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Pierrot le Foot : Les dossiers de Pierrot (Partie 2) 2002-2018 et ma vérité sur Knysna
Chaine Youtube de Pierrot le Foot : https://www.youtube.com/watch?v=fo4ZOMFMdWo
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00:00Les matchs amicaux, puisque la France était qualifiée d'office puisqu'elle était championne
00:09du monde en titre à l'époque, pour la Corée se passe bien. On va faire la Coupe des Confédérations
00:17en Corée, dans une ville qui s'appelait Dégout, qui a rarement porté aussi bien son nom. Tant
00:23de journalistes ont été malades, épris de vomissements aussi fulgurants que soudains.
00:29Moi, j'y ai coupé, mais c'est vrai que cette compète était assez infernale. Quand je suis
00:37revenu, moi qui avais souvent des exigences, j'ai dit, moi je vais à la Coupe du Monde,
00:42mais je veux être dans un bon hôtel, parce qu'on était dans des hôtels tout moisis pendant cette
00:46compète. Très franchement, à Dégout, il n'y avait que des hôtels modifs. Je veux être dans un très
00:50bon hôtel et je veux y aller en business. Ce qui fait que quand j'ai été en business à la Coupe du
00:58Monde 2022, je me suis retrouvé au milieu des joueurs de l'équipe de France, au grand désarroi,
01:04évidemment, de Roger Lemaire, qui était toujours dans sa guéguerre ridicule, mais au grand plaisir de
01:10Fabien Berthez, qui était d'ailleurs à côté de moi pendant le voyage. Cette Coupe du Monde en Corée,
01:16elle a évidemment très mal débuté avec la blessure de Robert. C'était Philippe Boixell,
01:23qui était l'ostéopathe de l'équipe de France, qui m'appelle et qui me fait « Tiens Robert,
01:28c'est blessé en cup avec Arsenal contre Newcastle, et j'ai peur que ce soit les… j'ai vu les images,
01:36j'ai peur que ce soit les croisés. » Donc j'appelle Robert, je lui fais « Tu t'es fait mal ? »
01:40« Ouais non, mais ça va, j'ai pas trop mal, ça va pas être trop grave. » Et le soir, je vois l'image,
01:45je vois en fait Robert qui saute par-dessus un défenseur, et il retombe sur son genou, et le genou fait,
01:52clac, clac, et je lui dis « Bon, c'est bon, il allait croiser, péter, c'est foutu. » Et effectivement,
01:58la blessure de Robert, qui était une catastrophe, parce qu'à l'époque, Robert était quasiment le
02:04meilleur joueur de l'équipe de France. Évidemment, Robert manque, et il y a ce match amical contre les
02:12Coréens à cinq jours du début du Mondial, des Coréens survitaminés, pour pas dire des mots plus
02:22désagréables. Et l'équipe de France fait des efforts assez surhumains pour l'emporter 3-2. Et
02:29franchement, bon, cette Coupe du Monde s'annonçait pas si mal, on avait une ligne d'attaque incroyable,
02:38on avait le meilleur buteur d'Italie, le meilleur buteur d'Angleterre, le meilleur buteur de France,
02:42et nous étions tous au Walker Hill Hotel, qui était un hôtel énorme, et la France avait l'annexe de
02:49l'hôtel qui lui était dédiée. Sauf que, quelque part, c'était une bonne idée, sauf que les chambres de
02:54l'annexe étaient évidemment infiniment moins bien que les chambres de l'hôtel, parce qu'on est arrivé à un
02:58paradoxe assez incroyable, où finalement, c'était les journalistes qui étaient mieux logés que les
03:03joueurs durant cette Coupe du Monde. En plus, dans cet hôtel, il y avait un casino, il y avait une revue
03:11type folie bergère, avec donc une troupe de danseuses essentiellement anglaises et australiennes, et un piano
03:20bar-boîte, avec un orchestre bulgare, ce qui évidemment faisait beaucoup de tentations, donc
03:26évidemment, tu voyais souvent des joueurs qui faisaient le mur le soir pour aller au casino, ou
03:33boire un verre, et tout. Et puis les joueurs s'emmerdaient tellement dans leur annexe, que finalement, leur plaisir,
03:41c'était de partager un café avec nous après le déjeuner, donc il m'arrivait très souvent de prendre le déjeuner,
03:52de prendre le café avec Barthez, avec Emmanuel Petit, avec Yuri. Laurent Blanc n'était plus de la fête, mais il était là,
04:01parce que c'était lui qui était notre grand témoin pour l'équipe. Je me souviens, au deuxième match, l'équipe de France
04:07fait 0-0 contre l'Uruguay, et on voyait que les joueurs étaient perdus. Henri venait de se faire expulser, et on était dans une autre ville,
04:14je ne sais plus quelle autre ville avait lieu ce match, et Laurent me dit, viens, on va voir les joueurs. Je ne suis pas certain,
04:21ils ont perdu le premier match contre le Sénégal, ils ont fait match nul contre l'Uruguay, je ne suis pas certain qu'ils aient envie de me voir,
04:29ils me disaient non, si si, viens, on y va. Et on s'est retrouvés dans la pseudo boîte de nuit de l'hôtel,
04:36où il y avait pas mal de joueurs à l'équipe de France, notamment David Trezeguet, et j'ai vu leur regard
04:41lorsque Laurent Blanc est arrivé avec moi, et c'était vraiment Laurent Hennou. C'est très dur à vivre,
04:48cette descente aux enfers de cette équipe de France pendant ce mondial coréen. Il y a évidemment eu la blessure de Zidane
04:55contre la Corée, et alors là, je vous parlais tout à l'heure de l'importance de la compo d'équipe.
05:02L'enjeu, c'était de savoir si Zidane serait là-haut. Il fait une IRM, et Philippe Boaxel, qui était l'ostéopathe,
05:09me dit, impossible que Zidane joue les deux premiers matchs, peut-être le troisième.
05:14Donc, moi, j'ai cette info, cette info qui m'était corroborée, puisque quand j'allais à la piscine de l'hôtel,
05:21je retrouvais Zidane avec son bonnet de bain qui nageait pour garder un peu de conditions physiques.
05:28Et justement, avant le match contre l'Uruguay, Gilles Verdez, qui à l'époque était journaliste au Parisien,
05:34sort une bombe, il met Zidane sur le banc contre l'Uruguay.
05:39Évidemment, moi, fort de mon info, je dis que Zidane ne jouera pas.
05:44Et je peux vous jurer que dans ces cas-là, vous-même et tous vos collègues de votre journal sont sûrs que c'est l'autre qui a raison.
05:53Et en fait, bah non, Dieu merci, j'ai eu raison.
05:57Et Zidane n'était pas sur le banc contre l'Uruguay.
06:02Il a joué contre le Danemark sur une jambe, un match que les Bleus ont perdu 2-0,
06:09ce qui est assez incroyable si, encore une fois, on avait les meilleurs buteurs de tous les championnats
06:13et qu'on n'a pas mis un but durant ces trois matchs en tapant cinq fois sur le poteau.
06:18Ce qui montre qu'il y avait quand même un vrai souci à ce niveau-là.
06:24Et c'est une grande tristesse.
06:28C'est vrai qu'après l'élimination, j'ai retrouvé Franck Leboeuf, Lisa Razou et Yuri,
06:38qui étaient vraiment très touchés par cette élimination au premier tour.
06:44On sentait vraiment que c'était un grave échec pour eux et qu'ils l'avaient surtout vraiment pas vu venir.
06:51Derrière, il y a eu la Coupe du Monde 2006.
06:57Alors la Coupe du Monde 2006, j'avais changé de crèmerie puisque j'étais à M6.
07:04M6 avait acheté un peu la surprise générale à l'époque, les droits de cette Coupe du Monde.
07:10Et que donc on alternait entre les émissions, les 100% foot quotidiens avec Estelle et Dominique.
07:19Et j'allais aussi aux matchs en Allemagne puisque j'avais aussi à couvrir la compète pour Yahoo.
07:27Et ça m'a permis d'être à des matchs de l'équipe de France, notamment celui contre le Togo, il me semble.
07:37Oui, avec la qualification, avec le but de tirer Henri.
07:43Et cette Coupe du Monde, elle a surtout été marquée par Raymond Domenech,
07:47qui était sélectionneur de l'équipe de France, qui était déjà ensevelie en permanence sous les critiques.
07:57Et c'est vrai que parfois j'ai vu la souffrance d'Estelle, parce qu'elle trouvait ça effectivement, juste le titre, elle trouvait ça très injuste.
08:07Et c'est la Coupe du Monde qui nous a amené jusqu'en finale, on le sait, avec le final où on était à Berlin, avec Jérôme Bureau, avec Thierry Rolland, avec Jean-Philippe Doubs, avec Estelle, avec Dominique Grimaud.
08:23On avait tourné pas mal de petites scènes à Berlin la veille et le jour du match, et c'était sympa, mais c'était différent pour moi de suivre,
08:35parce que j'avais tellement l'habitude d'être au plus près de l'équipe de France que c'était compliqué.
08:42Alors pour le coup, à la Coupe du Monde suivante en Afrique du Sud, là j'étais au plus loin,
08:48puisque à cette époque-là, la Coupe du Monde était retransmite sur le canal, et nous on avait un CFC tous les soirs en direct à 23h, écodé.
08:58Et arrive évidemment la fameuse affaire à Nelka, avec le titre de l'équipe,
09:05j'étais, je crois, Vanille, va te faire enculer, fils de pute, avec ta compo de merde, je crois que c'était…
09:11En gros, c'était ça. Il se trouve que le directeur de la rédaction de l'équipe, à l'époque, était un de mes meilleurs amis,
09:17Fabrice Jouault. Et nous, on est à Canal, et il faut voir donc que le CFC était codé, enfin,
09:26était encrypté tous les soirs, et que pendant six soirs de suite autour de cette affaire,
09:30on a fait plus d'un million de téléspectateurs, ce qui est un audimat assez incroyable,
09:36et même encore aujourd'hui sur Canal. J'ai assez rapidement su que c'est pas exactement ce qu'Annelka avait dit.
09:42Le but du jeu a été évidemment de trouver assez rapidement ou de chercher assez rapidement la taupe.
09:48Il semblerait que la taupe, ce soit l'agent d'un joueur qui est répété de manière déformée ce qu'avait dit Annelka.
09:56De toute façon, ça arrive à la grève de Neissna. De toute façon, cette compétition était partie en cacahuètes,
10:05puisque avant le premier match contre l'Uruguay, Florent Malouda va voir Domenech et lui dit,
10:12moi je voulais bien défendre pour Zidane, je veux pas défendre pour Gourcuff.
10:16Donc évidemment, quand t'es face à un chantage de ce niveau-là,
10:22Raymond Domenech a eu la seule réponse qu'un sélectionneur normal puisse avoir dans ce moment-là,
10:30c'est, eh ben, tu joues pas. Donc vous vérifierez, Florent Malouda n'était pas titulaire dans ce premier match.
10:39Premier match où Johan Gourcuff est totalement boycotté par ses coéquipiers,
10:44à tel point qu'à la fin du match, Johan va dire à Domenech que je peux pas jouer, il me donne pas la balle.
10:50Je sais à quoi Raymond, là aussi en toute logique, lui répond, mais c'est des conneries,
10:54on va prouver que c'est pas le cas.
10:58Raymond commandit un montage vidéo à son monteur en lui disant,
11:03« Fais-moi un montage » qui contredit les affirmations d'Yohan.
11:09Sauf qu'au bout de trois heures, le monteur vidéo est venu et a dit, ben, je peux pas.
11:15Je peux pas parce que de toute façon, c'était…
11:17Je me souviens très bien d'avoir vu le match et d'avoir remarqué que,
11:22de façon ostensible, les joueurs de l'équipe de France boycottaient Johan.
11:27Je pense que, avant l'affaire Anelka, l'affaire Gourcuff a déjà stigmatisé beaucoup d'inimitiés dans cette équipe de France.
11:38Il l'appelait la nouvelle star.
11:40Alors, par contre, derrière, il est totalement faux de dire qu'il s'est battu avec Franck Ribéry.
11:44Je pense que Franck Ribéry était trop gentil pour se battre avec qui que ce soit.
11:48Par contre, évidemment, les meneurs, ben, écoute, tout le monde les connaît.
11:52C'est Patrice Evra, c'est Abidal qui dit dans le bus de Neissna, le premier qui descend, je le descends.
12:04C'est une ambiance, évidemment, inadmissible.
12:07Tout l'allant qui se fait un peu berner dans cette histoire en demandant à son avocat d'intervenir.
12:12Enfin, c'était joyeusement n'importe quoi.
12:14En tout cas, c'est pour ça que là, quand j'entends qu'il va y avoir un documentaire sur Neissna et que Patrice Evra annonce avec fracas qu'il va enfin dire la vérité,
12:26entendant bien, c'est sa vérité qui va dire, évidemment, elle va être tournée, n'en doutez pas en sa faveur.
12:35Et pour ce que je sais, son rôle dans cette période a été assez peu reluisant.
12:40C'est d'ailleurs pour ça que Didier Deschamps, derrière, ne lui a jamais redonné le brassard de capitaine.
12:47Donc effectivement, c'est une période qui vraiment a fait tâche, qui a fait énormément de mal à l'équipe de France et au football français.
12:57Parce que c'est une image incroyable.
13:00C'est une image qui a brisé Johan Gourkuf à tout jamais.
13:04Il ne faut quand même pas non plus se raconter d'histoire.
13:06Alors peut-être qu'il était effectivement trop fragile pour football de haut niveau.
13:10Mais ce qu'il a vécu à titre personnel et humain lors de cette Coupe du Monde, c'est absolument scandaleux.
13:19Derrière, évidemment, il y a eu la période Laurent Blanc qui n'a pas été aussi indigne que ça.
13:2721 matchs sans défaite, quelques très bons matchs.
13:30Et Laurent, lui, a fait confiance à la génération Ben Arfa, Menez, Nasri, Ben Zema.
13:38Laurent a fait confiance au talent, ce qui a évidemment tranché avec Deschamps, qui lui a fait confiance au pragmatisme.
13:44Et il est forcé de reconnaître que le pragmatisme a de meilleurs résultats que le talent aussi en équipe de France.
13:51Et Deschamps est donc arrivé pour la Coupe du Monde éliminée par l'Allemagne.
13:57J'étais évidemment là maintenant très loin des Bleus.
14:02Et je suis d'ailleurs depuis resté loin des Bleus.
14:05Je ne faisais plus que des émissions sur ITV, anciennement CNews, parce que c'était le seul endroit où on avait le droit à des images.
14:14Il y a eu une Coupe du Monde, celle au Brésil où effectivement il y avait une page spéciale au Grand Journal avec Antoine Decaune.
14:23C'était une période assez sympa, mais bon, c'était plus pareil pour moi.
14:29Et même la Coupe du Monde 2018 et la victoire des Bleus, j'étais trop dans l'analyse.
14:39Et c'est vrai que quand tu suis l'équipe de France et que tu es avec eux, forcément tu deviens un peu plus supporter.
14:45D'autant plus que ce n'est pas compliqué d'être supporter de ta sélection nationale.
14:51Mais 2018, j'étais trop observateur, trop froid sur les matchs.
14:58En plus, j'avais des contrats commerciaux.
15:01J'ai eu un contrat avec Carrefour pendant le premier match, qui a d'ailleurs après duré,
15:06puisque mon compte Twitter était dévié sur le compte Carrefour pendant cette compétition.
15:13Et voilà, maintenant l'équipe de France, ça reste pour moi un souvenir étonnant.
15:23Il y a eu aussi des périodes quand Domenech est arrivé, ce n'était pas la fête.
15:28L'arrivée de Domenech, c'était le premier match à Rennes contre la Bosnie.
15:34Il organise une réunion obligatoire avec les joueurs.
15:37Ce qui me fait dire à Barthez qu'il était un peu vieux pour être appelé en équipe de France Junior.
15:42Il s'attaque de façon assez incompréhensible à Robert Pires.
15:48Robert ne réagit pas super intelligemment en se présentant au Zilferroé avec une casquette guilty à la fin du match.
15:57J'ai eu l'anecdote avec Robert, c'est qu'il y a le match contre l'équipe d'Irlande au Stade de France,
16:04qui fait un match tout pourri.
16:07L'équipe de France qui jouait à cinq défenseurs, enfin bon bref, n'importe quoi.
16:11Et à l'époque, on devait avoir, il y avait tous les lundis dans l'équipe, une page complète d'interview d'un sportif.
16:19Et là, Jérôme Bureau, qui était le directeur de la rédaction, exige que l'interview soit un joueur de l'équipe de France.
16:25Sauf que le lendemain à Clairefontaine, il n'y a que des remplaçants, puisque c'est assez classique d'ailleurs.
16:31Il y a Sissé, il y a Skilacci, enfin bon, il n'y a pas matière à faire une interview.
16:37Donc on se met tous un peu en chasse d'un joueur.
16:40Moi, je dis, parce que la pression, les heures commençaient à passer et la pression commençait à monter.
16:46Je dis, moi, je peux faire Pires.
16:48Sauf que je ne sais pas pourquoi ce jour-là, Pires était injoignable sur son téléphone.
16:53Et en fait, je me mets à faire l'interview tout seul.
16:55Robert, je lui parlais deux, trois fois par semaine.
16:58Je le voyais très régulièrement à Arsenal.
17:00Donc je pouvais quelque part me permettre cette liberté.
17:03Et je commence, machin.
17:06Je termine.
17:07Et là, miracle.
17:09J'ai Robert au téléphone.
17:11Et je lui dis, ben, Vilain, tu viens de faire une page d'interview dans l'équipe demain.
17:15Donc je lui lis quand même.
17:16Ça me semble être la moindre des choses.
17:18Il ne me semble pas qu'il ait modifié quoi que ce soit, d'ailleurs.
17:21Donc voilà, quoi.
17:23C'est les petites anecdotes de l'époque.
17:26Pendant la Coupe du Monde 98, en fait, j'ai fait des jeux et joueurs.
17:31J'ai fait 24 matchs.
17:32Je suis certainement le journaliste qui a suivi le plus de matchs.
17:36Et j'étais tous les jours dans une ville différente.
17:38C'était assez sympa.
17:39Même si le seul match de l'équipe de France que j'ai vu, c'est la France-Croatie, la demi-finale.
17:46Enfin, l'équipe de France aura été un des grands fils conducteurs de ma carrière à l'équipe.
17:52Certainement mes plus beaux souvenirs.
17:55Le souvenir de mon plus beau voyage à titre professionnel, c'est le Chili.
18:01Les pieds dans le Pacifique à Valparaiso.
18:04Le lendemain du ski sur la cordillère des Andes.
18:07Une petite ville artisanale, certainement factice, mais assez incroyable à Santiago.
18:14Et après le match, une boîte de nuit toute blanche, le Mantra, qui était un endroit assez incroyable.
18:24C'est le plus beau voyage à titre personnel de cette longue période avec les Bleus qui m'a permis évidemment de sceller de solides amitiés.
18:40Alors évidemment, des amitiés aujourd'hui, on ne s'appelle pas tous les jours.
18:45Je ne suis pas certain qu'il y ait un seul joueur de l'équipe de France qui ait mon nouveau numéro.
18:49Et puis ce n'est pas très grave.
18:51Il n'y a pas que de nostalgie.
18:54Il y a la fierté d'avoir vu des grands matchs, d'avoir suivi des grands joueurs et d'avoir vécu de grands moments.
19:02Voilà mes amis.
19:03Bah écoutez, j'espère que ça vous a plu.
19:05Certainement que le prochain dossier de Pierrot sera sur le Paris Saint-Germain.
19:10Après, je prendrai conseil auprès de vous si vous avez d'autres thèmes qui vous font envie.
19:17Merci à tous.
19:19Le pouce, la cloche, on s'abonne.
19:22Passez une bonne journée.
19:24On se retrouve vendredi pour les pronos ineffables de Pierrot et pour la 21ème journée de championnat.
19:33Bye bye.
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