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Union des droites : Emmanuel Macron «nous a offert une alliance avec les Républicains», assure Guillaume Bigot, député RN
Europe 1
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il y a 7 semaines
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00:00
Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneau.
00:04
Avec pour ma compagnie Antonin André, bonsoir Antonin.
00:06
Bonsoir Pierre, bonsoir à tous.
00:07
Chef du service politique du JDD, bonsoir Victor Hérault.
00:10
Bonsoir Pierre.
00:11
Choisis politique à Valeurs Actuelles, bonsoir Guillaume Bigot.
00:13
Bonsoir Pierre de Villeneau.
00:14
Et merci de venir du territoire de Belfort, jusqu'ici dans le studio d'Europe 1, député Rassemblement National du territoire de Belfort.
00:22
Pourquoi est-ce que votre censure est moins populaire que celle de LFI ?
00:25
Pour une raison simple, c'est que nous ne sommes pas sectaires.
00:27
Et donc nous, nous votons les censures d'où qu'elles viennent, parce que ce qui nous intéresse, c'est l'intérêt des Français.
00:33
Et LFI est dans la posture, dans le petit théâtre de l'antifascisme.
00:38
Vous le regrettez, vous le condamnez ?
00:39
Non, parce que nous préférons sincèrement être isolés des partis.
00:44
Je pense que les partis ne donnent pas un spectacle très intéressant.
00:47
Et être un parti à part.
00:49
Et nous préférons être isolés des partis plutôt qu'être isolés des urnes et de nos concitoyens.
00:54
Comment est-ce que vous pouvez à la fois critiquer sans cesse les Républicains, et à la fois, là, dernièrement, leur tendre la main ?
01:01
Écoutez, c'est à nouveau la même réponse, c'est-à-dire que c'est l'intérêt supérieur du pays.
01:05
Attendez, vous parlez comme les macronistes, là.
01:07
Non, non, non, eux, c'est l'intérêt supérieur de l'Union Européenne.
01:11
C'est pas tout à fait la même chose.
01:12
Il le pense très fort, en tout cas.
01:14
C'est votre intréprétation, Guillaume.
01:15
Non, non, c'est pas moi.
01:16
Écoutez, la souveraineté européenne, c'est d'abord quelque chose de parfaitement inconstitutionnel.
01:21
Ça n'existe pas dans notre Constitution, et c'est une sorte de monstre qui est sorti du cerveau du président de la République,
01:27
que je n'ai malheureusement pas inventé.
01:28
En tout cas, pour en revenir à LR, vous savez, nous, on ne fait pas de la politique à la tête du client.
01:34
On ne fait pas de la politique avec des problèmes de personnes.
01:36
Et on ne fait pas de la politique, d'une certaine façon, avec des étiquettes ou des boutiques.
01:41
Ce qui nous intéresse, c'est vraiment le fond.
01:43
C'est les idées, c'est de se battre pour une ligne.
01:45
Alors, bien sûr, si un jour il y a une alliance, vous savez, c'est un peu comme dans l'immobilier, ça.
01:49
Vous ne pouvez pas avoir la vue plein sud, le grand balcon, la cuisine à l'américaine.
01:53
Il faut bien lâcher sur quelque chose.
01:54
C'est la logique des...
01:56
Mais peut-être qu'il l'a, d'ailleurs.
01:57
C'est normal, il travaille sur Europe 1.
01:58
Ah, d'accord.
02:00
En réalité, le problème de l'alliance, ce n'est pas que nous ne voulons pas d'alliance.
02:05
C'est que c'est très difficile de faire l'alliance avec des gens qui ne cessent de vouloir appeler à faire barrage contre vous
02:12
pour des raisons, parce que vous seriez sulfureux, etc.
02:16
Et en fait, qui font élire LFI ou qui sont prêts à avaler leur chapeau de la réforme des retraites
02:22
juste pour ne pas être avec vous.
02:24
C'est ça qui est étonnant.
02:25
C'est de moins en moins le cas.
02:26
Tant mieux.
02:27
Bruno Rotaillot, d'ailleurs, a appelé, dans une législative partielle récente, à voter contre la gauche.
02:32
A ne pas donner une voix à la gauche.
02:33
A ne pas donner une voix à la gauche.
02:34
Et sincèrement, on l'en félicite.
02:35
Et s'il le fallait pour le Rassemblement National.
02:37
On l'en félicite et on s'en félicite sans aucun esprit partisan.
02:42
Mais vous avez remarqué tout de même que Jordan Bardella a tendu la main à M. Rotaillot.
02:47
Parce qu'on nous explique en permanence...
02:48
Ce n'est pas le cas de Marine Le Pen.
02:50
Oui, mais enfin bon...
02:51
Il y a quand même un atus entre les deux.
02:52
C'est-à-dire que Marine Le Pen refuse de considérer que le Rassemblement National est à droite.
02:56
Elle dit que c'est un parti qui n'est ni de droite ni de gauche.
02:58
Là où Jordan Bardella, lui, a une tendance stratégique qui consiste à croire en l'union des droites.
03:04
Non, elle laisse faire Jordan Bardella.
03:05
Vous savez, en politique, souvent la tactique est le complément de la stratégie.
03:10
La stratégie, elle est gaullienne.
03:12
Elle est gaullo-bonapartiste, si vous voulez.
03:13
C'est-à-dire que la France, disait le général de Gaulle, ce n'est pas la droite, ce n'est pas la gauche, c'est la France.
03:17
Bon, écoutez, il y a une vision comme ça qui est de transcender les clivages,
03:22
de faire un en même temps en face.
03:23
C'est-à-dire que ce n'est pas en même temps avec l'état de droit, avec plus de migrants, avec plus de dépenses, avec plus d'Union Européenne.
03:28
C'est en même temps, justement, en miroir contre.
03:30
Maintenant, la tactique, aujourd'hui, le moment politique, le moment politique,
03:35
et bien effectivement, Macron nous a offert sur un plateau une alliance avec l'air,
03:38
parce qu'en réalité, le moment politique tactique, effectivement, il est maintenant d'unifier les droites, absolument.
03:43
Alors, l'air ne vous ont pas suivi sur la censure, que ce soit la première ou la deuxième, d'ailleurs.
03:47
Et bien, écoutez, ils se sont reniés eux-mêmes.
03:51
Ah, vous voyez, vous commencez à les critiquer.
03:52
C'est le problème.
03:52
À propos stratégique, justement, est-ce que vous ne vous retrouvez pas...
03:56
Là, on referme une phase avec ces deux motions de censure,
03:58
et puis on se projette vers la discussion sur le budget.
04:00
Est-ce que vous ne vous retrouvez pas un peu dans une ornière stratégique,
04:03
dans le sens où vous réclamez une dissolution, dont on sent bien qu'elle n'arrivera pas ?
04:09
Est-ce que ça ne vous pose pas un problème aux yeux de votre électorat,
04:11
de dire dissolution, dissolution, dissolution, dissolution,
04:14
avec à l'arrivée, pas de dissolution ?
04:16
Guillaume Migaud.
04:17
Alors, je vais répondre à ça.
04:18
Ça ne veut pas dire, d'ailleurs, que nous allons avoir une attitude non coopérative
04:23
d'opposition systématique, de ce qu'on appelle techniquement la flibuste parlementaire,
04:26
c'est-à-dire bourrer le Parlement avec des amendements.
04:31
Donc, quand il y aura un débat sur le budget qui va s'ouvrir,
04:33
première partie sur les recettes, une semaine de débat,
04:36
M. Lecornu nous a dit, attendez, c'est libre, libre discussion.
04:39
Chiche !
04:40
Donc, nous, on va essayer de retirer un certain nombre de dingueries fiscales,
04:43
déjà dans la partie recettes, et on va bien ce qui va se passer.
04:45
Mais on ne va pas bombarder d'amendements pour bloquer.
04:47
LFI va faire ça.
04:48
Donc, nous, on n'est pas dans l'opposition systématique.
04:50
La censure n'est pas passée, dont acte.
04:52
Qu'est-ce que vous voulez qu'on fasse ?
04:53
On ne peut pas, je dis toujours, on ne peut pas être plus réaliste que le roi,
04:56
pas plus démocrate que le peuple,
04:57
on ne peut pas non plus être plus parlementaire que le Parlement, enfin, si vous voulez.
05:00
Donc, vous refermez comme un peu la page.
05:01
Il n'y a pas de majorité pour la censure.
05:03
Il n'y a pas de majorité pour la censure.
05:04
Vous refermez donc un peu la page de la dissolution, si je vous suis bien,
05:05
pour vous projeter dans une discussion budgétaire
05:07
dans laquelle vous allez jouer votre rôle de parti responsable.
05:11
Bien sûr, ce n'est pas incompatible à nouveau.
05:13
En vérité, on pense que l'intérêt du pays, c'est la dissolution.
05:16
En fait, ce serait la démission,
05:17
mais la démission est à la main du président de la République.
05:20
La dissolution, il n'en est pas question,
05:22
parce que de notre point de vue,
05:23
ça affaiblirait la figure même du président de la République,
05:25
les institutions de la 5e,
05:26
et qu'en plus, de toute façon, contrairement à ce que racontent ces menteurs de LFI,
05:29
il n'y a aucune majorité au Sénat, donc ça ne passera jamais.
05:32
Donc, il reste la dissolution, qui est un moindre mal.
05:34
Mais bon, que faire d'autre ?
05:37
Et donc, en réalité, il me semble qu'aujourd'hui,
05:41
la question de la censure va sans doute revenir.
05:43
Pourquoi ?
05:44
Parce que l'achat des 18 votants qui manquaient pour faire passer la censure,
05:51
sont essentiellement les socialistes.
05:52
Et les socialistes ont été achetés avec un deal
05:54
qu'ils n'ont même pas compris eux-mêmes.
05:56
Alors, j'essaie d'expliquer pourquoi ils n'ont pas compris le deal.
05:59
Parce qu'ils ne savaient même pas par quel véhicule législatif
06:02
cette réforme des retraites allait être suspendue,
06:05
réclamait à corps et à cri la suspension,
06:07
voilà.
06:07
Et il y avait deux solutions.
06:08
Soit c'était un texte de loi en tant que tel,
06:10
soit c'était un amendement,
06:12
et bien en l'occurrence, ça sera un amendement,
06:14
c'est ce que le Premier ministre a avoué,
06:15
du gouvernement exactement,
06:17
au sein de ce qu'on appelle le projet de loi de finances,
06:19
de la sécurité sociale.
06:20
Et donc, ça veut dire concrètement que les socialistes vont devoir avaler toutes les couleuvres,
06:26
et je peux vous dire qu'elles sont très très grosses,
06:29
c'est plutôt des boas d'ailleurs,
06:30
à l'intérieur de ce PLFSS,
06:32
avant que leur amendement puisse passer,
06:34
si tant est qu'il passe.
06:35
D'accord ?
06:36
Donc en fait, c'est une promesse qui ne sera évidemment pas tenue,
06:39
bien sûr que cette réforme des retraites ne sera pas suspendue,
06:42
et bien sûr que la pression contre le Parti Socialiste va augmenter,
06:44
parce qu'ils ont sauvé leur poste,
06:46
ils ont sauvé leur place,
06:46
ils ont sauvé leur mandat,
06:48
uniquement parce qu'ils ont fait croire à l'opinion publique de manière fallacieuse,
06:51
qu'ils avaient réussi à suspendre la réforme des retraites.
06:53
Et quand la population verra que c'est un mensonge,
06:56
et c'est assez grave comme mensonge d'ailleurs,
06:57
parce que là je pense qu'il faut vraiment faire attention de ne pas...
06:59
Attendant que ça arrive,
07:00
parce que vous allez la voter vous, la suspension quand elle va arriver,
07:03
puisque vous participez au débat budgétaire.
07:05
Donc si vous la votez et que les socialistes la votent aussi,
07:07
un compromis étant j'ai un gain et j'encaisse des pertes,
07:11
ça peut aussi convenir aux socialistes.
07:13
On va voir,
07:13
mais encore une fois il faudrait avaler le PLFSS,
07:16
et nous n'avalerons pas le PLFSS,
07:17
parce que le PLFSS on ne peut pas en parler,
07:19
enfin grosso modo, par exemple,
07:20
toutes les lignes rouges...
07:21
Toutes les lignes rouges sur ce projet de loi de finances,
07:25
sécurité sociale,
07:26
mais comme sur le budget fixé par les LR,
07:28
je me suis amusé à regarder la déclaration de M. Wauquiez
07:31
du 7 septembre 2025 sur LCI,
07:33
qui est assez intéressante.
07:34
Il dit finalement qu'on a trois lignes rouges.
07:37
Première ligne rouge, pas d'augmentation d'impôts.
07:39
Ça tombe bien,
07:40
puisque le projet de M. Lecornu c'est 19 milliards en plus.
07:44
Selon le Haut Conseil aux finances publique.
07:45
Oui, mais avec 5 milliards qui sont des rabotages.
07:49
Par exemple,
07:50
on va retirer un avantage qui consistait à les frais de scolarité,
07:55
on les retirait, on les défiscalisait, on les dégrévait.
07:57
Donc quand vous supprimez un avantage,
07:59
c'est comme vrai que vous augmentez les impôts en réalité.
08:01
Deuxième chose, deuxième ligne rouge,
08:02
je disais pas de baisse de pension de retraite
08:05
pour les Français qui ont travaillé longtemps, etc.
08:07
Ça tombe bien parce que les pensions vont être gelées
08:09
pour 3,8 milliards.
08:10
Donc deuxième ligne rouge complètement enfoncée.
08:12
Et troisièmement,
08:13
il y aura, dit-il,
08:15
on ne laissera pas faire autre chose
08:17
qu'un maximum d'économies sur les dépenses publiques.
08:20
Ah ben ça tombe bien,
08:20
parce qu'il y a 28 milliards de dépenses en plus,
08:23
et qu'il s'agisse par exemple de l'aide médicale d'État,
08:25
ou qu'il s'agisse de la contribution de la France à l'Union Européenne,
08:27
ou qu'il s'agisse des dingueries que j'ai vues de très près,
08:28
c'est-à-dire l'aide publique au développement,
08:30
avec du multilatéral,
08:31
en veux-tu en voilà,
08:32
avec des milliers d'agences de l'ONU,
08:34
à qui on distribue de l'argent généreusement,
08:37
rien de ces économies ne peut être constaté dans ce budget.
08:40
28 milliards de dépenses en plus.
08:41
Donc toutes ces lignes rouges vont être enfoncées,
08:43
et c'est la même chose pour le Parti Socialiste,
08:45
eux aussi ont mangé leur chapeau.
08:46
Comment vont-ils expliquer à leur électorat,
08:48
eux les défenseurs de la veuve et de l'orphelin fiscal,
08:51
les héros de la justice fiscale,
08:54
que par exemple les tickets restaurants vont être taxés ?
08:56
C'est complètement fou.
08:57
Comment vont-ils expliquer que les revenus des étudiants,
08:59
parce que les étudiants parfois ont besoin de bosser,
09:02
justement c'est un sujet social quand même assez lourd,
09:04
et c'était plus le cas,
09:05
c'est pas le cas dans la génération,
09:06
mais beaucoup d'étudiants sont obligés de travailler
09:09
avec les effets que ça a sur leur réussite à l'université.
09:11
Et bien là on va fiscaliser les revenus des étudiants.
09:14
Non mais comment les socialistes vont vendre ça ?
09:16
Bon courage à eux.
09:17
On va leur poser la question,
09:18
puisqu'ils seront invités juste après vous dans cette émission.
09:22
Il y a aussi le sujet du carburant,
09:24
le E85 qui est le carburant, j'allais dire écologique.
09:29
Et là aussi on avance dans l'écologie,
09:30
puis finalement on se reprend une porte sur les ZFE,
09:33
et puis finalement on va taxer les carburants qui sont dits écologiques.
09:36
Ça c'est une incompréhension,
09:37
c'est quelque chose que vous allez combattre également ?
09:39
On va le combattre vraiment pied à pied,
09:42
parce que derrière cette question de la taxe des carburants,
09:44
ce qui avait déclenché, souvenez-vous, les gilets jaunes,
09:46
c'était quand même ça qui avait mis le feu aux poudres d'une certaine façon.
09:49
Là c'était sur le gazole,
09:50
on est sur le sujet de l'énergie,
09:52
sur le sujet des taxes sur les essences,
09:54
de l'énergie et on est derrière sur un espèce de monstre du Loch Ness,
09:58
enfin un truc énorme qui s'appelle le Green Deal.
10:01
Voilà, là, cette espèce d'usine à gaz,
10:04
soi-disant écolo, pendue par l'Union Européenne,
10:07
qui pèse vraiment des dizaines de milliards sur nos finances publiques,
10:12
et qui aboutissent quoi ?
10:13
À quoi ?
10:14
Mais exploser littéralement le déficit commercial de la France,
10:19
au profit de gens qui ne sont pas taxés,
10:20
qui ne vont pas avoir des normes sur le dos,
10:22
et qui aboutit à quoi ?
10:23
Finalement, à délocaliser des industries,
10:26
on parle d'industrialisation,
10:27
mais l'énergie est deux à trois fois plus chère grâce à ce Green Deal.
10:30
Donc en fait, on va augmenter le CO2 grâce au Green Deal,
10:33
c'est formidable, et payer à la fin.
10:34
Merci beaucoup Guillaume Bigot d'avoir été l'invité d'Europe 1.
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