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00:57Qu'est-ce qu'on appelle la mairie de Dakar ?
01:02Je pense que c'est une collectivité qui fonctionne comme stipule le Code Général des Collectivités Territoriales
01:18qui se réunit régulièrement mais aussi qui essaie de satisfaire tant soit peu les besoins des populations de Dakar
01:25Je pense que le plus important est de les deux qui viennent pour les deux séchants ordinaires
01:30où 8 points sont inscrits à l'ordre du juré et lui a voté en fait
01:34D'accord, nous devons dire que l'attrape c'est qu'ils sont en train de parler d'André Lep
01:40de la spéculation et qu'ils veulent continuer d'apprendre les systèmes de Dakar
01:45Non, j'ai rectifié, il n'y a pas d'accord pour nous parler de cela.
01:48Moi, j'ai dit le journaliste, il faut aller vers l'information.
01:53En fait, ce dont il est chagé, c'est qu'on a oublié la session ordinaire le mercredi passé.
01:59Quand on l'a oublié le mercredi, donc vendredi nous allions à l'intercommission,
02:04on allait à l'altinée, c'était la session de clôture.
02:07Donc, il n'a jamais été question d'une rencontre que nous avions parlé.
02:12Voilà. Déjà, on a dit que nous devons parler de la mairie de Dakar,
02:16parce qu'on peut parler de toutes ces situations.
02:21Pourquoi vous avez-vous décrit la situation de cette situation ?
02:28Comme je le disais, la ville fonctionne normalement sous l'égide de Mme Le Maire Gaudemey,
02:33qui depuis 6 mois préside au dessiné de la ville de Dakar.
02:37Maintenant, il y a une situation qui est là.
02:39Il y a certains qui pensent qu'il faut aller vers une élection pour remplacer le maire Barthélémy.
02:46Mais je considère que ces personnes-là, ils vont très vite, ils dansent plus vite que la musique.
02:50Je rappelle que le maire Barthélémy, qui a déclaré démissionnaire par le préfet de Dakar,
02:54sur saison d'un militant de passé, a fait une cour suprême pour contester la décision préférée.
03:02Aujourd'hui, cette décision, tant que la cour suprême réagisse, il sera presque impossible d'organiser une élection.
03:08Parce que, aujourd'hui, si on s'est organisé une élection sans le maire Barthélémy,
03:13et que la cour suprême casse la décision préférée,
03:16ils sont dans une situation où ils sont dans la situation de Dakar.
03:18Donc, c'est pour cela que l'urgence est que la cour suprême prononcez-vous.
03:22Parce qu'elle n'a pas entendu la décision préférée,
03:24ou qu'elle n'a pas entendu la décision préférée.
03:25Ou qu'elle n'a pas entendu la décision illégale.
03:28Donc, en attendant, le code général tel qu'il est stipulé,
03:31il y a la première adjointe de Mme le maire qui a assuré la suppléance,
03:35qui a dit qu'elle a été députée le temps qu'elle a été vider.
03:39D'accord, il y a beaucoup de bruit,
03:41il y a beaucoup de bruit,
03:42il y a beaucoup de bruit,
03:43ce qui vous parlez,
03:44c'est qu'ils ont dit,
03:45c'est qu'ils ont dit,
03:46qu'ils ont dit,
03:47qu'ils ont dit,
03:48qu'ils ont dit,
03:49pourquoi ils ont dit,
03:50qu'ils ont dit,
03:51qu'ils ont dit,
03:53à la place d'Oussman Soukou,
03:55pourquoi pas,
03:56pour nous démissionner,
03:57vous êtes venus au maire de Dakar.
03:59Comment vous avez dit ?
04:00Oui, je pense que,
04:01dès que vous êtes venus,
04:02on a entendu,
04:03il y a des assisements,
04:04il y a des candidats pour qu'on puisse faire la maire de Dakar.
04:07Mais je pense que,
04:08tout ce qui est important,
04:09c'est que,
04:10le plus urgent,
04:11c'est que,
04:12ce qui est le recours,
04:14c'est qu'on va vider,
04:16c'est qu'on va savoir qui a été vrai,
04:17qui a été fait,
04:18qui a été fait.
04:19En attendant,
04:20il y a une équipe municipale qui est là,
04:21et la même équipe qui avait gagné les élections,
04:23qui est là,
04:24de continuer de faire le travail,
04:26de continuer de satisfaire les Dakar.
04:27Tout ce qui est important,
04:28c'est en menaçant les élus,
04:30pour qu'ils puissent arriver à la tête de la ville,
04:33je vais dire tout de suite,
04:34que je vais changer de méthode,
04:35parce que c'est drôle.
04:36Parce qu'en parlant de délégation spéciale,
04:38c'est parce que,
04:41il faut faire preuve de mauvaise foi,
04:42ou faire preuve de méconnaissance totale,
04:44du fonctionnement des collectivités territoriales,
04:47pour faire planer,
04:48la menace d'une délégation spéciale,
04:50sur la tête des élus.
04:51Donc,
04:52aujourd'hui,
04:53c'est ce qu'on entend,
04:54c'est qu'on doit prendre leurs responsabilités,
04:56et qu'on sait qu'on doit prendre leurs responsabilités.
04:58Alors, vous les connaissez de votre manteau,
05:01vous avez pu le faire en tête de votre manteau de Khalifa Babacat,
05:03qui était son délégation spéciale.
05:05Vous avez pu le faire en faire en tête de votre vie,
05:07ou est-ce que vous avez pu le faire en tête de votre vie ?
05:12Si vous avez pu le faire en tête de votre vie,
05:13vous avez pu le faire en tête de votre vie ?
05:15Oui, qu'est-ce que nous avons pu le faire en tête ?
05:16Oui, peut-être qu'on a pu le faire.
05:18Je rappelle que Khalifa Sall a révoqué par un décret présidentiel.
05:21Nous avons fait un décret d'attention,
05:23que nous avons assuré un intérim.
05:25Quelques mois ou plus après,
05:27Nous devons faire une élection, malgré le pouvoir de l'époque avait un candidat, mais nous avons gagné le cas de Khalifa Salle en confirmant son amour comme maire de Dakar.
05:36Aujourd'hui, les situations semblent être similaires.
05:40Aujourd'hui, M. le maire Bataille m'a dit que Mme le maire était assuré l'intérim.
05:44Donc le maire Bataille, nous devons faire une situation, nous devons faire une élection de la situation pour nous.
05:57D'accord. Pourquoi est-ce que Mme la maire est là pour la maire de Dakar?
06:02Mais Mme la maire Bataille a dit que le maire est assuré l'intérim.
06:07Nous sommes tous autour d'elle, unis comme un seul homme.
06:11Parce qu'elle a une femme, elle connaît son travail.
06:14Je rappelle que Mme la maire est presque à son troisième mandat.
06:18Depuis Khalifa, elle est conseillère municipal.
06:20Donc, elle est d'abord conseillère municipal, adjointe mère.
06:23Aujourd'hui, vous êtes dans la maire.
06:25Nous devons faire attention à laquelle vous commencez.
06:27Parce qu'elle connaît la maison.
06:28Elle connaît l'intérim.
06:29Et elle connaît l'intérim.
06:30Donc, le maire Bataille, nous devons continuer.
06:33Dans la maire, nous sommes tous ensemble.
06:35Elle connaît l'intérim pour réussir.
06:37Parce que Mme la maire est là pour Dakar.
06:39Mme la maire est là pour Tachau au Sénégal.
06:41Donc, il n'y a rien d'intérim.
06:43Il n'y a rien d'intérim.
06:44Il n'y a rien d'intérim.
06:45Il n'y a rien d'intérim.
06:47Il n'y a rien d'intérim.
06:48Alors, vous pensez que l'institution fonctionne.
06:50Normalement.
06:52Mais, concernant ce que vous savez.
06:54Ils sont dans l'intérim.
06:56Ils sont dans l'intérim.
06:57Ils sont dans l'intérim.
06:58Parce que nous sommes dans l'intérim.
07:00Ils ont composé cela.
07:02Il n'y a rien d'intérim.
07:03Il n'y a rien d'intérim.
07:04Surtout, quand on voit ce que vous savez.
07:06C'est ce qui est le maire sortant.
07:10Le maire sortant.
07:11Le maire sortant.
07:12Le maire est très bien.
07:13C'est le maire entretien.
07:14Parce qu'il n'y a rien d'intérim.
07:15Et le maire est pas assez.
07:16Il y a une culture qui est instaurée.
07:21Quand on franchit la porte.
07:23Il n'y a rien de passe.
07:25Il n'y a rien d'intérim.
07:26Il n'y a rien d'intérim.
07:27Il n'y a rien d'intérim.
07:28Il n'y a rien d'intérim.
07:29Dieu nous a toujours fait de l'intérim.
07:31Il n'y a rien d'intérim.
07:33Il n'y a rien d'intérim.
07:35Il n'y a rien d'intérim.
07:37Donc, aujourd'hui.
07:38Il peut y avoir des problèmes politiques.
07:40Mais je considère que si on veut faire un combat politique.
07:42Il ne reste pas encore un débat.
07:44Il y a rien d'intérim.
07:46Mais nous avons été à l'internet.
07:48Il est au contraire de la famille.
07:50Il est en train de réussir le mandat.
07:52Pour tout ça, il n'y a rien d'intérim.
07:54Il n'y a rien d'intérim.
07:56Et nous avons ici un débat.
07:58Il n'y a rien d'intérim.
08:00Et ça nous permet d'être dans la famille.
08:02Et Dieu nous l'a fait de la famille.
08:04Qu'est-ce que tu as dit que les mérites politiques.
08:07Quelles sont les politiques politiques?
08:09Quelles sont les politiques politiques?
08:11C'est ce qu'on appelle la mairie qui n'a pas travaillé.
08:17On parle à chaque fois que la mairie qui est en côté de l'opposition, la mairie qui va faire le résultat.
08:22Oui, tout le départ de la personne.
08:24La mairie de Dakar est en 2010 et en 2019.
08:28Et aujourd'hui, nous sommes tous d'accord que la mairie,
08:31le Khalifa Salle, le Barthélémy, le Barthélémy,
08:35personne n'a dit qu'il faut faire ce que tu dois faire.
08:39Personne n'a dit qu'il faut faire ce que tu dois faire.
08:42C'est ce que j'ai besoin d'une élection de Dakar ou presque.
08:45Si on doit être maire, on doit aller au Sénégal.
08:48Parce que quelqu'un qui est le Khalifa Salle,
08:50nous a travaillé, nous a travaillé, nous a travaillé, nous a travaillé.
08:54C'est ce que j'ai besoin d'un secret.
08:57C'est ce que j'ai besoin aujourd'hui.
08:59Au-delà de la mairie de Dakar, je prends l'exemple de la mairie de Dakar.
09:01Je prends l'exemple de la commune qui est en train de travailler.
09:04Où on a notre grand frère Mediop qui est la maire.
09:06Mais qui, depuis son premier mandat,
09:09a changé considérablement le visage de grave à travers des lésitats.
09:12Quand je parle de Mediop, je peux parler de Seydina,
09:15je peux parler de Cheikh Gueye,
09:17je peux parler de tous les autres maires d'Akarnbenga à l'Untel.
09:20Tout le monde sait qu'ils étaient élus sous la bannière de Tahoua au Sénégal.
09:23Donc, ils ont travaillé à Mont-Lénoir.
09:24Et ils ont travaillé à l'exemple de l'élection.
09:27Ils ont travaillé à l'exemple de l'élection pour dévier le suffrage des populations de Dakar.
09:35Parce que les populations de Dakar se sont exprimées clairement.
09:38Parce que le maire, comme le président de la République,
09:41a fait le suffrage de l'université directe.
09:42Et quand tu as fait l'élection, tu as fait l'élection.
09:45Et si tu as fait l'élection, tu as fait l'élection.
09:49D'accord.
09:50C'est ce que je veux dire.
09:52On a retenu à la sortie de la sortie.
09:53C'est lui qui dit que le maire sortant,
09:56c'est le bâtiment de Thoydias concernant.
09:59Il a voté pour Dakar et les autres.
10:02Ils ont fait l'élection pour les deux.
10:05Et pourquoi tu as fait l'élection pour les deux.
10:06Parce que vous savez que vous avez fait l'élection.
10:08Vous avez fait l'élection.
10:10Oui, parce que vous savez, ils sont allés à l'élection.
10:12Ascane de Dakar, plus de 100 000 voix de différence,
10:15fallent le maire Barthélémy à la tête de la liste de Ascane.
10:18Ce qui est l'élection, c'est qu'on le laisse avec le mandat.
10:22Si le mandat est terminé,
10:23si le peuple de Dakar n'est pas d'accord avec lui,
10:26mais il a une latitude,
10:27elle ne l'est pas.
10:28Mais ce que je pense, c'est que des centaines de milliers de personnes
10:32qui ont l'électionné.
10:32Aujourd'hui, un militant passé,
10:35peut-être qu'il y ait un différent,
10:37pour saisir le préfet.
10:39Ce qui est dangereux, c'est que,
10:40moi, si je pense qu'il y ait un maire,
10:42je saisis le préfet.
10:43Le préfet va le faire.
10:44Est-ce qu'on peut être dans cette situation?
10:46Est-ce qu'un préfet,
10:47nommé un mécrédit,
10:48peut, au fond de son bureau,
10:50démettre un maire qui a été élu par près de plus de 100 000 habitants?
10:54Donc, c'est ce qui est dangereux dans cette situation.
10:56Et j'en appelle à la responsabilité des juges,
10:59j'en appelle à la responsabilité de la population de Dakar.
11:03Parce que, un maire, il est élu par la population.
11:05La décentralisation, elle doit être renforcée.
11:08Mais malheureusement, on assiste à des pratiques qui,
11:10vous savez,
11:11de faire des pratiques,
11:12de la décentralisation,
11:15est en train de reculer ici au Sénégal.
11:17Donc, c'est un précédent plus que dangereux.
11:19Mais c'est un précédent plus que dangereux.
11:22Un maire qui est élu par ses populations,
11:24un militant, un seul militant,
11:25un préfet,
11:26qui est dans le secrétaire de son bureau d'Indico.
11:28Mais c'est plus que dangereux.
11:30Aujourd'hui,
11:30la Côte Générale des Collectivités Territoriales
11:32a dit ce qu'on a dit à un maire.
11:33Il faut qu'on le condamne par un crime.
11:35Il faut qu'il ait un détournement.
11:36Il faut qu'il ait un détournement, il faut qu'il ait un détournement.
11:38Mais c'était à son lieu, il n'y a pas de temps à dire qu'il est au niveau de la ville de Dakar.
11:42D'accord.
11:43Nous sommes venus dans la commune,
11:44qui est une grande joie.
11:46Il a dit ça à un maire.
11:50Mais on a vu que le maire a dit qu'il a un recul.
11:54Il n'y a pas de temps à dire que le machin Amila est venu à côté de l'Adois.
11:59Il a assisté à l'aise.
12:00Il a fait un direct pour les défendre.
12:04Mais on voit à chaque fois que ça nous dit.
12:06Est-ce qu'il y a des questions électorales pour les défendre ?
12:15Non, je ne dirais pas des questions électorales.
12:17Mais il y a beaucoup de considérations à prendre en compte.
12:20Parce que les gens qui ont fait des décisions à prendre en compte,
12:22ils ont été d'accord avec eux.
12:24Parfois, il est arrivé des moments où le maire prend une décision.
12:29Il faut qu'il n'y ait pas de temps.
12:31Mais le problème fondamental, ce n'est pas à ce niveau.
12:33C'est l'absence de moyens.
12:34Parce que aujourd'hui, une mairie comme une grand-mère
12:36peut désencombrer.
12:38Mais désencombrer, c'est une chose.
12:39Mais le plus important, c'est le suivi.
12:41Et la mairie n'a pas les moyens de mettre derrière chaque marchand ambulant un agent.
12:45Donc le problème de suivi est posé par le moment.
12:48Au niveau de Grave, nous avons changé un peu de méthodologie.
12:50Mais maintenant, on essaie de voir des projets.
12:53Vous savez, où nous mettons en place un projet.
12:56Où nous mettons en place quelque chose qui va nous occuper.
13:00Parce que la nature a horreur du vide.
13:04Mais aujourd'hui, j'ai lancé un appel.
13:06L'appel que je lance à Grave, je lance au Président de la République, au Ministre de l'Assainissement.
13:12C'est les eaux usées.
13:14Aujourd'hui, Grave n'a pas besoin d'avoir un peu plus tard.
13:16Aujourd'hui, il ne faut pas qu'il y ait un micro et qu'il y ait un arafat.
13:19Vous voyez que la population vit un calvaire, un calvaire, un calvaire.
13:23Ce n'est pas parce que la mairie ne veut pas le faire.
13:25Mais la mairie se trouve incapable face à cette situation.
13:28Parce que l'assainissement, ce n'est pas du domaine transpéré.
13:33Donc, aujourd'hui, j'ai lancé de l'appel.
13:36Aujourd'hui, c'est la Cité Millionnelle, c'est l'Arafat.
13:38Ils vivent dans des situations assez compliquées et assez dangereuses.
13:42Parce que les OIG, tout le monde sait qu'ils ont posé un problème de santé.
13:45Aujourd'hui, les jeunes, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas.
13:50Ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas.
13:56Mais aujourd'hui, la canalisation grave, j'interpelle l'Etat, il faut trouver des solutions.
14:00Parce que j'ai l'impression que notre réseau de canalisation est vétus.
14:03J'ai l'impression que notre réseau de canalisation atteint toute la population qui est grave.
14:07Ce qui fait que aujourd'hui, si on va aller au côté de l'Escaribam, au côté de l'Arafat, de la Cité Millionnaire,
14:12ils ne savent pas, mais ils ne savent pas.
14:14Alors qu'ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas, ils ne savent pas.
14:20Ils ont lancé appel au ministre de l'Assainissement, le Dr Cheikh Tidiane Diaye, au directeur général de la Lonnance,
14:25en rapport avec la collectivité locale de grave, ils ne savent pas comment trouver des voies et moyens pour satisfaire le populace.
14:32Mais en attendant, l'urgence, c'est d'évacuer l'Etat.
14:34Mais si on veut qu'on puisse penser à des solutions pérennes,
14:38on sait que la situation est très importante, est-ce que l'Escaribam va se produire ?
14:41Parce qu'on l'a dit, et c'est un problème même de santé publique.
14:46Il y a aussi une zone de captage, la zone de captage, la zone de captage, le bassin.
14:52Est-ce que les Japonais ont une différence entre lesquels qui étaient là ?
14:56Oui, tu sais que le bassin de zone de captage, c'est un autre problème.
15:00Je rappelle que la ville de Dakar avait un projet de 7 milliards pour reprendre entièrement le bassin.
15:05Parce qu'aujourd'hui, on a dit qu'aujourd'hui, on a dit qu'aujourd'hui, on a dit qu'aujourd'hui, regarde l'espace qu'ils ont, c'est inexploité.
15:11Donc la ville de Dakar avait un projet en rapport avec la communauté.
15:14Malheureusement, pour des considérations politiques à l'époque, le ministère de l'Environnement avait récupéré ce projet.
15:19Mais on a dit qu'aujourd'hui, l'espace, il y a un nombre de mètres carrés, l'hectare, il y a une zone de captage.
15:26Mais on a dû l'utiliser, l'utilisation de la zone de captage, mais que la population puisse voir à hauteur comment l'utiliser.
15:32Donc ce qui m'a dit qu'il faut qu'on puisse connaître, qu'aujourd'hui, il y a un état, qu'aujourd'hui, il y a un état, qu'aujourd'hui, il y a un collectivité,
15:39il faut qu'on puisse les faire.
15:41Il faut qu'on puisse faire dans le cadre du travail, il n'y ait pas de politique.
15:44Il ne faut qu'il ne faut pas faire ce qu'il faut.
15:45Il faut qu'on puisse faire.
15:46Il faut qu'on puisse faire ce qu'il faut.
15:47Mais très souvent, on rencontre des petites difficultés, qu'on ne sait pas, d'empêcher de réaliser un projet.
15:52Et qui est le pâté ? C'est la population.
15:55Donc j'en appelle encore à la responsabilité des acteurs ténéraires du pouvoir,
15:58pour que nous trouvions des solutions rapidement pour soulager les populations de grave.
16:02Alors, il y a des choses qui sont de vos mentors, Khalifa, Babakarsal,
16:06mais ils le voyaient et ils le voyaient.
16:08Donc, nous savons que Khalifa, ce qui ne va pas se faire.
16:12Il ne va pas se faire.
16:12Khalifa n'a pas de bêtes.
16:15Il nous a dit qu'aujourd'hui, il ne peut pas dire qu'il est certain.
16:17Il ira leur garantie, on va dire qu'il est certaine.
16:20Khalifa, ce n'est pas un homme politique, il ne subit pas l'actualité, il l'a créée.
16:26Il ne faut pas dire qu'il n'y a qu'un homme et qu'il n'y a qu'un homme et qu'il n'y a qu'un homme.
16:31Parce qu'il n'y a qu'un homme et qu'un homme, il n'y a qu'un homme.
16:35Mais ce que je vous rassure, c'est que dans les jours à venir, on va l'écouter et parler avec Ascani.
16:40Et qu'il n'y a qu'un homme et qu'il n'y a qu'un homme et qu'un homme.
16:43D'accord, nous sommes arrivés à la mairie de Dakar.
16:49Surtout avec l'infrasturierie et le corpore.
16:54Est-ce qu'il n'y a qu'un homme et qu'il n'y a qu'un homme ?
17:00Les gens parlent d'un budget de 60 milliards.
17:05Mais en réalité, le budget réel de la ville de Dakar, c'est presque moins de 40 milliards.
17:10Parce qu'aujourd'hui, le budget réel est recouvré par année.
17:14Donc, le budget, c'est des prévisions.
17:16Et aujourd'hui, si vous arrêtez ce budget, vous regardez Ascani au Dakar,
17:19vous savez qu'il n'y a pas besoin d'un budget.
17:22Aujourd'hui, c'est le lieu de lancer un appel aussi à l'État.
17:24Parce que les fonds dédiés communiquent.
17:27On voit des arrêtés, fonds de dotation, fonds de concours.
17:30Donc, les collectivités rencontrent énormément de difficultés.
17:40Aujourd'hui, on vient de satisfaire une doléance.
17:42On peut applaudir concernant la revalorisation des salaires.
17:45C'est une bonne chose.
17:46Les salariés, les agents, méritent ça.
17:49Parce que l'État, tout ce qu'on a fait, ils méritent.
17:52Mais il faudrait que l'État puisse avoir des mesures d'accompagnement
17:55pour qu'il n'y ait pas deux types d'agents.
17:57Vous savez, les gens attendent qu'ils n'y aient pas.
17:59Les gens attendent qu'ils n'y aient pas.
18:01Donc, il ne faut pas créer une injustice en voulant réparer une injustice.
18:05Donc, il faudrait qu'on continue à parler.
18:07Les gens ne sont pas...
18:09J'ai entendu l'État dire qu'il va dégager un fonds de 1,5 milliard pour ça.
18:14Mais moi, je voudrais avoir plus de lisibilité.
18:16Quelles sont ces communes?
18:17Et quels critères sont les communes?
18:20Donc, cela a mérité aujourd'hui de large concentration sur la question de la revalorisation des salaires.
18:25Mais aussi sur la question du devenir des collectivités territoriales.
18:28C'est ce que vous avez vu.
18:30C'est ce que vous avez vu.
18:31Il n'y a pas beaucoup de difficultés.
18:34Est-ce qu'il n'y a pas beaucoup de répécutés?
18:36Oui, mais tu sais...
18:38Il n'y a pas beaucoup de difficultés.
18:43Mais la chance que nous avons à la ville, c'est que c'est la même équipe qui est toujours là.
18:47C'est la même administration qui est là.
18:49Quelles que soient les difficultés, c'est l'objectif qu'on a fait.
18:52C'est qu'on a bloqué la ville.
18:53Mais il n'y a plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus de plus.
18:58Les agents de terrain, les agents de terrain, les agents de terrain, les agents de terrain...
19:01Non, mais tu sais que la ville c'est une administration.
19:04Et cette administration, nous devons faire une bonne.
19:07Si on va faire une bonne.
19:08Donc, on ne peut pas travailler avec cette administration.
19:10Maintenant, il y a des gens qui sont des gens qui sont dans le conseil municipal, qui sont au niveau de l'administration.
19:19Alors, est-ce que aujourd'hui, nous avons une question de fragiliser les gens tout petit avec le départ de certains ?
19:26Même ceux qui sont dans le Khalifa Babacar Sale, c'est le mentor.
19:33Et vous, vous êtes un piste de PS.
19:35Je sais que c'est un piste de PS.
19:37Parce que déjà, à la fin de l'administration, ils ont un problème avec ce qui est de Chypre.
19:41Ah donc, pour le PS, j'attends de voir un militant du PS qui peut le tourner.
19:47Mais ce que je sais, c'est le Sénégal.
19:49C'est le plus important de la politique.
19:52Mais en politique, le militant ne peut pas te quitter.
19:56Mais je le considère en général comme un train.
19:58Le train, quand je vais à la gare, il y a des gens.
20:00Donc, le Sénégal est plus que jamais mobilisé.
20:02Et ici, je vais vous montrer.
20:03Ils ont entamé le processus de réorganisation.
20:06Le premier état, c'est la deuxième étape qui consiste au recensement des militants.
20:10Donc, ils recensez les militants et on tend vers une conférence nationale.
20:15Pour voir, est-ce que Tahaou est une autre plateforme politique ?
20:18Ou est-ce qu'il va se transformer en un parti politique ?
20:20Donc, aujourd'hui, c'est ce qui est le débat.
20:23Parce qu'on préfère, aux sorties des deux élections, revenir sur nous-mêmes.
20:27Diagnostiquer le pourquoi de notre défaite.
20:30Mais regarde comment revenir et tout ça, l'organisation.
20:33Et puis, si on ne s'en parle, ils vont vous parler.
20:37Est-ce que Tahaou est-ce que vous espérez retrouver ce que vous dites de votre famille d'Atlant ?
20:42Parce qu'il y a beaucoup de sénateurs ou députés.
20:47Et personne ne sait pas, Tahaou est-ce que nous sommes en députés du Sénégal ?
20:52Et aujourd'hui, il y a beaucoup de choses qui sont en élection.
20:58Surtout, je veux dire, l'alliance est conforme à la même manière.
21:01Tu sais la politique, c'est la politique.
21:03La politique, il y a des hauts, il y a des bas.
21:05Il y a des intérêts, il y a des intérêts.
21:07Mais il y a des intérêts, il y a des intérêts, il y a des intérêts.
21:09Donc, dès qu'il y a des élections, ils ont parlé à Tsunoubir.
21:13Regardez, parce que les deux résultats, les législatives et les présidentielles, ce n'était pas ce qu'on espérait.
21:18Mais, ils ont parlé à Tsunoubir.
21:20Ils ont parlé à Tsunoubir.
21:21Regardez, qu'est-ce qu'il faut corriger, qu'est-ce qu'il faut corriger pour faire plus de ses intérêts.
21:26Mais, je veux dire, Tahaou est le plus important, Tahaou est le plus important autour de son leader Khalif Abba Karsal.
21:31Et Tahaou s'organise pour mieux rebondir à l'occasion des échéances futures.
21:36Nous n'avons pas parlé à Tsunoubir.
21:39Tant qu'il y a de la sortie, Barthélémy est le plus important.
21:44Il a fait une déclaration de presse.
21:49Qu'est-ce que vous retenez de cette déclaration ?
21:51Oui, je pense que c'est toujours Barthélémy.
21:53Il est égal à lui-même.
21:54C'est Barthélémy qu'on a vu hier.
21:58Donc, aucune surprise.
22:00Il est dans son rôle.
22:01Il est dans l'opposition.
22:02Il a un mouvement politique à vendre.
22:04Donc, je lui souhaite bonne chance.
22:06D'accord.
22:07Et aujourd'hui, quand vous parlez à Tsunoubir, il y a quelque chose que vous parlez.
22:10Qu'est-ce que vous parlez ?
22:11C'est vrai que le président de la République, c'est que Tsunoubir Abba Karsal.
22:14Parce qu'il a dit qu'à Tsunoubir Abba Karsal,
22:16il a dit qu'à Tsunoubir Abba Karsal.
22:18Il a dit qu'à Tsunoubir Abba Karsal, il a dit qu'à Tsunoubir Abba Karsal.
22:20Il a dit qu'il a dit qu'il n'est pas de la prison.
22:22Et je l'a dit qu'on a dit que j'allais pour le réconcilier des Sénégalais.
22:27Parce qu'à Askerou, il n'y a pas besoin de les battre.
22:30Il n'y a pas besoin de les battre.
22:32Il n'y a pas besoin de les battre à faire ou de la faire ou de l'instrumental.
22:36Il a dit qu'il veut la justice.
22:37C'est le père de la nation qui est le père de la nation, qui est le père de la justice.
22:46C'est l'instrumentalisation de l'Assemblée législative, le pouvoir exécutif et le judiciaire de l'Assemblée législative.
22:55C'est le père de la nation qui est le père de la nation qui est le père de la nation.
22:59C'est le père de la nation qui est le père de la nation qui est le père de la nation.
23:09Il faut éviter de judiciaiser ce débat.
23:12On a fait des arguments pour contredire ce que tu dis.
23:16Et le président Dioma n'a pas de la justice.
23:21Il faut éviter de la justice et de la justice.
23:23Donc, il y a une séparation de pouvoir.
23:26Il y a une assemblée nationale.
23:29Il y a une réunion.
23:31Je considère qu'il y a encore des efforts à faire.
23:35Le président mérite mieux.
23:37Et ce que je vois, c'est que je ne sais pas.
23:41D'accord.
23:43Rassemblement, le calife, qui est le père de la nation avec le sorti de la nation.
23:48Inch'Allah, je vous donne rendez-vous très bientôt.
23:51Le président Khalifa s'adressera à la nation.
23:53Inch'Allah, dans un important message.
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