00:00Le droit a été appliqué. L'ancien chef de l'État fait savoir sur X qu'il va maintenant préparer son procès en appel prévu en mars.
00:07Pour lui, la vérité triomphera. Cette libération, en tout cas de Nicolas Sarkozy, a été saluée parmi la classe politique au sein de sa famille des Républicains.
00:15Mais pas seulement. Le Rassemblement National et plusieurs élus proches de la droite ont témoigné leur soutien et aussi leur amitié à l'ancien chef de l'État, Alexandre Chauveau.
00:22Après la libération de Nicolas Sarkozy, c'est le soulagement qui domine à droite. Laurent Wauquiez salue une décision juste et digne.
00:29Bruno Rotaillot reconnaît lui son courage, tout comme Agnès Évrenne, porte-parole des Républicains.
00:34Il a fait preuve d'une très très grande dignité. Ça démontre encore une fois qu'il a été un grand chef d'État.
00:40Et je suis vraiment très soulagée qu'il puisse avoir un peu de répit dans cette épreuve personnelle difficile.
00:46La décision de la Cour d'appel est saluée à droite. Même si d'horizon au Rassemblement National, plusieurs élus ne comprennent toujours pas ces trois semaines d'incarcération.
00:53L'eurodéputé RN Mathieu Vallée.
00:55C'est un sketch, l'histoire du jugement qui avait été rendu avec une exécution provisaire pour Nicolas Sarkozy.
01:00On voit que trois semaines après, la Cour d'appel contredit la juridiction de première instance.
01:05Elle explique qu'il n'y a pas de concertation possible, qu'il n'y a pas de pression sur les témoins possibles, qu'il n'y a évidemment pas d'évasion possible de Nicolas Sarkozy.
01:11Et donc, je pense qu'incarcérait Nicolas Sarkozy, c'était une mesure d'humiliation, puisque la Cour, en première instance, savait très bien le tribunal qu'il allait ressortir.
01:19Et les messages de soutien se sont multipliés, de Christian Estrosi à Éric Ciotti, vive la liberté, a tweeté de son côté Louis Sarkozy, le fils de l'ancien chef de l'État.
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