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  • il y a 2 mois
Révélation ce matin dans "Morandini Live" sur l’université de la Sorbonne Nord, présentée par "Valeurs Actuelles" comme le temple du communautarisme musulman: Repas halal, tags prosélytes, prières dans les couloirs - VIDEO

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Transcription
00:00Et puis on accueille Pauline Condomine, bonjour, merci d'être avec nous, vous êtes journaliste à Valeurs Actuelles et j'ai voulu vous avoir ce matin sur le plateau parce que vous publiez dans Valeurs Actuelles une enquête.
00:08Alors une enquête sur l'université de la Sorbonne à Ville-Tanneuse et vous affirmez que ce serait l'université la plus islamisée d'Île-de-France ?
00:16Alors effectivement l'université Sorbonne-Paris Nord, ancienne Paris 13, nous avons publié un reportage parce que je me suis rendue là-bas, alertée par des professeurs, par des sources internes
00:25qui me disait ça fait deux ans qu'en fait on voit des étudiants qui peuvent prier dans les couloirs, qu'il y a des tags prosélytes inscrits sur les murs avec des connotations rigoristes
00:36et que l'administration ne fait rien, donc j'ai décidé de m'y rendre par moi-même pour constater effectivement ce qui se passait dans cette université.
00:44Alors vous publiez un article dont le titre est l'université Paris-Ramala, carrément, pourquoi ce titre ?
00:49Alors c'est un mot d'un des professeurs qui m'a dit en fait on se croirait entre Naplouse et Ramala, c'est-à-dire que quand on rentre effectivement
00:56il y a quelque chose d'assez visuel, on voit qu'une étudiante sur trois porte le voile et dont une partie porte un voile intégral à l'aide d'un masque chirurgical noir
01:06qui permet de contourner en fait l'interdiction de dissimuler son visage.
01:10Et donc voilà, il faut savoir que dans cette université il y a 25% des étudiants qui sont étrangers, donc c'est plus que le taux moyen national.
01:19Dont la majorité qui sont algériens. Et effectivement quand on rentre il y a un peu ce sentiment de décalage, surtout quand on sait que c'est la Sorbonne.
01:27Quelle est l'ambiance à l'intérieur ? Il y a une pression, il y a une oppression même à l'intérieur ?
01:33En fait il y a une ambiance qui est assez sereine, assez paisible. Moi j'y suis allée un jour tout à fait normale, avec des cours normaux, pas d'événements particuliers.
01:40Ce que disent les professeurs c'est qu'il n'y a pas d'esclandre comme dans certaines universités où il peut y avoir des mouvements sociaux.
01:44Là c'est très tranquille parce qu'on est un peu dans l'après. C'est-à-dire que la communauté tient l'université, il n'y a pas de vague.
01:52Et puis ce que me disent aussi les professeurs c'est qu'ils voient des étudiantes, des jeunes étudiantes qui intègrent l'université,
01:57qui ne portent pas de voile quand elles arrivent, qui ne sont pas spécialement pieuses.
02:01Et que quelques mois plus tard ils vont les retrouver avec un voile sur la tête et parfois faire des prières dans les couloirs.
02:06Donc il y a presque un mouvement qui emporte ces étudiants-là.
02:09Vous avez dit la communauté tient l'université, ça se manifeste comment ?
02:13C'est ce que nous disent les professeurs, c'est qu'en fait souvent, alors de source interne évidemment,
02:18si on veut avoir des postes à responsabiliser dans cette université, il ne faut pas trop embêter les associations étudiantes.
02:24Il faut savoir qu'il y a des associations étudiantes qui ont fait un business grâce au commerce halal,
02:29donc qui vendent des menus halals le midi dans un couloir de l'université, le couloir des associations,
02:35avec des prix qui défient toute concurrence, qui ont une sorte de monopole sur ce commerce du halal.
02:40Et voilà, étant que personne n'est embêté, que ce soit dans ce commerce-là ou dans les prières dans les couloirs,
02:47parce que visiblement il n'y a rien qui n'est fait depuis deux ans pour venir à bout de ce phénomène.
02:51C'est-à-dire qu'il y a des prières qui se font dans les couloirs ?
02:54Effectivement, alors moi je m'y suis rendue parce qu'on m'a dit qu'il y avait des prières dans les couloirs,
02:58mais j'ai voulu constater de mes yeux, donc moi je suis venue le matin, on m'a certainement pris pour une étudiante,
03:04et j'ai attendu qu'il soit 13h43, c'est-à-dire la prière de la mi-journée,
03:08parce qu'il y a cinq prières obligatoires en islam, et je me suis rendue dans ces lieux aménagés,
03:12où on voit qu'il y a des tapis de prières à disposition dans les cages d'escalier.
03:16J'ai attendu 13h43, effectivement à 13h43, j'ai vu des étudiantes qui se précipitaient
03:21pour venir faire leurs prières à l'heure dans les couloirs de l'université.
03:25Elles m'ont croisée, elles ont peut-être un petit mouvement de recul,
03:27mais ça ne les a pas empêchées de faire ces prières,
03:30et il faut savoir qu'il y a des espaces où les femmes prient,
03:33donc là c'était des femmes, c'est un groupe de femmes,
03:35mais il y a aussi des espaces où les hommes prient,
03:37donc voilà, tout ça est très codifié.
03:39Et il y a même un professeur qui m'a expliqué que parfois il y a des étudiants masculins
03:43qui font le guet devant justement les portes des cages d'escalier,
03:46pour que les femmes ne soient pas interrompues dans leur prière,
03:48puisqu'une femme n'a pas le droit de faire sa prière en présence d'un homme.
03:51Mais vous avez eu l'occasion de parler avec la direction de l'université,
03:55enfin ils laissent faire parce que c'est une façon d'assurer le calme dans cette université ?
04:00Eh bien écoutez, moi je ne tire pas de conclusion,
04:02mais effectivement j'ai échangé avec la présidence de l'université,
04:06qui m'a affirmé que la laïcité était un principe auquel souscrit l'université Sorbonne-Paris-Lort,
04:14que lorsqu'il y avait des manquements, il y avait des sanctions.
04:19En interne, on m'assure qu'il n'y a pas eu de sanctions depuis deux ans,
04:22bien que ces faits-là soient connus.
04:23Il y a des inscriptions quand même très rigoristes,
04:25avec les causes de la dureté du cœur qui sont écrites sur un mur,
04:29notamment la fornication, l'innovation religieuse,
04:33ou les mauvaises fréquentations, sans qu'on sache exactement ce que ça veut dire.
04:37Donc ils m'ont assuré que tout se passait bien.
04:39Pourtant j'ai du mal à croire que personne ne soit rendu compte
04:43qu'il y avait des tapis de prière dans les couloirs de l'université.
04:46Mais eux vous disent par exemple qu'il n'y a pas de prière.
04:48C'est-à-dire que ce que vous avez vu, ça n'existe pas.
04:51C'est ça a priori la position de la direction de l'université ?
04:54Vous avez rêvé quoi ?
04:55Ils ne l'ont pas vu.
04:55Ils m'ont dit qu'ils n'ont pas réagi à ce que je leur ai dit,
04:58parce que je leur ai dit exactement ce que je leur ai vu, les faits.
05:02Et ils m'ont dit que s'il y avait des manquements,
05:04il y avait des sanctions, qu'il n'y avait pas de soucis.
05:07On va regarder, il y a une petite vidéo de 1.30 qui a été faite
05:09par un de vos confrères de Valeurs Actuelles, justement,
05:11qui résume un peu tout ce que vous dites.
05:13Et puis ensuite, bien évidemment, on va en parler.
05:15Et puis je pense qu'il y a des questions à vous poser également.
05:17Regardez cette petite vidéo faite par un de vos confrères de Valeurs Actuelles
05:20qui résume tout ce que vous avez vu et entendu.
05:22Une fac islamisée au cœur de l'Île-de-France, on vous raconte.
05:27Direction Ville-Tanneuse, en Seine-Saint-Denis,
05:29sur le campus de l'université Sorbonne-Paris-Nord.
05:31Dans les cinq campus, près d'un quart des 23 000 étudiants sont étrangers
05:34et un cinquième d'entre eux serait de nationalité algérienne.
05:37Valeurs Actuelles a enquêté sur ce que des enseignants décrivent
05:39comme une islamisation de la faculté.
05:41Sur place, le constat est frappant.
05:42La moitié des étudiantes portent le voile islamique,
05:44parfois assortie d'un masque chirurgical pour en faire un voile intégral.
05:47Certains élèves arrivent dans l'université sans voile
05:49et quelques mois plus tard, elles ont adopté le foulard, décrit un professeur de la fac.
05:53Sur certains murs, des messages à connotation religieuse fleurissent.
05:55Cause de la dureté du cœur, l'innovation religieuse, la musique, la fornication.
05:59Ou encore, ramenez vos tapis ou vos voiles si vous ne les utilisez pas chez vous.
06:02Ou bien encore, accrochez-vous à la prière.
06:04On peut même également observer des flèches qui indiquent la direction de la Mecque.
06:07Plus surprenant encore, des enseignants assurent avoir découvert des espaces de prière
06:10installés dans les couloirs de la faculté.
06:11Les élèves, ils laissent leur tapis de prière et viennent prier entre les cours.
06:14Nous avons pu voir un groupe de jeunes femmes vêtues de noir de la tête aux pieds
06:17s'engouffrées dans le demi-sous-sol situé sous les escaliers à 13h45.
06:20En vitesse, elles extirpent de leur sac un tapis de prière qu'elles étendent sur le sol,
06:24pile à l'heure, pour accomplir l'une des cinq prières quotidiennes obligatoires en islam.
06:27Le tout en plein cœur d'universités publiques.
06:29Il y a deux ans alertés sur cette question, le président de l'université avait rappelé par courrier
06:33les règles de la laïcité, mais rien de plus.
06:35Depuis, la situation semble s'être aggravée.
06:37Les étudiants se cachent de moins en moins pour prier et confier un professeur.
06:40Contactés par Valeurs Actuelles, l'université assure pourtant que les règles de la laïcité s'appliquent de manière constante.
06:44Alors, on est en Ile-de-France, on le rappelle, cette université, elle est en Ile-de-France.
06:49Il y a un couloir qui s'appelle le couloir de la mort ?
06:51Qu'est-ce que c'est ?
06:52Les professeurs qui ont surnommé ce couloir, le couloir de la mort, c'est le couloir des associations
06:56où, effectivement, il y a des commerces halals qui vendent des produits pour tout le monde
07:01et qui font concurrence, en fait, au CRUS parce qu'ils ont une espèce de monopole du marché halal.
07:07Et c'est vrai que c'est assez surprenant de voir que tout est laissé faire, en fait.
07:12Il y a une espèce de laisser-aller là-dedans.
07:14Je ne sais pas si vous pouvez répondre à cette question, mais c'est possible d'être juif dans cette université ?
07:19Ça, je ne peux pas, malheureusement, répondre à cette question.
07:23Moi, ce que les professeurs me disent, c'est qu'il y a une uniformisation de toute façon de l'université.
07:26Donc, il y a une sorte de calme qui règne, il n'y a pas de souci.
07:31Mais ce qu'il faut savoir, en fait, c'est que ça fait effectivement assez longtemps qu'on alerte sur ces questions.
07:35Ça fait depuis 2023 que des professeurs m'ont alerté.
07:37L'ancien président avait écrit une lettre depuis, il ne s'est rien passé.
07:40Et surtout, en 2014, il y a l'ancien directeur de l'IUT de Saint-Denis, qui fait partie de Sorbonne Paris Nord,
07:47qui avait découvert des tapis de prière dans le local d'une association.
07:50Et en fait, à l'époque, la direction l'avait suspendu.
07:53Enfin, la présidence l'avait suspendu.
07:55Il avait été accusé d'avoir mis lui-même des tapis de prière dans le local d'une association algérienne.
07:59Il avait été suspendu, il avait été attaqué en justice.
08:03On l'avait accusé de manipulation à visée anti-islamiste.
08:07Et en fait, aujourd'hui, ce qui est assez frappant, c'est qu'on voit des prières dans les couloirs,
08:11on voit des tapis à disposition, et ça ne choque plus personne.
08:15Julien Audoul, je vois réagir à ce reportage de Valeurs Actuelles et de cette journaliste qui est avec nous, Pauline Condomine.
08:21C'est vrai que c'est assez incroyable de se dire, au fond, ça existe et personne ne fait rien.
08:26On fait comme si ça n'existait pas.
08:27Mais tout ça, sans mauvais jeu de mots, sous le tapis.
08:30Oui, mais malheureusement, ça ne nous surprend même plus.
08:33Parce que l'islamisme, qui n'a jamais été combattu dans notre pays,
08:36qui n'a jamais été contenu, il s'infiltre partout.
08:39Et il a fait notamment de l'environnement scolaire et universitaire une cible privilégiée.
08:44Je vous rappelle qu'en Iran, la révolution islamique a commencé par l'université,
08:49par l'infiltration des universités.
08:51Et aujourd'hui, effectivement, vous avez des universités qui sont, comme celle de Ville Tanneuse,
08:56totalement islamisées, qui sont dans un mode opératoire totalement décomplexé, débridé,
09:04de remplacement culturel, de remplacement culturel avec une infiltration de l'islam politique et radical.
09:11Et c'est pour ça que nous, Rassemblement National, on demande l'extension de la loi de 2004 à l'université,
09:16pour que, notamment, ce totem qui est le voile islamique,
09:19puisque là, vous avez révélé qu'une étudiante sur deux est voilée,
09:23que le voile islamique soit également interdit au sein de l'université.
09:26– Mais il y a les prières aussi, c'est-à-dire qu'il y a le voile.
09:28Les prières, par exemple, ce n'est pas autorisé, non ?
09:30C'est autorisé, les prières, dans l'université ?
09:32– C'est évidemment interdit, mais ce que je veux dire, c'est qu'ils sont assez habiles,
09:36d'une part, avec le nombre qu'ils représentent, avec les pressions sur les associations,
09:41et puis sur une complaisance d'une direction qui doit être, évidemment,
09:47soit qui a un regard plutôt attendri sur le fondamentalisme islamiste,
09:52soit qui ne veut pas faire de vagues, il faut bien le dire,
09:55parce que si, effectivement, ce sont des associations communautaristes
09:57qui tiennent l'université à la place de la direction,
10:01elles peuvent tout se permettre, que ce soit le commerce du halal,
10:03que ce soit les prières, ou que ce soit des messages sulfureux.
10:08– Maître Basson-Larbi, je vous vois un peu agacé, on va dire.
10:11– Je ne suis pas agacé, je suis ahuri.
10:12Je suis ahuri d'entendre, sur votre antenne,
10:17une journaliste dire qu'il y a une étudiante sur trois
10:19qui est voilée dans cette université.
10:21– Parce que c'est faux ?
10:22– Et la transformation par M. O'Doul, une étudiante sur deux.
10:25Dans cette université, dont la direction a fait paraître un communiqué
10:30suite à cet article, il y a 26 000 étudiants presque,
10:34dit la direction de l'université.
10:37On considère que, comme dans tous les établissements d'enseignement supérieur,
10:40il y a plus de femmes que d'hommes qui sont étudiants,
10:42il y a peut-être, je ne sais pas, 15 000 jeunes femmes qui sont étudiantes.
10:47Ça voudrait dire donc qu'il y a entre 7 000, enfin 5 000, 7 000,
10:54peut-être 7 500 étudiantes qui sont voilées.
10:58C'est ridicule.
10:59– Donc vous dites que la journaliste, vous dites que Pauline qui est là,
11:03vous lui dites qu'elle ment.
11:03– Non, je ne dis pas comment.
11:05Moi, ce que je dis, c'est que j'ai quand même du mal,
11:07quand je lis un article de presse des journalistes,
11:10c'est-à-dire que M. Oudoul a utilisé plusieurs fois le terme d'infiltré, d'accord ?
11:17Quand je regarde l'article, je l'ai lu.
11:19Quand je vois la vidéo que vous avez diffusée, je l'ai regardé.
11:22Je vois qu'il y a en fait une stratégie d'infiltration de l'université
11:24pour pouvoir procéder à ces constatations qui sont retranscrites dans l'article.
11:30En revanche, mis à part ce professeur qui a déjà eu effectivement maille à partir
11:35avec sa direction et qui aurait été blanchie, si j'en crois, votre article,
11:38tout le monde est anonyme.
11:39C'est-à-dire que vous venez, il y a soi-disant des étudiantes
11:43qui sont partout voilées et en train de prier.
11:45– Il y a des photos qui ont été publiées.
11:47– Justement, M. Morandini, la vidéo qui est diffusée, vous avez diffusée.
11:53J'affirme que toutes les images ne sont pas des images
11:56qui ont été collectées par madame à l'université.
11:59Vous avez des images qui sont des images justement d'illustration
12:02et on ne sait pas, quand on voit cette vidéo qui doit durer une minute trente,
12:06quelles sont les images qui viennent de la faculté, qui a été visitée,
12:09et quelles sont les images d'illustration.
12:11Vous avez des enfants, c'est-à-dire que je pense que c'est même un moment,
12:13on voit des jeunes filles qui sont des enfants assises dans une salle de classe portant le voile.
12:18Je pense que ça vient d'un autre pays.
12:20Vous avez deux personnes qui portent le voile.
12:22– Ça vient de l'université, vous répond, Pauline.
12:23– Non, mais non, non.
12:24– Vous avez deux personnes, deux jeunes femmes qui ont l'air plutôt moyenne orientale,
12:28qui font des coucous à la caméra.
12:29Je ne suis pas certain que dans…
12:30– Mais c'est qui vous pose problème.
12:31– On laisse répondre parce que vous vous attaquez sur le fond.
12:33– Non, mais dans l'université de valeur actuelle, il y a eu des jeunes qui vous posent problème.
12:36– Elle est tout maquillé qui a fait coucou, je ne suis pas certain.
12:38– Ce serait le journaliste.
12:39– Attendez, on va laisser répondre à la journaliste parce qu'elle est attaquée directement.
12:42– Je n'attaque pas.
12:43– Non, mais vous dites qu'il y a des choses bidons.
12:45– Il n'y a pas d'étudiante.
12:46– Alors, elle vous répond.
12:46– Et il n'y a pas de professeur à part des professeurs anonymes.
12:48– Elle vous répond.
12:49– Et on vient nous dire et nous laisser croire, quand on lit qu'il y a 15 professeurs
12:52qui ont témoigné, il y a un nom de professeur.
12:54Je ne crois pas qu'on soit en danger quand on témoigne et quand on souhaite témoigner.
12:58– Ça, je suis moins sûr que vous.
13:00En tout cas, Pauline, on domine, je vous répond.
13:01– Non, non, je suis désolé.
13:02– Elle vous répond.
13:02– Laissez-la parler, elle vous répond.
13:04– Alors, effectivement, on ne peut pas compter le nombre d'étudiantes voilées.
13:09C'est sûr que visuellement, quand on voit presque la majorité des étudiantes qui portent le voile,
13:15c'est quelque chose qui peut choquer visuellement parce qu'on le voit.
13:19Mais effectivement, on ne peut pas faire de chiffres.
13:21Après, pour les illustrations, effectivement, les jeunes femmes qui étudient en salle de classe voilées,
13:29c'est bien une photo qui a été prise à l'université.
13:31D'ailleurs, il y a deux ans, il y avait même une photo d'une professeure qui avait un turban
13:35qui avait donné cours dans cette université.
13:38C'est complètement avéré, ça avait été reconnu par l'administration.
13:42Les deux jeunes femmes qui font coucou, c'est une image d'illustration.
13:44Mais vous-même, vous avez discerné le fait que c'était une image d'illustration.
13:47Et je pense que c'est assez clair.
13:49Et puis, sinon, les professeurs, effectivement, il y a un danger pour eux à témoigner
13:53parce qu'ils peuvent risquer des sanctions disciplinaires,
13:57ils peuvent risquer de se faire lâcher par leur propre université.
13:59C'est ce qui est arrivé à Samuel Mayol.
14:01Et c'est ce qui pourrait arriver à d'autres professeurs qui ont bien voulu témoigner
14:04s'ils témoignaient à visage découvert, malheureusement.
14:06Mais en fait, il n'y a que les photos qui vous choquent, en fait.
14:08Dans tout ce qui a été raconté par la journaliste, il n'y a que les photos qui vous choquent.
14:11Alors, vous allez nous le dire après parce qu'on fait le CNews Info.
14:13Et je vous redonne la parole sans problème puisque vous savez que la parole est libre ici.
14:15Sommeil à l'abidi, le CNews Info.
14:20Cette dame est une héroïne du quotidien.
14:23Les mots ce matin de Philippe Tabarro, ministre des Transports,
14:26qui réagissait au courage dont a fait preuve la directrice d'un établissement scolaire
14:30qui est intervenu pour protéger une victime d'une tentative de viol dans le RERC il y a quelques jours.
14:37Il va d'ailleurs proposer à Emmanuel Macron de lui attribuer l'ordre national du mérite.
14:41Au deuxième jour du procès du cyberharcèlement de Brigitte Macron,
14:46sa fille, Tiffé-Nosière, va être entendue pour, je cite,
14:49mettre fin à ses rumeurs une bonne fois pour toutes.
14:52Rumeurs relayées par une dizaine de prévenus et selon lesquelles la première dame serait un homme.
14:57Et puis on termine avec les images impressionnantes des inondations au Vietnam.
15:01Le pays a enregistré jusqu'à 1,7 m de précipitation en 24 heures, soit un record national.
15:08Des pluies diluviennes s'abattent depuis le week-end dernier,
15:10entraînant notamment la fermeture des écoles et l'évacuation de plus de 8000 personnes.
15:16Merci beaucoup Somaïa, on vous retrouve tout à l'heure à 11h30 pour faire un nouveau point sur l'actualité.
15:21On continue à parler de cet article de Valeurs Actuelles, enquête sur la fac la plus islamisée de France,
15:26de nos confrères de Valeurs Actuelles.
15:27Vous avez vu le reportage qui avait été fait par Valeurs Actuelles, le résumé de cet article.
15:31Et puis Pauline Condomine qui s'est infiltrée dans cette université est avec nous.
15:35On était en train de parler avec Maître Jean-Christophe Basson-Larbi de ce reportage.
15:40D'abord, vous êtes choqué par le fait par exemple qu'il y ait des salles de prière qui soient installées dans l'université clandestine,
15:46des salles de prière clandestines ? Ça, ça ne vous choque pas ?
15:48Ce n'est pas ça que j'ai vu. J'ai cru comprendre qu'il n'y a pas de salle de prière.
15:52C'est une université.
15:53Elles sont clandestines.
15:54Mais non, c'est dans les couloirs ou dans les sous-sols.
15:55Ça vous choque ?
15:56Évidemment que ça me choque.
15:58Parce qu'on n'a pas le droit de prier ?
15:59C'est ça qui vous choque ?
16:00Oui, mais il y a plein de choses qui me choquent.
16:02Non, mais ça vous choque ?
16:02Comme quand vous dites, est-ce qu'on peut être juif dans cette université ?
16:06Ça, ça me choque beaucoup aussi.
16:07Mais c'est n'importe quoi de dire ça.
16:09Ah bon ? C'est une question, oui. Pourquoi c'est n'importe quoi ?
16:11Allez voir du côté des murs de l'université Lyon 3 par exemple, que je connais bien, les inscriptions.
16:16Allez voir, dans toutes les universités de France, il y a des endroits effectivement
16:20où il y a des inscriptions qui sont antisémites et islamophobes.
16:23On ne les a pas vues et pourtant j'imagine qu'on a quand même bien regardé, bien cherché sur les murs.
16:29Évidemment que ça me choque.
16:30Mais qu'est-ce qui vous choque ?
16:31Je comprends, c'est la question qui vous choque ?
16:33Non, non, il y a plusieurs choses, comme je vous le dis, qui me choquent.
16:36Non, non, mais là, par rapport à ce que vous dites, parce que j'ai posé cette question, c'est ça qui vous choque ?
16:40Parce que je demande si on peut être juif dans cette université ?
16:42Et si on peut l'afficher ?
16:43J'espère bien que oui.
16:44J'espère aussi.
16:45Et si ce n'est pas le cas, on est d'accord ?
16:46J'espère bien aussi.
16:50Oui, mais il y a matière, il y a un sujet, et vous englobez les choses en mêlant l'antisémitisme
16:57avec les prétendues constatations de ce reportage où tout le monde est anonyme.
17:02Monsieur, vous qui vivez dans la cinquième dimension, il n'y a aucun lien ?
17:04C'est maître, ce n'est pas monsieur.
17:06Non, c'est quand même monsieur.
17:07Est-ce qu'il y a un lien entre l'islamisme et l'antisémitisme ? Oui ou non ?
17:11Non, pas nécessairement.
17:12D'accord, d'accord.
17:13Pas nécessairement.
17:14Et évidemment, je ne vis pas dans la même dimension que vous, bien heureusement.
17:17Vous êtes vraiment bien atteint.
17:18Parce que, excusez-moi, le lien entre l'islamisme, qui est un antisémitisme débridé,
17:23qui constitue aujourd'hui la principale menace pour notre compagnie de confession juive,
17:26les principales agressions, les principales attentats, il n'y a aucun lien entre l'idéologie...
17:30Pas nécessairement, c'est vous qui faites le lien.
17:32C'est vous et votre parti, nos et abonds, qui faites le lien.
17:35C'est ça.
17:36Mais j'observe, parce que ce qui vous dérange, c'est le journal de la journaliste.
17:40Ce qui vous dérange, c'est Valeurs Actuelles.
17:41Pas du tout, pas du tout.
17:43Ce qui me dérange, c'est vous, ça oui.
17:45Alors, on essaie de se respecter de Paris.
17:47J'ai bien compris que je vous dérangeais, désolé de représenter 11 millions d'électeurs.
17:53Mais ce qui vous dérange, c'est que cette enquête a été menée par Valeurs Actuelles.
17:57Pas du tout.
17:57C'est un journal qui donne du urticaire.
17:59Pas du tout.
17:59Parce que, mon Dieu, c'est un journal de droite.
18:01Mais pas du tout.
18:01Si ça avait été Le Monde, si ça avait été Libération ou Mediapart, je pense que vous n'auriez pas eu de problème.
18:06Je ne suis pas un politique, moi.
18:07Non, pas du tout.
18:08Pas du tout, monsieur le début.
18:09Alors, on continue à penser.
18:10Martin Garnion, votre réaction à ce reportage de Valeurs Actuelles ?
18:15Je dois vous dire que je suis un peu choqué par la tournure que prend le débat.
18:17Parce qu'on évoque un sujet qui est extrêmement grave, qui est l'antrisme d'une religion dans la sphère universitaire.
18:24Qui est quand même en France, dans la République, un symbole fort.
18:27Et on se retrouve finalement à faire le procès d'un journal et des méthodes de journaliste.
18:31On est presque en train de définir si, oui ou non, cette journaliste doit avoir une carte de presse.
18:35Et si son reportage est bien donné ou pas.
18:38Vous dénoncez des méthodes d'infiltration.
18:39Enfin bon, c'est des méthodes de journalisme de base.
18:42Je n'ai pas une méthode de procès.
18:43Quand on fait, visiblement, ce qui vous dérange, c'est plus les méthodes de l'article.
18:47Que ce qui se passe, voilà, vous mettez en question.
18:50Est-ce que les images sont des images d'illustration, etc.
18:52Ce que je ne vous ai pas beaucoup entendu sur le fond du problème.
18:55La journaliste, ça existe.
18:55D'accord, mais ce n'est pas le débat.
18:57Là, le débat, c'est sur ce qu'elle raconte.
18:59Ce qui devrait vous interpeller, c'est les images que l'on voit.
19:01Alors, vous avez des leçons de l'évoquer.
19:03Oui, mais c'est ce que je suis en train de faire.
19:06Evidemment, ça vous dérange quand on ne va pas dans votre sens.
19:08Absolument pas.
19:09Je ne vais pas ici, si c'était le cas.
19:10Ce qui devrait vous interpeller, c'est les images que l'on voit.
19:12C'est les constats qui sont posés.
19:14Et ce refus, finalement, de vouloir voir une réalité,
19:18contribue aussi à l'entretenir.
19:20C'est-à-dire que ceux qui mènent ces attaques contre la laïcité
19:24sont les mêmes qui mènent les attaques contre les journalistes.
19:26Et on en vient d'en voir, en fait, l'illustration exacte.
19:29C'est-à-dire qu'au lieu de débattre du fond du sujet,
19:31votre réaction, elle a été contre la journaliste,
19:34contre ses méthodes, et non pas contre ce qui se passe à l'université.
19:37Le vrai problème, il est là.
19:38Mais après, moi, j'aurais aimé que vous soyez surpris
19:40et étonnés et révoltés par ce qu'il se passe dans l'université.
19:43Vous n'arrivez pas à dire un mot là-dessus.
19:45Vous n'arrivez pas à dire un mot.
19:46Mes amis, j'ai le cuir tanné, j'ai les épaules solides.
19:50Si c'est de moi que l'on parle, tant mieux, c'est mon sujet préféré.
19:54Mais je suis désolé, il y a une déontologie,
19:56Jean-Marc, ce n'est pas à vous que je vais l'apprendre,
19:57journalistique.
19:58Mais quel est le problème ?
19:59Après, après, sur le fond, il y a deux choses.
20:05Vous, vous n'avez rien dit sur le fond, donc merci.
20:08Allons-y, allons-y, allons-y.
20:09En tout cas, sur le fond, il y a deux choses,
20:12effectivement, qui m'interpellent.
20:13Et qui, si vous voulez utiliser...
20:15Il y a beaucoup de choses qui choquent.
20:17C'est un terme un peu galvaudé.
20:18Mais il y a deux choses qui interrogent, effectivement.
20:21C'est que, d'une part,
20:23si ces faits-là sont établis,
20:25s'il y a des prières sauvages dans les couloirs,
20:27c'est inadmissible,
20:28eu égard au principe de laïcité,
20:30c'est inadmissible aussi par rapport au respect
20:33que l'on doit avoir.
20:34Alors, moi, je ne pratique pas de culte,
20:35mais j'ai un grand respect pour toutes les personnes
20:36qui pratiquent une religion
20:38et pour la religion en général.
20:40Mais, évidemment.
20:41Évidemment.
20:42Mais merci de dire que ça vous choque.
20:44Non, mais merci de dire que ça vous choque.
20:46Et autre chose, deuxième chose qui me choque,
20:49on est quand même sur une université.
20:51J'ai regardé un petit peu.
20:52C'est la troisième université française
20:54dans un classement international annuel 2024.
20:57C'est QS World University Ranking.
21:00OK ?
21:01On a Polytechnique et une université de langue.
21:03C'est le Qatar qui fait quoi ?
21:04Non, non, justement.
21:06Je vous en verrai si vous voulez.
21:08C'est Campus France et vous avez la Marianne, en fait.
21:10Votre Marianne.
21:11Sur le site.
21:13Allez, Bruno Povard.
21:14Allez, on va en faire.
21:15Non, non, mais attendez.
21:15C'est la vétusté.
21:16Ce qui est choquant,
21:16c'est une des meilleures universités au monde.
21:19Elle est troisième française.
21:20Elle est 63e sur 1500 classements.
21:24Un classement international de 2024.
21:27Si ces photographies, pour certaines, j'entends, et qu'elles sont vraies.
21:30Et ce qu'elle raconte, elle a dit, il n'y a pas que les photos.
21:33Vous n'arrêtez pas aux photos.
21:33Non, mais la vétusté.
21:34C'est le poids des mots et le choc des photos.
21:35Justement.
21:35Les photos, vous en avez parlé, il y a le poids des mots de ce que nous raconte Pauline.
21:39C'est une université qui est choquante.
21:40Effectivement, il faut rénover à la fois, sans doute, le respect strict de la laïcité
21:44qui doit être la même pour tous.
21:45Eh bien, très bien.
21:46Et les murs aussi de cette université qui doit pour régulièrement ses étudiants.
21:50Si on fait des choses à la base, encore une fois, il y a une responsabilité,
21:53le manque d'impartialité, je dirais, des responsables de ces universités.
21:56Ces gens-là, il faut les virer, direct.
21:57S'ils ne sont pas capables d'imposer la loi dans leur université, il faut les virer.
22:01Il n'y a pas plus d'islam que ce qu'on veut dans les universités.
22:04On est là pour apprendre.
22:05On n'est pas là pour faire de la religion.
22:06Vous avez raison d'insister sur la passivité des dirigeants de cette université.
22:11L'affaire du Louvre, c'est exactement la même chose en matière de sécurité.
22:14Bref, si on regarde bien, et ça c'est reconnu par les services de renseignement,
22:17ce n'est pas juste des rapports qui sont faits comme ça.
22:20Les services de renseignement de la police sont très inquiets, justement,
22:23sur l'antrisme de l'islamisme dans les universités de plus en plus présentes.
22:27Et lisez un très bon bouquin qui est de Mohamed Sifawi sur l'Atakia.
22:31C'est exactement ça.
22:31C'est un des éléments de l'Atakia, c'est-à-dire faire de l'infiltration en permanence,
22:35de façon insidieuse.
22:37Tout le monde ferme les yeux parce que, évidemment,
22:39la minorité, c'est mettre la pression sur la majorité.
22:41Et on l'a vu dans d'autres secteurs.
22:43Et on voit le résultat que ça donne.
22:45Mais vous savez, Maître, en plus,
22:47s'il n'y avait pas des journalistes comme Pauline
22:49qui osent y aller, qui en plus se montrent à visage découvert
22:51ensuite à la télé, qui racontent ce qu'ils ont vu,
22:54on ne le saurait pas, ça.
22:55Ça passerait totalement inaperçu.
22:56Donc il faut plutôt lui dire bravo.
22:58Il faut plutôt lui dire bravo.
23:01Quand on porte le voile.
23:01Non, non, mais attendez, c'est pas ce que je vous dis.
23:03Quand on porte le voile.
23:03Il y a quoi de cacher.
23:04Écoutez ce que je suis en train de vous dire, Maître.
23:05Un trait de religion.
23:06Attendez, pas tout ça en même temps, s'il vous plaît.
23:08S'il vous plaît, juste Bruno.
23:09Maître, écoutez ce que je vous dis.
23:10Je trouve qu'au contraire, elle est courageuse d'avoir fait ce qu'elle a fait.
23:13Elle est courageuse d'y être allée et de venir nous raconter.
23:16Autrement, qui raconte ça ?
23:17Qui raconte ce qui se passe dans ces universités ?
23:19Qui raconte qu'il y a des prières dans les couloirs ?
23:21Personne.
23:22Elle y va.
23:23Elle fait son travail.
23:24Elle y va discrètement parce qu'autrement, on ne l'aurait pas laissé rentrer.
23:27Elle vient sur un plateau à visage découvert.
23:28Elle témoigne.
23:29Elle raconte.
23:30Donc dites-lui bravo, puisque vous êtes attaché à la déontologie des journalistes.
23:33Dites-lui bravo, au contraire.
23:35Non, non, non.
23:35Moi, je voulais revenir sur votre question sur est-ce qu'on peut être juif dans cette université.
23:38Pourquoi vous posez cette question ?
23:39Parce qu'on a depuis des mois une séquence dans laquelle on observe que dans beaucoup d'universités françaises,
23:43il y a des faits d'antisémitisme avérés.
23:46Paris 8, on est le dernier exemple en date avec cette conférence lunaire
23:49où des personnes ont revendiqué, revendiqué le 7 octobre.
23:52Donc là, on est dans vraiment l'abject le plus total.
23:54C'est d'ailleurs un sujet qui est en train de grossir politiquement,
23:57qui fait la une aujourd'hui du Figaro et dont on ne voit pas le politique s'emparer pour le moment.
24:01On a un ministre de l'enseignement supérieur qui est plutôt aux abonnés absents.
24:04Donc la question que posent toutes ces dérives, et je les englobe toutes,
24:07c'est la réponse que peut apporter l'État et le politique.
24:09Et moi, la question que je me pose aussi, c'est, et d'ailleurs je vous la pose à vous, Pauline,
24:13est-ce qu'il y a des complicités dans le corps professoral ?
24:16Est-ce qu'il y a des gens qui non seulement ferment les yeux,
24:18mais qui d'une certaine manière instillent aussi un discours qui serait contraire,
24:21par exemple, aux valeurs républicaines ?
24:23Écoutez, des complicités, je ne peux pas dire s'il y a des complicités ou pas.
24:26Moi, ce que me disent les professeurs qui ont témoigné,
24:30c'est qu'il y a à minima une forme d'indifférence par rapport à ce qui se passe,
24:33et une forme d'aveuglement.
24:34C'est-à-dire qu'effectivement, on peut dire,
24:36ah ben voilà, dans la cage d'escalier, on n'a pas vu qu'il y avait des prières à ce moment-là,
24:39mais je pense que quand on passe quelque part,
24:42qu'il y a des agents d'entretien qui viennent nettoyer,
24:43et qu'en fait, on voit qu'il y a des gens qui surveillent même la porte,
24:47qu'il y a des tapis de prière, on ne peut pas passer à côté.
24:50Surtout quand on travaille dans une administration,
24:52et que notre rôle, c'est de s'assurer que la loi est respectée,
24:55que les principes sont respectés.
24:57Je pense que c'est un peu difficile de passer à côté pendant aussi longtemps.
24:59Et surtout, je pense que vous y avez passé quoi, une journée ?
25:02Oui, moi j'y ai passé.
25:02Vous avez tout vu en une journée, et comme par hasard,
25:06la direction de l'université qui est là en permanence,
25:07ils ne voient rien alors qu'ils y sont en permanence.
25:09Ils ne veulent pas voir.
25:10Il y a un truc qui ne colle pas,
25:11donc a priori, c'est qu'ils n'ont pas envie de voir non plus.
25:14En tout cas, merci Pauline d'être venue.
25:15Autre enquête est à retrouver dans Valeurs Actuelles,
25:18justement sur cette université.
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