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  • il y a 6 minutes
Gilles-William Goldnadel : «C'est un otage qui vient d'être libéré. M. Macron remercie l'Allemagne mais il remercie aussi l'Algérie. La moindre des choses, c'est de ne rien dire. Je ne lui demande pas d'insulter les preneurs d'otages, je lui demande de ne pas les remercier.»

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Transcription
00:00Il faut se réjouir, et encore le mot est faible, que Boilem Sansal soit enfin libre.
00:08Nous, on en parlait beaucoup de Boilem Sansal.
00:12Il avait été largement oublié par d'autres médias.
00:14Il faut déjà le remarquer.
00:17Boilem Sansal, il faut dire que c'est un otage qui vient d'être libéré.
00:21C'est un vieil otage atteint d'un cancer qui vient d'être libéré.
00:25Et j'observe que non seulement c'est ça qui est dans la profondeur des choses très grave,
00:32que M. Macron remercie l'Allemagne, ce qui est la moindre des choses, mais qui remercie aussi l'Algérie.
00:41Si on ne voit pas dans le creux de cela, une fois de plus, le masochisme français,
00:48qui va d'ailleurs, quand vous critiquez M. Rotaillot qui est ferme envers l'Algérie,
00:54pour ne pas critiquer les preneurs d'otages...
00:56Bon, là, c'est une formule.
00:58Emmanuel Macron, il dit, voilà, c'est un geste d'humanité.
01:00Ah non, non, non, écoutez votre titre.
01:03M. Macron remercie Alger et Berlin.
01:06Oui.
01:06Ah non, c'est...
01:07Moi, j'interprète ce qu'a dit Emmanuel Macron comme une parole diplomastique classique.
01:13Mais on n'est plus...
01:13Écoutez-moi, la moindre des choses, c'est de ne rien dire.
01:16Je ne lui demande pas d'insulter les preneurs d'otages.
01:19Je lui demande de ne pas les remercier.
01:20Bon...
01:21Sous-titrage FR ?
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