- il y a 18 heures
Regardez Le journal RTL avec Amandine Bégot du 06 novembre 2025.
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00:00Bonjour à tous et bienvenue dans RTL Midi, les auditeurs ont la parole, nous sommes ensemble jusqu'à 14h, 1h30 d'infos, de décryptage et de témoignages car cette émission, vous le savez, c'est d'abord la vôtre, c'est vous qui la faites.
00:16Comme chaque jour, vous avez la parole, vous réagissez, je vous attends dès à présent au 30 de 10 mais aussi par SMS, vous nous envoyez votre message au 64 900 en commençant par le mot midi et puis bien sûr l'application RTL, vous cliquez sur l'onglet réagir.
00:30A la une aujourd'hui, 3 personnes toujours hospitalisées après l'attaque survenue hier sur l'île d'Oléron mais leurs jours ne sont plus en danger, l'homme accusé d'avoir foncé sur plusieurs piétons et cyclistes et lui toujours en garde à vue, nous irons sur place.
00:43On vous en parle souvent, c'est centre-ville désertée, et bien un rapport a été remis hier au gouvernement pour tenter de les redynamiser, l'une des auteurs, la maire de Saint-Quentin dans l'Aisne sera l'invité d'RTL Midi.
00:54Est-ce que c'était mieux avant pour les commerces de centre-ville et pour le reste ? C'est la question qu'on se pose aujourd'hui depuis ce matin sur RTL, journée spéciale, alors qu'une majorité de Français estiment notre pays en déclin.
01:07Pouvoir d'achat, économie, école, santé, on prend le temps d'examiner les faits. Christine vient de nous laisser un message au 3210.
01:14C'était mieux avant, j'ai passé mon enfance et mon adolescence pendant les années 70-80, il y avait moins de problèmes de chômage, je pense que pour les jeunes c'était beaucoup mieux.
01:25Et vous, qu'en pensez-vous ? Est-ce que c'était mieux avant ? Vous continuez à nous appeler au 3210.
01:31Olivier Mazerolle, qui a longtemps été journaliste ici, sera notre grand témoin.
01:35Vous échangerez Olivier avec les auditeurs. Bonjour et bienvenue dans votre maison ici à RTL.
01:41Dans ce journal également, peut-être la solution pour lutter contre le manque de dentistes,
01:45le rapport cinglant de la Cour des comptes sur le Louvre, et puis la belle histoire du jour,
01:49cinq copains qui décrochent le jackpot à l'euro million, 250 millions d'euros.
01:55La météo avec vous, Peggy Broch. Bonjour Peggy.
01:57Bonjour Amandine, bonjour à tous.
01:58Vous nous aviez prévenu, la pluie est bel et bien de retour.
02:01Exactement, sur une bonne partie ouest du pays, et surtout on attend d'importants cumuls de pluie sur l'Occitanie,
02:06des pluies qui sont orageuses, c'est beaucoup plus calme et lumineux sur les frontières de l'Est.
02:10Météo complète à la fin du journal.
02:15RTL midi, les auditeurs ont la parole.
02:17Un peu plus de 24 heures après le drame survenu hier sur l'île d'Oléron,
02:21le pronostic vital des victimes n'est donc plus engagé.
02:24C'est ce qu'a annoncé ce matin Laurent Nunes, le ministre de l'Intérieur.
02:28Trois personnes restent toutefois hospitalisées, dont deux dans un état grave.
02:32Un homme de 69 ans percuté sur son vélo, il a subi une opération ce matin.
02:37L'autre victime, la plus grièvement blessée, c'est Emma Vallin,
02:40une jeune femme de 21 ans qui est attachée parlementaire du Rassemblement National.
02:44Antoine Decarnes.
02:45Oui, elle était en train de faire son jogging hier matin quand elle a été percutée de plein fouet
02:49par la voiture grise de l'assaillant retrouvée sur le sol par une passante.
02:54Elle a de multiples fractures, son état inquiète évidemment ses proches.
02:58Franck est le moniteur d'équitation d'Emma sur l'île d'Oléron.
03:01Il la connaît depuis son adolescence.
03:03Comment quelqu'un peut venir avoir l'idée un matin de prendre sa voiture et d'écraser des gens ?
03:08Je pense qu'elle est privilégiée et en fin de compte, on ne l'est pas du tout.
03:12Donc on est comme partout, il suffit d'un fou.
03:14On touche à des êtres qui n'ont rien demandé.
03:17On est attristé, limite on a envie de pleurer.
03:20Alors Emma a subi une première opération d'urgence hier soir sur plusieurs de ses membres.
03:26Ce midi, elle reste sous morphine, mais elle est consciente, réagit normalement.
03:30Elle a même pu parler à sa famille.
03:31Les médecins attendent désormais 48 heures avant de donner un prochain diagnostic suite à son traumatisme crânien.
03:38Mais les nombreuses plaies, les brûlures vont l'obliger à subir des opérations de chirurgie plastique.
03:43Celle qui avait pour ambition d'être candidate aux élections municipales à Dolus d'Oléron
03:47sera transférée prochainement vers l'hôpital de Tours.
03:50Antoine Decarnes, l'un des envoyés spéciaux de RTL en Charente-Maritime.
03:54Bonjour Philippe Demaria.
03:55Bonjour Amandine.
03:56Vous êtes-vous devant la gendarmerie de Saint-Pierre-d'Oléron.
03:58C'est là que l'homme accusé d'avoir délibérément foncé sur les victimes est interrogé depuis hier.
04:04Plusieurs personnes de son entourage ont également été convoquées.
04:07Exactement. D'abord son père qui descend de son berlingot vert ce matin à un homme âgé.
04:13À la démarche lente, il est rapidement pris en charge par un enquêteur.
04:17Son audition a duré trois heures.
04:18La garde à vue de son fils, elle est toujours en cours.
04:21Dans ces mêmes locaux de sources proches de l'enquête,
04:23on évoque une autoradicalisation du conducteur avec une conversion à l'islam.
04:27Dans le même temps, une expertise psy a été effectuée pour tenter de mieux cerner le personnage qui apparaît fragile.
04:34Il y a quelques minutes, l'un de ses amis arrive ici à la gendarmerie.
04:38Il est convoqué.
04:39Nico, c'est son surnom, ne comprend pas la cavale sanglante de son ami.
04:44Jean, c'est quelqu'un qui adore la nature.
04:46Moi, je suis handicapé.
04:47Il a toujours été là pour me sentir.
04:50Qu'est-ce qui s'est passé ?
04:51Je ne sais pas.
04:52Je sais qu'il était malade, qu'il était suivi.
04:54Il parlait radicalisation, il parlait islam ?
04:56Non, non, jamais.
04:57Pas du tout.
04:58Nico, ce qu'il a fait hier, comment vous expliquez ça ?
05:00Je ne suis pas joué.
05:01Je n'ai aucun mot.
05:02Ça aurait pu être ma mère, ça aurait pu être ma nièce.
05:05Victime, oui, en tant que victime.
05:06Pour les victimes, je trouve ça honteux, malheureusement.
05:09Je ne sais pas qu'est-ce qu'il lui a appris de faire ça.
05:12Alors, des expertises sont en cours sur le téléphone du conducteur.
05:15Les enquêteurs recherchent des éléments qui prouveraient un lien avec une idéologie violente.
05:21Sa garde à vue continue toujours ici, à la gendarmerie de Saint-Pierre-d'Oléron.
05:25Philippe Demaria, en direct de Saint-Pierre-d'Oléron, pour RTL.
05:29On en vient à cette info RTL.
05:30La femme de Salah Abdeslam a été placée en garde à vue.
05:33Bonjour Cindy Hubert.
05:34Bonjour.
05:35Elle est soupçonnée de lui avoir fait passer en prison des clés USB.
05:38Oui, pour bien comprendre, il faut savoir que Salah Abdeslam possède un ordinateur dans sa cellule de manière tout à fait légale.
05:43Il l'a acheté lui-même.
05:45Cela lui permet de suivre des cours.
05:47Mais il change régulièrement de cellule pour des questions de sécurité,
05:50puisqu'il est soumis au statut de DPS détenu particulièrement signalé.
05:54Ses affaires sont donc très souvent contrôlées.
05:57Et c'est dans ce cadre qu'ont été découvertes des traces de connexion de clés USB sur son ordinateur.
06:02Aucune clé n'a été retrouvée en perquisition.
06:04Mais selon nos informations, les enquêteurs ont découvert dans cet ordinateur
06:08un certain nombre de documents de propagande djihadiste.
06:12Des textes, mais aussi une vidéo du canal 19HH, du gourou français du djihad Omar Omsen.
06:18Salah Abdeslam a donc lui aussi été mis en garde à vue quelques heures mardi.
06:21Ces avocats ont refusé de commenter cette information évoquant le secret de l'enquête.
06:26Cindy Hubert du service police-justice de RTL.
06:28Les retraités, eux, sont dans la rue aujourd'hui.
06:31Manifestation à l'appel de plusieurs syndicats et associations
06:34pour dénoncer les mesures prévues dans le budget.
06:37Le gel des pensions de retraite notamment,
06:38mais aussi le doublement des franchises médicales.
06:41Dimitri Ramelot, vous êtes à Nancy pour RTL.
06:43Oui, et parmi ceux qui portent les drapeaux des syndicats,
06:45des anciens commerçants, beaucoup d'enseignants aussi,
06:47comme Michel, 71 ans, qui a la sensation d'être stigmatisé.
06:51Nous, les boomers, on coûte trop cher, on est grassement payés,
06:55alors qu'on n'est pas tous les mois en voyage, en avion, etc.
06:59Moi, j'ai 2000 et quelques-deux retraites par mois,
07:02j'estime que je ne suis pas riche.
07:04Et donc, le doublement des franchises médicales,
07:05le gel des pensions, mais pas seulement,
07:07passe mal pour Patrick, venu en solidarité
07:10de ceux qui ont une plus petite retraite que lui.
07:12L'abandon des 10% forfaitaires
07:14vont amener à payer des impôts,
07:17des toutes petites pensions qui n'en payaient pas jusque-là
07:19et qui vont faire perdre à ces retraités-là
07:21des prestations auxquelles ils ne vont plus avoir droit.
07:24Pourtant, dans le cortège,
07:25Patricia est d'accord sur le principe
07:26pour participer à l'effort pour redresser les comptes publics.
07:29Commençons déjà par ceux qui sont les plus riches
07:32et qui ont véritablement le plus profité
07:35de tous les cadeaux qui ont été faits depuis quelques années.
07:38La petite centaine de retraités est actuellement devant la préfecture.
07:41Dimitri Ramelot annoncit pour RTL
07:43le pouvoir d'achat plus que jamais au cœur de vos préoccupations.
07:48Et en la matière, on entend souvent que c'était mieux avant,
07:50qu'on vivait mieux.
07:51Bonjour Martialio.
07:52Bonjour.
07:53Est-ce que c'est vraiment le cas ?
07:54On vivait mieux avant ?
07:54Alors, non, en tout cas,
07:56pas si on prend le fameux outil en économie
07:59qu'on appelle l'indice baguette.
08:01C'est-à-dire qu'on prend le SMIC horaire de 1975
08:03et puis celui de 2025
08:04et puis on voit combien de temps il faut travailler
08:07pour se payer une baguette.
08:08Eh bien, en 1975,
08:10il fallait travailler 10 minutes au SMIC.
08:13Aujourd'hui, c'est 5 minutes seulement, vous voyez.
08:15Bon, mais il est très clair, effectivement,
08:17cet exemple de la baguette.
08:19Sauf que quand même, Martial,
08:20on a tous le sentiment de vivre aujourd'hui
08:22moins bien que nos parents,
08:23nos grands-parents.
08:24On se trompe ?
08:25Non, ce n'est pas faux,
08:26mais c'est qu'en fait,
08:27le panier de dépenses des familles,
08:29ce n'est plus le même.
08:30En 1975,
08:31les salaires sont indexés sur l'inflation.
08:34L'inflation, elle tourne à 11% par an
08:36entre 1973 et 1982.
08:40Donc, même si le prix du chariot de course
08:41bondit au supermarché,
08:43le salaire suit au même rythme.
08:45Donc, c'est indolore.
08:46Aujourd'hui, la nourriture,
08:47elle ne représente plus que 15% de notre budget.
08:50Et qu'est-ce qui a bondi
08:51dans notre budget familial
08:53et qui n'existait pas en 1975 ?
08:55Ah, le téléphone, Internet, tout ça ?
08:57Ben oui !
08:58Les abonnements, Internet,
08:59le téléphone, le streaming,
09:00ces prix progressent beaucoup plus vite
09:03que l'inflation,
09:04plus vite que les salaires
09:05et ça donne donc un sentiment d'appauvrissement.
09:07Et puis, dernière chose,
09:08mais non des moindres,
09:09l'immobilier,
09:09c'est le premier poste de dépense des familles
09:11encore aujourd'hui.
09:12Dans les années 70,
09:13on payait sa maison en 10 ans.
09:15Aujourd'hui,
09:16on rembourse sur 25 ans
09:18pour avoir une maison.
09:19D'où le sentiment à l'époque
09:21de vivre plus richement
09:22qu'aujourd'hui,
09:22en tout cas de s'enrichir.
09:24Merci beaucoup, Marcelio.
09:26RT, RT, RT, RT.
09:28Prix, travail, éducation, santé,
09:30est-ce que c'était mieux avant ?
09:32Et la vie était différente de maintenant ?
09:34Oui, elle était encore plus dure que maintenant.
09:36C'était bien plus dure, quand même.
09:38Aujourd'hui, c'est la journée spéciale
09:40« Était-ce mieux avant ? » sur RTL.
09:42Est-ce que c'était vraiment mieux avant ?
09:44C'est la question, vous l'avez entendu,
09:45qu'on se pose depuis ce matin
09:47sur RTL, journée spéciale,
09:48alors que,
09:49selon un récent sondage Ipsos,
09:5090% des Français
09:52pensent que la France est en déclin.
09:54La rédaction de RTL a donc décidé
09:56de prendre le temps
09:57d'examiner les faits économie,
09:59éducation, politique, santé.
10:00Vivez-t-on mieux ?
10:01Vraiment, il y a 50 ans.
10:04En 1975, par exemple,
10:06Jean-Pierre et Daniel étaient commerçants
10:07à Tours.
10:08Ils sont aujourd'hui retraités.
10:09Elisar Mokadim les a rencontrés pour RTL.
10:12Il y a 50 ans,
10:13Jean-Pierre et sa femme
10:14étaient les propriétaires
10:15d'une boutique située
10:16dans le centre-ville.
10:17Aujourd'hui, ils aident leur fille
10:18qui a repris l'affaire.
10:20Tous les samedis,
10:21Daniel aide à la caisse
10:22et elle constate que la relation
10:23avec le client a changé.
10:25Avant, quand un client entrait,
10:26c'était pour vous demander quelque chose.
10:29Ils avaient un désir d'achat.
10:30Là, maintenant, les gens entrent
10:31et ils se promènent dans le magasin.
10:33Après, vous allez vers eux.
10:34Par contre, on dit toujours bonjour au client,
10:36que ce soit maintenant ou avant.
10:37Pour remplir les stocks,
10:39ce sont des allers-retours à Paris
10:40et des journées entières
10:41passées chez les grandes marques.
10:43En 1975, pour Jean-Pierre,
10:45c'était bien plus simple.
10:46Dans la région proche,
10:47on avait plein de gens
10:48qui fabriquaient des chaussures,
10:50des vêtements
10:51qui n'existent plus maintenant.
10:53Si la concurrence en ville
10:54a toujours existé,
10:55l'arrivée des centres commerciaux
10:56a fragilisé la boutique.
10:58On a perdu une longue clientèle,
10:59surtout à cause de la concurrence
11:01de la périphérie d'Internet.
11:03Le flux de clients est moins important
11:04qu'à l'époque,
11:05m'a confié le couple de retraités.
11:06Résultat,
11:07il y a deux fois moins d'employés
11:09dans la boutique
11:09qu'il y a 50 ans.
11:11Et les Sarmokadim
11:12pour RTL.
11:13Et c'est justement
11:14pour lutter contre
11:14ces centres-villes désertées
11:15que le gouvernement
11:16a commandé au mois de mai dernier
11:18un rapport.
11:19Les conclusions
11:20ont été rendues hier.
11:21Bonjour Frédérique Macaré.
11:23Bonjour.
11:24Bonjour Amandine Bégaud.
11:25Vous êtes la maire de Saint-Quentin
11:26dans l'Aisne,
11:27l'une des auteurs de ce rapport.
11:29Merci beaucoup
11:29d'être l'invité d'RTL Midi.
11:31Vous évoquez notamment
11:32dans vos conclusions
11:33et dans vos recommandations
11:34la concurrence
11:35des sites Internet.
11:36Concrètement,
11:37comment peut-on lutter
11:38contre ça ?
11:39On est d'accord,
11:40on ne peut pas interdire
11:40le commerce en ligne.
11:42Non,
11:43alors la situation
11:44évolue beaucoup.
11:45Alors on a écrit
11:46ce rapport
11:47avec Dominique Schelcher,
11:48le président de Cooperative
11:49et Antoine Saint-Toyan,
11:51le directeur général
11:52de la Banque des Territoires.
11:54Donc ce qu'on dit,
11:54c'est qu'il faut lutter
11:55contre la concurrence déloyale.
11:56Bien sûr,
11:57il y a plusieurs modes
11:58de commerce aujourd'hui.
12:00Toutefois,
12:00les commerces physiques,
12:01eux,
12:02respectent des règles,
12:03ont des charges
12:03et ce n'est pas la même chose
12:05pour les sites
12:06qui sont en ligne.
12:07On est d'ailleurs atterré
12:08de voir le nombre
12:08de produits
12:09qui rentrent en France,
12:10qui ne sont pas aux normes,
12:11qui d'ailleurs vont poser
12:12des questions de sécurité
12:13pour les Français.
12:15Donc c'est la lutte
12:16contre la concurrence déloyale
12:17et les distorsions
12:18de concurrence
12:19c'est un point qui est très important.
12:20Donc on demande plus de contrôle.
12:22On demande aussi
12:23de mettre en place
12:24une taxe
12:24sur les achats en ligne.
12:27Deux euros par article,
12:28c'est ça ?
12:29Vous pensez
12:30que ça peut être dissuasif ?
12:32Alors c'est un minimum.
12:33L'idée,
12:34c'est d'abord
12:34d'être à armes égales
12:36et puis également,
12:37ce qu'on demande,
12:37c'est qu'une partie
12:38du produit de la taxe
12:40puisse être reversée
12:41pour la transformation
12:41des centres-villes.
12:42On appelle un programme
12:43Action Cœur de Ville
12:44et Petite Ville
12:45de demain 2 et 3
12:46auprès du gouvernement
12:48pour pouvoir assurer
12:49cette transformation
12:50parce que comme vous l'avez dit,
12:51il y a aussi des gros enjeux
12:52sur les locaux commerciaux.
12:53Des fonciers à transformer
12:55puisque les centres-villes
12:56vont évoluer.
12:57Ils ont un chemin
12:58mais qui sera différent
12:59de ce qu'on a connu
13:00par le passé.
13:00Frédéric Macaré,
13:02on a beaucoup parlé
13:03ces derniers jours
13:04de la plateforme Chine
13:06et de la concurrence déloyale
13:08pour un certain nombre
13:09de commerçants.
13:09Ici,
13:10on a beaucoup,
13:10beaucoup d'auditeurs
13:11commerçants
13:11qui nous ont appelés
13:12pour nous raconter
13:13à quel point
13:13c'était difficile
13:15au quotidien
13:15de lutter
13:16contre ces géants chinois
13:17et dans le même temps,
13:18on a aussi beaucoup
13:19d'auditeurs
13:19qui nous disent
13:20oui,
13:20mais moi,
13:21je n'ai plus les moyens
13:22d'aller acheter
13:23des vêtements
13:24en centre-ville.
13:25Qu'est-ce que vous leur répondez
13:26à cela ?
13:27Alors,
13:28c'est important
13:28d'avoir des possibilités
13:30à tout prix
13:30et il y a des enseignes
13:31à tout prix également
13:33mais il faut aussi
13:33que les règles soient observées,
13:35que les règles du jeu
13:36soient les mêmes pour tous.
13:37Un commerçant
13:38qui a des locaux,
13:38qui a des charges,
13:40ce n'est quand même
13:40pas tout à fait normal
13:41par rapport
13:42à ces plateformes
13:43et je redis,
13:44il faut faire très attention
13:45sur le plan sanitaire
13:46aussi pour les populations
13:48parce que sur ces plateformes,
13:49on a un certain nombre
13:50de produits
13:51qui sont dangereux.
13:51Alors,
13:51il n'y a peut-être pas encore
13:52eu tellement de scandales
13:53jusqu'à présent
13:54mais ça risque d'arriver
13:55et c'est ce qu'on ne voudrait pas.
13:57Et on se souvient
13:57de l'UFC Cochoisir
13:58qui alertait il y a quelques jours
13:59notamment sur les jouets
14:01vendus
14:02sur ces plateformes
14:04qui présentent
14:04de nombreux dangers
14:05pour nos enfants.
14:07Cette désertification
14:08des centres-villes,
14:09elle ne date pas
14:10d'hier,
14:11Frédéric Macaré,
14:12je pense notamment
14:13aux années 70
14:15quand les centres-villes,
14:16les centres commerciaux
14:17ont débarqué
14:18dans certaines villes.
14:19Ça a beaucoup inquiété
14:20les commerçants
14:21et à juste titre
14:22puisque certains
14:23effectivement
14:24ont vu
14:25leur chiffre d'affaires
14:26baissé.
14:27Ça fait presque 50 ans
14:29qu'on essaie
14:29de lutter contre tout ça.
14:30Pourquoi est-ce
14:31qu'on n'y arrive pas ?
14:33Alors d'abord,
14:33ça évolue
14:34et ça évolue
14:35très brutalement
14:35puisqu'on a toutes
14:36les enseignes d'habillement
14:37qui ferment
14:38les unes après les autres.
14:39On pense à
14:40Kamaïeu,
14:41on pense à
14:41Nafnaf,
14:42il y en a plein d'autres.
14:44Ce qu'on a observé,
14:45c'est que le taux de vacances
14:46augmente partout en France
14:48que ce soit
14:49dans les centres-villes,
14:50que ce soit
14:50dans les centres commerciaux.
14:52Il y a une bizarrie,
14:53c'est que
14:53depuis 2020,
14:54on compte 50 millions
14:56de mètres carrés
14:56commerciaux supplémentaires
14:57qui ont ouvert en France.
14:59Dans le même temps,
15:00la consommation
15:01était à tonnes.
15:02Donc il y a
15:02que par ce chiffre,
15:03on comprend bien
15:04qu'on a une surcapacité
15:05de mètres carrés
15:06commerciaux
15:07dans notre pays
15:07et il y aura
15:08une certaine
15:09rationalisation
15:10à obérer.
15:11Donc nous,
15:11ce qu'on défend
15:12comme type de projet,
15:14c'est peut-être
15:15des galettes commerciales
15:16dans les centres-villes
15:16un peu moins importantes,
15:18mais sur des parcours
15:19et des linéaires
15:20qui fonctionnent bien,
15:21des transformations foncières
15:22qu'il faudra opérer
15:23avec des foncières
15:24de redynamisation,
15:25des concessions
15:26d'aménagement,
15:27c'est-à-dire des moyens
15:27aussi importants
15:29pour recréer ces parcours
15:30de manière un peu différente,
15:32mais c'est sûr
15:32qu'on est en surcapacité
15:33dans notre pays.
15:34Merci beaucoup Frédéric Macaré
15:36d'avoir été en direct
15:38avec nous sur RTL.
15:39Je rappelle que vous êtes
15:40la maire de Saint-Quentin
15:41dans l'Aisne
15:41et que vous avez donc
15:42participé à la rédaction
15:44de ce rapport
15:45pour lutter contre
15:46les centres-villes
15:47désertées.
15:4712h46 sur RTL.
15:49Dans un tout petit instant,
15:50tiens, peut-être
15:51la solution pour lutter
15:52contre le manque de dentistes.
15:54A tout de suite sur RTL.
15:56Dans un instant,
15:57la suite de ce journal.
15:58Il est 12h49 sur RTL.
16:05Vous l'avez sans doute constaté,
16:07c'est souvent difficile
16:08de trouver un rendez-vous
16:09chez le dentiste.
16:1063% de nos communes
16:12en manquent.
16:13Alors, pour faire face
16:14à un sénateur,
16:15propose de créer
16:15une nouvelle profession
16:16des assistants
16:18en prophylaxie dentaire.
16:20De quoi s'agit-il,
16:20Nathan Bocard ?
16:21Eh bien, ces assistants dentistes
16:23auraient deux types de tâches.
16:24Une, d'abord,
16:25pour soulager
16:26les chirurgiens dentistes.
16:27Sous leur contrôle,
16:28et seulement sous leur contrôle,
16:29ils pourraient faire
16:30certains actes d'orthodontie,
16:32c'est-à-dire liés
16:32à la mauvaise position
16:33des dents, d'imagerie
16:35ou encore de suivi
16:36post-chirurgical.
16:37Mais au-delà de ça,
16:38eh bien, ces assistants
16:39pourraient se rendre seuls
16:40dans des écoles
16:41ou des établissements
16:42médico-sociaux
16:43pour y mener
16:44des actions de prévention.
16:46Cette profession,
16:47elle serait accessible
16:47après deux ans d'études,
16:49mais cela permettrait même
16:50de recruter
16:51des étrangers
16:52déjà qualifiés.
16:53Une bonne raison
16:54de soutenir ce texte
16:55selon les principaux concernés.
16:57Alors, on est très favorables.
16:59Alain Valory
16:59est le secrétaire général
17:00des chirurgiens dentistes
17:01de France.
17:02Les personnes
17:02de qualification intermédiaire
17:04existent
17:05dans d'autres pays européens,
17:06en Allemagne par exemple.
17:08Et donc,
17:08ces personnes
17:09avec la libre circulation
17:10européenne
17:11ont la possibilité
17:12de venir travailler
17:13en France,
17:14mais pour lesquelles
17:14il n'y a pas
17:14de cadre d'emploi
17:16leur permettant
17:17d'exercer leur métier.
17:18Donc,
17:18c'est une petite aberration.
17:20Ce type de dispositif
17:21existe d'ailleurs
17:22déjà pour certaines professions
17:24comme les anesthésistes.
17:25Les explications
17:26de Nathan Bocard.
17:27Merci à vous Nathan.
17:28À l'Assemblée nationale,
17:29en plein débat
17:30autour du budget,
17:31cette polémique
17:32autour de la présence
17:33hier de jeunes filles
17:34voilées dans le public.
17:36Bonjour Arthur Bélier.
17:37Bonjour.
17:37Ça a provoqué
17:38un tollé
17:39dans les rangs
17:39du Rassemblement national.
17:40Yel Broun-Pivet,
17:41la présidente de l'Assemblée,
17:42elle évoque
17:43des faits inacceptables.
17:44Oui,
17:44et sur les réseaux sociaux,
17:45elle appelle chacun
17:46à une extrême vigilance
17:48pour que cela
17:48ne se reproduise pas.
17:50Hier,
17:50lors de la séance
17:51de questions au gouvernement,
17:52un groupe d'enfants
17:53venus d'une école
17:54privée musulmane
17:54s'installe en tribune.
17:56Certaines écolières
17:57et certaines accompagnatrices
17:58portent le voile.
17:59Une photo est relayée
18:01par l'extrême droite
18:02sur les réseaux sociaux.
18:03Un spectacle déplorable
18:04pour le député RN
18:06Julien Audoul.
18:07La gauche,
18:07elle,
18:07comme Marine Tondelier
18:08ce matin sur RTL,
18:09dénonce une polémique
18:10islamophobe.
18:11Je pense que
18:12si l'islamophobie
18:13était interdite
18:14dans le règlement
18:14de l'Assemblée nationale,
18:15il y en a un certain nombre
18:18c'est sur des femmes
18:18que ça tombe tout le temps.
18:20En fait,
18:20il y a ce qui est autorisé
18:21et ce qui n'est pas autorisé.
18:22Donc, je le dis,
18:23ce n'est pas interdit.
18:24Les huissiers de l'Assemblée nationale
18:25pour avoir long temps
18:25de travailler dans cette belle maison
18:26sont quand même
18:27très scrupuleux
18:27sur les règlements.
18:28Le règlement de l'Assemblée,
18:29justement,
18:30article 8,
18:31il stipule seulement
18:33que le public
18:34doit être découvert.
18:35C'est vague.
18:36Le groupe d'écoliers
18:37était en tribune
18:37sur invitation
18:38de leur député
18:39Marc Fénaud
18:40qui pense que
18:41le règlement
18:41doit être précisé.
18:42Je prends mes responsabilités,
18:43je ne me défausse sur personne.
18:44Par ailleurs,
18:45le règlement est un peu flou,
18:46si je peux dire.
18:47Ça nécessite sans doute
18:47qu'on donne la règle
18:48à ceux qui viennent.
18:49Je pense que dans la plupart des cas,
18:51on leur demande de le faire.
18:52Manifestement,
18:52ça n'a pas été fait.
18:53C'est pour ça, je pense que
18:54d'ailleurs,
18:54Yael Broun-Pivet a fait un rappel
18:55à la règle
18:56pour dire que tout le monde
18:56doit se conformer.
18:57Auprès de RTL,
18:59la présidente de l'Assemblée,
19:00Yael Broun-Pivet,
19:00précise que c'est au nom
19:02de l'interdiction du voile
19:03dans les écoles
19:04qu'elle juge inacceptable
19:05que des fillettes
19:06en sortie scolaire
19:07le portent.
19:08Arthur Bélier
19:08du service politique de RTL.
19:10Un peu plus de deux semaines
19:11après le cambriolage du Louvre,
19:13c'était un rapport
19:13très attendu,
19:15celui de la Cour des comptes
19:16sur la gestion du musée.
19:18Et les conclusions
19:18sont sans appel.
19:19Pour Pierre Moscovici,
19:21aucun doute,
19:21la sécurité a été négligée.
19:23Ce vol, dit-il,
19:24doit être un signal d'alarme.
19:26Le musée du Louvre
19:27est un musée richement doté.
19:29Il ne souffre pas
19:29d'une forme de paupérisation,
19:31il n'est pas victime
19:31de l'austérité,
19:32il a des ressources
19:32tout à fait considérables.
19:33Nous constatons
19:34qu'au cours des dernières années
19:35ont été privilégiées
19:36des opérations
19:37de réaménagement
19:38de certaines salles
19:39mais aussi une politique
19:40d'acquisition d'offres d'art
19:41le tout représentant
19:42sur les ressources propres
19:43du Louvre
19:44quelques 160 millions d'euros.
19:45Et qu'en contrepartie,
19:46tout ce qui concerne
19:47la restauration,
19:49la sécurisation du Louvre,
19:50on a dépensé
19:51deux fois moins.
19:52Et donc nous appelons
19:53à une prise de conscience
19:53et une forme de rééquilibrage.
19:55La priorité des priorités
19:56aujourd'hui doit être
19:57la rénovation du musée,
19:59la modernisation
20:00de ses infrastructures
20:00en matière d'incendie,
20:02en matière de sécurité,
20:03en matière de sûreté.
20:05Le Louvre
20:05mérite cela.
20:06Pierre Moscovici,
20:07le premier président
20:08de la Cour des Comptes
20:09au micro-RTL
20:09d'Arthur Pereira.
20:10Et puis voilà
20:11une histoire qui fait rêver.
20:12Cinq copains,
20:13je vous le disais,
20:14ont décroché le jackpot
20:15à l'euro million
20:16250 millions d'euros.
20:19Valentin Boisset,
20:20l'histoire est d'autant plus belle
20:21que c'est la première fois
20:22qu'il jouait tous les cinq.
20:23Oui, cinq personnes
20:24qui ont choisi
20:25les numéros ensemble.
20:26L'idée de jouer à cinq
20:28a émergé sur le ton
20:29d'une blague
20:29lors d'un déjeuner.
20:30Au mois d'août,
20:31ils se connaissent
20:32depuis plus de 50 ans.
20:34Isabelle Césarie
20:35les a accueillies
20:35à la FDJ
20:36il y a quelques semaines.
20:37Ils étaient très sereins,
20:39très structurés,
20:40vraiment les pieds sur terre.
20:41Ils nous ont indiqué
20:42que le reçu,
20:43ils l'avaient mis
20:43dans un coffre-fort,
20:45se l'approprier
20:45avant de nous contacter.
20:47Il y avait des exemples
20:48de projets déjà ?
20:49Ils souhaitaient faire
20:50des dons à des associations
20:52et puis se faire plaisir aussi
20:53et c'est ce qu'ils vont faire.
20:55Le ticket a été acheté
20:55dans un petit tabac
20:56de la Porte d'Auteuil
20:57à Paris
20:58et ce matin,
20:59il y avait quelques habitués
21:00qui eux aussi
21:01ont l'habitude
21:02de tenter leur chance ici.
21:03250 millions d'euros
21:04de la gagner en France ?
21:05Là où vous êtes là ?
21:06Là où je suis là ?
21:07Non.
21:07250 millions d'euros ?
21:08J'étais pas dans de l'eau
21:09sinon je serais pas là ce matin.
21:10Alors Philippe Torrent,
21:11j'ai rendu tabac d'Auteuil.
21:12J'étais ravi.
21:13Au début de ma carrière,
21:14j'ai eu un gros gagnant
21:15en France.
21:16Là, ça vient de me tomber dessus
21:17presque à la fin de ma carrière aussi
21:18donc super heureux.
21:19Cinq personnes
21:20dont la vie sera donc
21:21un peu mieux qu'avant
21:22pour rester
21:23dans le thème
21:24de notre journée.
21:24La belle histoire du jour
21:26signée Valentin Boisset.
21:29Est-ce que c'était
21:29vraiment mieux avant ?
21:31C'est cette journée spéciale,
21:32vous le savez,
21:33sur RTL
21:35et on va échanger
21:36dans un instant
21:36avec vous
21:37les auditeurs.
21:38Et notre grand témoin du jour,
21:39je le disais,
21:40Olivier Mazerolle.
21:41Bonjour.
21:41Bonjour Olivier,
21:42on est ravi de vous avoir.
21:43Vous êtes sans aucun doute
21:44l'un des meilleurs observateurs
21:45de la vie politique,
21:46économique,
21:47mais aussi de l'évolution
21:48de notre société
21:48au cours de ces 50 dernières années.
21:50Vous avez été journaliste
21:52ici à RTL,
21:53directeur de l'information même.
21:54J'ai même sévi
21:54comme directeur de rédaction.
21:56Certains s'en souviennent
21:57avec un peu de regret.
22:01Est-ce que,
22:02juste en quelques mots
22:03et on aura le temps
22:04après d'échanger,
22:05est-ce que c'était vraiment mieux
22:06avant Olivier Mazerolle ?
22:08Ce n'est pas possible
22:10de porter un jugement
22:11aussi radical
22:12dans un sens
22:12ou dans un autre
22:13parce que déjà,
22:13le mot jugement
22:15signifie qu'il y a
22:16une sorte de sanction.
22:18c'est l'évolution
22:21de la société
22:22qui est différente.
22:23Il y a des choses
22:24qui sont positives
22:25aujourd'hui
22:25qui n'existaient pas
22:26à l'époque
22:27mais il y a aussi
22:28des choses
22:29qui aujourd'hui
22:29sont fortement négatives
22:31et qui n'existaient pas
22:32à l'époque
22:32ou tout au moins
22:33qui n'étaient pas perçues
22:34de la même façon.
22:35Vous aviez à l'instant
22:35la mère de Saint-Quentin
22:37quand vous lui avez demandé
22:38mais qu'est-ce que vous répondez
22:39à ceux qui vous disent
22:40c'est bien gentil tout ça
22:41mais moi,
22:42je n'ai pas les moyens
22:42d'aller m'acheter quelque chose
22:44dans les boutiques.
22:45Elle vous a dit
22:45oui,
22:46mais il faut respecter
22:47la réglementation,
22:48les conditions sanitaires,
22:49etc.
22:50Ce sont des arguments
22:51qui ne portent pas.
22:52Et pourquoi ils ne portent pas ?
22:53Tout simplement
22:54parce que,
22:55et là,
22:56l'évolution énorme
22:57entre les deux périodes
22:59d'il y a 50 ans
23:00et aujourd'hui,
23:02c'est le consumérisme
23:05qui a tout recouvert.
23:08On a toujours été consommateurs
23:10évidemment
23:10mais le consumérisme
23:12n'occultait pas
23:13toutes les autres considérations.
23:15Aujourd'hui,
23:16c'est le cas.
23:16Ce qui prioritarise
23:19la société,
23:20c'est le consumérisme,
23:21donc l'individualisme,
23:23l'égocentrisme
23:24qui noie tout le reste.
23:26Et on va continuer
23:27à échanger avec vous
23:28et avec les auditeurs.
23:29Bien sûr,
23:29vous nous appelez
23:30au 30 de 10
23:31pour nous dire
23:32si c'était mieux avant,
23:33si on soignait mieux avant,
23:35si on éduquait mieux
23:36nos enfants avant.
23:37Toutes ces questions-là,
23:39on va les aborder
23:39dans un instant.
23:40Avant cela,
23:40la météo avec vous,
23:41Peggy.
23:42Il y a donc
23:43cette dépression pluvieuse
23:44qui arrive par l'ouest.
23:45qui est bien là
23:46et bien présente
23:47sur une bonne partie
23:49ouest du pays.
23:50Et là où on a
23:51les pluies,
23:51les pluies soutenues,
23:52c'est véritablement
23:52sur l'Occitanie.
23:53Depuis ce matin,
23:54et ça continue cet après-midi,
23:55on attend un important
23:56cumul de pluie
23:57avec des pluies orageuses.
23:59Et puis,
23:59une bonne quantité de neige
24:00également sur les Pyrénées
24:01à partir de 1800 mètres.
24:03les pluies sont plus faibles
24:04sur la partie nord
24:05et puis sur la façade atlantique,
24:06on pourrait même avoir
24:07quelques éclaircies
24:08entre deux gouttes de pluie
24:09entre la Bretagne
24:10et la côte aquitaine.
24:11Et là où le temps
24:12est plus sec et plus calme,
24:13c'est véritablement à l'est
24:14avec même un temps lumineux
24:15et du soleil
24:16entre l'Alsace-Lorraine
24:18et la région Paca
24:20pour cet après-midi.
24:21On a toujours un vent sensible
24:22près de la Méditerranée.
24:23Le tout sous des températures,
24:24alors en légère baisse,
24:25mais encore au-dessus
24:26des normales,
24:2614 à 19 degrés
24:28sur la plupart des régions
24:29jusqu'à 21 à Jacques-Ciou.
24:30Merci beaucoup Peggy.
24:32La suite du programme
24:32Médéo de la semaine
24:33dans un instant.
24:34Et puis on vous attend
24:35au 3210.
24:36A tout de suite.
24:37Amandine Bégaud,
24:38RTL Midi,
24:39les auditeurs ont la parole.
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