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00:00C'est parti !
00:30Bonjour, en fait je suis présidente d'une association d'aide aux victimes.
00:36Bien sûr, je suis là du côté de la victime, de la famille et de la pauvre victime qui n'est plus aujourd'hui.
00:45J'attendais le procès depuis longtemps.
00:47En fait je connais très bien ce secteur, je ne vous en parlerai pas pour des causes de sécurité.
00:53Et en fait je pensais que d'après la maire, elle ne voulait pas à huis clos, elle voulait que ce soit public.
01:00Et je pensais que ce serait la grande assise qu'il y a derrière, en fait qui aurait pu être prise pour cette affaire.
01:05En fait nous nous sommes arrivés vendredi, j'étais avec pas mal de jeunes stagiaires.
01:10J'étais obligée, puisque c'est les vacances scolaires, donc j'étais obligée de repartir parce qu'il y avait trop de monde.
01:15Et nous sommes revenus aujourd'hui, on s'est dit qu'on va arriver plus tôt.
01:19J'ai entendu qu'il y a des gens qui étaient là depuis minuit, 5h du matin.
01:26Nous on est arrivés, il était 8h30 du matin, nous sommes toujours là dans la file d'attente, debout.
01:31Donc j'ai 67 ans.
01:33C'était important d'être présente en fait aux côtés de la maman,
01:37et que j'ai rencontré tout à l'heure, et à qui je lui ai dit tout notre soutien de toute façon,
01:42en tant que famille des victimes.
01:44Et nous sommes allés demander aux gendarmes, qu'est-ce qui se passait, pourquoi on ne pouvait pas rentrer.
01:50Et en fait ils disaient qu'il n'y avait pas de place.
01:52Donc ils savaient très bien qu'il y aurait du monde.
01:54C'est une affaire qui a été médiatisée.
01:56Nous nous sommes toujours là pour les victimes, il n'y a pas de soucis.
02:00On avait maintenant 40 ans.
02:01Et ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi ils n'ont pas pris la grande salle des Assises pour ce procès.
02:08Ce qu'il fait, c'est qu'on a été mélangé un peu avec n'importe qui, n'importe quoi.
02:13Et des gens qui étaient là, on appelle ça, je ne sais pas, la nouvelle génération des influenceuses,
02:19et qui racontent un peu tout, n'importe quoi dans leurs réseaux sociaux, c'est ce qu'on avait remarqué.
02:23Puisqu'ils n'étaient pas présents à l'audience, mais ils peuvent inventer ce qui s'est passé par rapport à l'audience.
02:31Ça m'inquiète quand même la justice, parce qu'après 40 ans d'intervention,
02:34je ne comprends pas comment ça se fait que la justice est devenue à ce point-là irrespectueuse auprès des justiciables.
02:44Parce qu'en plus, tout à l'heure, il y avait des personnes adultes handicapées qui voulaient rentrer,
02:48qui ont présenté leur carte aux gendarmes, et les gendarmes n'ont pas voulu les faire rentrer.
02:53Il y a eu beaucoup de heurts entre personnes, pour rien du tout.
02:59Et les gendarmes, ils n'étaient pas neutres, ils prenaient partie pour la cause de la personne qui avait agressé,
03:06et non pas pour la victime, qui avait été insultée ou autre.
03:09Donc on a vu l'horreur.
03:10Donc là, bientôt, il est 18h, on ne va pas tarder à partir de toute façon.
03:14Bien sûr qu'on ne reviendra pas, on soutient toute la famille,
03:20on espère qu'il y aura un bon procès, un vrai procès, un vrai jugement,
03:25et que surtout, surtout, quand elle sera condamnée, j'espère,
03:29obligation de soins, surtout, l'interdiction de s'approcher des victimes et de la famille,
03:37et surtout, et surtout, que ça ne se reproduise pas dans toute la France,
03:41chose que je ne suis pas sûre, parce qu'aujourd'hui, il existe une insécurité grandissante dans toute la France.
03:48Je ne comprends pas pourquoi il n'y a pas d'intervention de la part de tous les responsables.
03:55Tout le monde est responsable.
03:57Maintenant, que font les gens qui viennent à ce procès, professionnels ou autres ?
04:03Pourquoi ils n'interviennent pas, chacun à sa petite hauteur devant chez soi,
04:07plutôt que de laisser faire, et après, venir au procès, c'est bien,
04:12mais qu'est-ce qu'on fait de ce procès ?
04:15Après ce procès, qu'est-ce qui va se passer dans le secteur ?
04:18Le secteur, il est toujours en grande insécurité.
04:22Il existe, et pas loin du commissariat du 19e.
04:26Là où il y a eu ce drame-là, déjà, en octobre 2022,
04:32il y a eu un autre drame en février 2023, juste à côté,
04:36le corps d'une femme déchiquetée qui a été lancée comme ça dans les buts de Chaumont.
04:40Là, il vient d'avoir encore un drame dans un parking,
04:44un petit jeune de 23 ans qui s'est fait agresser, qui a été tué.
04:47Puis tous les procès qu'il y a actuellement et tout, qui sont en cours ou autres.
04:51Moi, je demande en tant qu'association d'aide aux victimes, qui suis là depuis 40 ans,
04:56je continue, c'est sûr, mais je demande qu'il y ait une intervention de la part du gouvernement
05:01et de tous les responsables, de tous les élus, tous les responsables.
05:06Il faut qu'ils fassent quelque chose, parce que c'est bien bon de faire des lâchers de ballons,
05:09de faire des marches, des marches sedencieuses, mais il n'y a rien.
05:13On ne vit pas en sécurité.
05:16Aujourd'hui, on peut dire qu'on marche dans la rue, que ce soit le jour ou la nuit,
05:19on n'est pas en sécurité.
05:21La sécurité, elle est grandissante.
05:23Personne n'est à l'abri de rien.
05:24Tout le monde peut être victime de faits graves et perdre la vie comme ça, pour rien du tout.
05:32Il y a des zones où vraiment, je pense que moi, c'est la drogue qui fait, surtout la drogue.
05:40Vous les élus, je vous demande, vous les élus, les responsables,
05:43je vous demande de faire quelque chose contre la drogue.
05:45Parce que là, c'est très grave ce qui se passe.
05:48Parce que tous les procès, pratiquement tous les procès, c'est des problèmes de drogue.
05:53Donc, l'alcool, ok, mélanger vos médicaments, mais la drogue.
05:56Qu'est-ce que vous faites contre ça ?
05:57Et je souhaite beaucoup de courage à cette famille et à toutes les familles,
06:00parce qu'ils seront victimes de faits comme ça, parce qu'il y en aura d'autres.
06:05Et nous-mêmes, nous ne sommes pas à l'abri.
06:07Parce que je ne comprends pas la famille Lola, elle a été reçue à l'Elysée.
06:10Après, ça a été médiatisé.
06:12Il y a d'autres affaires comme ça.
06:13Ça n'a jamais été médiatisé.
06:15Là, la mère, elle voulait du public.
06:17On ne l'a pas écoutée, parce que la grande salle d'assises qui est derrière,
06:21une semaine avant, elle était vide.
06:24Et là, il y a un procès, c'est une affaire de braquage.
06:28Mais ils n'ont interpellé qu'un braqueur qui est en prison,
06:32et deux qui comparaissent en ligne.
06:33Donc, pour la grande salle d'assises, trois prévenus.
06:39Alors qu'ici, là, vu qu'il n'y a personne, le public n'y a pas.
06:43Vu le public qu'il y a, la mère, elle avait souhaité à ce que ça soit public pour entendre ce qui se passe.
06:51Et pourquoi on n'a pas écouté la mère ?
06:53Sa mère, elle est vraiment dans un état lamentable.
06:58Elle avait besoin de plus de soutien, peut-être, dans la salle.
07:00En général, les victimes sont contentes quand il y a du soutien,
07:05mais pas dehors, dans la salle.
07:07Elle nous a vus, mais qu'il y ait du soutien dans la salle, c'est important.
07:11Parce qu'elle a entendu des choses graves, et après, je ne rentrerai pas dans le procès,
07:15parce que ce n'est que des ondits.
07:17Moi, je n'ai pas été dans la salle d'audience, je ne peux pas dire.
07:20Après, ce n'est que des ondits, des médias, des ceci, des cela.
07:23Je ne peux pas dire ce qui se passe, je ne sais pas.
07:25Comme tout le monde, je serai comme tout le monde.
07:27Après, je vais rester jusqu'à 18h.
07:28On n'est pas dans la salle, mais on est de tout cœur, avec la famille et les victimes.
07:33Et j'espère que la petite, elle repose en paix.
07:36Je trouve qu'elle a assez souffert.
07:38Mais un OQTF, c'est quelqu'un qui est sans titre de séjour.
07:47Et un OQTF, ça peut être autre chose qu'un Africain, qu'un Maghrébin, qu'un OQTF.
07:55Ça peut être autre chose, je ne dirais pas deux noms.
07:58Mais il y a plein de nationalités OQTF, d'accord ?
08:01Après, moi, je ne suis pas contre les OQTF.
08:04Moi, quelqu'un qui vient en France pour travailler, pour payer des charges, respecter les valeurs républicaines, il est le bienvenu.
08:15Maintenant, moi, je parle des OQTF qui vont détruire la société.
08:20Et en montrant une image comme ça, ne serait-ce que de représenter les Algériens comme ça, ce n'est pas une représentation.
08:29Les valeurs républicaines, on les accepte ou on ne les accepte pas ?
08:33Les parents, les anciens qui sont venus en France, je trouve qu'ils ont respecté, ils ont toujours travaillé, ils ont toujours payé des impôts, ils ont toujours été respectés.
08:44Ils n'ont jamais eu de problème, tout le monde était mélangé.
08:47Ils n'ont jamais eu de problème entre musulmans, juifs, français.
08:50Au contraire, ils s'entendaient bien.
08:53Mais la nouvelle génération d'aujourd'hui, c'est celle qu'on veut mettre en avant, qui ne travaille pas.
09:00On leur apprend à ne pas travailler, à ne pas payer des charges.
09:05Ce n'est pas normal.
09:06Moi, j'estime qu'on est dans un pays avec des valeurs.
09:10Même si vous n'êtes pas né en France, mais vous êtes ici.
09:14Mais vous savez qu'il y a beaucoup de gens, quand même, dans tous les corps de métier, qui sont des étrangers, et qui sont venus sans papier, mais qui travaillent, et qui payent des charges, et qui respectent.
09:26Et quand ils font un mariage, ils ne se marient pas qu'entre eux.
09:31Ils vont dans les écoles de la République, ils grandissent dans les écoles de la République, ils fréquentent les parcs de la République, ils côtoient.
09:39Là, aujourd'hui, vous avez des gens qui font des communautés.
09:43Ce n'est pas bon, il ne faut pas les laisser.
09:45Et qui les aide ?
09:47C'est nos responsables.
09:49Qui les aide ?
09:51C'est les responsables.
09:52Aujourd'hui, on les laisse squatter des appartements.
09:56Alors, les gens, ils disent, oui, il n'y a pas d'HLM, ça fait longtemps.
09:59Non, il y a des HLM.
10:01Il y a des habitations loyer modérées, mais ils les ont squatter.
10:06Par exemple, je connais des cas, ça fait 7 ans qu'ils ne payent pas de loyer.
10:11Eh bien, des valeurs sociaux les laissent, alors qu'il y a des jugements.
10:15Sans droits, sans titres, vous voyez ?
10:17Mais la famille, elle est venue, elle avait un logement, elle n'avait pas de carte d'identité.
10:22Comment elle peut avoir un logement sans carte d'identité, tu vois ?
10:25Les OQTF, quand ils sont rentrés, les Asiatiques, ils les ont tout de suite légalisées.
10:29Tu vois ce que je veux dire ?
10:30À quelle période, tu vois ce que je veux dire ?
10:32Ils les ont légalisées tout de suite.
10:33Bah si, bah si.
10:34Ils étaient dans les groupes.
10:37Donc, ils les ont légalisées tout de suite.
10:39Ils leur ont donné un logement tout de suite.
10:41Ils les ont adaptées tout de suite.
10:42Que là, un OQTF autre qu'Asiatique, il va rentrer, il n'y a personne qui va s'en occuper.
10:47Oui, les associations gauchos, ils les font rentrer.
10:51C'est vrai qu'ils les font rentrer.
10:52Mais ils les laissent vivre comme des...
10:54Je ne vais pas dire le mot.
10:56Ils les laissent vivre dehors.
10:57Ils vivent dehors sous les ponts.
11:00Et il y en a, pas tous, mais il y en a qui vont avec des enfants.
11:05Il y en a qui vont devenir drogués.
11:08Ils vont aller dans la délinquance.
11:12Il y en a qui s'en sortent.
11:14Il y en a qui arrivent à s'en sortir.
11:17Tu vois ?
11:17Mais là, par exemple, dans ce cas-là,
11:19où la jeune femme qui a été expulsée,
11:21elle avait un studio,
11:23alors qu'elle n'a pas de papier.
11:25Elle avait un studio.
11:26Elle n'avait pas de papier.
11:28Comment ça se fait qu'on a un studio, on n'a pas de papier ?
11:30Il y a quelque chose qui ne va pas.
11:32Je veux dire, le bailleur,
11:33comment ça se fait qu'il lui a donné ce studio ?
11:35Je ne comprends pas.
11:36Tu vois ce que je veux dire ?
11:37Et un OQTF, il doit être suivi.
11:40Cette jeune fille, elle a fait des études,
11:42elle a été jusqu'au bac, elle ne l'a pas eu.
11:44D'accord ?
11:45Elle a prévenu.
11:46Comment ça se fait qu'elle n'avait pas un suivi ?
11:49Parce qu'elle a déjà eu des problèmes dans un centre médical,
11:51elle a agressé des gens.
11:54Ces gens-là ont été au commissariat pour porter plainte,
11:57le centre médical du 19ème,
11:59et ils n'ont pas voulu prendre sa plainte.
12:01Vous voyez ?
12:01On en arrive.
12:03Quand il y a une agression,
12:04les commissariats doivent prendre des plaintes.
12:07Ça ne serait peut-être pas arrivé là.
12:09Vous voyez ce que je veux dire ?
12:10Elle aurait été condamnée,
12:11peut-être qu'elle serait l'obligation de soin,
12:13parce qu'elle se drogue.
12:14Elle se drogue,
12:15donc l'obligation de soin.
12:17Ok ?
12:17Et comment ça se fait que dans l'immeuble,
12:19elle habitait depuis combien de temps dans l'immeuble ?
12:21Et personne n'a rien dit ?
12:24Vous voyez ?
12:25Il y a des choses quand même qui sont bizarres.
12:28Mais il faut le savoir,
12:29c'est qu'en face de cet immeuble,
12:31il y a un immeuble de jeunes femmes,
12:34pratiquement, qui sont sans papier.
12:35Et il y a une association de sans-papiers
12:38qui est la pompe à essence juste à côté.
12:41Il faut le savoir.
12:42Après, le café là,
12:44où elle fréquentait,
12:45tout le monde se fréquentait,
12:46le café au coin.
12:48Vous y allez aujourd'hui,
12:49je vous invite à y aller,
12:50vous allez voir ce qu'il y a.
12:52La délinquance,
12:52elle est en augmentation là-bas.
12:55C'est la rue Manin, je crois.
12:57C'est pas loin des buts de Chaumont.
13:00La rue Manin, je crois.
13:01Mais vous y retournez,
13:02moi je vous invite,
13:03monsieur,
13:04je vous invite,
13:06on se donne rendez-vous,
13:07vous ne venez pas avec votre caméra discrètement,
13:10on va y aller sur les lieux,
13:11vous allez voir.
13:11Je vais tout vous montrer.
13:13Je vais tout vous montrer.
13:14La délinquance en augmentation,
13:16et on laisse faire.
13:17Le commissariat, il n'est pas loin,
13:18il est à côté.
13:19Pourquoi ils ne font pas cesser ces dangers ?
13:22Pourquoi ?
13:24Pourquoi tous ces gens,
13:25ils viennent, c'est bien,
13:26mais pourquoi ils ne font pas quelque chose
13:28pour la société ?
13:29Pour arrêter ces drames.
13:31Parce que c'est des drames ça.
13:33Les gens disent,
13:33c'est de la barbarie,
13:34c'est des drames.
13:36Parce qu'il n'y a pas que la mère,
13:37il n'y a pas que le père
13:38qui s'est suicidé,
13:41il y a aussi les frères,
13:42il y a aussi la famille,
13:43il y a les voisins,
13:45et tout le monde.
13:46ce n'est pas le seul procès qu'il y a eu,
13:50où il y a des drames comme ça.
13:51Ce n'est pas le premier,
13:52ce n'est pas le dernier.
13:54Regardez tout ce qui se passe en ce moment,
13:55et on appelle ça des faits divers.
13:57Ce n'est pas des faits divers.
13:59Il faut mettre le mot là où c'est.
14:01C'est des crimes,
14:03des crimes barbares.
14:05Les gens qui prennent de la drogue,
14:09de la drogue,
14:09de l'alcool et tout ça,
14:11on vit parmi eux.
14:13Ça peut être votre voisin,
14:14ça peut être mon voisin,
14:15on ne sait pas,
14:15on ne sait pas.
14:16Ça va très très mal,
14:17la société va très très mal.
14:19Et le fait de ne pas laisser rentrer le public
14:21dans une audience,
14:22ça ira encore plus mal.
14:31– Sous-titrage FR 2021
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