- il y a 1 semaine
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 14/10/2025.
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00:00Et donc, comme le titrait le journal, l'Amérique attendra, Grégoire.
00:06Alors, on a eu la décence de ne pas mettre Jodassa en plateau.
00:08Ça rappelle trop de mauvais souvenirs pour ceux qui étaient nus dans les années 90.
00:11Racontez-nous l'histoire de ce match.
00:12Un match qui a été compliqué pour nos Bleus, même s'ils sont montrés dangereux.
00:16Dès l'entame de match à la deuxième minute de jeu,
00:18le centre au second poteau pour Nkunku, qui va buter sur Manukone.
00:23Der, les Bleus vont se faire peur avec ce coup franc.
00:27Ça traîne dans cette surface de réparation.
00:28Et l'ouverture du score, donc, pour l'Islande, les Bleus punis,
00:31parce qu'ils étaient tout simplement trop discrets.
00:34Pas facile de faire quelque chose sur cette action.
00:37Juste avant la mi-temps aussi, les Bleus vont mettre la pression avec cette tête de Michael Olizé.
00:42C'est repoussé.
00:44Et enfin, un peu de mouvement côté gauche à 68e.
00:46C'est apporté par Christopher Nkunku, qui va enrouler, égaliser son deuxième but avec les Bleus en 16 sélections.
00:53Ça fait un petit peu du bien.
00:54Kamavinga, lui, va trouver Akliouche.
00:56La passe, le contrôle, tout est dans le bon tempo pour Jean-Philippe.
00:59Mateta, son premier but avec le maillot de l'équipe de France.
01:01Ça fait deux buts à un, mais deux minutes plus tard seulement,
01:04alors qu'on revoit ce beau mouvement initié par Kamavinga, Akliouche n'est pas hors-jeu.
01:09Deux minutes plus tard, je vous le disais, les Bleus vont se faire reprendre.
01:11Surprendre Koundé, joueur le hors-jeu.
01:12Vous allez le voir sur cette perte de balle.
01:14Et là, le contre-islandais, Koundé, en bas de votre écran, est pris.
01:18Belle défense.
01:19Magnifique.
01:20Deux contre-un.
01:21Open Mekano est trop court.
01:22Good Munster sur Christian Lissan.
01:24De partout, les Bleus devront n'en qu'attendre le prochain match face à l'Ukraine,
01:27pour espérer cette qualification au Mondial 2026, de partout, face à l'Islande.
01:31Bon, on a vu ces images de ce match, mais alors vraiment,
01:35mais soporifique, même si ça s'est agité dans les 20-25 dernières minutes.
01:39Normalement, on ne pose pas de questions dans la manquable,
01:41mais comme on a un long conseil de classe,
01:42qu'on a voulu s'intéresser aux joueurs sélectionnaires,
01:44je vous pose la question.
01:45Est-ce que c'est un rassemblement forcément inquiétant, messieurs, dames,
01:48pour vous, autour de la table ?
01:49Alors, non pour Alicia, non pour Giovanni,
01:52ben oui, quand même pour Jérôme, sort de ce corps Roger Jiquel.
01:56Non, la France n'a pas peur pour Deva Padoue.
01:58Non et non, et non, et encore non pour Raymond Lembeck.
02:02J'ai perdu les mois de 50 ans.
02:03Jérôme, est-ce que vous pouvez expliquer le foot, s'il vous plaît, à ces gens ?
02:06Non, je ne me permettrai pas.
02:08Il y a un sélectionneur des Bleus.
02:09Oui, expliquez-lui le foot quand même.
02:10Qui est étalement positif avec les Bleus, je le comprends bien.
02:15Non, mais ça ne veut pas dire pour la cave, mais moi je ne comprends pas.
02:19Raymond défend souvent, et c'est bien.
02:22Mais alors là, en revanche, j'ai...
02:23En toute bonne foi, en plus.
02:26Tout le temps.
02:27Je sais.
02:27Mais Raymond, toujours de bonne foi, fin de la blague.
02:30Quand on a reçu des questions...
02:32Je vais écouter vos arguments.
02:33Quand on a reçu des questions tout à l'heure...
02:34Mais vous n'êtes pas toujours de bonne foi, pardon.
02:35Quand on a reçu des questions tout à l'heure, je me suis dit...
02:38Allez, je vais dire oui quand même.
02:40Tu vois ?
02:40Enfin, je vais dire non.
02:41Ça ne m'a pas inquiété.
02:42Mais...
02:43Vous êtes un peu flou, là.
02:45Mais c'est quoi la raison pour dire non, en fait ?
02:48Mais il y en a plein.
02:49Ah, il y en a plein.
02:50Alors moi, j'ai vu dommage horrible.
02:52J'ai vu le seul secteur dans lequel on pouvait être rassuré hier soir, par exemple,
02:57qui est la défense.
02:57Et on l'a dit, on ne prendra pas de but quand même contre l'Islande.
03:00Notre défense, c'est quasiment la défense titulaire que l'on verra dans la Coupe du Monde.
03:04Elle a été catastrophique.
03:06Les attaquants hier, ils ont fait ce qu'ils ont pu.
03:09Mais franchement, l'animation, elle est sa désirée.
03:11J'ai vu un Michael Olizé, dont on disait qu'il serait certainement le leader offensif,
03:15pour toi, qu'il devait l'être.
03:17J'ai rien vu de ça.
03:17C'était le comment du soir hier.
03:18J'ai rien vu de ça, absolument.
03:20J'ai vu un de mes chouchous, Mike Meignan, hier, subir le match.
03:23Il n'a pas fait d'exploit.
03:24Il n'a été ni bon ni mauvais.
03:26Et sur le premier but, il est même, quelque part, anti-décisif.
03:30Moi, je ne l'ai pas trouvé bon non plus hier.
03:31Donc, si vous voulez, sur ce rassemblement-là, tout m'a inquiété.
03:34Je n'ai pas une lueur qui me dit, tiens, ça, j'ai aimé.
03:37À part, peut-être, quelques remplaçants,
03:39mais à part l'entrée de l'action...
03:40Tout t'as déçu ou tout t'as inquiété ?
03:41Ce qui n'est pas la même chose.
03:42Parce que déçu, on va tous l'être.
03:43Tout m'a inquiété, parce que la défense titulaire, par exemple,
03:46elle, elle m'a inquiété, vraiment.
03:47D'accord.
03:47Alicia.
03:48Quand on lit les journaux français aujourd'hui,
03:51on reste sur notre fin concernant les joueurs de l'équipe de France.
03:54Alors, on est loin de s'enthousiasmer.
03:56On ne s'alarme pas pour autant.
03:57Mais on n'est pas très optimiste non plus.
03:59L'Amérique attendra.
04:00C'était la une de votre journal qui parle de joueurs fébriles,
04:06ce 13 novembre, et le match face à l'Ukraine pour espérer voir la calife.
04:10Dans la même veine, le Parisien titrait
04:12« C'est pas encore l'Amérique »,
04:14avec des bleus qui se sont pris les pieds dans le tapis.
04:18Ça manquait cruellement de génie pour la voix des sports
04:20qui y allait plus fort dans son titre
04:23et qui a trouvé des bleus décevants
04:24et secoués sans leur ligne d'attaque premium.
04:28Ou encore des bleus chahutés pour le Figaro Sport.
04:30Bref, il y a le mot décevant qui est beaucoup revenu dans les journaux aujourd'hui.
04:34Qu'on soit bien d'accord tous autour de la table.
04:35On n'est pas en train de dire que les bleus n'iront pas à la Coupe du Monde
04:37et ça ne préjuge pas du fait qu'ils pourront tout à fait jouer une finale de Coupe du Monde
04:43à nouveau, espérer une revanche contre l'Argentine
04:46parce qu'il y avait des absents.
04:47Tout ça, on est complètement d'accord.
04:48Je ne suis pas en train de vous dire,
04:49là vous avez cité Roger Jiquel,
04:50bon là les plus jeunes sont en PLS,
04:52mais je ne suis pas en train de vous dire
04:53« On va tous mourir, c'est horrible l'équipe de France ».
04:56Mais admettez Raymond quand même
04:58que hier pour un match contre l'Islande
04:59qui en a pris 5 contre l'Ukraine
05:01qui est quand même une nation extrêmement faible,
05:03faire 2-2 avec des joueurs de ce calibre,
05:05alors vous pouvez quasiment assurer les qualifs à un nul,
05:07vous suffirez contre l'Ukraine,
05:08c'est déceptif.
05:10Et franchement, vous vous dites que s'il y a des blessés,
05:12vous n'irez pas loin en Coupe du Monde.
05:14Ça veut dire qu'il faudrait qu'il y ait 4-5 blessés.
05:18Alors il n'a eu eu 2 la dernière Coupe du Monde, je vous rappelle.
05:19Et dans le secteur offensif.
05:20Benzema et Nkunku.
05:21Oui, mais sur ce match-là,
05:24s'il y en a un qui peut me rappeler ici
05:26les matchs de qualification des précédentes Coupe du Monde,
05:28on s'en fout.
05:30Je veux dire, il faut accumuler des points,
05:33tous ces matchs-là.
05:34On en a perdu 2.
05:34C'est des matchs où il a essayé,
05:37justement, il a eu des blessés.
05:38On a essayé, on a testé certains,
05:40on s'est rendu compte que pour certains,
05:42c'était très juste
05:43et que quand il va faire le choix,
05:45quand il va récupérer tout le monde,
05:46quand il va faire le choix,
05:47il y en a ceux qui étaient là
05:48et ils vont payer.
05:51Ils vont le payer.
05:52Oui, c'est ça, ce match-là.
05:54Pas autre chose.
05:55Donc super, on a vu ceux qui ne sont pas au niveau, en fait.
05:57Eh ben, on a vu ceux
05:57qui ne pouvaient pas être les remplaçants
06:00de ceux qui sont titulaires, d'habitude.
06:02C'est une certitude.
06:03Après, quand on dit derrière...
06:05Le rassemblement général,
06:05parce qu'il y a quand même le match
06:06contre l'Azerbaïdjan,
06:07qui n'était pas bon, vraiment.
06:08Là, je veux dire, 3-0 contre l'Azerbaïdjan.
06:10Non, c'était pas.
06:13Le match, regardez les occasions,
06:15les situations dangereuses,
06:16les débordements, les cendres.
06:18Il y en a eu.
06:19Il y en a 5.
06:19On ne peut pas dire qu'ils n'ont pas joué.
06:21On ne peut pas dire qu'ils n'ont rien fait.
06:22Non, mais très...
06:23Alors, regardez, je sais...
06:24Moi, je le regarde...
06:25Je crois en votre bonne foi.
06:26Mais 5 grosses occasions contre l'Islande,
06:28ce n'est pas beaucoup.
06:29Non, mais il y a...
06:29C'est une grosse occasion.
06:30Honnêtement, il y a des occasions.
06:33Déjà, une concours,
06:34il peut marquer...
06:36Il met le plus dur.
06:37En fait, il met le plus dur.
06:37Il y a des situations.
06:39Moi, je trouve que sur le rassemblement,
06:41il y a la confirmation de quelque chose
06:43parce que la première période face à l'Ukraine,
06:46sur la rentrée de l'équipe de France,
06:48elle est hyper emballante.
06:49On se dit...
06:49Ah, 4, 2, 3, 1.
06:50Est-ce qu'il va se passer quelque chose ?
06:52Si je prends ça comme point de départ,
06:53vous comprenez ma question.
06:54Non, mais bien sûr, on se dit...
06:56L'Ukraine ?
06:56La première période de l'Ukraine.
06:58Il se passe quelque chose.
06:59C'est une sur huit.
07:00Non, mais bien sûr.
07:01Mais en fait, on a juste la confirmation
07:03puisque vous voulez tirer des conclusions.
07:05On va être dépendant...
07:06Excusez-moi de ne pas attendre le chemin.
07:07Non, mais bien sûr,
07:08on va être dépendant sur l'état de forme
07:11Mbappé, Doué, Dembélé,
07:13de la possible cohérence qu'ils vont avoir en club
07:15sur les joueurs du Paris Saint-Germain
07:17pour avoir une forme d'identité qui se dégage.
07:19Sinon, on est au même point
07:19qu'on est avant chaque grande compétition,
07:22à savoir qu'on va se qualifier
07:23et qu'on sera une équipe de grands tournois.
07:25En fait, on n'apprend rien de nouveau.
07:27Donc, il n'y a pas de quoi s'alarmer.
07:29Faisons un Uno.
07:30Regardez, on va en parler.
07:32Allez, c'est qui est ces derniers jours ?
07:33Puisque c'était une de vos relances...
07:35C'est Herman.
07:35Sur la défense.
07:37Moi, hier, je n'ai pas vu un problème de niveau
07:39sur la défense.
07:39J'ai vu un problème de concentration.
07:41J'ai vu un problème de concentration.
07:43Koundé, il joue défenseur
07:45comme il joue au Barça en ce moment.
07:46Oui, mais il a eu un mauvais effet.
07:48Il a eu le courage de l'assumer déjà,
07:49ce qui n'est pas le cas de celui-là.
07:51Mais d'accord, très bien.
07:53Ce type de joueur,
07:54William Saliba,
07:55Dayahu Pamecano,
07:57Jules Koundé,
07:58croyez-moi qu'en phase finale
07:59de Coupe du Monde
08:00ou en match de poule,
08:00ils ne feront pas ces erreurs-là.
08:02Dave, à vous.
08:03Parce que là, une fois de plus,
08:04on fait le bilan.
08:05On est obligé de tirer un bilan
08:06de rassemblement.
08:08Alors, une fois de plus,
08:09ce n'est pas la France à peur.
08:11Mais franchement,
08:11est-ce que vous attendiez mieux,
08:13vous, Dave Apadou,
08:14suiveur des Bleus,
08:15de ces deux matchs-là
08:16contre l'Azerbaïdjan et l'Islande
08:17avec toutes les limites actuelles
08:18de cette équipe ?
08:19Oui, bien sûr.
08:20Évidemment qu'on attend mieux
08:21parce que malgré les absents,
08:23on a des joueurs
08:24que dans notre groupe,
08:25aucune équipe n'a.
08:27Donc, ça, c'est un fait.
08:28Maintenant, il y a quand même
08:29quelque chose.
08:30Ça fait combien ?
08:30Ça fait des années maintenant
08:31qu'on fait des émissions.
08:34La France a désormais
08:35tellement de marge
08:36dans des groupes de qualification
08:37qui sont vraiment très, très faibles.
08:39des groupes de qualification.
08:40Ça n'a quand même plus rien à voir.
08:42En fait, ces matchs-là
08:43servent à faire
08:44ce qu'on va faire tout à l'heure.
08:46C'est des bilans individuels.
08:47C'est pour ça qu'on a fait
08:48double conseil de classe.
08:49Exactement.
08:50En fait, ils sont là,
08:51les enseignements,
08:51ils sont là vraiment
08:52les sujets, pour le coup,
08:54d'inquiétude pour les uns,
08:55d'optimisme
08:56ou de curiosité pour d'autres.
08:59Mais fondamentalement,
09:00on sait très bien
09:00que même ce rassemblement-là
09:02ne change rien
09:03à ce qu'est la nature profonde
09:04de cette équipe.
09:06C'est que c'est une bête
09:06de compétition
09:07et qu'en vrai,
09:09ils pourraient répéter des gammes
09:11dans l'animation.
09:12Rien ne leur interdit
09:12d'être un peu enthousiasmant
09:13contre les armes.
09:14Les gens et l'Islande.
09:16Maintenant, il met un système.
09:17Oui, mais je suis d'accord,
09:17mais il faudrait qu'ils soient
09:18tous là.
09:19Et moi, j'en peux plus
09:20puisque c'est le truc
09:21que j'entends depuis trois jours
09:22à 15 000 kilomètres de vous.
09:24Vous me parlez sans cesse
09:25des autres nations
09:26et puis je sors l'Espagne
09:27puisque c'est un modèle
09:28qui est différent.
09:29Je n'ai pas parlé une seule fois
09:30des autres pays.
09:31Quand tu dis vous, c'est qui ?
09:33C'est la presse française
09:34de manière globale.
09:35Moi, je ne suis pas
09:35à la presse française.
09:36On n'a pas prononcé
09:37une fois le mot Espagne
09:38sauf pour Italie
09:39depuis trois jours.
09:40Vous êtes un nombre influent
09:41de ce que les gens
09:42peuvent penser
09:43de votre émission.
09:43Dans mon salle, éventuellement.
09:44Ce que je veux dire,
09:45c'est qu'il y a toujours
09:46cette petite musique.
09:47Oui, mais c'est mieux ailleurs.
09:48Je vous invite à regarder
09:49le match de l'Allemagne.
09:50Je vous invite à regarder
09:51parfois les matchs
09:52de l'Angleterre.
09:53En fait, pour toutes
09:54les grandes nations du foot,
09:55le format actuel
09:56du football mondial
09:58fait que le rassemblement
09:59de septembre, octobre
10:01et novembre
10:02en termes de qualité de jeu
10:03sur le foot international,
10:04eh bien, ce n'est pas terrible.
10:05Ils ont gagné un zéro.
10:06Ils ont gagné un zéro.
10:08Et nous, on fait deux deux.
10:08On prend deux buts
10:09et on n'est pas capable
10:10de gagner après avoir mené deux un.
10:11Sauf que l'équipe de France
10:13est première de son groupe.
10:14L'Allemagne, c'est ex-aequo.
10:15C'est son premier ex-aequo.
10:16Après, Joe, là où
10:17il y a un côté inattaquable
10:19dans ton déroulé.
10:22Ça y est, il m'abandonne.
10:23Non, non, non.
10:24Vous savez que ça ne tiendrait
10:25pas longtemps à cette histoire.
10:26Il parle de qualité de jeu.
10:27Non, non.
10:27Il parle de qualité de jeu.
10:28Tu vas en demi-finale de l'Euro
10:34en faisant cinq matchs horribles.
10:35C'est une vérité inattaquable.
10:38Le niveau de jeu de l'Euro
10:39du premier match au dernier,
10:41il est horrible et tu fais demi.
10:42Donc, effectivement,
10:43si tu vas sur bête de compétition,
10:46bête de scène,
10:47quand il y a du sens,
10:47ça intéresse, machin.
10:49Effectivement, tu as toujours
10:49un côté de l'équipe de France
10:50qui s'en sort par miracle,
10:52par talent parfois,
10:53par un ou deux joueurs.
10:54Mais l'Euro te prouve que
10:55cette équipe-là,
10:56avec un niveau de jeu
10:58franchement,
11:00tous les débriefs
11:01qu'on a fait des bleus
11:01après l'Euro,
11:02c'est inquiétant.
11:03Tu vas en demi.
11:04Oui, mais regardez l'Espagne.
11:05Ça ne marche pas,
11:06votre raisonnement, du coup, là.
11:07Non, mais l'Espagne,
11:07c'est un exemple à part.
11:08Ah oui, là, c'est à part.
11:09Bon, on va continuer d'en parler
11:10parce qu'on va parler du sélectionneur,
11:12on va parler des joueurs.
11:13Tu vas faire ta petite Espagne.
11:14Bien sûr, c'est le conseil de classe
11:15qui arrive après le zapping
11:16de Mathieu Monnier.
11:17Sous-titrage Société Radio-Canada
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