:40
la France, justement,
05:40
c'est une certaine manière de penser
05:41
le rapport entre les sexes,
05:43
une certaine tradition oculinaire,
05:44
une certaine manière d'habiter l'espace public,
05:46
on va toujours nous dire
05:47
« Oui, mais il y a trois Français
05:47
qui ne pratiquent pas exactement cette chose-là. »
05:49
On s'en fout, finalement.
05:50
Il y a un effet statistique,
05:53
il y a un effet sociologique,
05:53
il y a un effet démographique massif,
05:55
mais on ne veut plus voir la réalité
05:56
parce qu'on a l'impression
05:57
que voir la réalité, c'est discriminer.
05:59
Alors, on parle donc d'entrisme,
06:01
d'autres parlent d'islamisation.
06:03
Est-ce que les deux concepts se recoupent?
06:05
Ah, non.
06:06
Ils sont distincts,
06:06
il faut les distinguer.
06:07
Mais je vais en rajouter un troisième dans tout cela
06:09
qui est une forme de concept intermédiaire.
06:11
C'est la conquête islamique
06:12
ou la conquête islamiste.
06:14
L'entrisme islamiste,
06:15
c'est un plan organisé.
06:17
C'est la conquête de telle association sportive,
06:19
la conquête de telle mairie,
06:21
l'entrisme dans tel parti politique.
06:22
Ça, c'est de l'entrisme.
06:24
À l'échelle de l'histoire,
06:25
la conquête islamique,
06:26
la conquête islamiste,
06:27
est antérieure à l'entrisme des frères musulmans.
06:29
On pourrait dire que ça remonte à Poitiers
06:31
à bien des égards.
06:32
La conquête islamique,
06:33
c'est une civilisation
06:34
qui, comme toutes les civilisations d'ailleurs,
06:36
a une pulsion de vie.
06:37
La pulsion de vie d'une civilisation,
06:38
ça la pousse à se déployer.
06:40
Elle se déploie,
06:41
elle s'empare de territoires,
06:42
elle s'empare de cultures,
06:43
elle s'empare de peuples,
06:44
elle les convertit.
06:45
Et qu'est-ce qui l'arrête ?
06:46
L'arrête, dis-je,
06:47
pas son mouvement naturel.
06:48
C'est rencontrer une force aussi grande devant soi
06:50
qui dit, un instant, t'arrêtes,
06:51
t'es chez nous ici.
06:52
J'existe.
06:53
J'existe, s'il vous plaît,
06:54
restez chez vous, chers amis,
06:55
et puis on va s'entendre,
06:56
on va commercer,
06:57
on va accueillir un par un
06:58
les gens de chez vous.
07:00
Mais il y a un choc.
07:01
Ça, c'est justement,
07:01
c'est Poitiers,
07:02
c'est Charles Martel
07:03
qui a une mauvaise réputation aujourd'hui
07:04
pour une raison qui m'échappe.
07:06
Alors, il y a cette conquête,
07:07
c'est la pulsion de vie,
07:08
et c'est pour ça que je dis,
07:09
il y a, dans l'inconscient des civilisations,
07:11
ce qui pousse un groupe,
07:13
en fait, une masse humaine
07:14
qui la pousse à se déployer.
07:16
Si on n'est pas capable
07:17
de comprendre cette conquête
07:18
qui traverse l'histoire
07:19
et qui, dans le cas de l'islam,
07:20
c'est particulier
07:20
parce que l'islam a un territoire historique,
07:22
personne ne dira le contraire,
07:23
mais l'islam a aussi
07:24
une ambition de conquête universelle.
07:26
Florence Bergeau-Blacler
07:27
l'a bien analysé,
07:28
parlant de l'entrée smith islamique,
07:29
c'est une ambition de conquête universelle.
07:31
Si on n'est pas capable de le noter,
07:32
on ne comprend pas l'histoire
07:33
des, globalement,
07:38
qui est un concept très intéressant.
07:41
L'islamisation,
07:41
c'est le plus intéressant des trois
07:42
parce que ça nous détache
07:44
de toute intention.
07:45
C'est-à-dire que si vous avez des masses
07:47
par vagues migratoires successives,
07:50
des vagues de musulmans
07:51
dans les circonstances qui arrivent,
07:52
plus vous avez de musulmans
07:54
dans un pays,
07:55
plus ce pays s'islamise.
07:57
Et là, je précise
07:57
que tous les musulmans en question,
07:58
ils n'ont pas été islamistes.
08:00
Un par un,
08:00
ils peuvent être parfaitement respectueux
08:01
des meurs républicaines
08:03
de tout ce que vous voulez,
08:04
mais simplement,
08:04
il y a un effet de masse
08:05
quand vous amenez massivement,
08:06
par exemple, des Danois quelque part,
08:08
il y a une forme de danisation du pays.
08:10
Si vous amenez une masse d'Afghans,
08:12
il y a une afghanisation.
08:13
Si vous amenez une masse d'Anglais,
08:14
il y a une anglicisation.
08:16
Et si vous amenez une masse musulmane,
08:17
il y a une islamisation.
08:19
Ce n'est pas original que de dire ça,
08:21
c'est factuel,
08:21
mais la sociologie officielle
08:23
nous l'interdit.
08:24
Alors, je leur dis,
08:24
individuellement,
08:25
tout le monde peut rejoindre une culture.
08:26
Un Pakistanais peut devenir français,
08:28
un Français peut devenir danois,
08:29
un Danois peut devenir irlandais,
08:30
on s'en fiche.
08:31
Mais quand un peuple arrive au complet,
08:33
quand une civilisation,
08:34
une masse arrive,
08:35
là, ce n'est plus une intégration,
08:36
c'est un choc.
08:38
Et le véritable concept,
08:39
donc, c'est l'islamisation,
08:40
c'est un phénomène démographique,
08:42
historique,
08:42
qui nous submerge
08:43
et auquel on ne sait pas répondre.
08:45
Alors, que veut dire
08:47
lutter contre l'antrisme islamiste
08:49
une fois que nous avons tout cela en tête?
08:52
Alors, ça veut dire
08:53
considérer la chose suivante.
08:55
Il y a une forme d'islamisme,
08:56
en fait, de communautarisme musulman
08:58
qui a pris forme aujourd'hui,
08:59
qui est travaillé par un islamisme militant,
09:02
qui cherche non seulement
09:03
à pratiquer le séparatisme,
09:04
comme on dit,
09:04
mais qui cherche à conquérir
09:06
l'espace public,
09:07
à multiplier les empiétements
09:09
sur l'espace public
09:10
pour forcer la France
09:11
à multiplier
09:12
les accommodements raisonnables
09:13
avant d'acter
09:14
la capitulation finale.
09:16
Alors, devant cela,
09:17
il faut une forme de scène,
09:18
si je me fie
09:19
à ce que disent les républicains,
09:20
une scène intransigeance.
09:22
La scène intransigeance,
09:23
ça consiste à considérer
09:24
qu'il n'y a plus
09:24
le moindre accommodement
09:25
raisonnable possible.
09:27
Il n'y a plus
09:28
la moindre capitulation
09:29
sur les mœurs
09:29
qui est possible.
09:30
Il faut cesser
09:31
d'être des benets,
09:32
il faut cesser
09:32
d'être des espèces
09:34
d'esprits candides
09:35
qui disent,
09:35
ah ben oui,
09:35
ils veulent porter le voile
09:36
au nom du féminisme.
09:37
C'est une autre conception
09:38
du féminisme,
09:38
c'est pas grave.
09:39
C'est pas comme ça
09:40
que ça se pose.
09:41
Il faut avoir,
09:41
je dirais,
09:41
mettre à jour
09:42
notre logiciel mental,
09:44
mettre à jour
09:44
notre logiciel intellectuel,
09:46
être capable
09:46
de comprendre
09:47
ce choc démographique
09:48
et travailler
09:49
à dissoudre
09:50
politiquement,
09:51
juridiquement,
09:52
sociologiquement,
09:53
le communautarisme
09:54
conquérant,
09:55
pour qu'ensuite,
09:55
chaque individu,
09:56
quelle que soit sa croyance,
09:57
soit capable
09:58
de vivre
09:58
selon les mœurs françaises.
10:00
Mais nous n'avons même pas
10:00
commencé à envisager
10:01
la possibilité de cela.
10:03
Voilà pourquoi
10:03
nous sommes très en retard.
10:04
Sous-titrage Société Radio-Canada
10:07
Sous-titrage Société Radio-Canada
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