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Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée

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00:00Bienvenue dans votre édition de la nuit. A la une de l'actualité, le 107e anniversaire de l'armistice de 1918.
00:08Présidé par Emmanuel Macron, le président de la République a rallumé la flamme sur la tombe du soldat inconnu.
00:13En leur mémoire et pour la paix, ce 11 novembre, comme chaque jour, souvenons-nous, a rappelé le chef de l'État.
00:19Nicolas Sarkozy vivait quant à lui ce 11 novembre, comme le jour d'après, au lendemain de sa libération.
00:24L'ex-président souhaite reprendre une vie normale. Plus d'éléments dans ce journal.
00:2810 jours après la mort de Matisse, mortellement percuté par un chauffard à Lille, une marche blanche avait lieu ce lundi après-midi à Saint-Omer.
00:36Un dernier hommage de sa famille, ses proches et de simples habitants.
00:41Et puis Emmanuel Macron recevait ce lundi le président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à l'Elysée, avec une volonté, la réforme de l'autorité palestinienne.
00:49Au Figaro, le président de l'autorité palestinienne l'affirme, le Hamas n'aura aucun rôle dans la gouvernance de Gaza.
00:55Le 107e anniversaire de l'armistice de 1918, présidé par Emmanuel Macron, donc le chef de l'État a rallumé la flamme sur la tombe du soldat inconnu en ce 11 novembre.
01:07Sur X, le président de la République le rappelle, chaque flamme ravivée, chaque plaque mémorielle honorée, chaque bleuet porté au cœur fait vivre le souvenir de toutes celles et de tous ceux tombés pour la France.
01:17En leur mémoire et pour la paix, ce 11 novembre, comme chaque jour, souvenons-nous, récit complet de cette journée, Elodie Huchard avec Thibaut Marcheteau.
01:25Le chef de l'État a célébré le 107e anniversaire de l'armistice avec une première étape un peu plus inhabituelle.
01:32Il est allé à l'hôtel national des Invalides pour dévoiler une plaque en hommage aux Alsaciens et aux Mosellans qui sont tombés pendant la Seconde Guerre mondiale.
01:39C'était une volonté du chef de l'État de rendre hommage à ce qu'on a appelé les malgrés nous et puis ensuite, il a repris le parcours habituel des commémorations du 11 novembre.
01:48D'abord, le dépôt d'une gerbe devant la statue de Georges Clémenceau. Il a remonté ensuite les Champs-Élysées et en a profité pour saluer les quelques badauds qui étaient présents sur cette avenue.
01:58Et puis, il est arrivé ici à l'Arc de Triomphe. Il a d'abord salué les troupes et puis ensuite, il a ravivé la flamme du soldat inconnu avec une particularité.
02:06Cette année, nous célébrons le centenaire du Bleuet de France. Il y avait donc 16 urnes ornées du Bleuet de France qui ont été déposées sur la tombe du soldat inconnu.
02:15Des urnes remplies de terre extraites des sites funéraires ou mémoriels de la Première Guerre mondiale.
02:20Et puis ensuite, le chef de l'État a longuement salué à la fois les porte-drapeaux, les officiels, mais aussi les écoles ou les jeunes du service national universel qui avait fait le déplacement.
02:27Le Premier ministre était, lui, à Vernon. Dans l'heure avant Matignon, Sébastien Lecornu avait présidé ce conseil départemental et même était maire de la ville d'avril 2014 à décembre 2015.
02:41Je vous propose de l'écouter.
02:42Dans un contexte inédit, marqué par le retour de la guerre en Europe, le durcissement du monde et l'accélération des transformations technologiques, défendre la paix, c'est être prêt, toujours prêt.
02:56Grâce à ses armées, la France est prête à défendre ses valeurs et ses intérêts partout dans le monde, sur terre, en mer et dans les airs, mais aussi dans les nouveaux champs de conflictualité, l'espace, le cyber, les fonds marins.
03:10Avec courage et dévouement, nos militaires prennent tous les risques pour répondre aux missions qui lui sont confiées et qui leur sont confiées demain par le chef des armées, toujours au péril de leur vie.
03:26Et notez qu'à Lyon, une trentaine de personnes soupçonnées d'être proches de la mouvance d'ultra-gauche et anti-militaristes ont été verbalisées.
03:33Elles projetaient d'organiser une manifestation sauvage pour perturber les commémorations du 11 novembre.
03:38La préfète du Rhône a condamné, je cite, « cette action vaine de fragiliser ce qui forge notre cohésion nationale ».
03:44Lui était absent des commémorations du 11 novembre.
03:47Il avait pourtant été invité Nicolas Sarkozy à décliner la proposition.
03:52Après sa libération, l'ancien président de la République a préféré reprendre une vie normale.
03:56On voit tout cela avec Michael Dosantos.
04:00Après trois semaines de détention, dans une cellule de 9 mètres carrés, Nicolas Sarkozy s'offre un bol d'air matinal.
04:07L'ancien président de la République effectue son traditionnel footing dans les rues du 16e arrondissement, entouré de sa protection policière.
04:15De retour chez lui, à la ville à Montmorency, Nicolas Sarkozy reçoit la visite de son ami Didier Barbe-Olivien.
04:23A sa sortie, le chanteur préfère rester discret devant les journalistes.
04:27Pas de commentaire aujourd'hui ?
04:28Jamais.
04:29Est-ce qu'il va bien ? Est-ce que vous l'avez trouvé en forme ?
04:30J'en fais jamais.
04:32Au même moment, l'ancien chef de l'État remonte dans son véhicule en compagnie de son épouse Carla Bruni.
04:38Le couple part déjeuner non loin de leur domicile dans un restaurant parisien.
04:41Au moment de quitter l'établissement, Nicolas Sarkozy reçoit le soutien de plusieurs clients.
04:51Des applaudissements qui se répètent une fois à l'extérieur.
04:59Pendant les semaines à venir, Nicolas Sarkozy pourra également répondre aux nombreuses lettres envoyées par les Français.
05:05Sans oublier de préparer son procès en appel prévu au printemps prochain.
05:09Et avant cette libération, une visite en prison avait fait débat celle du garde des Sceaux, Gérald Darmanin.
05:16Mais le ministre de la Justice persiste et signe.
05:19Nicolas Sarkozy était un détenu exceptionnel.
05:21Il était menacé s'il avait été blessé ou tué en prison.
05:25Qui était responsable ? Le chef de l'administration, le ministre.
05:28J'ai rempli mon rôle et je le regrette en rien.
05:30Fin de citation.
05:33Dans quelques heures d'autres commémorations auront lieu celles des attentats du 13 novembre 2015.
05:38C'était il y a 10 ans, jour pour jour.
05:40En octobre dernier, trois jeunes femmes ont été interpellées et mises en examen pour association de malfaiteurs terroristes.
05:46Elles avaient échangé sur un projet d'action violente dans un bar ou dans une salle de concert à Paris.
05:51Un an après les attentats dans la salle de concert du Bataclan, Georges Fenech prenait la tête du rapport relatif aux moyens mis en oeuvre par l'État pour lutter contre le terrorisme.
06:01Nos équipes l'ont rencontré pour revenir sur ses propositions et les efforts faits depuis.
06:05Marie-Victoire Dieudonné et Clément Lopez.
06:08Créer une base de données communes à l'ensemble des acteurs de la lutte antiterroriste.
06:13C'est doté les soldats de l'opération Sentinelle d'armes de poing et de faire bénéficier d'une formation pour intervenir en milieu clos qu'ils n'ont pas pu faire pour le Bataclan.
06:24Ils n'avaient pas le droit d'entrer et ils n'étaient pas formés pour ça.
06:27Aujourd'hui, ils le sont.
06:29Les 40 propositions de ce rapport seront progressivement mises en oeuvre.
06:33Six mois de travail plus tard, les 300 pages ont une lourde tâche.
06:37Tirer les conséquences de nos défaillances.
06:39On n'était pas prêts du tout.
06:40Ils n'ont rien à dévoquer.
06:41Ils arrivent, ils rentrent avec des kalachnikovs, ils font le plus grand nombre de victimes et ils choisissent de mourir en kamikaze.
06:50Il a fallu revoir tous nos process d'intervention.
06:53A l'époque, alors que chaque minute compte, le protocole interdit aux primo-intervenants, des militaires de la mission Sentinelle, d'ouvrir le feu.
07:0290 personnes décéderont dans la salle du Bataclan dans une attaque planifiée par Daesh depuis la zone siro-irakienne.
07:09Dix ans après, serions-nous prêts ?
07:11On a amélioré et élevé le niveau de tous nos dispositifs de renseignement, d'intervention, de secours, d'échange.
07:22On est aujourd'hui, on peut dire, sur un pied de guerre quotidien, vigilant actuellement d'ailleurs.
07:27On est au plus haut niveau de l'état d'un menace et tous les dispositifs sont sur le qui-vive.
07:32La lutte antiterroriste continue de s'adapter et depuis la chute du califat, la menace n'est plus tant projetée qu'endogène, c'est-à-dire issu d'individus vivant sur le sol français, autoradicalisés.
07:44À Tourcoing, à présent, ce refus d'obtempérer qui tourne au drame.
07:49Un adolescent de 16 ans a perdu la vie en tentant d'échapper à un contrôle de la police municipale.
07:53Ce lundi soir, les premiers éléments.
07:56Avec Jean-Pierre Claus, il est membre du syndicat Alliance des Hauts-de-France.
07:59Donc à Tourcoing, un drame de plus, un refus d'obtempérer de plus.
08:03Un jeune homme sur un scooter de 16 ans est décédé.
08:09Il était accompagné de son camarade de 14 ans qui est, comme à lui, légèrement blessé.
08:14La police municipale a voulu procéder au contrôle du jeune homme qui a refusé de s'arrêter.
08:23Il a emprunté un sens interdit et il a pris tous les risques.
08:28Il est monté sur un trottoir et a percuté un poteau.
08:31Il n'était pas connu des services de police, comme à présent, d'après mes sources.
08:36D'après mes informations, mes collègues de la VAC, l'île, qui se sont rapprochés de Tourcoing
08:42afin de sécuriser les lieux et éventuellement d'éviter des débordements.
08:52Il y aurait au professionnel deux compagnies de CRS qui devraient arriver dans les heures à venir.
09:00Mais pour l'instant, le secteur est calme.
09:03Dix jours après la mort de Matisse, mortellement percutée par un chauffard à Lille,
09:08une marche blanche avait lieu ce lundi après-midi à Saint-Omer.
09:11Ils étaient nombreux à se réunir, les parents de Matisse, ses amis, mais aussi de simples habitants.
09:15Sur place, Régine Delfour et Florian Doré ont suivi cet hommage.
09:18Une marche blanche qui a duré un petit peu plus d'une heure,
09:22qui est partie du jardin public de Saint-Omer.
09:25Après, cette marche s'est donc élancée dans les rues de Saint-Omer.
09:29Il y avait énormément de monde.
09:31Cette marche blanche a été initiée par les amis de Matisse,
09:35qui portaient le t-shirt que Matisse avait imaginé, fabriqué,
09:40avec ses logos, des amis qui nous parlaient de Matisse comme un être fédérateur,
09:46un jeune homme extrêmement solaire.
09:49Certains nous disaient qu'il s'empêchait de pleurer,
09:52puisque Matisse n'aimerait pas cela.
09:54Il y avait aussi un message pour cette marche.
09:57Ce message, c'était de légiférer sur le gaz hilarant, le protoxyde d'azote.
10:03D'ailleurs, à l'issue de cette marche blanche,
10:04le père de Matisse a pris la parole.
10:07Il a dit qu'il ne voulait aucune récupération politique,
10:10mais il fallait que la justice soit ferme
10:12et qu'il n'ait plus jamais un autre Matisse désormais.
10:17C'est le deuil, un moment de deuil qui va s'installer
10:20avant ce combat de la part des parents de Matisse.
10:24Le chauffard, lui, qui était donc sous l'empire de protoxyde d'azote,
10:27a été mis en examen pour homicide routier aggravé,
10:30placé en détention provisoire dans l'attente de son procès.
10:33Le père de Matisse souhaite alerter sur ce gaz
10:36sur l'importance d'une sanction exemplaire aussi.
10:40Je ne pensais pas qu'il allait y avoir une mobilisation comme celle-là.
10:45Je veux vraiment que ça serve à quelque chose.
10:47Pour honorer Matisse, je veux que ça soit plus grave
10:50parce que l'individu risque 10 ans et ce n'est pas normal à l'heure actuelle.
10:54Je suis très bien entouré et on lui rend honneur.
10:58Il n'aurait pas voulu qu'on soit triste.
11:00Il n'aurait pas fait la marche avec nous en entier
11:02parce qu'il n'aimait pas marcher.
11:04Mais je vous remercie tous.
11:07C'est vraiment un combat de tout le monde, en fait, de tous.
11:10Que la France soit unie pour plus que ça arrive.
11:12Les débats sur l'examen du projet de loi de financement
11:16de la sécurité sociale pour 2026 doivent reprendre ce mercredi
11:20à l'Assemblée, une ultime journée et au programme
11:22l'étude de la suspension de la réforme des retraites.
11:25Sans attendre, Gabriel Attal avance ses pions.
11:27Selon le Parisien, le secrétaire général de Renaissance
11:30et chef de file des députés Ensemble pour la République
11:32a déposé un amendement avec l'objectif d'instaurer
11:35une part de capitalisation pour financer les retraites.
11:38Les précisions de François Tyskiewicz avec Chloé Tarka.
11:42La création d'un fonds de capitalisation pour financer les retraites,
11:46c'est l'idée du député Renaissance Gabriel Attal.
11:50Ainsi, chaque enfant né en France se verrait automatiquement
11:53ouvrir un compte individuel, alimenté par l'État
11:56à hauteur de 1000 euros, sans condition de revenu.
11:59Les familles pourraient ensuite verser sur ce compte
12:02des montants complémentaires jusqu'à la majorité de l'enfant,
12:05avec en prime un avantage fiscal à la clé.
12:08Les sommes mises sur ce compte seraient alors investies
12:10sur les marchés financiers par un organisme public
12:13ou semi-public, dans le but à terme de constituer
12:17un socle d'épargne-retraite pour la personne en question.
12:20Un projet également porté par la députée Priska Thévenot
12:23qui en a rappelé les grandes lignes.
12:25Avec Gabriel Attal, nous plaidons pour une refondation totale
12:28du système autour de trois axes.
12:29Plus juste, chaque euro cotisé ouvre les mêmes droits.
12:32Plus libre, stop au totem de l'âge légal.
12:34Une part de capitalisation pour tous.
12:36Une proposition bien accueillie par Nicolas Dupont-Aignan
12:39qui pose toutefois une condition.
12:42Pour pouvoir faire ça, c'est très bien.
12:44Mais il faut déjà assainir les finances du pays.
12:46Donc très bonne idée pour l'avenir.
12:48Selon le groupe Ensemble pour la République,
12:50cette mesure pourrait coûter 660 millions d'euros
12:53par an à l'État.
12:54Un investissement jugé risqué par Alexis Corbière.
12:58Le système par capitalisation est injuste
13:00et met en danger les retraites
13:02qui seront liés à des fonds d'investissement
13:03à l'avenir incertain et à la rentabilité risquée.
13:06Un système qui existe déjà à l'étranger.
13:09Le Royaume-Uni, la Suède ou le Canada
13:11combinent déjà depuis longtemps
13:13répartition et capitalisation.
13:16En plus des cérémonies du 11 novembre,
13:19l'agenda d'Emmanuel Macron était chargé.
13:21Ce lundi, il recevait le président
13:23de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
13:25A l'Elysée, avec une volonté claire,
13:27la réforme de cette autorité à l'Elysée,
13:29résumée de cette rencontre.
13:30Dunia Tengour avec Enzo Cordier.
13:33La visite de Mahmoud Abbas ici à l'Elysée
13:35aura été l'occasion pour le président de la République
13:38d'enteriner cette reconnaissance de l'État de Palestine
13:40qui a eu lieu à l'ONU en septembre dernier
13:42et pour lui de se présenter
13:44comme un acteur principal pour la paix.
13:46Lors de leur déclaration commune,
13:48le président français a évoqué la mise en place
13:50d'un comité conjoint
13:52pour la consolidation de l'État de Palestine
13:54et a réitéré l'importance de la solution à deux États.
13:58Le président Mahmoud Abbas a dit
13:59travailler à la finalisation d'une nouvelle constitution
14:02et s'est engagé à la tenue de nouvelles élections.
14:05La visite française se poursuit
14:07puisque ce mercredi,
14:08le président de l'autorité palestinienne
14:10doit rencontrer et déjeuner
14:12avec la présidente de l'Assemblée nationale,
14:15Yaël Braun-Pivet.
14:16Et dans une interview accordée à nos confrères du Figaro,
14:19Mahmoud Abbas l'affirme.
14:20Le Hamas n'aura aucun rôle dans la gouvernance de Gaza,
14:23une gouvernance propre pour l'État de Palestine
14:25et la stabilité dans la région.
14:26La violence des colons et l'accélération des projets de colonisation
14:32atteignent de nouveaux records
14:34qui menacent la stabilité de la Cisjordanie
14:36et constituent des violations du droit international.
14:40Comme je l'ai dit précédemment,
14:42les projets d'annexion partielle ou totale,
14:45légale ou de facto,
14:47constituent une ligne rouge
14:48à laquelle nous réagirons fortement
14:50avec nos partenaires européens
14:52s'ils étaient mis en oeuvre.
14:54A l'international, peut-on parler de crise à la BBC ?
14:57La chaîne britannique est critiquée
14:59pour avoir diffusé il y a un an
15:00un reportage et un montage manipulé
15:02du discours de Donald Trump.
15:04Deux des principaux dirigeants ont été contraints
15:06de démissionner.
15:06Mathieu Devez.
15:08C'était l'information à la une
15:10de tous les journaux britanniques ce lundi.
15:12La démission des principaux dirigeants de la BBC.
15:15La chaîne britannique est accusée
15:17d'avoir monté de manière trompeuse
15:18un documentaire consacré à Donald Trump.
15:20Diffusé l'an dernier, il assemble
15:23des extraits de discours
15:24qui n'ont pas été prononcés
15:25dans la même phrase.
15:26Ces passages datent du 6 janvier 2021,
15:29jour où des centaines de partisans
15:31de Donald Trump ont pris d'assaut
15:32le Capitole à Washington.
15:34A gauche, le montage réalisé par la BBC.
15:37A droite, la version originale.
15:40Nous allons marcher jusqu'au Capitole
15:43et je serai avec vous.
15:44Et nous nous battrons.
15:45Nous nous battrons comme des diables.
15:47Nous allons marcher vers le Capitole
15:52et nous allons encourager
15:55nos courageux sénateurs
15:57et représentants au Congrès.
16:00L'expression « se battre comme des diables »
16:02avait en réalité été prononcée
16:0350 minutes plus tard.
16:05Selon Donald Trump,
16:06ce montage renforce les accusations
16:08de ses opposants
16:09qui estiment que l'actuel président américain
16:11a poussé ses partisans
16:12à envahir le Capitole.
16:14La directrice de l'information de la BBC
16:16a dû démissionner.
16:17J'ai démissionné ce week-end
16:20parce que la responsabilité ultime
16:22m'incombe.
16:23Mais j'aimerais qu'une chose soit claire.
16:25La BBC n'est pas institutionnellement biaisée.
16:28C'est pour cela qu'elle fournit
16:29les informations les plus fiables au monde.
16:32L'affaire s'ajoute aux critiques
16:33déjà adressées à la BBC,
16:35notamment concernant sa couverture
16:37du conflit à Gaza le mois dernier.
16:39La chaîne a été sanctionnée
16:41pour avoir diffusé un reportage
16:42dont le narrateur principal,
16:44un enfant,
16:45était le fils
16:46d'un haut responsable
16:47du Hamas.
16:48Allez, tout de suite,
16:49c'est le journal des sports.
16:53On débute avec du football.
16:55L'équipe de France
16:56poursuit sa préparation
16:57avant d'affronter l'Ukraine
16:58au Parc des Princes.
17:00Ce jeudi,
17:00premier de leur groupe
17:00dans ses éliminatoires
17:01pour la prochaine Coupe du Monde.
17:03Les Bleus seraient qualifiés
17:04en cas de victoire
17:04d'Ayopamecano.
17:05Et Manu Connet
17:06se sont exprimés à ce sujet
17:07mardi en conférence de presse.
17:08Écoutez.
17:09On ne se voit pas déjà
17:10à la Coupe du Monde.
17:11On ne va pas prendre
17:15ce match à la légère.
17:16On va tout donner
17:17sur le terrain.
17:18On sait que c'est un match
17:20très très important pour nous.
17:21Et on va mettre
17:24tous les ingrédients
17:24pour pouvoir gagner ce match.
17:27C'est un rêve
17:27de pouvoir disputer
17:28une Coupe du Monde.
17:30Et surtout que là,
17:31on est à deux dents,
17:32on va dire.
17:33Je pense qu'il faut être serein.
17:35Il faut se donner les moyens.
17:36Il faut rester concentré,
17:37bien travailler aux entraînements.
17:38Il nous reste encore deux jours
17:40pour pouvoir attaquer
17:42jeudi à 100% le match
17:44et avoir cette place-là
17:46à la Coupe du Monde.
17:48On poursuit avec du rugby
17:49après la défaite
17:50face à l'Afrique du Sud.
17:51Le 15 de France
17:52a repris l'entraînement
17:53ce mardi suite
17:54de la tournée d'automne
17:55dès ce samedi
17:55face au Fidji.
17:56Présent en conférence
17:57de troisième ligne,
17:58Anthony Gelon
17:59et l'entraîneur de l'attaque
18:00Patrick Arletta
18:00ont affirmé
18:01qu'il était important
18:02pour l'équipe
18:03de surpasser la frustration
18:04et de se relancer
18:04dès cette prochaine rencontre.
18:07Après,
18:08on est des compétiteurs.
18:09On a la chance
18:09de pouvoir rebondir
18:10une semaine après,
18:11sept jours après
18:12sur un autre match.
18:14La défaite,
18:15c'est fait.
18:16On va apprendre
18:16de cette défaite
18:17encore.
18:18C'est comme ça,
18:19même si on aurait préféré gagner.
18:22Mais on a la chance
18:23de rejouer ce week-end
18:24contre les Fidji
18:25et ça sera encore
18:26un grand rendez-vous
18:27vu la prestation
18:28qu'ils ont fait
18:28ce week-end
18:29contre les Anglais.
18:29On est tous
18:30un peu déçus
18:31aujourd'hui.
18:34Voilà.
18:35Le moral,
18:36bien sûr.
18:36Le moral,
18:37mais aussi
18:37un peu de frustration.
18:40L'impression
18:41qu'on aurait pu
18:42et qu'on aurait dû,
18:43bien sûr,
18:44mais qu'on aurait pu
18:45surtout faire
18:45mieux que ça,
18:47sans doute.
18:48On termine
18:49avec de la Formule 1
18:50et le début de crise
18:51chez Ferrari.
18:52La Scuderia
18:52n'a pas inscrit
18:53le moindre point
18:54le week-end dernier
18:54lors du Grand Prix
18:55du Brésil
18:56et pointe désormais
18:56à la quatrième place
18:57du championnat constructeur
18:58des premières tensions
18:59apparaissent au sein
19:00de l'écurie italienne
19:01qui devra réagir
19:02dès le prochain Grand Prix.
19:03Ce sera à Las Vegas
19:03pour espérer
19:04rester dans la course
19:05au podium.
19:06Antoine Guillet.
19:07Pour la troisième fois
19:08cette saison,
19:09la Scuderia
19:09ne rapporte aucun point
19:10d'un Grand Prix.
19:12Le résultat
19:12d'une course cauchemar.
19:14Oscar Piastri
19:15qui va tenter
19:16de venir à l'intérieur.
19:17Oh non !
19:18Il vient de shooter
19:19la Mercedes
19:19et la Ferrari.
19:21Il est arrivé
19:22de vraiment loin
19:22Oscar Piastri.
19:24Il y a même
19:24un morceau de pneu,
19:25celui de Charles Leclerc
19:26qui est sur la piste.
19:28Leclerc contraint
19:29à l'abandon
19:29dès le sixième tour
19:30est imité par
19:31Lewis Hamilton,
19:32victime d'ennuis
19:33mécaniques
19:33après un accrochage.
19:36Mais au-delà
19:41de la manière,
19:42reste un bilan
19:42comptable
19:43bien en dessous
19:44des attentes.
19:45C'est décevant
19:45mais dans ces cas-là
19:46il faut essayer
19:48d'oublier
19:49le plus rapidement
19:49possible
19:49et regarder de l'avant
19:50mais c'est sûr
19:50que ce n'est pas facile
19:51surtout qu'on se bat
19:52pour la deuxième place
19:52ce championnat constructeur
19:53qui va être très compliqué
19:54à aller chercher.
19:55Ferrari glisse
19:56du deuxième
19:56au quatrième
19:57rang du classement
19:58constructeur
19:58à 36 points
19:59de Mercedes.
20:00Un résultat
20:01et des attitudes
20:02qui ne passent pas
20:03auprès de la direction
20:04italienne.
20:05Il est certainement
20:06important que nos pilotes
20:07se concentrent sur leur pilotage
20:08et qu'ils parlent moins.
20:09Il n'est pas impossible
20:10d'obtenir la deuxième place.
20:12C'est l'enseignement
20:12important qui vient aussi
20:14de Bahreïn.
20:14C'est la démonstration
20:15que lorsque Ferrari
20:16est une équipe
20:17nous gagnons.
20:18Nous avons besoin
20:18de pilotes
20:19qui ne pensent pas
20:20à eux-mêmes
20:20mais qui pensent
20:21à Ferrari.
20:22Le podium du classement
20:23constructeur
20:24l'eau de consolation
20:25maigre mais important
20:26pour une écurie
20:27en quête d'un titre
20:27depuis 2008.
20:29Séance de rattrapage
20:30dans deux semaines
20:30à Las Vegas.
20:34Voilà pour l'essentiel
20:35de l'actualité.
20:36Restez avec nous
20:37sur CNews.
20:37On continue de parler
20:38de ce 107e anniversaire
20:40de l'armistice de 1918
20:42présidé par Emmanuel Macron
20:44et qui a insisté
20:45sur l'importance
20:46de ce souvenir.
20:46On se retrouve
20:47dans quelques instants
20:48pour une nouvelle édition.
20:52Retrouvez tous nos programmes
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