Niakhtou National : Assane Diouf défie le préfet de Dakar

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Transcript

00:00Assalamu alaikum

00:03Baifal, j'ai écouté cette question

00:06Mais on a dit que

00:08ce qui nous a fait

00:11c'est l'égard

00:13ce qui nous a fait

00:15c'est que nous tous les sommes

00:19c'est que

00:20c'est que

00:21c'est que

00:22c'est que

00:23c'est que

00:24c'est que

00:25c'est que

00:26c'est que

00:27c'est que

00:29c'est que

00:31c'est que

00:32c'est que

00:33on a fait un extra-mitting

00:34ou un extra-mitting

00:35si nous vivrons

00:36qu'on a fait

00:38le 15 octobre

00:40et on a dit que

00:41on a fait une manifestation

00:42à Guy Djawai

00:43on a fait un extra-mitting

00:44aujourd'hui

00:45et on a fait

00:46une manifestation

00:47de la présence

00:48de Guy Djawai

00:49et on a demandé

00:50l'autorisation

00:51dès le jour

00:52de faire une manifestation

00:53car je l'ai eu

00:54des preuves

00:55car je suis

00:56Le préfet ne l'a pas autorisé.

00:59Et ce qu'on a cassé, pourquoi ne l'a pas autorisé?

01:02Mais on va aller au jubilé.

01:06Au jubilé.

01:07On n'a pas eu ce qu'on aime et ce qu'on aime.

01:12Mais ce qu'on a dans le Sénégal, c'est qu'on ne l'a pas dit.

01:17On n'a pas dit que c'est parti.

01:20C'est parti, on est un Sénégal.

01:23Je ne l'ai pas dit que les gens ne l'ont pas.

01:28Ma maison est une personne qui est une personne.

01:32Je n'ai pas eu ce qu'elle n'a pas.

01:34Je suis un Sénégal.

01:36Si vous l'avez dit que nous aurions autorisé,

01:41je dois aller où, où je vais?

01:43Je vais aller au cournice et je vais aller en train.

01:46Ou je vais aller à l'autoroute et je vais aller en train de prendre.

01:50Est-ce que je n'ai pas eu une rume de lui?

01:53Monsieur le Préfet, Monsieur le Président de la République, Basirou Diakher Diomaï Faye.

01:59Comme je l'ai dit chaque jour, je l'ai dit aujourd'hui.

02:03Il a eu le président de la République,

02:06un homme ne l'a pas fait.

02:08Wallahi billahi, un homme ne l'a pas fait.

02:10Et je te souviens,

02:12que moi et toi,

02:14nous sommes venus à la centrale, dans le Caroy.

02:17Il a eu ce qu'on a dit, au Sénégal.

02:19Et quand je l'ai dit aujourd'hui,

02:22toi, ma mère de Sénégal,

02:24tu seras le Président de la République du Sénégal,

02:27quand tu débutes Gouddi, tu es un grand homme ne l'a pas fait.

02:31C'est ce qui te montre que Dieu t'aidera avec les Sénégalais.

02:34Parce que c'est un homme qui a dit aujourd'hui,

02:37que par force,

02:38tu as dit qu'il est venu à la centrale.

02:42Moi, nous sommes 72 heures dans la rue, parce que c'est quoi?

02:45C'est ce qu'on a dit, 10 jours avant les élections,

02:49moi, je suis venu à vous dire

02:51qu'il est le premier petit mec.

02:54Ce n'est pas lui-même, il n'est pas lui-même.

02:57Il a fait que Hassan Diouf, 80 de degrés,

02:59parce que ce que j'ai dit, c'est lui-même.

03:01Président, il n'y a pas une fortune bête.

03:04Président, nous le tannons.

03:06Président, il a une capacité de meneter un homme.

03:10Mais comme nous, au Sénégal,

03:12ils ont un bruit.

03:14Le bruit, c'est ce qui lui a dit, c'est lui-même.

03:18Je ne comprends pas ce que je suis présidente,

03:20je ne comprends pas ce que je dis.

03:22Je ne comprends pas ce que je dis.

03:24Et je comprends ce qui est le fils d'Adam à Koussouf,

03:28il peut entendre ce qu'on dit

03:31et ce qu'on a fait et ce qu'on a fait.

03:34Nous, ce qu'on a fait,

03:35quand on va aller au terrain,

03:37il y a deux talis qui se séparaient avec Veden.

03:41Nous sommes là où il est là.

03:42Et par force, le préfet, je te dis,

03:45on va aller au terrain.

03:47Il n'y a pas de nous.

03:49Parce que nos droits constitutionnels,

03:51je vais te dire,

03:53nos droits constitutionnels,

03:54ce qu'on a fait,

03:56c'est qu'on est venu et qu'on a fait le temps.

03:58Ce que tu dois faire, c'est qu'on est encadré.

04:00C'est-à-dire,

04:02les gens ne sont pas proposes pour les proposer

04:04ou pour aller en amitié ou pour aller en plein palais.

04:09Nous, ici, nous sommes restés,

04:10que les Sénégalais,

04:11il ne doit pas aller là-bas où on va aller,

04:14par force,

04:15pour que personne ne soit en train.

04:15C'est ce qu'on l'a dit.

04:18Avant de venir ici, le Président lui a dit, j'ai vu l'affaire sur les réseaux sociaux.

04:23Et le réseau qui a vu, c'est lui.

04:26On n'a pas de manipulations.

04:29Maintenant, c'est ce qu'on a dit sur les affaires.

04:32Vous voyez le Sénégal?

04:34Nous sommes en même temps.

04:36C'est le président de Talessila.

04:41C'est le président de Talessila.

04:43Nous sommes tous les membres d'une femme de l'Adam.

04:47Et nous l'embrouillons.

04:49En fait, on le reviendrait.

04:52Même si quelqu'un avait la coût d'un homme qui avait raison.

04:56Nous l'avons attirer.

04:58C'est ce qui est nous.

05:00C'est ce qu'on l'a dit.

05:03Nous continuons à attirer.

05:05Nous avons attiré à ce président.

05:09Nous avons attiré à ce préfet.

05:11Si on a une taxe, on prend le salaire.

05:15C'est l'heure.

05:17Et on a deux de nous.

05:18Ce qu'il y a dans le pays doit être élevé.

05:21Ici, il y a un peu d'accord.

05:24Nous, tous, on l'a fait.

05:26Il n'y a pas de mécaniciens, il n'y a pas de marchands ambulants, il n'y a pas de meniser.

05:29Il n'y a pas de taximan, il n'y a pas de transporteurs, il n'y a pas de commerçants, il n'y a pas de personne.

05:32Vous tous les avez dit.

05:34Vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu.

05:39C'est ce qu'il y a, c'est ce qu'il y a, c'est ce qu'il y a.

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