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Transcription
00:00On a dit que la popularité de l'Ousmane Soukou a été en tout cas au niveau de Dakar.
00:05C'est-à-dire qu'elle ne gêne pas actuellement l'actuel président de la République.
00:22C'est-à-dire qu'on peut mobiliser les gens sur le terrain, c'est la popularité.
00:31Parce qu'il y a des milliers de nombres de vues, des gens qui aiment beaucoup de vues.
00:40Et il y a 20 personnes qui viennent.
00:42Ça c'est vrai.
00:44C'est vrai, c'est vrai.
00:46Donc, si tu sais que sur le terrain, si tu veux ou qu'il y a beaucoup d'anniversaire de l'Ousmane Soukou, notre premier ministre,
00:53et en même temps le président du PASTEF,
00:56nous sommes venus à venir dans toutes les régions,
01:00dans la ville.
01:02Je pense que nous sommes venus à venir pour soutenir le président du PASTEF, pas le premier ministre.
01:09Alors, c'est important.
01:11Et que, à la suite, nous souhaitons une longue et bonne vie.
01:19Joyeux anniversaire, longue vie.
01:21Moi, je suis venu à venir avec Charles.
01:23Charles Mendy, qui a été venu.
01:25J'ai connu Charles Mendy.
01:27Très bien.
01:28Et que, voilà.
01:29Ce qu'on a fait, c'est qu'on a fait tout ça.
01:31C'est qu'on a fait tout ça.
01:32C'est qu'on a fait tout ça.
01:34Et qu'on a fait tout ça.
01:36Voilà.
01:37Ousmane Soukou, de l'opposition, de la rue au pouvoir,
01:43de la rue à la primature,
01:45il est constant dans sa façon de faire de la politique ?
01:49Ou bien ?
01:50Oui.
01:51Il me semble qu'il est constant dans la façon de faire sa politique.
01:56Il me semble qu'effectivement, il est constant dans sa politique.
02:00Est-ce qu'il faut maintenir aussi quelque chose pour un homme politique ?
02:06Ou bien, il y a une limite de cette constance-là ?
02:08Quand tu es au pouvoir, quand tu es au régime ?
02:12Non, mais je pense que c'est la constance-là dans sa politique,
02:16je ne sais pas si je l'ai apprécié sur le plan éthique,
02:20ou c'est que c'est une constance que c'est,
02:22mais la constance dans sa politique, en tout cas,
02:24n'est pas Steph qui est au pouvoir.
02:26pouvoir parce que vous aurez une constance pour passer du pouvoir parce que vous voyez
02:31d'après n'y a pas de vie d'après son président bien et ni djomaï djoma n'en
02:36ko aïe fatou amnafi aïe bati sainte bakane ronde et plus de 80 mme n'y a bari nian
02:41ni sauf n'y qu'à ce bataille fougna n'y gagne n'y etc tere ou l'ol yup tere ou
02:46pas ce qui est exceux pour voir qu'on t'a bouillé passer de ne pas dire c'est le leadership de
02:51de Ousmane Sonko.
02:53Maintenant, presque 15 ans, je crois,
02:55je suis en politique.
02:56Donc, l'idée politique, je suis en politique.
02:58Je suis en politique.
02:59Je suis en politique.
02:59Donc, Constance, en tout cas, sur le plan pragmatique,
03:03je suis en politique.
03:04Donc, Constance est dans l'opposition.
03:06Mais il faut continuer avec cette façon de faire là,
03:08il y a aussi le pouvoir.
03:09C'est-à-dire que, est-ce qu'un homme politique,
03:11sa vision, sa façon de faire de la politique,
03:14il faut maintenir le cap même
03:17après l'acquisition, après le pouvoir?
03:19Ah, ça, c'est une autre question
03:22qui appelle maintenant une nuance.
03:25Parce que, maintenant, j'ai fait que c'est l'expression
03:27« Il y a des défaits politiques,
03:28je suis en politique au pouvoir. »
03:31C'est-à-dire qu'il y a des deux
03:32qui ont été faits au terrain politique
03:34mais n'ont pas des défaits comme lui
03:36ou n'ont pas de conscience.
03:38Il y a aussi ça, il n'y a pas de l'intiap,
03:39il n'y a pas de l'intiap.
03:41Voilà, il y a des défaits qui sont en politique au pouvoir.
03:45Maintenant, par contre,
03:47c'est-à-dire qu'il y a un état d'esprit
03:50qui est dans l'opposition,
03:51il n'y a pas de l'intiap, etc.
03:53Il y a des défaits au pouvoir.
03:54Par contre, si tu es au pouvoir,
03:57ce que tu dois faire,
03:58c'est que tu dois être en opposition.
04:02Parce qu'un état d'esprit,
04:03l'opposition, il ne doit pas être
04:04parce qu'il n'y a pas de l'opposé.
04:07Il n'y a pas de l'opposé.
04:08Il n'y a pas de l'opposé.
04:10Il y a de la façon dont on peut parler
04:12d'opposé,
04:13c'est qu'il est,
04:14tu ne peux pas de l'opposition,
04:15qu'il n'y a pas de l'opposé.
04:17Il est où, il n'y a pas d'allié,
04:18il y a un édite de l'opposition,
04:20il est où,
04:21dans un dialogue politique,
04:23dans des débats politiques, etc.
04:26Il n'y a pas d'animosité, etc.
04:30Donc,
04:30c'est que les opposants,
04:32mais qu'ils ne peuvent être opposants.
04:34Donc, dans ton état d'esprit,
04:35dans ton ajout,
04:35dans ton cerveau,
04:36vous pouvez,
04:37vous parler,
04:37vous dire,
04:37un acte qui est posé, il ne doit pas dire que tu es opposant, il doit dire que tu es gouvernant.
04:44C'est quand même différent. Opposant et gouvernant, c'est quand même différent.
04:47Parce que les gens sont les gens.
04:48Les gens ne peuvent pas dire que je n'ai pas de souhaiter, ou que je n'ai pas de souhaiter,
04:52ou que je ne peux pas dire ce que je veux dire.
04:55Aujourd'hui, les gens sont les gens qui sont les gens, qui sont les modèles républicains,
05:00sont les gens.
05:02Je ne sais pas si je ne sais pas si on a travaillé dans le Sénégal.
05:07Ils ont dit que ce n'est pas le temps, mais ce n'est pas le temps.
05:10Il y a aussi le président de Pastefle Diogé,
05:14majorité députée de l'Assemblée nationale,
05:18et le Premier ministre de Pastefle.
05:20Mais ils ont travaillé pour le faire.
05:22Il n'y a pas de souhaiter.
05:24Il n'y a pas de souhaiter.
05:26Cela doit rejoindre le discours du président Diamaï Fay.
05:31Il y a des discours d'un signaux de chacun.
05:34Mais vous dites,
05:36ce qui est le pouvoir,
05:38il y a une façon de savoir.
05:40Il n'y a pas de souhaiter.
05:42Est-ce que ça peut être le temps de dire,
05:45que ce qui est opposé Ousmane Sonko à Bastefle Diamaï Fay ?
05:48Parce que Bastefle,
05:49le président de Bastefle,
05:50il faut dire en tant que chef de famille,
05:53un père de la nation,
05:55qui veut la stabilité.
05:56Orque Ousmane Sonko,
05:57il est dans,
05:58voilà,
05:59qu'on rend des comptes,
06:00qu'on est dans ça et dans ça.
06:01La posture,
06:02finalement,
06:03Bastefle Diamaï,
06:04est-ce qu'elle est incarnée ?
06:05La posture gouvernante ?
06:07Tu vois,
06:09par exemple,
06:10même si on prend des exemples pratiques,
06:11simples,
06:12comme ce que tu disais par exemple,
06:13qu'on rend des comptes,
06:14pour caractériser un peu la posture Ousmane Sonko au pouvoir.
06:20Tu vois,
06:21ce que tu sais,
06:22ça pose des problèmes actuellement,
06:23qui posture Ousmane Sonko au pouvoir,
06:25mais si on prend des exemples,
06:27tu sais qu'il y a des intérêts sénégalais,
06:29par exemple,
06:30rendre les comptes,
06:31la reddition des comptes,
06:32etc.
06:33Surtout la reddition des comptes publics,
06:36dans la gestion de l'Etat.
06:38Le problème,
06:39c'est que,
06:40c'est-à-dire que,
06:41c'est-à-dire qu'on doit donner un dossier judiciaire,
06:45pour qu'on a un dossier,
06:47effectivement,
06:48l'institution,
06:49l'État,
06:50c'est-à-dire qu'on doit être épinglé,
06:52qu'on doit être épinglé,
06:53qu'on doit être épinglé,
06:54qu'on doit être épinglé.
06:55Si on doit être épinglé,
06:56il n'y a pas de problème.
06:57On est encore dans la République, etc.
06:59Parce que,
07:00si on est maintenant,
07:01Ousmane Soukou,
07:02c'est-à-dire qu'il y a une personne qui a vu,
07:04personnellement,
07:05ce qu'on doit faire,
07:06et que ça peut-être,
07:07devrait avoir une influence,
07:08en ce moment-là.

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