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  • il y a 16 heures
Retrouvez Les Chevaliers du Fiel, tous les jours de 17h à 18h sur Sud Radio
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##CHEVALIERS_DU_FIEL-2025-10-01##

Catégorie

😹
Amusant
Transcription
00:00Les Chevaliers du Fiel, 17h-18h sur Sud Radio.
00:23Eric Carrière, France-Igénivre, Les Chevaliers du Fiel sur Sud Radio.
00:30Bonjour. Bonjour tout le monde.
00:34Avec notre ami Pierre Gallibert.
00:40Et le public de Sud Radio, un public formidable qui est très heureux de pouvoir assister à ces émissions.
00:46Et puis si vous souhaitez venir nous rejoindre, ça se passe dans la bonne humeur, dans la simplicité.
00:51Vous voyez un petit peu les coulisses de la radio, vous voyez comment travaillent Eric et Francis.
00:55Parce que c'est un travail, on ne dira jamais assez.
00:57Ça c'est sûr. On vous voit travailler et donc si vous souhaitez venir nous rejoindre,
01:01le plus facilement possible, ça se passe du côté du site des Chevaliers du Fiel.
01:05Vous faites leschevaliersdufiel.com et là vous avez un petit bouton.
01:10Les Chevaliers à la radio, vous cliquez dessus et on vous explique comment venir.
01:13Vous avez toutes les dates des tournées, vous avez plein de trucs.
01:16Il y a tout, il y a tout.
01:16Les projets, la télé, tout ça.
01:18Il y a tout ce qu'il faut sur ce site.
01:19Donc leschevaliersdufiel.com.
01:22Comment allez-vous aujourd'hui ?
01:24Super, bien.
01:25C'est la forme ?
01:26Oui.
01:26La pleine forme ?
01:27Oui, bien sûr.
01:28Bon, il ne vous est arrivé rien de particulier, M. Génibre, ces derniers jours ?
01:32Non, pour l'instant, tout va bien.
01:34Tu vois un truc venir ?
01:35Non, non, pas du tout.
01:36Non, non, pas du tout.
01:37M. Carrière, comme vous êtes un peu le spécialiste, parfois il vous arrive des choses.
01:40Là, rien ne me vient, mais bon, ça peut venir à tout moment.
01:41Ça peut venir d'un moment à l'autre.
01:43Ça peut fuser d'un moment à l'autre.
01:45D'accord.
01:46Vous occupez vos journées, j'imagine, non pas à faire la sieste, mais à travailler
01:50sur ce prochain spectacle qui s'appelle Vacances à Dubaï.
01:52Exact.
01:53C'est l'histoire, en fait, vous continuez l'histoire de cette saga de M. et Mme Lambert.
01:57Voilà.
01:58Qui a commencé comment ? C'était quoi le premier spectacle de M. et Mme Lambert ?
02:00Vacances.
02:01Vacances d'enfer.
02:02Vacances d'enfer.
02:03Qu'est-ce qu'il se passe ?
02:03Au théâtre du gymnase à Paris.
02:05Exactement.
02:06En fait, ils s'apprêtent à partir en vacances et puis ils ont un problème de plomberie
02:10et il y a un plombier fou qui débarque et ça devient un cauchemar.
02:13D'accord.
02:13Ça, c'était au théâtre du gymnase.
02:16Ensuite, nous ouvrions la croisière d'enfer au théâtre des variétés pendant cinq mois.
02:23Et partout en France, évidemment.
02:24Et partout en France, oui.
02:25Et après, Noël d'enfer ?
02:28Après, il y a eu Noël d'enfer.
02:30Après, il y a eu Camping Car Forever.
02:33Camping Car Forever.
02:34Travaux d'enfer.
02:35Inspirés par Pierre Galibé.
02:36Oui, merci.
02:37J'attends toujours les royalties.
02:38Mamie d'enfer, Travaux d'enfer.
02:42Monsieur et Madame Lambert aux Jeux Olympiques.
02:45Qu'est-ce qu'on a eu encore ?
02:46Je crois que c'est tout.
02:47Oui, les Lambert.
02:48Et donc, vous avez fréquenté les plus beaux théâtres de la capitale.
02:50Exactement.
02:50Oui, là, on peut dire vraiment.
02:52Avec Francis, un jour, on a eu peur parce qu'on s'est dit.
02:55Donc, tu vois, le palais des sports, on l'a fait en tout 14 fois.
02:57Oui, 14 fois.
02:58L'Olympia, 32 fois.
03:01Les variétés, cinq mois.
03:03Enfin, une fois cinq mois, une fois quatre mois.
03:05Bon, je crois qu'on a tout fait.
03:06Théâtre du gymnase aussi, quatre mois.
03:08Mais bon, avec le même.
03:09Les folies bergères.
03:10Oui, les folies bergères, un mois.
03:12La cigale, un mois aussi.
03:15Mais à chaque fois, c'était une excitation.
03:17C'est vachement bien.
03:17D'ailleurs, encore, l'an dernier, on a fait le palais des sports.
03:20Trois soirs.
03:21Et l'an prochain, je ne sais pas ce que ça va être.
03:23On va choisir, mais c'est bien.
03:25Quel est, selon vous, un des plus beaux théâtres de la capitale ?
03:28Certainement le théâtre des variétés.
03:30Oui, il y a la comédie de Toulouse.
03:33Ils ont raison, il y a la comédie de Toulouse.
03:36Moi, j'ai une petite anecdote sur le théâtre des variétés.
03:38C'est que...
03:39Ça va, c'est bon.
03:41Une petite anecdote concernant le théâtre des variétés,
03:43c'est que quand j'étais sur France 2,
03:45Olivier Mine avait réuni tous les animateurs et les chroniqueurs de la chaîne
03:47pour jouer une pièce.
03:48Une opérette.
03:49Une opérette.
03:50Et moi, j'avais un rôle qui durait à peu près 25 secondes au quatrième acte.
03:53Donc, pendant l'acte 1, l'acte 2, l'acte 3,
03:55j'étais en coulisses, habillé.
03:56Je ne pouvais pas aller dans la salle, etc.
03:57Et je me promenais dans les coulisses
03:59et je visitais les coulisses du théâtre des variétés.
04:00Je ne vous l'avais jamais raconté.
04:01Tu cherchais l'histoire.
04:02Oui, tu me l'as raconté.
04:03Et je me promenais comme ça, voilà.
04:05Et puis, un jour, je vois un placard qui était à semi-ouvert.
04:07Et j'ouvre ce placard.
04:09Et je me dis, tiens, qu'est-ce qu'il y a dans ce placard ?
04:10J'ouvre ce placard.
04:10Et là, je vois plein, plein, plein de dossiers numérotés.
04:13Et par hasard, je vous jure que c'est vrai, c'était le hasard.
04:15Il y avait plein de dossiers partout.
04:17Par hasard, je tire un dossier, je regarde.
04:20C'était le dossier des Chevaliers du Fiel.
04:22C'est vrai ?
04:22Ah, génial.
04:23C'est le dossier des Chevaliers du Fiel.
04:24Parce que moi, avec ce même truc, j'ai une histoire.
04:27La première fois qu'on a fait longtemps les variétés,
04:29c'est Jean-Paul Belmondo qui nous a produits,
04:32qui a été avec nous un seigneur absolu.
04:34Et Jean-Paul, avec qui vraiment on avait sympathisé,
04:37il me dit, en plus, je t'ai donné la loge de Sacha Guitry.
04:41Et donc, tu as la loge de Sacha Guitry.
04:44Donc, toi, tu te retrouves là dans la loge de Sacha Guitry.
04:47Et tu as une bibliothèque avec une clé pareille.
04:50Et j'ai ouvert.
04:50Et j'ai vu un truc fabuleux.
04:52C'était des bouquins écrits à l'encre
04:55avec des comptes rendus de chaque représentation
04:58signée de Sacha Guitry.
04:59Alors, tu avais des trucs du genre 12 janvier,
05:02dire à Émile qu'il est mauvais comme un cochon,
05:06dire à Jeannette qu'elle ferait mieux
05:07de continuer à faire autre chose que de faire du théâtre,
05:10changer trois ampoules,
05:11et après, il mettait l'argent, trois sous, six sous, neuf sous.
05:14Et il y avait des livres et des livres de comptabilité de Sacha Guitry.
05:17Tous les soirs, j'en regardais un,
05:19c'était un moment fabuleux.
05:21Et quand Jean-Paul Belmondo a vendu les variétés,
05:24moi, je n'avais qu'une idée,
05:25c'était de récupérer au moins un de ses bouquins.
05:29Et tu parles,
05:30tout le monde savait que ça valait une fortune,
05:31donc je n'ai pas eu le temps d'arriver.
05:33Mais quel beau théâtre !
05:35Magnifique !
05:36Belmondo avec nous !
05:38Et le frère Belmondo qui nous a quittés il y a un mois.
05:42Dans quel état vous êtes quand vous êtes dans votre loge
05:44à cinq, dix minutes du spectacle ?
05:45C'est le track, c'est la concentration, c'est n'importe quoi ?
05:47Ça dépend si c'est la première.
05:49La première, on est mal.
05:51Normand, il nous tarde d'y être sur scène.
05:53Donc on n'a pas d'angoisse.
05:55Dès la troisième, c'est rock'n'roll.
05:58Les gens disent, vous n'avez pas peur ?
06:00Tu rigoles, tu vois 5 000 personnes,
06:02tu te dis, mais non, c'est comme une corrida, on y va.
06:04De toute façon, on n'a pas le temps d'avoir peur dans les loges
06:06parce qu'on n'y est pas avant le spectacle.
06:07Oui, on arrive au dernier moment.
06:09Ah oui, il y a cette fameuse histoire qui est restée dans l'histoire.
06:14Quand on a fait notre premier Olympia,
06:15on jouait trois jours.
06:16Évidemment, tu as quand même peur, tu fais l'Olympia.
06:20Bref, on s'installe, tout ça.
06:22Et puis, bon, le premier soir, on avait un peu les jetons,
06:25mais on a dit que ça irait comme dans un autre théâtre.
06:28Enfin, bon, voilà.
06:29Et juste avant, les comédiens ne mangent pas avant,
06:32nous, on mange.
06:33Et donc, juste avant, c'était de trouver un petit resto
06:35dans la rue derrière l'Olympia.
06:36Du comartin.
06:37Voilà.
06:37Et on avait des copains qui étaient là, tout ça.
06:39Et on mangeait, on s'est pris du foie gras, des pinards et tout ça.
06:42Et on a oublié l'heure.
06:45Et donc, le régisseur qui s'appelait Marcel,
06:47régisseur général de l'Olympia.
06:49Qui a vu tout le monde, lui.
06:50Eh bien, il arrive dans le resto.
06:52Il avait fait tous les restos de la rue.
06:54Et il nous dit, alors, les mecs, il parlait comme ça.
06:57Les mecs, j'ai eu les Rolling Stones qui m'ont pété les sièges.
07:01J'ai eu Johnny Hallyday qui m'a mis le feu au fauteuil.
07:04J'ai mis, mais des mecs, oublie-leur, vous êtes les premiers.
07:06Et c'est vrai.
07:12C'était pas ce Marcel qui, lui-même, s'absentait pendant le spectacle ?
07:16Oui, lui-même, il partait.
07:18Oui, il partait.
07:19J'ai jamais vu ça.
07:20Il avait 40 ans de métier.
07:22Et au milieu du spectacle, il partait parce qu'il disait, le spectacle dure combien ?
07:25On lui disait 1h34.
07:26Alors, c'est vrai que c'est très précis.
07:28On lui disait 1h34.
07:29D'accord.
07:30Et lui, à 1h28, il doit changer un accessoire.
07:33Et à chaque fois, il se barrait au bistrot.
07:35À 1h27, paf, il arrivait.
07:37Il revenait, exactement.
07:38Il posait l'accessoire et il repartait.
07:39Il repartait au bistrot.
07:40Et sur scène, dans le noir qui dure 5 secondes, il me disait, vous êtes bons, les gars, vous allez y arriver.
07:47Belle anecdote pour une salle mythique, évidemment.
07:50La salle la plus mythique de Paris.
07:53Bon, eh bien, écoutez, il est temps de retrouver Francis pour son histoire.
07:56Oui.
07:59C'est une femme qui rentre dans une pharmacie.
08:06Elle demande de l'arsenic.
08:07Et là, le pharmacien dit, qu'est-ce que vous comptez faire avec ça ?
08:10Eh bien, c'est pour tuer mon mari.
08:12Vous plaisantez.
08:14Attendez, madame, je ne peux pas vous vendre de quoi commettre un meurtre.
08:17Alors, la femme, elle ouvre alors son sac à main.
08:19Elle en sort une photo de son mari en train de coucher avec une femme.
08:23Et là, le pharmacien reconnaît sa femme.
08:25Et il dit, ah, évidemment, si vous avez une ordonnance, ce n'est pas pareil.
08:29Très bien.
08:35Ne bougez pas.
08:36Les Chevaliers du Fiel sont avec vous sur Sud Radio jusqu'à 18h.
08:40Les Chevaliers du Fiel, 17h-18h sur Sud Radio.
08:45Éric Carrière, Français Génie pour les Chevaliers du Fiel.
08:55Oui.
08:55Alors, la direction de Sud Radio a voulu certes une émission d'humour entre 17h et 18h.
09:05Mais nous avons quand même un cahier des charges très précis, messieurs, dames.
09:08Nous devons consacrer quelques minutes de ce programme à un peu de culture.
09:12Et la culture dans cette émission est représentée par celle que je vous demande d'applaudir, mademoiselle Violaine.
09:18Merci.
09:20Merci de venir représenter la culture, Violaine, ici.
09:23Merci pour cet entrée en matière.
09:24Oui, vous le savez, nous sommes obligés de laisser la place à la culture.
09:28Et heureusement, car nous en découvrons des talents.
09:31Et là, aujourd'hui, je reçois un artiste bien particulier.
09:34Bonjour.
09:35Bonjour.
09:35Alors, bonjour.
09:36Vous vous appelez Jean-Luc, très bien.
09:38Je m'appelle Jean-Luc.
09:40Oui, c'est ce que vous avez de me dire.
09:41Alors, Jean-Luc, je crois que...
09:42Jean-Luc, je m'appelle Jean-Luc.
09:43Oui, on a compris.
09:44Les gens ne sont pas...
09:45Jean-Luc, quoi.
09:46Très bien, merci, Jean-Luc.
09:47C'est de Marseille, hein ?
09:48De Marseille, on l'avait compris légèrement.
09:50Je crois que vous avez un parcours professionnel bien intéressant.
09:53Eh oui.
09:54Au départ, mes parents, ils me disaient, Jean-Luc, tu ne feras jamais rien des doigts.
09:58C'est vrai que quand on vous entend parler, même les doigts, on a un doute, oui.
10:01Par contre, Jean-Luc, j'avais un talon.
10:05Ah ?
10:06Je m'ai bien dessiné.
10:08Ah, vous avez bien dessiné.
10:09Pourtant, je crois que vous avez des problèmes avec vos profs de dessin.
10:12Oui, parce que je ne dessinais jamais rien de droit.
10:15Je faisais toujours des trucs de travail, des trucs de touristes, en tout cas, toutes les couleurs.
10:19Oui, d'accord.
10:20Jean-Luc, je m'appelle Jean-Luc.
10:21Oui, ça y est, on l'a compris.
10:22Alors, je crois que vous aimiez aussi la nature.
10:25Alors, vous vous lancez dans les études d'arboriculture et d'horticulture, c'est ça ?
10:29Oui, en fait, les arbres, quoi.
10:30Et puis là, votre vie change.
10:33C'était il y a deux ans.
10:34Vous vivez à Marseille.
10:36À Marseille, je vis à Marseille.
10:37À Marseille, c'est pas possible.
10:40J'avais des piruches, elles étaient moins qu'à ce couille.
10:42Enfin, bon, bref.
10:44Cache la beuille avant la douane.
10:45Oui, oui, c'est bon, c'est bon.
10:48Jules, tais-toi.
10:49Jules, on vous invitera une prochaine fois.
10:51Je suis de Marseille, c'est ça ?
10:52Oui, c'est ça y est.
10:54Alors, vous vivez...
10:54Oui, je sais, il te fouille, il te fout ta poêle.
10:58Alors, vous vivez à Marseille et un soir...
11:01Ils ont fouillé tout le beurre.
11:02Oui, c'est ça.
11:03Il y a le beurre qui est dans l'anus.
11:07On brode, on brode.
11:08Et un soir, vous faites la fête avec des amis, vous finissez totalement ivre dans l'appartement
11:13d'un de vos copains, qui est un copain, je crois, que vous ne connaissiez pas.
11:17Et voilà, je ne sais pas pourquoi, je t'ai pété, je t'ai fracassé.
11:21J'étais fracassé.
11:22J'étais complètement fracassé.
11:24Fracassé, j'étais fracassé, fracassé.
11:26Comme le capitaine.
11:27Jean-Luc, je m'appelle, Jean-Luc.
11:30Hein ?
11:30Oui, Jean-Luc, très bien.
11:32Le Marseille.
11:33Cache la beuille avant la douane.
11:35Oui, oui, oui.
11:37Vous n'êtes pas remis, hein ?
11:38Alors, on était complètement bourré.
11:40Bon, complètement bourré, expliquez-nous.
11:41Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
11:42Et le type, il était là, t'es bourré, t'es bourré, t'es bourré, et j'ai un mec, je dis, putain, je vais te couper les cheveux.
11:49Et là, je me lâche, je t'ai dit, il fait une haie à la française au milieu de la tête.
11:53Je le rase sur les côtés en lui faisant des dessins comme des pieds de meubles louquaises.
11:58Je lui mets du vert, je lui mets du rose et une petite queue au-de-la-tête.
12:01Et on rigole, putain, on rigole.
12:03Oui, mais or, or, or.
12:05Or, c'était un joueur de l'OM.
12:06Et qu'est-ce qui s'est passé ?
12:09Et le lendemain, il partait en stage avec l'équipe de France.
12:12Et il part comme ça.
12:14Et voilà, il arrive à Clairefontaine avec sa tête de perroquet, comme ça.
12:18Et c'est là que le miracle se produit, ça plaît aux autres.
12:21Oui, tous les autres, ils disent, putain, c'est qui qui a fait ça ?
12:25Je veux pareil.
12:26Putain, vous savez comment, tous les joueurs, ils parlent comme ça en équipe de France.
12:30Putain, je veux la même chose, je veux la même chose.
12:34En plus, même celui du Nord, ils ont cet accent-là.
12:38À tout le monde.
12:39Alors, et voilà.
12:41Donc, le miracle se produit, ça plaît aux autres.
12:44Et bref, le contact est pris.
12:46Et c'est là que votre instinct d'artiste reprend le dessus.
12:48Qu'est-ce que vous vous dites ?
12:49Je me dis, si tu leur fais à tous pareil, ça sera vite banal.
12:52Il faut aller toujours plus loin, toujours plus fort, toujours plus fou.
12:55Et vous créez une méthode particulière.
12:57J'ai acheté un sea coniche et je m'entraîne sur les chiens.
13:02D'accord.
13:02Je leur fais de tout, des messes, des rasages, des couleurs, tout dans tous les sens.
13:08Et là, vous avez une technique qui m'épate, c'est pour savoir quand c'est réussi.
13:12Alors, par exemple, je me fais une caniche verte et jaune.
13:15Oui.
13:15Avec des houppettes et une tresse violette.
13:18Si les autres disent rien, s'ils ne pleurent pas, c'est que ce n'est pas bon.
13:21Mais s'ils pleurent, c'est que ça leur fait peur.
13:24Et si ça leur fait peur, je sais que ça va plaire aux joueurs.
13:26Oui.
13:26Car vous avez beaucoup travaillé la psychologie du joueur de foot.
13:30Ah, beaucoup, oui.
13:31Autant qu'en bagnole, ils aiment tous les mêmes.
13:33Les Porsche, les Bentley, les Ferrari.
13:35Autant qu'en gazette, ils aiment tous les mêmes.
13:38Fosse blonde, de gros seins, gros cul.
13:40Avec un rire de merde.
13:43Oui, oui.
13:44Ce rire qui prouve qu'on a fait des études.
13:46Voilà.
13:47Autant aux coiffures, ils veulent de l'original.
13:50Et plus c'est con, et plus ils aiment.
13:51Et voilà.
13:52Des fois, dès le bus, vous êtes à l'arrière, que vous voyez les têtes,
13:55vous vous dites, putain, c'est pas possible, c'est un zoo.
13:57Oui, oui.
13:58Et si vous êtes devenu le coiffeur star des stars, c'est rentable ?
14:03Attendez, un bon joueur de foot, il est riche.
14:05Il n'imagine pas acheter un truc pas cher.
14:07Génial.
14:08Une coupe basique, il faut compter combien ?
14:103 000 euros, la coupe.
14:11Ah, quand même.
14:13Avec le shampoing, j'espère.
14:14Ah non, avec le shampoing, ça fait 4 000.
14:16Bien sûr.
14:17Voilà.
14:18Bon.
14:18Voilà, bon.
14:19Eh, il faut que j'y vais.
14:21Oui, déjà, on sent que toutes ces études-là, ça déteint.
14:26Vous parlez en footballeur, en fait.
14:27Eh oui.
14:28La même syntaxe, le même vocabulaire.
14:30Merci Jean-Luc, en tout cas, on peut le dire, nous, les Français, en cela, aussi,
14:34nous sommes champions du monde.
14:37Alors, ne quittez pas, évidemment, ce petit conservatoire, car ça enchaîne, parce que
14:42j'ai un deuxième invité, Pierre.
14:44Ah non, non, c'est pas possible.
14:45Ah si, si, si, je suis désolé.
14:46Il s'est imposé, on n'a pas pu le refuser.
14:48C'est une star, vous le connaissez tous.
14:50Ah non, pas lui.
14:51Mais si, il nous vient de la petite commune du sud-ouest de la France, connue pour sa
14:56fameuse centrale nucléaire, Jean-Paul André.
15:00Ah non, non, Jean-Paul.
15:02Bonjour Jean-Paul.
15:03Je suis content.
15:04Eh oui, t'es content.
15:05Nous aussi, on est content.
15:07J'ai pas de séquelles.
15:09Eh non, mais t'as bien chargé quand même, hein.
15:10Oui.
15:11T'as été fini au trifasé, ça, tout le monde le sait.
15:13Eh oui.
15:13Eh, eh, eh, eh, eh, hier, j'ai vu des loups.
15:18Non, on parlera pas des loups.
15:19Ils étaient comme ça.
15:22Des loups, des loups.
15:23Je leur parle un loup, un loup.
15:25Pour vous dire qu'il est touché coulé quand même.
15:27Il parle un loup.
15:29Il disait, Bayrou, il est revenu chez nous.
15:32Eh oui, ça se lit vite dans les forêts.
15:35Que Bayrou revient.
15:36Alors malheureusement, Jean-Paul, tu ne vas pas pouvoir chanter.
15:38Ah si, on m'a dit que si je viens, je peux faire un bout de la team Camille.
15:42Alors, un bout, alors, hein.
15:44Un bout, juste l'accord du début, quoi.
15:46Voilà, c'est bon, merci.
15:47Bon, il est plaisant.
15:48Allez, on y va.
15:49Je t'ai rencontré du côté de Narbonne.
15:53Je t'ai trouvé vachement bon.
15:56Oh, c'est le cœur magnifique derrière.
15:58Tu mangeais une pizza comme une conne.
16:02Et je crois bien que c'était une caleçon.
16:05En marchant le long des berges, je t'ai demandé si tu étais vierge.
16:26Tu m'as répondu que tu étais gémeau.
16:29Et quand tu pissais, ça faisait des grumeaux.
16:33Je te prendrais nu.
16:34Vas-y, chante.
16:36Dans la cime Camille.
16:38Eh, eh, eh.
16:40Je te prendrais nu dans la cime Camille.
16:48On l'applaudit très fort, Jean-Paul André.
16:55Et je vous dis tous à bientôt pour le Petit Conservatoire de Violaine.
16:59Non, Jean-Paul, non, non, arrête, Jean-Paul.
17:02Ça suffit maintenant.
17:03J'ai fini.
17:05J'ai fini.
17:05Qu'est-ce qu'il dit ?
17:06Non, non, non.
17:07T'as fini, là, oui.
17:08Nous sommes pris par le temps.
17:09Jean-Paul, déjà, tu n'étais pas prévu.
17:10Tu veux que je te chasse, je boufferais la quiche.
17:12Ah, non.
17:15Non, non.
17:16Je suis très étonné parce que, pardon, Violaine,
17:18mais j'avais donné des consignes précises à l'entrée de Sud Radio.
17:20Je sais bien.
17:21Pour que Jean-Paul ne rentre pas.
17:22Comment as-tu fait pour rentrer, Jean-Paul ?
17:24Je connais la cerveuse en bas.
17:26Oui, qu'est-ce que tu as fait ?
17:26J'ai montré le renard.
17:29Tu lui as montré le renard ?
17:30Oui.
17:30Et alors, qu'est-ce qu'elle a fait ?
17:31Ouh, le renard.
17:32D'accord.
17:33Et une belle fourrure.
17:35Bon, merci pour ton passage, Jean-Paul.
17:38Allez, on l'applaudit une nouvelle fois, Jean-Paul André.
17:41Au revoir, tout le monde.
17:46Oui, Jean-Paul.
17:46Il paraît que le nouveau Premier ministre, il s'appelle le cocu.
17:52Non.
17:53Ah non, le cornu.
17:54Le cornu.
17:54Eh oui, il a des cornus aussi.
17:55Mais voilà.
17:56Tu suis la politique du pays, Jean-Paul ?
17:58Oui.
17:59Je rigole bien.
18:00Oui, je m'imagine.
18:02Je m'imagine.
18:03Tout le monde ne rit pas, mais c'est vrai que toi, tu ris bien.
18:06Tu es engagé politiquement, Jean-Paul ?
18:08Non.
18:09Non.
18:10Non, il s'est engagé ailleurs, mais pas politiquement.
18:13J'aimerais bien faire du vélo.
18:14Du vélo ?
18:15Oui.
18:16Pourquoi ?
18:16Avec Sandrine Rousseau.
18:18Très bien.
18:19On va y en parler dès qu'on la croise.
18:21Merci beaucoup, Jean-Paul André.
18:22Ne bougez pas, les Chevaliers du Fiel sont avec vous sur Sud Radio jusqu'à 18h.
18:39Les Chevaliers du Fiel, 17h-18h sur Sud Radio.
18:45Éric Carrière, Francis Ginibre, les Chevaliers du Fiel.
18:58Avec Pierre Gallibert.
19:00Et Maître Lelon.
19:02Oui.
19:05Bonjour Maître.
19:06Bonjour Maître.
19:07Maître Lelon.
19:08Je sais qu'hier, vous aviez rendez-vous chez l'Otorino.
19:10Comment s'est passé ce rendez-vous ?
19:12Est-ce qu'il y a eu des améliorations par rapport à vos soucis de prononciation ?
19:15Pour le moment, je suis en bilan.
19:18Oui.
19:18En bilan.
19:19Je crois qu'il a perdu sa caméra.
19:21Je crois qu'il n'a pas pu...
19:23Parce qu'il a eu une caméra dans le nez.
19:24Oui, mais elle n'est jamais revenue.
19:25On ne sait pas d'où ça vient.
19:27Elle s'est perdue.
19:28Donc vous avez perdu une caméra, ça coûte cher.
19:30Il ne devait pas être content, l'Otorino.
19:31En fait, si vous voulez, pendant très longtemps, quand je faisais mes études, je rentrais en Solex.
19:39Ah, et alors ?
19:40Alors, ce Solex avait la lumière qui allumait trop haut.
19:45La lumière du Solex.
19:46Oui, la lumière de devant.
19:47Donc je roulais la tête vers le haut pour voir.
19:50Oui.
19:51Et donc la narine ouverte, je me suis engorgé les végétations.
19:55Ah, vous vous engorgez le nez.
19:57Oui, oui.
19:58L'air rentrait directement.
19:59Et depuis, c'est devenu onique.
20:01Mais est-ce que vous vous mouchez parfois ?
20:03Très, très peu, j'avale.
20:11Bien.
20:13Nous allons passer au quiz.
20:14Ce moment de culture, vous êtes offert par Sud Radio, évidemment.
20:19Nous allons passer au quiz, Maître Lelon.
20:21Faut-il rappeler que toutes les questions que nous posons à nos candidats
20:24sont extraites d'un site qui s'appelle culturequiz.com.
20:28Mais comment vous l'avez découvert, ce site ?
20:29Eh bien, ce site culturequiz.com est un site, Francis, très ludique.
20:33C'est sûr.
20:33On peut s'amuser parce qu'il propose plus de 15 000 questions thématiques.
20:3615 000.
20:37Et donc, on peut y aller tranquillement.
20:38C'est gratuit, bien sûr.
20:39Vous pouvez jouer.
20:41Qu'est-ce qui se passe ?
20:41Vous pouvez jouer sans problème sur culturequiz.com.
20:45Vous n'aurez pas quand même le jugement impartial de Maître Lelon,
20:48mais vous passerez quand même d'excellents moments.
20:4915 000 questions, ça peut faire 30 ans à peu près.
20:52À peu près.
20:52À peu près.
20:53On n'a pas fini de faire de la radio.
20:55On n'a pas fini de faire de la radio.
20:57Et c'est tant mieux.
20:58Voulez-vous accueillir, Maître Lelon, Francis, Éric, mesdames, messieurs ?
21:01La première candidate, c'est Chris.
21:04Bonjour, Chris.
21:07Alors, Chris.
21:08J'espère qu'elle est mariée avec quelqu'un qui s'appelle Jésus.
21:12Jésus-Christ.
21:13Jésus-Christ.
21:13Et Chris, c'est un diminutif de Christelle, de Christine ?
21:17Christelle.
21:18Et alors, pourquoi vous voulez qu'on vous appelle par un diminutif ?
21:22Vous préférez ?
21:22C'est les gens qui vous appellent comme ça.
21:23Christelle, vous trouvez ça un peu ?
21:25Christelle, c'est avant.
21:26Chris, c'est maintenant.
21:27Ah.
21:28Très bien.
21:29Et après, comment on va t'appeler après ?
21:32Que faites-vous ?
21:33Que faites-vous dans la vie, Chris ?
21:35Je suis auxiliaire de vie à domicile.
21:36Auxiliaire de vie à domicile dont vous vous occupez, de personnes âgées ?
21:39Pas que.
21:39Pas que, d'accord.
21:40Des personnes qui ont besoin d'aide.
21:42Voilà, c'est ça.
21:42À domicile.
21:44Est-ce qu'avant de partir de ces personnes-là, vous mettez, vous calez le transistor sur
21:48la fréquence de Sud Radio, Chris, pour que ces personnes-là écoutent les Chevaliers
21:53du Fiel ?
21:54Vous ne le faites pas ?
21:55Non.
21:55Ah, il faudra le faire.
21:56Il faudra le faire.
21:57C'est une bonne idée, non ?
21:58Ça s'appelle un bide.
21:59Oui.
22:04Puis c'est bien, vous le chevignez, comme ça, voilà.
22:06Bon.
22:07Alors, Chris, à domicile.
22:08Vous êtes là.
22:09Oui, je vais en faire.
22:09Moi, c'est pas ma matin.
22:11Non.
22:11Ok.
22:12Et alors ?
22:14Merci, Chris.
22:16Je saurais m'en souvenir.
22:18Chris, première question.
22:19Attention.
22:20Quel tropique traverse le golfe du Mexique ? Le tropique du cancer, du bélier, du capricorne
22:25ou du sagittaire ? Je répète.
22:27Quel tropique traverse le golfe du Mexique ? Le tropique du cancer, du bélier, du capricorne
22:32ou du sagittaire ? Difficile, ça, comme question.
22:34Non, c'est facile.
22:35Ah, ben, tu vas nous...
22:36Vous allez nous dire pourquoi, Maître Leblanc.
22:37Qu'est-ce que...
22:38Alors, je vais valider votre réponse, Chris.
22:39Cancer.
22:40Vous me dites le cancer.
22:41Et pourquoi c'était facile ?
22:42Oui, parce que c'est le tropique du cancer.
22:44Ben oui.
22:45Bravo.
22:45Très, très bien.
22:46Le capricorne est beaucoup plus bas.
22:47Les tropiques sont des cercles imaginaires parallèles à l'équateur.
22:51Celui de l'hémisphère nord s'appelle le tropique du cancer et celui de l'hémisphère
22:55sud s'appelle le tropique du capricorne.
22:57Ce que tu viens de nous dire à l'instant, Francis.
22:59Un point pour Chris.
23:01Ça démarre bien.
23:06Chris, quel ministère français est couramment appelé le Quai d'Orsay ?
23:10Le ministère de la Justice, de la Culture, de l'Intérieur ou des Affaires étrangères ?
23:14Justice.
23:15Justice et...
23:16Affaires.
23:17C'était les Affaires étrangères, le Quai d'Orsay.
23:21Aïe, aïe, aïe, zéro point pour vous, Chris.
23:23Eh oui, eh oui.
23:24Eh on l'appelle Quai d'Orsay parce que c'est sur le Quai d'Orsay.
23:27Quai d'Orsay, tout près du musée.
23:29D'Orsay.
23:29Oui, et de la gare.
23:31Et de la gare.
23:31D'Orsay.
23:32Très bien.
23:32Qui est au musée.
23:33Quelle ville, Chris, est surnommée la ville rouge ?
23:37S'agit-il de Pékin ?
23:38Non, c'est de la ville rose.
23:40Pékin, Abu Dhabi, Marrakech ou Strasbourg ?
23:43Strasbourg.
23:45Pékin, Abu Dhabi, Marrakech ou Strasbourg ?
23:48Chris.
23:50Marrakech.
23:50Marrakech, la ville rouge.
23:53Agnès.
23:57Chris, vous êtes déjà allée à Marrakech ?
24:00Non.
24:01Je suis à la Tétoine.
24:03Ah, Tétoine.
24:04Ah, Tétoine, c'est joli.
24:06Pourquoi on l'appelle la ville rouge, Marrakech ?
24:07Parce qu'elle est bleue, connard.
24:12Ça vous fait un point de plus.
24:17Nouvelle question pour vous, Chris.
24:18C'est quand même des questions un peu bêtes.
24:20Non, mais...
24:21Oui.
24:23Non, mais c'est vrai pourquoi on l'appelle rouge, Pékin, les rouges ?
24:26Non, non, mais je ne connais pas Marrakech.
24:27Moi non plus.
24:29Les pigments de la ville, les enceintes de la ville sont rouges.
24:32C'est vrai que vous êtes raciste.
24:36C'est pas vrai, c'est pas vrai.
24:38Dans quel film peut-on entendre Jean Gabin dire cette célèbre réplique ?
24:42Quand on mettra les cons en orbite, t'as pas fini de tourner.
24:46C'est dans quel film, ça ?
24:47Les tontons flingueurs, le pacha, un singe en hiver ou le clan des Siciliens ?
24:52En tout cas, ça, c'est des propos d'Odiart.
24:57Alors, vous me dites...
24:58Un singe en hiver.
24:59Un singe en hiver.
25:00Vous auriez dit quoi, les chers amis ?
25:01Le 1, moi, j'aurais dit...
25:02Les flingueurs, tontons flingueurs.
25:03Ah non, il ne joue pas dans les flingueurs, tontons flingueurs, Gabin.
25:06Gabin.
25:07Non ?
25:07Il y est dans les tontons flingueurs ?
25:08Non, il n'y est pas.
25:09Alors, j'ai validé un singe en hiver, c'était le pacha.
25:13Ah, mais je crois que dans les tontons...
25:15Ah ouais, je ne sais pas.
25:16C'est une réplique culte, donc, de Louis Joss, jouée par Jean Gabin dans un film, dans
25:21ce film de pacha, signé par un réalisateur que vous connaissez bien et qui s'appelle...
25:25Lottner.
25:25Georges Lottner, qui vous a fait tourner, les chevaliers.
25:27Oui, on a vécu...
25:30Alors, ça mérite d'être raconté, ça, quand même.
25:31Ah oui, mais ce que c'est un truc de malade.
25:34On venait de signer, justement, un RMC et il décide de faire une pub
25:38réalisée par Lottner.
25:40Alors déjà, on était fiers de jouer avec Lottner, vachement gentils, tout ça, machin.
25:45Et dans cette pub, il y avait donc C. Jérôme, il y avait Jean-Claude Bourré, il y avait
25:50Courbet, il y avait qui encore, Francis ?
25:54Foucault.
25:54Il y avait nous, il y avait Foucault, il y avait...
25:56Encore quelqu'un d'autre.
25:57Bon, bref.
25:57Et oui, Julien Courbet.
26:00Julien Courbet, oui.
26:01On tourne pendant deux jours et tout, on s'entend vachement bien avec Lottner.
26:05Et il nous avait trouvé un hôtel, c'était au-dessus de Monaco, mais on dormait à Nice.
26:10Et donc, on rentre en bagnole, il est une heure du matin.
26:13Et à ce moment-là, le grand débat de société qu'il y avait, c'était tout nouveau, c'est
26:17qu'on parlait que les couples homosexuels pourraient avoir des tarifs dans les trains.
26:22C'était le débat du moment, il y avait un scandale, enfin bon, je ne sais pas quoi.
26:27Et nous, on arrive au péage à une heure du matin, c'est Jean-Claude Bourré qui conduit.
26:32À côté, il y a Céjérôme, derrière Courbet, les chevets du Fiel et peut-être Foucault.
26:37Donc, imagine le mec du péage, ce n'était pas automatique, le mec du péage, on arrive,
26:43il ouvre, il voit Jean-Claude Bourré qui présentait le 13h quand même à TF1.
26:48Foucault, les chevets du Fiel, Courbet, il voit tout ça dans la même bagnole.
26:51Le mec, il est tétanisé.
26:53Et là, Bourré, qui n'avait pas l'air d'être un déconneur, mais qui était un sacré déconneur,
26:57il lui dit, pardon monsieur, est-ce que vous faites des tarifs aux homosexuels ?
27:03Le mec, il est vachement, il fait non.
27:07Et là, Bourré, il dit, ça sert à quoi qu'on s'encule ?
27:12Le mec, je jure que c'est vrai.
27:16Et le mec, jamais personne ne l'a cru.
27:18Parce qu'imagine, le mec, il rentre chez lui, il passe pour un mytho.
27:21Hier soir, il y avait machin, ils m'ont dit ça.
27:23Personne ne l'a cru.
27:24Et nous, on n'en pouvait plus.
27:25Mais ce n'est pas possible.
27:26Jean-Claude Bourré, présentait le 13h, vachement sérieux et tout.
27:29Alors, je reviens sur ta question précédente.
27:31Effectivement, Jean Gabin ne jouait pas dans les tontons flé.
27:34Oui, tu avais raison, tu avais raison, tu avais raison.
27:36Tu avais raison.
27:36Dernière question pour vous, Chris.
27:38Où a été observée la plus grosse vague du monde ?
27:44On a eu peur.
27:45À Nazaré, au Portugal, au Cortez-Bank, aux Etats-Unis, à Osgore, en France, ou à Jaws, à Hawaï ?
27:51Il y avait le tsunami.
27:52Ça, c'est au Nazaré.
27:53La plus grosse vague du monde, de Nazaré, Cortez-Bank, aux Etats-Unis, à Osgore, à Jaws.
27:57Et vous me dites...
27:59Chris, vous me dites, Nazaré, vous suivez la proposition d'Éric Carrière, qui est une bonne réponse.
28:08Il y a des vagues monstrueuses.
28:11En décembre 2014, la vague de Nazaré a atteint 33 mètres, soit la hauteur d'un immeuble de 10 étages.
28:17Vous n'avez jamais vu ces images de toutes ces vagues ?
28:19Mais quand on dit de la vague, elles ne font pas toutes 33 mètres.
28:21Non, c'est une vague.
28:22Une vague de temps en temps qui fait 33 mètres.
28:24Tu la mesure du creux à son sommet.
28:26Ils ont des appareils pour ça.
28:27C'est impréhensible.
28:28Par contre, les surfers, ils ont des rythmes, parce qu'il y a un rythme, toutes les 5 vagues ou 4 vagues.
28:35Mais tu vois, par exemple, en Méditerranée, dans les grandes tempêtes, les plus grandes tempêtes qu'il y en a,
28:40on appelle ça des coups d'Est, parce que ça vient toujours par l'Est,
28:42les grandes, grandes, grandes, grandes vagues de Méditerranée, mais c'est exceptionnel, peuvent faire 20 mètres.
28:48Mais c'est très exceptionnel.
28:50Alors que là-bas, elles se succèdent au Portugal.
28:5233 mètres, c'est pas mal.
28:53Bon, écoutez, Chris, avec cette vague de 33 mètres, vous avez un point supplémentaire.
28:57Alors combien elle a de Rouen ?
28:58Elle a 3 points.
28:59Chris, ce que tu as fait correct.
29:00Il y a eu 3 points, c'est bien.
29:01On peut l'applaudir et accueillir.
29:02Bravo, Chris.
29:03Sylvie, à présent.
29:03Vous allez être embêté, M. Allibert.
29:08Pour quelle raison ?
29:09Parce que j'ai remarqué que quand ces personnes, les candidates, étaient de jolies personnes, blondes, avec un joli corps, vous les faites gagner.
29:17Or, là, il y en a deux.
29:18Comment vous allez faire ?
29:20Je ne sais pas.
29:20Je ne sais pas.
29:21Je ne sais pas.
29:22On va voir.
29:22On va voir comment ça se passe.
29:23Je compte sur vous mettre le long pour les départager.
29:25Attention, Sylvie.
29:26Ça représente quoi, votre pantalon, enfin, votre tenue ?
29:30Sylvie.
29:31C'est quoi, les dessins ?
29:32C'est des années de travail.
29:34C'est des années.
29:35J'ai des trous, alors je recoude les trucs.
29:37Ah, c'est des trous.
29:39Mais vous avez des trous partout, en fait.
29:42J'ai même du...
29:44Ah oui, je vois.
29:45Ah oui.
29:46Mais là, c'est quelqu'un qui a voulu rentrer en force, là, non ?
29:50Maitre le long, vous pouvez décrire pour les auditeurs, parce qu'ils ne le voient pas.
29:54On dirait qu'un chien s'est lâché.
29:55Ah, ben, je ne sais pas.
29:56Non, c'est du vison.
29:58Ah, c'est du...
29:59Ah.
30:00Vous pouvez toucher.
30:01Ah oui, ah non.
30:02Vous pouvez toucher.
30:03D'ici, on dirait des oiles.
30:05Tiens, madame est luxueuse.
30:08Tu la caresses, ça, ça sent le vison, tu vois.
30:10Parfait.
30:11On va en rester là.
30:12C'est rare qu'un chat ait des poils de vison.
30:15Quel est votre métier ?
30:17J'étais infirmière.
30:18Infirmière à la retraite, alors, maintenant.
30:20Très bien.
30:20Bien à la retraite, mais je m'occupe de ma maman depuis 8 ans.
30:22D'accord, très bien, on embrasse.
30:25Alors, Sylvie, voici votre première question.
30:28De quelle dynastie Charlemagne fait-il partie ?
30:31Les Mérovingiens, les Capétiens, les Bourbons ou les Carolingiens ?
30:35Allez, lâchez-vous, Sylvie.
30:41Allez.
30:44Les Carolingiens, ça me paraît être une bonne réponse.
30:48Un point.
30:53Les Carolingiens, qui s'appelaient comme ça parce qu'ils se promenaient en carrosse.
30:58Très bien.
30:59Merci beaucoup, maître.
31:02Merci.
31:03Et les Capétiens, ça s'appelait des Capétiens parce qu'ils n'avaient pas la grosse tête.
31:06Ah, très, très bien.
31:08Sylvie, qui était opposé à Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle de 2007 ?
31:14Lionel Jospin, Jacques Chirac, Ségolène Royal ou Benoît Hamon ?
31:18Qui était opposé à Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle de 2007 ?
31:26Lionel Jospin, Jacques Chirac, Ségolène Royal ou Benoît Hamon ?
31:30Eh bien alors Ségolène Royal.
31:32Eh bien alors Ségolène Royal.
31:33Bien sûr.
31:37Je pense que c'est dans ce débat à l'occasion de ce second tour que Sarko disait ne vous énervez pas à Ségolène Royal.
31:44Oui, voilà.
31:45Elle était assez énervée.
31:47C'est aussi à ces élections où elle a été convoquée par son mari, qui ne devait pas être François Hollande,
31:53qui l'avait convoquée au bureau des socialistes.
31:56Vous ne vous rappelez pas de cette scène ?
31:57Non, racontez.
31:58Et qu'il avait fait un remontage de bretelles en lui disant ça suffit les conneries.
32:02D'accord.
32:02Voilà.
32:03Et après, il fut président.
32:06François.
32:06Oui.
32:07Très bien.
32:07Et elle n'a plus jamais mangé de camembert.
32:09Pourquoi ?
32:10Président.
32:11Ah !
32:13Sylvie, lequel de ces légumes ou fruits ne fait pas partie de la grande famille des cucurbitacées ?
32:20L'aubergine, le concombre, la pastèque ou le cornichon, lequel de ces légumes ou fruits ne fait pas partie de la grande famille des cucurbitacées ?
32:29Aubergine, concombre, pastèque ou cornichon ?
32:32Aubergine, bonne réponse.
32:40Combien elle a de ouins ?
32:42Elle a trois ouins.
32:43Oui, eh bien, je regrette.
32:45Elle s'est fait souffler par la tabacologue, et donc, qui est au premier rang, qui l'a soufflé.
32:52Elle a soufflé, elle a ouflé, elle a ouflé.
32:55Alors, quand quelqu'un oufle, qu'est-ce qu'on fait ?
32:57On lui en retire deux ouins.
32:59Deux points.
32:59Et oui, parce que ouflé n'est pas joué.
33:04Bien sûr, bien sûr, bien sûr.
33:06Dernière question pour vous.
33:08Attention, il faut à tout prix marquer deux points sur cette question, qui n'en vaut que un.
33:12C'est même pas la peine que je vous la pose.
33:14Attention, si elle répond bien, en moins de 20 secondes, la question vaut deux ou un.
33:20Deux ou un.
33:21Donc, tout est possible.
33:23Quelle est la signification de la dernière lettre du sigle NASA ?
33:28La NASA, vous savez ce que c'est bien, évidemment.
33:30Le dernier A veut dire Administration, Aéronautics, American ou Authority ?
33:37Authority.
33:40Administration, Aéronautique, Américain ou Autorité ?
33:44Le dernier A de la NASA, Sylvie, deux points en jeu.
33:47Alors, elle ferme sa gueule, la tabacologue.
33:50Américain.
33:53Américain.
33:54Vous me dites Américain que je valide.
33:57C'était Administration.
33:58Alors, le A, effectivement, mais c'est le premier A qui veut dire Aéronautique.
34:04NASA, ça veut dire National Aéronautics and Space Administration.
34:08Attention.
34:09Quoi ?
34:09Ah, alerte règlement.
34:11Oui.
34:12Quand une perdante a perdu.
34:14C'est qui est le cas de Sylvie ?
34:15Elle a perdu.
34:16Oh, c'est réglé.
34:16Merci beaucoup, c'est donc...
34:17Mais si elle passe son temps à soigner sa maman, alors elle récupère des oins, elle est à égalité, elle repart avec le Hug.
34:26Donc, si j'ai bien compris, Chris et Sylvie ont gagné toutes les deux.
34:29Toutes les deux, voilà.
34:31Magnifique.
34:34Bravo, mesdames.
34:36Bravo, Chris.
34:36Bravo, Sylvie.
34:39Il m'en faut des pages dans mon règlement.
34:41Ah, ben oui.
34:42Parce que là...
34:43Non, non, non, non, je vous en prie, allez-y par ici.
34:46C'est terminé, la séquence est terminée.
34:48C'était pour déborder un peu.
34:49Nous pouvons envoyer la suite.
34:50Oui, c'est ça.
34:51On peut déborder...
34:52La suite, s'il vous plaît, les chevaliers reviennent dans un instant.
34:56Les Chevaliers du Fiel, 17h-18h sur Sud Radio.
35:07Éric Carrière, France Tégénibre, Les Chevaliers du Fiel, jusqu'à 18h sur Sud Radio.
35:11Quel public !
35:21Toujours entre 17h et 18h, on a un public fabuleux.
35:24Exceptionnel, exceptionnel.
35:25D'une fraîcheur, regarde ça.
35:26D'une fraîcheur, mais pas certaines personnes de premier rang, quand même.
35:31Non.
35:32De la toute première fraîcheur.
35:34Je plaisante, je plaisante.
35:36Je voulais juste vous rappeler que si vous souhaitez venir vous amuser avec nous, évidemment,
35:40nous enregistrons les émissions et vous êtes rigoureusement les bienvenus.
35:43On a besoin de vous pour rire, sourire au délire des chevaliers.
35:48Donc, ce n'est pas très compliqué.
35:49Vous allez sur le site d'Eric et Francis qui s'appelle leschevaliersdufiel.com.
35:53Et là, vous avez toutes les explications.
35:55Vous avez une petite pastille, Les Chevaliers Radio.
35:57Et là, on vous explique comment faire pour nous rejoindre.
36:00On enregistre finalement un petit peu partout en France, à Toulouse.
36:04Prochain enregistrement aussi du côté d'Avignon, un petit peu à Paris.
36:07Donc, on espère que vous allez venir nous rejoindre.
36:10Bien sûr.
36:11C'est nous.
36:11C'est une bonne ambiance quand même.
36:13Non ?
36:13Et accessoirement, c'est entièrement gratuit.
36:20Parfois, il m'arrive de faire une petite quête, mais c'est pour les oeuvres sociales des personnels.
36:25Des galibères.
36:26Voilà, et de la famille Galibère.
36:27Qui quête Galibère.
36:28Bien sûr.
36:29Mais vous ne l'avez pas payé, là ?
36:31Qui ?
36:32La taxe d'habitation.
36:33Quelle taxe d'habitation ?
36:34De votre villa à quatre étages à casse.
36:36Mais si, j'ai tout payé.
36:38Je suis à jour de mes cotisations.
36:39Bien sûr que j'ai tout payé.
36:40Il y a du retard sur le paiement de la taxe d'habitation.
36:43Absolument pas.
36:44Madame Galibère fait toute la comptabilité.
36:45On est à jour.
36:46Il n'y a aucun souci.
36:47Je crois savoir que vous avez une piscine en projet.
36:51Bien sûr.
36:52Il faudra la déclarer.
36:53Oui.
36:53Et puis, si l'autoroute se finit, il a une sortie directe sur sa maison.
37:02Ça, on n'y est pas.
37:03Ça, on n'y est pas, Francis.
37:04Dans un instant, sur Sud Radio, les vraies voix.
37:07Les vraies voix, Cécile de Minibus et Philippe David jusqu'à 20 heures.
37:10J'aime beaucoup, Cécile de Minibus.
37:12Elle vous aime beaucoup aussi.
37:15Calmez-vous.
37:16Mais vous la rencontrante au détour d'un couloir de Sud Radio ?
37:19Oui.
37:20Comment ça s'est passé ?
37:20Comment ça s'est passé ?
37:21Avec Cécile de Minibus.
37:23On s'est embrassé.
37:25Non.
37:26C'est vrai ?
37:27Oui.
37:27Et vous l'avez invité au restaurant après ?
37:29Pas encore.
37:30Ah, c'est un projet ?
37:32Disons.
37:33Bon.
37:34On arrête là-dessus ?
37:35Je vous raconterai.
37:36Vous nous raconterai.
37:36Vous nous raconterai.
37:37Très bien.
37:38Alors, comme on a quelques minutes, on pourrait faire une cascade, si vous le voulez bien.
37:41Une cascade ?
37:42Une cascade d'histoire.
37:43Oh.
37:44Une petite cascade d'histoire.
37:45C'est Francis qui débite.
37:52C'est un jeune homme qui passe ses vacances dans un camp de nudistes, naturistes.
37:56Et puis, il cherche une photo à envoyer à sa mère.
38:00Alors, bon, évidemment, il en choisit une.
38:02Où il est debout, tout nu, laissant voir qu'il est superbement bâti, quand même.
38:07Mais il coupe le cliché en deux, horizontalement, et il expédie que le haut à sa mère, évidemment.
38:11Quelques jours plus tard, la mère écrit pour le remercier et suggère à son fils,
38:16écoute, envoie aussi une photo à ta grand-mère, ça lui fera vraiment plaisir, elle se sent seule pendant les vacances.
38:22Donc, lui, il se dit, merde, j'ai plus de photo.
38:25Alors, il dit, de toute façon, elle n'y voit pas grand-chose, je vais lui envoyer le bas, que je vais envoyer à ma mère.
38:30Et voilà, et il expédie ça.
38:32Et puis, quelque temps, la grand-mère, très contente, lui écrit, merci de penser à ta grand-mère.
38:39En tout cas, tu n'as pas changé.
38:41Toujours mal rasé et la cravate de travers.
38:47Ce qu'il y a de drôle dans les histoires, c'est aussi, comment ça s'appelle, les situations de base.
38:51C'est improbable comme situation.
38:52L'hypothèse.
38:53L'hypothèse, c'est ça.
38:53L'hypothèse, l'hypothèse est toujours improbable.
38:55Moi, j'en ai une, c'est dans un train.
38:57Les voyageurs s'ennuient comme dans les trains, tu t'ennuies.
39:00Alors, il y a un moment, il y en a un, il dit comme ça, si vous voulez, je vais vous raconter des histoires drôles pour passer le temps.
39:06Ah, ben, tout le monde dit, oui, d'accord.
39:08Il dit, j'en connais une qui est vraiment bonne.
39:12C'est l'histoire d'un Suisse.
39:14Et là, le voisin, il s'arrête et il dit, attendez, attendez, attendez, monsieur, s'il vous plaît, je suis Suisse.
39:18Et l'autre, il dit, c'est pas grave, je vais la raconter lentement.
39:24Francis.
39:26C'est un homme qui, avec son fils de 8 ans, ils prennent le taxi, qui doit traverser un quartier avec des prostituées sur le trottoir et tout.
39:33Et il y a l'enfant qui demande, et qu'est-ce qu'elles font les dames là ?
39:37Elles attendent leur mari qui sont au travail, répond le père.
39:41Il est un peu embêté, évidemment.
39:42Il veut le préserver.
39:43Et là, le chauffeur de taxi intervient et il dit, mais non, petit gars, ton père, il rencontre des conneries.
39:49Les dames que t'as vues, c'est des putes.
39:52Et là, le gamin, il dit, papa, c'est quoi, les putes ?
39:55Eh bien, c'est des dames qui ont plein de maris.
39:58Mais alors, elles doivent avoir plein d'enfants.
40:00Et qu'est-ce qu'elles en font de leurs enfants ?
40:02Et le père, il dit, elles en font des chauffeurs de taxi.
40:09Elle est belle.
40:10Un médecin qui est réveillé par le téléphone en pleine nuit.
40:20Allô, docteur, venez vite, implore une femme.
40:23Mon fils vient d'avaler un préservatif.
40:25Le praticien s'habille en hâte.
40:27Il n'a pas le temps de partir que le téléphone ressonne à nouveau.
40:30Le problème est réglé, il en a trouvé un autre.
40:32Allez, Francis, une dernière avant de se séparer.
40:40Oui, c'est un docteur, il dit, oh là, docteur, ça ne va pas bien, là.
40:45Lorsque j'appuie sur mon cœur, j'ai mal.
40:48Quand je touche mon foie, j'ai mal.
40:50Et alors, quand je tâte mon ventre, là, j'ai très, très mal aussi.
40:55Vous avez une idée de ce que je peux avoir ?
40:57Et le docteur, il dit, d'après moi, vous avez le doigt cassé.
41:03Ah, j'en ai une là-dessus.
41:04Allez, une dernière, une dernière.
41:06Oui, c'est un mec qui va chez le Toubou, il lui dit, voilà, docteur, je viens vous voir.
41:09On m'a dit que si j'arrêtais de fumer, que s'il arrêtait de boire,
41:14que s'il arrêtait de manger, que s'il arrêtait de baiser,
41:16je vivrai plus longtemps.
41:18Le Toubou lui dit, je ne peux pas vous le garantir,
41:20mais ce que je sais, c'est que ça va vous paraître beaucoup plus long.
41:22Ça, c'est vrai.
41:24Alors, moi, j'ai une question.
41:26Oui.
41:26Éric et Francis, j'ai une question.
41:29Que faites-vous demain à 17h ?
41:32Devine.
41:32De la radio.
41:33De la radio sur Sud Radio.
41:34Oui.
41:35À demain, Éric et Francis.
41:36Merci beaucoup, les chevaliers du ciel.
41:38Merci.
41:39À demain.
41:41À demain.
41:48Dans un instant et jusqu'à 20h,
41:51les vraies voix sur Sud Radio,
41:53Cécile de Minibus et Philippe David.
41:55À demain.
41:56Les chevaliers du fiel,
41:5817h-18h sur Sud Radio.
42:01Qu'est-à-dire?
42:11Sous-titrage Société Radio.
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