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Gabriel Attal, Élisabeth Borne, Édouard Philippe... «Tous ces gens sont ingrats» envers Emmanuel Macron, juge Sébastien Lignier
Europe 1
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il y a 5 semaines
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00:00
Europe 1, Europe 1, 11h30, 13h, Eliott Deval et vous.
00:06
On est ensemble, vous l'avez entendu, jusqu'à 13h en direct sur Europe 1, Eliott Deval et vous, pour commenter l'actualité.
00:14
Prenez votre téléphone, c'est une parole libre, une parole plurielle au 01 80 20 39 21.
00:21
On a parlé de la France, du plaisir, de dire qu'on aime notre pays, notre tradition, notre culture,
00:26
avec cette déclaration qui a fait beaucoup parler de Jean Dujardin.
00:30
Hier soir au 20h de France 2, Géraldine Hamon, vous êtes avec nous, vous êtes journaliste bien évidemment,
00:34
mais avant d'être journaliste, vous étiez professeure.
00:37
Enseignante, exactement. Alors j'ai enseigné l'anglais en France et pour mes études, j'ai enseigné le français à l'étranger.
00:44
Je suis partie un an en Australie, à l'autre bout du monde, pour enseigner le français.
00:48
Et à l'autre bout du monde, on aime la France ou pas ?
00:50
On aime la France à l'autre bout du monde.
00:52
C'est vrai que quand je disais, en plus je venais de Paris, j'habitais à Paris à l'époque, comme toujours, comme maintenant,
00:58
les élèves que j'avais là-bas m'enviaient d'être parisiennes.
01:03
Surtout que la langue française est considérée comme une langue sexy.
01:08
Ah, yes, of course.
01:08
Même si c'est très difficile à enseigner et à apprendre,
01:14
parce que la grammaire française à enseigner aux étrangers est très difficile.
01:18
Déjà pour nous, c'est compliqué.
01:19
Voilà, surtout aux anglais où leur grammaire est très facile.
01:22
Mais donc voilà, oui, c'était une fierté de dire que j'étais parisienne et française.
01:27
Eh bien écoutez, c'est important aussi de découvrir les personnes qui travaillent avec nous.
01:31
Et donc Géraldine, qui est journaliste désormais, était enseignante auparavant.
01:36
Et surtout, c'est ce plaisir de voir qu'à l'étranger, vous avez des...
01:41
Mais comme maintenant, la France s'est appréciée, la France s'est adorée.
01:45
Je vous parlais de ça il n'y a pas de temps, mais c'est toujours le cas en fait.
01:48
Je pense qu'aujourd'hui, les étrangers réfléchissent à deux fois avant de venir en France
01:53
pour des raisons différentes.
01:54
Par exemple, la sécurité.
01:56
La sécurité, la saleté à Paris.
01:58
Les rats, les surmulots.
02:01
C'est quand même fou, Christophe Bordet, toujours avec nous.
02:03
Il faut le dire, c'est dégueulasse.
02:04
C'est pas Émilie de Paris, quoi.
02:06
Sébastien Ligny, également présent, chef du service politique de Valeurs Actuelles.
02:10
Alors, il veut qu'on parle d'un sujet...
02:12
Les Français commencent à en avoir un peu ras-le-bol, je crois.
02:15
C'est pour ça qu'il faut en parler.
02:16
L'Assemblée nationale a rejeté de peu la motion de censure, vous le savez.
02:20
Le PS et les LR ont sauvé le gouvernement Lecornu.
02:23
La motion LFI a recueilli 271 voix, soit 18 de moins que les 289 nécessaires
02:29
pour faire tomber le gouvernement.
02:30
Hier, Édouard Philippe était l'invité de l'événement.
02:35
C'était l'émission sur France 2.
02:37
Et vous savez, Édouard Philippe, la semaine dernière,
02:38
il avait plaidé pour la démission anticipée du président de la République.
02:43
Bon, et des élections donc présidentielles anticipées.
02:46
Une semaine plus tard, est-ce qu'Édouard Philippe, l'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron,
02:51
retourne sa veste, rétro-pédale ou persiste et signe ?
02:56
Écoutez, chers auditeurs.
02:57
J'ai beaucoup de respect pour le président de la République qui m'a nommé Premier ministre,
03:00
mais je ne lui dois rien.
03:01
Il est venu me chercher et puis il a cessé ce travail collectif que nous avions engagé
03:06
quand il l'a souhaité et il en avait parfaitement le droit.
03:08
J'entends le président de la République dire qu'il est le garant de la stabilité.
03:11
Mais objectivement, qui a créé cette situation de très grande instabilité ?
03:15
Et pourquoi ?
03:16
Il se trouve que c'est lui.
03:17
Je pense qu'il a une responsabilité éminente,
03:19
à la fois dans la cause de cette affaire et dans la façon de le régler.
03:21
Je pense que c'est la seule décision digne qui permet d'éviter 18 mois d'indétermination et de crise.
03:29
Bon, il y a des phrases quand même chocs.
03:31
Je ne lui dois rien.
03:33
Et il va sur le terrain de la dignité, de la morale, la dignité du président de la République.
03:38
Sébastien Ligné, décodez-nous ça.
03:39
Bon, on assiste à une fuite en avant assez hallucinante.
03:43
C'est-à-dire qu'aujourd'hui, tous les macronistes se rendent compte
03:46
qu'Emmanuel Macron est en fait un gigantesque trou noir.
03:48
Et plus on s'approche d'Emmanuel Macron, plus on est broyé.
03:51
Et donc on approche de 2027.
03:53
Et donc Attal, Philippe, Borne, essayent tous de s'éloigner,
03:59
de contrer les lois de la gravité
04:01
et d'arracher cette étiquette macroniste en vue de 2027.
04:04
Mais moi je pense que c'est trop tard.
04:06
Et je ne sais pas si on aura des auditeurs,
04:08
mais aux yeux de tous les Français,
04:10
Édouard Philippe, c'est un macroniste.
04:11
Et il sera jugé comme tel.
04:13
Il est comptable du bilan d'Emmanuel Macron pendant une décennie.
04:17
Et en plus de cela, je pense que l'ingratitude de cet homme
04:20
va être très sévèrement jugée par les Français.
04:24
Parce qu'honnêtement, dire, je ne lui dois rien,
04:27
alors que cet homme-là, comme Édouard Philippe, comme Elisabeth Borne,
04:30
mais cet homme-là, que serait Édouard Philippe sans Emmanuel Macron ?
04:34
Il serait sûrement toujours maire du Havre.
04:36
Alors c'est très bien d'être maire du Havre,
04:38
mais il ne serait jamais une figure nationale.
04:40
Que serait Gabriel Attal sans Emmanuel Macron ?
04:43
Que serait Elisabeth Borne sans Emmanuel Macron ?
04:45
Donc tous ces gens sont ingrats
04:47
et ils seront balayés par le trou noir de Macron.
04:49
Christophe Bordet, et on sera avec Véronique Besse,
04:52
la députée de Vendée, non inscrite.
04:54
Vous savez qu'on a beaucoup parlé de la seule députée LR
04:56
qui a voté la motion de censure à l'FI et à l'RN,
04:59
mais il y a aussi des non inscrits.
05:01
C'est des députés qui sont...
05:02
Qui ont eu du courage !
05:03
Bien sûr, on parlera de ça avec Véronique Besse dans un instant.
05:06
Mais vous savez, c'est des députés qui ne sont pas affiliés à des partis,
05:09
qui sont donc non inscrits,
05:10
qui sont élus sur leur nom
05:12
et sur ce qu'elles peuvent faire
05:13
ou ce qu'ils peuvent faire sur le terrain
05:15
et qui ont voté la motion de censure.
05:18
On en a très peu parlé, justement.
05:20
Je crois qu'ils sont 2 sur 9 non inscrits
05:23
à avoir voté la motion de censure.
05:24
Christophe Bordet.
05:25
Édouard Philippe, pour revenir à lui,
05:26
moi ce que je trouve formidable,
05:28
c'est que jusqu'à il y a 8-10 jours,
05:29
quand il a fait sa première déclaration,
05:31
on ne l'entendait plus trop.
05:32
Et là, il a trouvé aussi le filon,
05:34
quelque part, pour revenir dans le game.
05:36
Parce que c'est quand même aussi un petit peu ça.
05:38
Moi, j'ai connu Édouard Philippe, comme vous,
05:40
avant qu'il soit Premier ministre,
05:43
Édouard Philippe, pardon, n'avait aucune,
05:45
pardon, mais aucune personnalité.
05:48
C'était un politique que l'on ne connaissait pas,
05:50
il n'avait absolument aucune personnalité.
05:52
C'était d'une mollesse absolue.
05:54
Je ne vais pas sur le terrain de la mollesse.
05:56
Mais il doit tout, il doit tout, effectivement,
05:58
à Emmanuel Macron.
05:59
Il faut quand même le rappeler.
06:00
Et d'ailleurs, à l'Élysée, aujourd'hui,
06:02
je peux vous dire que quand vous discutez
06:03
avec certains conseillers,
06:05
ils vous disent que le président de la République,
06:07
il est très en colère contre Édouard Philippe, évidemment,
06:10
et contre Attal.
06:12
Parce qu'effectivement, il les a faits, ces hommes-là.
06:14
Oui, à l'inverse,
06:15
les équipes de Gabriel Attal ou d'Édouard Philippe
06:17
pourraient vous dire que le président de la République
06:19
s'est très mal comporté.
06:20
Les fautes sont partagées.
06:22
Les fautes sont peut-être partagées.
06:23
Mais moi, ce qui m'intéresse, c'est est-ce que,
06:25
et c'est peut-être Sébastien Ligné
06:26
qui a eu la bonne grille de lecture,
06:28
de dire, un, le bilan comptable.
06:30
C'est-à-dire, vous pouvez dire
06:31
tout ce que vous voulez maintenant,
06:32
vous restez un macroniste
06:34
quand vous avez passé ces années
06:35
avec l'intérieur de la Macronie.
06:37
Et deux, en revanche, là, c'est la forme,
06:40
c'est-à-dire que les Français,
06:42
c'est la forme et le fond,
06:43
c'est-à-dire qu'ils sont attachés
06:44
aux valeurs d'humilité,
06:46
aux valeurs de loyauté, de fidélité.
06:48
Et quand vous voyez des anciens premiers ministres,
06:50
pardonnez-moi l'expression,
06:51
cartonner le président de la République
06:54
qui n'est pas très populaire,
06:56
ça peut faire l'effet strézende,
06:58
l'effet inverse.
07:00
Véronique Besse est en direct avec nous,
07:01
Madame la députée.
07:02
Bonjour.
07:03
Bonjour.
07:04
Véronique Besse, vous avez voté,
07:06
vous êtes députée de Vendée,
07:08
et vous avez voté la motion de censure.
07:10
Vous êtes une non-inscrite,
07:11
donc vous êtes indépendante,
07:13
vous êtes libre,
07:14
et ça tombe bien,
07:15
c'est une radio libre.
07:16
La parole, elle est libre,
07:17
elle est plurielle.
07:19
Quand vous entendez...
07:20
D'abord, revenons rapidement
07:21
sur la motion de censure.
07:23
Tout ça pour ça ?
07:24
Tout ça pour quoi, Véronique Besse ?
07:27
Écoutez, déjà, quand on est libre,
07:28
en ce moment, c'est assez confortable.
07:30
J'avoue que je suis ravie d'être non-inscrite,
07:32
puisque j'ai ma liberté de parole
07:33
et ma liberté de vote.
07:35
Alors moi, j'ai voté la motion de censure
07:37
pour deux raisons.
07:38
La première, c'est parce que je refuse
07:40
qu'un gouvernement sans courage
07:42
soit tenu en laisse par le Parti Socialiste,
07:45
qui a fait seulement 1,7% quand même
07:48
à la dernière présidentielle,
07:49
il faut le rappeler.
07:50
Et c'est ce parti aujourd'hui
07:51
qui dicte en fait sa loi à la France entière.
07:54
Donc je pense que c'est une vraie trahison démocratique.
07:57
Et puis la deuxième raison,
07:59
c'est qu'on a un gouvernement
08:00
qui n'a plus de légitimité.
08:03
Le budget qui va arriver sur nos bureaux
08:06
d'ici quelques jours,
08:07
c'est vraiment une bombe à retardement
08:09
pour le pays avec des hausses d'impôts,
08:11
on en a parlé,
08:11
avec le mépris des classes moyennes,
08:14
le mépris des territoires.
08:17
C'est pas tenable, c'est pas tenable.
08:19
Donc vous savez, moi je vous appelle
08:20
depuis une foire expo,
08:21
une grosse foire expo que j'inaigure là-dedans.
08:23
Dans ma circonscription,
08:25
les gens, ils sont écoeurés.
08:27
Ils ne me parlent que de ça.
08:30
Écoeurés du spectacle
08:31
qui est donné à l'Assemblée nationale notamment.
08:34
Et bien puisqu'on parle de spectacle,
08:36
avançons, parlons cette fois-ci
08:38
d'Edouard Philippe
08:40
qui demande à ce qu'il y ait
08:42
des présidentielles anticipées
08:43
et qui demande la démission
08:45
d'Emmanuel Macron.
08:46
Il parle de décisions dignes.
08:49
Qu'est-ce que vous en pensez,
08:50
Madame la députée ?
08:52
Je pense qu'il ne manque pas d'air quand même.
08:54
Il y va fort.
08:55
Je pense qu'il essaie de se faire
08:57
tout simplement,
08:57
il essaie de se refaire
08:59
une virginité politique
09:00
parce qu'il est quand même
09:02
comptable du macronisme.
09:04
Il en a été le premier artisan.
09:07
Donc appeler au départ anticipé
09:09
du président,
09:10
en fait c'est admettre
09:12
l'échec du système
09:13
qu'il a lui-même contribué à bâtir.
09:15
Donc c'est un peu fort de café quand même.
09:17
Les gens, ils ne comprennent plus rien.
09:18
Et chacun en fait,
09:20
j'ai écouté votre analyse politique
09:22
tout à l'heure,
09:22
mais chacun en fait,
09:23
c'est très juste,
09:24
essaie de se mettre à son compte
09:26
en vue de la présidentielle de 2027.
09:29
Donc chacun essaie de se justifier
09:31
de raser plus blanc que blanc
09:33
et de se dire
09:33
ben voilà,
09:35
c'est moi le meilleur, etc.
09:36
Et ils sont prêts
09:38
à tous les compromis,
09:39
à tous les reniements.
09:41
Et c'est une forme d'ingratitude.
09:42
Et ça, je pense que les Français,
09:43
ils n'aiment pas ça.
09:44
Il y a une ligne rouge
09:45
à ne pas franchir.
09:46
C'est-à-dire qu'on ne tire pas
09:48
sur une ambulance
09:49
et le président de la République
09:50
reste le président de la République.
09:52
Certes, il est bas dans les sondages.
09:55
Tout le monde a envie
09:55
de le voir partir.
09:56
Mais ça reste quand même
09:57
le président de la République.
09:59
Et d'un ancien Premier ministre
10:01
d'Emmanuel Macron,
10:03
ses paroles sont quand même
10:05
trop fortes.
10:05
Et je pense qu'il ne s'est pas grandi
10:06
en disant ça.
10:07
Eh bien écoutez,
10:08
merci beaucoup Madame la députée.
10:09
Véronique Besse,
10:10
députée de Vendée,
10:11
non inscrite,
10:12
indépendante,
10:13
qui n'est pas avec un parti
10:15
et donc qui a voté
10:16
pour ou contre.
10:17
Là, c'était pour la motion de censure
10:18
mais qui a voté
10:19
en son âme et conscience.
10:21
Et ça, c'est important.
10:22
C'est-à-dire qu'elle n'a pas pensé
10:23
à son siège,
10:24
elle a pensé à la France.
10:25
Et il y en a peu
10:26
qui ont eu le courage
10:26
de faire ces de plus en plus rares.
10:28
C'est vrai.
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