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  • il y a 7 heures
Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée

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00:00Bonsoir à tous, bienvenue dans votre édition de la nuit.
00:04A la une de l'actualité, la remise en liberté de Nicolas Sarkozy.
00:08L'ancien chef de l'État a quitté ce lundi la prison de la santé.
00:12Placé sous contrôle judiciaire, il a pu regagner son domicile en attendant son procès en appel.
00:17Le droit a été appliqué, la vérité triomphera, a écrit sur le réseau social X Nicolas Sarkozy.
00:23Maëva Abbé, ex-compagne de Salah Abdeslam, a été doublement mise en examen et placée en détention provisoire.
00:30La première mise en examen concerne la remise d'une clé USB de propagande djihadiste en prison aux terroristes des attentats du 13 novembre.
00:37L'autre sur un projet d'attentat déjoué qu'elle avait élaboré sans la complicité de Salah Abdeslam.
00:44Vincent Jambrun condamne les violences de samedi dernier après le tournage d'un clip de rap à Rieu-le-Pape.
00:49Lors d'une visite sur place, le ministre de la Ville a jugé ces faits d'une gravité exceptionnelle.
00:54Les tirs de mortier avaient provoqué l'incendie de plusieurs appartements.
00:57Des policiers et des pompiers avaient été également pris à partie.
01:02Enfin, deux jours avant les commémorations du 13 novembre, Jacques Vendroux est revenu sur les attentats.
01:08Il y a dix ans, le journaliste de sport avait vécu ce drame de très près.
01:12Il commentait la rencontre France-Allemagne au moment des explosions aux abords du Stade de France.
01:16Après trois semaines de détention, Nicolas Sarkozy a été donc remis en liberté.
01:23L'ancien chef de l'État a pu regagner son domicile après avoir été placé sous contrôle judiciaire.
01:30Sur X, Nicolas Sarkozy qui clame toujours son innocence est félicité que le droit ait été appliqué.
01:36Avant d'ajouter que la vérité triomphera.
01:39Retour sur cette journée avec Elodie Huchard.
01:42Premier instant de liberté pour Nicolas Sarkozy qui a retrouvé son domicile parisien en milieu de journée.
01:48Ce lundi, il a évidemment retrouvé sa famille, ses enfants d'ailleurs.
01:51Dans un premier temps, un moment familial qui lui a été consacré.
01:55Et puis, on a vu aussi arriver ses avocats.
01:57Notamment, Maître Ingrin qui est arrivé et reparti sans dire un mot pour la presse.
02:01Et puis, Nicolas Sarkozy n'a pas souhaité s'exprimer devant la presse.
02:04Il n'a pas souhaité non plus qu'il y ait d'image de lui.
02:06En revanche, c'est sur les réseaux sociaux que l'ancien chef de l'État s'est exprimé.
02:10Il a d'abord remercié toutes les personnes qui l'ont soutenu.
02:13Disant ceci, vos milliers de témoignages m'ont bouleversé et donné la force de supporter cette épreuve.
02:18Il a aussi expliqué ce qui s'était passé ce matin.
02:21Le droit a été appliqué.
02:22Selon lui, dit-il, je vais maintenant préparer le procès en appel.
02:25Mon énergie n'est tendue que vers le seul but de prouver mon innocence.
02:28La vérité triomphera.
02:29C'est une évidence que la vie enseigne.
02:31On se rappelle que juste avant et pendant sa détention,
02:34les proches de Nicolas Sarkozy utilisaient beaucoup l'expression
02:36« de la fin de l'histoire n'est pas écrite ».
02:38Eh bien, il termine le communiqué par une phrase similaire.
02:40« La fin de l'histoire reste à écrire ».
02:43Une libération qui a suscité de nombreuses réactions,
02:46notamment au sein de la classe politique.
02:49Sur le réseau social X, Eric Ciotti a évoqué une juste décision
02:53et la joie de le voir retrouver la liberté.
02:55Le maire de Nice, Christian Estrosi, lui, a ressenti un immense soulagement
03:00pour son ami.
03:01Enfin, Manon Aubry, elle, a ironisé.
03:03Heureusement pour le Sarkozy de 2025 que le Sarkozy de 2017 n'ait pas gagné les élections.
03:09Il ne serait pas sorti de prison avec ce qu'il proposait,
03:12a écrit l'eurodéputé de la France insoumise.
03:17Et puis vous, qu'en pensez-vous ?
03:18Êtes-vous satisfait de la libération de Nicolas Sarkozy ?
03:21En attente de son procès en appel, on vous a posé la question.
03:24Voici quelques-unes de vos réponses.
03:27Ravi pour lui, sa famille.
03:28Il ne mérite pas.
03:29Parce qu'il n'y a déjà pas de choses contre lui qui ont été prouvées.
03:34Et on ne met pas un ancien président en prison,
03:36alors qu'il y en a plein d'autres qui devraient y être.
03:38Il y a eu un jugement.
03:40Et si effectivement, il est censé purger sa peine, comme tout le monde,
03:43pour moi, tout d'abord, avant d'être président de la République,
03:46c'est un citoyen comme tout le monde.
03:48Pour moi, il est censé purger sa peine comme tout le monde.
03:50Au vu des décisions de justice depuis quelques temps,
03:53je trouve que c'est assez juste, paradoxalement.
03:57Il ne représentait réellement pas un danger pour la société actuellement.
04:02Ancien président ou pas, la condamnation doit être la même,
04:06voire peut-être même, moi je trouve, encore plus dur
04:11avec un ancien président qui a donné tant de leçons sur tout un tas de choses.
04:16Et désormais libre, Nicolas Sarkozy a donc pu retrouver les siens à son domicile.
04:21Après trois semaines de détention, parfois difficiles, à la prison de la Santé,
04:25l'ancien chef de l'État qui était sous protection policière
04:28avait été menacé par d'autres détenus.
04:30Il avait néanmoins reçu le soutien de certains de ses proches,
04:33mais aussi de nombreux Français à travers des lettres.
04:36Le Point avec Sarah Fenzari.
04:3920 jours, c'est le temps qu'a passé Nicolas Sarkozy
04:42derrière les murs de la prison de la Santé.
04:4520 jours suspendus, loin, très loin de son quotidien d'ancien chef de l'État.
04:50Dès les premières heures, il est placé en quartier d'isolement,
04:53non pas par privilège, mais parce que les menaces sont réelles.
04:57On va vanger Kadhafi ! On est au courant de tout, Sarkozy !
05:02L'administration pénitentiaire renforce sa sécurité.
05:05Deux policiers armés sont installés dans la cellule voisine.
05:08Protection constante et surveillance continue.
05:1120 jours de détention.
05:13Et pourtant, le silence n'a pas gagné les murs de la prison.
05:17Il y a d'abord ses avocats, en visite presque quotidienne,
05:20pour parler stratégie, procédure,
05:22et surtout rappeler qu'une bataille continue, au-delà des barreaux.
05:27Et puis, il y a Gérald Darmanin.
05:29Il y a une semaine, le ministre de la Justice est venu lui parler,
05:33près d'une heure, dans ses murs,
05:35où l'image de l'ancien président s'efface,
05:38laissant place à l'homme, un homme entouré de ses fidèles.
05:4220 jours que l'ancien président français est soutenu par des lettres,
05:46des milliers, écrites par des anonymes, des militants, de vieux électeurs.
05:5120 jours donc, assez pour marquer une mémoire,
05:53assez pour inscrire un chapitre inédit
05:56qui restera dans l'histoire judiciaire française,
06:00dans l'histoire de Nicolas Sarkozy.
06:03Dans l'actualité également,
06:06Maéva Abbé, ex-compagne de Salah Abdeslam,
06:08a été doublement mise en examen
06:10et placée en détention provisoire.
06:12La première mise en examen concerne la remise
06:14d'une clé USB de propagande djihadiste
06:17en prison aux terroristes des attentats du 13 novembre.
06:20L'autre sur un projet d'attentat déjoué
06:23qu'elle avait élaboré sans la complicité de Salah Abdeslam.
06:26Dans ce dossier, deux personnes ont également été mises en examen.
06:30Une femme de 17 ans dans l'Hérault
06:32et un homme de 20 ans,
06:34son nouveau époux religieux
06:36qui se trouvait en Isère.
06:38Et puis après les violences de samedi dernier,
06:40Vincent Jambrun s'est lui rendu à Rieux-le-Pape.
06:43Le ministre de la Ville a qualifié les faits survenus
06:46lors du tournage d'un clip de rap d'une gravité exceptionnelle.
06:50Des tirs de mortier avaient provoqué l'incendie
06:52de plusieurs appartements.
06:54Je vous propose d'écouter Vincent Jambrun.
06:56Ceux qui ont mis le feu à ce bâtiment
06:58ne sont en rien les porte-parole de nos quartiers.
07:02En rien.
07:03Ils ont été les incendiaires
07:04et ils auraient pu, sans l'intervention des forces de l'ordre,
07:07être des meurtriers.
07:08Nous venons de dire aux 6 millions d'habitants
07:10qui vivent dans ces quartiers,
07:11nous venons de dire aux habitants de ces quartiers
07:13ici à Rieux-le-Pape.
07:14Nous sommes avec vous
07:15et nous allons replanter le drapeau de la République
07:17au cœur des quartiers.
07:19Nous allons replanter le drapeau tricolore
07:21et dire aux narcotrafiquants,
07:23dire aux voyous, dire aux délinquants
07:25vous n'êtes pas ici, chez vous.
07:27C'est la République qui est ici, chez elle.
07:28Ce sont des citoyens qui ont le droit de vivre en paix,
07:31de vivre sereinement, de vivre heureux.
07:34Les obsèques de Matisse ont eu lieu ce lundi
07:37dans l'intimité familiale.
07:39Le jeune homme de 19 ans avait été tué
07:41début novembre à Lille par un chauffard
07:43sous protoxyde d'azote.
07:45Notre journaliste Chloé Tarka a assisté
07:47à ces funérailles, l'occasion pour ses proches
07:49de lui rendre un dernier hommage.
07:51Certaines personnes illuminent les vies
07:53sans même le vouloir.
07:55C'était le cas de Matisse.
07:56Des mots qui sont revenus très souvent
07:58lors de ces funérailles.
07:59Un soleil, un passionné, un romantique.
08:02Autant de termes pour décrire ce jeune homme
08:04de 19 ans fauché en plein cœur de Lille
08:06le samedi 1er novembre.
08:08Cette nuit-là, Matisse traversait la rue
08:11avec une amie lorsqu'il a été percuté
08:13de plein fouet.
08:14L'automobiliste, un homme de 31 ans,
08:16était engagé dans une course-poursuite
08:18avec les forces de l'ordre.
08:20Suite à un refus d'obtempérer,
08:21il a été interpellé quelques minutes plus tard.
08:24Selon le procureur de Lille,
08:25l'enquête a révélé qu'il avait consommé
08:28du protoxyde d'azote, un gaz hilarant.
08:31Un produit dont la vente est encadrée
08:33par la loi mais dont la consommation
08:34n'est pourtant pas interdite.
08:37Et c'est bien ce vide juridique
08:39qui révolte la famille.
08:40Les parents de Matisse, Laetitia et Emmanuel
08:42réclament aujourd'hui vérité, rapidité
08:46et sévérité dans cette affaire.
08:48Avec beaucoup d'émotion,
08:49le père de Matisse a pris la parole
08:51pendant les obsèques.
08:52Je me battrai pour toi, ce sont ses mots.
08:55Une marche blanche est prévue ce mardi
08:57à 14h à Saint-Omer
08:59pour continuer à rendre hommage à Matisse.
09:01Et puis à Lorient, un homme qui menaçait
09:04des policiers avec un couteau
09:06a été tué ce lundi.
09:07L'individu de 39 ans avait foncé
09:10sur les forces de l'ordre
09:11en dépit de plusieurs sommations.
09:13Sur X, le ministre de l'Intérieur,
09:15Laurent Nunez, a salué le courage
09:16des policiers et leur réactivité
09:18face au danger.
09:19Les détails avec Marie-Victoire Dieudonné.
09:23L'individu sort un couteau
09:24et menace les policiers.
09:26Ces derniers, après des sommations,
09:28tirent et le blessent mortellement.
09:30A l'origine, les effectifs étaient
09:32étant surveillants sur un point de deal.
09:34Mais un individu au comportement suspect
09:36va rentrer dans le périmètre de sécurité.
09:39Son visage est dissimulé par un cache-coup
09:42et par une capuche.
09:44Les policiers vont donc décider de le suivre
09:45pour s'enquérir de son identité.
09:48C'est à ce moment-là que l'homme
09:49de 39 ans, de nationalité soudanaise,
09:52va brandir son arme.
09:54Les policiers effectuent alors
09:55des tirs de riposte.
09:57Et l'homme décèdera malgré le massage cardiaque prodigué.
10:00D'après une source policière,
10:02l'individu était défavorablement connu
10:05des services de police.
10:06Quelques jours auparavant,
10:07il avait été interpellé devant un établissement scolaire
10:10criant à la Ouagbar une arme à la main.
10:12A Montluçon, l'explosion d'un colis piégé
10:17a fait un blessé dans une agence
10:18d'une compagnie d'assurance.
10:20Ni les auteurs, ni les motivations
10:22sont connues pour le moment.
10:23La victime, un homme de 34 ans,
10:25récupérait le courrier quand l'engin explosif
10:27s'est déclenché.
10:28Touché au bras et au thorax,
10:30son pronostic vital n'est pas engagé.
10:34Et puis deux jours avant les commémorations
10:36des attentats du 13 novembre,
10:37Jacques Vendroux s'est livré devant nos caméras.
10:41Il y a dix ans, le journaliste de sport
10:43a vécu ce drame de très près.
10:45Il commentait la rencontre France-Allemagne
10:47au Stade de France
10:48quand des explosions ont eu lieu sur le parvis.
10:51Des propos recueillis par Mathieu Devez
10:54et Laurent Scellarié.
10:56Jacques Vendroux retrouve la tribune de presse
10:59où il commentait le match dix ans plus tôt.
11:01La place de commentateur, on était là.
11:04C'est ici ?
11:05Le journaliste replonge dans cette nuit d'effroi.
11:0821h16, la première détonation.
11:11Honnêtement, on ne sait pas ce que c'est.
11:16Et celui qui nous met sur la route,
11:18malheureusement, c'est Claude Puel,
11:20ancien joueur de Monaco,
11:22quelqu'un qui connaît bien le football.
11:24Et il me fait, non Jacques, non Jacques.
11:26C'est un vrai bruit d'une bombe, en tous les cas,
11:28de quelque chose qui peut faire du mal.
11:31En moins de 40 minutes,
11:32trois terroristes se font exploser
11:34autour du Stade de France.
11:35Décision est prise de ne pas interrompre le match.
11:39Jacques Vendroux continue de le commenter.
11:41On sait que le Bataclan débute,
11:44entre guillemets,
11:45au moment où on commente la deuxième mi-temps
11:47de ce France-Allemagne.
11:49En fait, nous, on ne voulait plus commenter.
11:51En fait, on ne voulait plus continuer
11:53de faire vivre ce drame.
11:55On dit qu'il faut qu'on se débarrasse
11:57tout de suite de ce match
11:58le plus vite possible.
12:00Mais il fallait que le match se termine.
12:01Peu après le coup de sifflet final,
12:03les spectateurs sont informés
12:04qu'ils doivent rester dans le Stade
12:06pour des raisons de sécurité.
12:08Les organisateurs, le Stade de France
12:10et la FED, avec Noël Legrette,
12:13décident, c'est très important,
12:15de faire descendre le public
12:17qui est dans les tribunes sur la pelouse.
12:21Là, on y est complet.
12:23Là, on sait que c'est le drame absolu.
12:24C'est là où vous vous apercevez
12:26que vous êtes en train de vivre
12:28l'un des drames de votre carrière.
12:32Sa fille, alors âgée de 30 ans,
12:34est dans les tribunes.
12:35Je n'ai pas de nouvelles d'elle.
12:37Je commente et je regarde mon portable.
12:40Je n'ai pas de nouvelles d'elle.
12:41Et j'ai de nouvelles d'elle à 2h du matin.
12:43Jacques Vendroux quitte le Stade de France,
12:45rejoint sa rédaction,
12:47où il restera jusqu'au petit matin.
12:49J'attends qu'une église ouvre
12:51et je rentre dans une église.
12:54Est-ce que vous ne le faites jamais ?
12:57Est-ce que je ne le fais jamais ?
12:58Je ne l'ai jamais fait de ma vie.
13:00Jamais, jamais, jamais.
13:03J'en ai eu besoin.
13:04Je suis resté une heure dans l'église.
13:08J'ai mis des sièges
13:09pour tous les gens que j'aimais.
13:11Si vous voulez nous avoir.
13:13Et je suis reparti.
13:14Et j'étais apaisé.
13:18Aujourd'hui, il veut raconter cette soirée
13:20et transmettre son vécu.
13:23Aux jeunes, aux gens qui aiment le football,
13:26qui viennent au Stade de France,
13:27qu'il s'est passé un drame incroyable ici.
13:31Il faut le faire savoir.
13:32C'est très important pour eux,
13:34pour se construire.
13:35Les attentats autour du Stade de France
13:37ont fait un mort
13:38et 63 blessés.
13:41C'est une rencontre historique.
13:43Donald Trump a reçu à la Maison-Blanche
13:45le président syrien.
13:47Ahmad Al-Sharey est arrivé discrètement
13:49par une entrée latérale,
13:51sans le protocole habituel
13:52pour un chef d'État étranger.
13:54Pour rappel, l'ancien djihadiste
13:56qui avait également rencontré Emmanuel Macron
13:58en mai dernier à l'Élysée
13:59a été placé pendant plusieurs années
14:01sur la liste noire du FBI.
14:04Et puis à l'international,
14:05toujours, Lula a interpellé
14:07les pays présents
14:08à la 30e conférence sur le climat
14:10en Amazonie.
14:11Le président brésilien a appelé
14:13à infliger une défaite
14:14aux négationnistes.
14:15Pour lui, il y a urgence à agir.
14:18Le temps est compté.
14:19On l'écoute.
14:21Le changement climatique
14:22n'est plus une menace pour l'avenir.
14:25C'est une tragédie du présent.
14:28L'ouragan Melissa
14:30qui a frappé les Caraïbes
14:32et la tornade
14:33qui a frappé l'État du Paraná
14:34dans le sud du Brésil
14:35ont fait des victimes.
14:36et laissé derrière eux
14:38une traînée de destruction.
14:41De sécheresse
14:42et des incendies de forêt
14:43en Afrique et en Europe,
14:45aux inondations
14:46en Amérique du Sud
14:46et en Asie du Sud-Est,
14:49la hausse des températures mondiales
14:51répand la douleur
14:51et la souffrance.
14:53En particulier
14:54parmi les populations
14:55les plus vulnérables.
14:56Et puis mauvaise nouvelle
14:59pour vous,
15:00mesdames,
15:00depuis hier matin,
15:0211h31,
15:03vous travaillez gratuitement
15:05selon la lettre féministe
15:06Les Glorieuses.
15:08Cela est dû en raison
15:08des inégalités salariales
15:10avec les hommes.
15:11En moyenne,
15:12vous gagnez 14,2%
15:14de moins
15:15à temps de travail identique.
15:17La transparence salariale
15:18obligatoire
15:19dès 2026
15:20pourrait permettre
15:21de réduire
15:21ces écarts de salaire.
15:23Et puis l'enseignement privé
15:26pourrait être victime
15:27d'une coupe budgétaire.
15:28Le Conseil d'analyse économique
15:30propose de diminuer
15:31la part du financement public
15:33dans le but
15:33de stabiliser la dette.
15:36Objectif,
15:36économiser 3,5 milliards d'euros
15:39d'ici à 2030.
15:40Les détails
15:41avec Nicolas Roger.
15:43L'enseignement privé
15:44est visé
15:44par une coupe budgétaire.
15:46Le Conseil d'analyse économique
15:48composé
15:49d'économistes universitaires
15:50et de chercheurs
15:51reconnus
15:52par la profession
15:52propose au gouvernement
15:54de diminuer
15:55la part de financement public
15:56de l'enseignement privé.
15:58La faisant passer ainsi
15:59de 75 à 50%.
16:01La DEPP
16:03qui analyse
16:04et évalue
16:04le système éducatif
16:05pour le ministère
16:06de l'éducation nationale
16:07évaluait en 2022
16:09à 13 milliards d'euros
16:10le coût
16:11des établissements privés
16:12sous contrat.
16:13Parmi ces 13 milliards d'euros,
16:14près de 10 milliards
16:15sont rattachés
16:16à des financements publics.
16:18En baissant
16:18cette part de subvention
16:20de 25%,
16:21le Conseil d'analyse économique
16:23espère économiser
16:243,5 milliards d'euros
16:26d'ici 2030.
16:27Mais la réduction
16:28de ces financements
16:29toucherait directement
16:30l'enseignement catholique
16:31qui représente
16:3396%
16:34des établissements
16:35privés
16:35sous contrat.
16:36Pour compenser
16:37une telle baisse
16:37de subvention,
16:38l'enseignement catholique
16:39se verrait alors obligé
16:41de trouver
16:42à son tour
16:42des économies.
16:44Selon le secrétariat
16:45de l'enseignement catholique,
16:47cela pourrait entraîner
16:48le licenciement
16:48de 60 000 professeurs
16:50ainsi qu'une hausse
16:51de 2 000 euros par an
16:52des frais de scolarité.
16:55Allez, on passe tout de suite
16:56au JT Sport.
17:00Et on commence ce journal
17:01avec du football.
17:03Pour la dernière fois
17:03de l'année,
17:04l'équipe de France
17:04s'est rendue
17:06ce lundi
17:07à Clairefontaine.
17:08Les Bleus affronteront
17:09l'Ukraine jeudi
17:10et l'Azerbaïdjan dimanche
17:12pour les deux derniers matchs
17:13des éliminatoires
17:14de la Coupe du Monde.
17:15L'objectif est clair
17:16pour les hommes
17:17de Didier Deschamps
17:17assurer la première place
17:19et valider
17:20leur qualification.
17:21Antoine Guillet.
17:24Dernier rassemblement
17:25de l'année
17:25ce lundi
17:26à Clairefontaine
17:27avec un objectif
17:28valider son billet
17:29pour la Coupe du Monde
17:302026.
17:31Didier Deschamps
17:32devra faire
17:32sans Ousmane Dembele,
17:34Randal Kolomoany,
17:35Aurelien Chouameni
17:35et Adrien Rabiot
17:36blessés.
17:37Marcus Turam
17:38vient lui seulement
17:39de reprendre
17:39la compétition
17:40avec l'Inter.
17:41Absent lors
17:42du dernier rassemblement,
17:43Florian Thauvin,
17:44Warren Zairey Rémery,
17:45Ryan Cherki
17:46et N'Golo Kanté
17:46font leur retour
17:47dans le groupe.
17:49Pour conclure
17:50ces éliminatoires,
17:51les Bleus
17:51accueillent l'Ukraine
17:52jeudi au Parc des Princes
17:53avant de se déplacer
17:54dimanche à Bakou
17:55pour affronter l'Azerbaïdjan.
17:57Une victoire
17:57contre les Ukrainiens
17:58suffirait
17:59à s'assurer
17:59une qualification
18:00et donc
18:01une place
18:02dans le chapeau 1.
18:02Et puis un mot de tennis
18:05maintenant
18:06entrée en liste réussie
18:07pour Yannick Siner
18:08au Masters
18:08de fin d'année
18:09chez lui
18:10à Turin.
18:11Le champion à titre
18:11a pris le dessus
18:12sur le Canadien
18:13Félix
18:14Auger-Aliassime.
18:15Victoire en 2-7
18:16pour l'Italien
18:177-5-6-1
18:19avec ce succès.
18:20Le numéro 2 mondial
18:21rejoint l'Allemand
18:22Alexander Zverev
18:23en tête de sa poule.
18:25Et puis
18:25dans l'autre groupe
18:26de ce Masters,
18:27Taylor-Fritz
18:28débute lui aussi
18:29par une victoire.
18:29finaliste l'année dernière,
18:31l'Américain
18:31s'est imposé
18:32face à l'Italien
18:33Lorenzo Mousseti
18:35en 2-7
18:356-3-6-4.
18:38Victoire importante
18:39en tout cas
18:39pour le numéro 6 mondial
18:41qui va affronter
18:42au prochain tour
18:42ça va être un peu
18:43plus compliqué
18:43l'Espagnol
18:45Carlos Alcaraz.
18:46Et puis on termine
18:47avec un mot
18:48de Formule 1
18:49grâce à sa victoire
18:50ce dimanche
18:50lors du Grand Prix
18:51du Brésil.
18:53Lando Norris
18:53accroît son avantage
18:55au championnat du monde.
18:56Le Britannique
18:57compte désormais
18:5824 points d'avance
18:59sur son coéquipier
19:00Oscar Piastri
19:01et 49 sur Max Verstappen.
19:04Le suspense reste entier
19:05alors qu'il ne reste
19:06que 3 Grand Prix
19:07avant la fin de la saison.
19:09Analyse en tout cas
19:09de ce sprint final
19:10avec Margot Laffitte
19:12et Franck Montagny.
19:14Encore 3 Grand Prix
19:15à disputer.
19:16Lando Norris
19:17qui a conforté
19:18son avance au championnat.
19:19Désormais 24 points d'avance
19:20sur son équipier
19:21Oscar Piastri.
19:23Derrière on retrouve encore
19:24Max Verstappen.
19:24Finalement sur les 3 derniers rendez-vous
19:26qui est le rival
19:27le principal opposant
19:28à Lando Norris ?
19:29Ça devient difficile à voir.
19:30J'ai l'impression
19:31que le plus rapide
19:31le plus véloce
19:32le plus agressif
19:33en ce moment
19:33c'est quand même
19:34Max Verstappen
19:34parce que même
19:35quand ça ne va pas
19:36quand il part des stands
19:36il arrive à monter
19:37sur le podium
19:37donc ça reste quelque chose
19:38d'exceptionnel.
19:39Celui qui est le plus serein
19:40je vous dirais
19:41que c'est Lando Norris
19:42pas d'erreur
19:42ça se déroule
19:43il est dans son coin
19:44il fait son travail
19:45pas de soucis
19:45Piastri
19:46je commence à avoir
19:46un petit peu des doutes
19:47parce que j'ai l'impression
19:48qu'il s'est complètement effondré
19:49sur une course
19:50et perdre 25 points
19:51sur une seule course
19:52c'est quand même énorme
19:53donc je dirais
19:55que la course au titre
19:56elle commence à prendre
19:57un petit peu du plomb dans l'aile
19:58avantage Norris
19:59Verstappen va nous surprendre
20:00encore sur quelques courses.
20:01En tout cas rendez-vous
20:02dans deux semaines
20:03pour la dernière ligne droite
20:04ce seront 3 Grands Prix consécutifs
20:06qui s'enchaîneront
20:06mais ça sera à Las Vegas
20:07dans deux semaines.
20:08Allez restez avec nous
20:12dans quelques minutes
20:13on revient pour une
20:14toute nouvelle édition
20:15on évoquera bien sûr
20:16l'actualité majeure
20:18de cette journée
20:19la libération
20:20de Nicolas Sarkozy
20:21remise en liberté
20:23placée sous contrôle judiciaire
20:25l'ancien chef de l'Etat
20:26a pu regagner son domicile
20:28retrouver ses proches
20:29sur le réseau social
20:30X Nicolas Sarkozy
20:32a s'est félicité
20:33que le droit ait été appliqué
20:35avant d'ajouter bien sûr
20:36que la vérité triomphera.
20:38Restez avec nous
20:39on revient dans une minute
20:39à tout de suite.
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