Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 2 jours
Dimanche 21 septembre, l’Amérique a présenté ses hommages à Charlie Kirk. Sa femme, Erika, a trouvé dans son cœur la force de pardonner au meurtrier de son mari. Un signe de grandeur et de civilisation, salue Philippe de Villiers.

Catégorie

📚
Éducation
Transcription
00:00Il y a eu, à Phoenix, au cœur des États-Unis, la semaine dernière, un événement, ou plutôt un avènement, d'une portée allégorique considérable.
00:10Une jeune femme, en larmes, mais debout, inconsolable, mais magnifique,
00:17qui s'adresse à la foule et au monde entier, et qui dit « j'offre ma douleur pour le monde entier, pour que le monde aille mieux ».
00:24Et elle ajoute « That young man, I forgive him ».
00:29Je pardonne à celui qui a tué mon mari, parce que mon mari lui aurait pardonné.
00:34Mon Dieu, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font.
00:38Et donc j'ai fait mon éditorial sur ce sujet.
00:41À l'intérieur de l'enceinte, ce sont des pleurs qui viennent d'un ordre supérieur.
00:47Les pleurs de toute une foule, émue, transpercée par l'émotion.
00:51Et puis à l'extérieur, c'est le long murmure grandissant de ceux qui ne comprennent pas ce geste d'humanité supérieure,
01:01et qui procèdent à la réduction à d'Hitlerum, une honte, une infamie.
01:07Lisez la suite.
01:08Bonne lecture.
01:08Bonne lecture.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations

1:13