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Dette, récession, chômage la France à l’agonie… (France,Septembre 2025)
Chaine Youtube : https://www.youtube.com/@MarcTouatiTV
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00:00Bonjour à toutes et à tous, c'est ravi de vous retrouver.
00:04Mes chers amis, malheureusement l'heure est très grave.
00:08Les chiffres de la dette publique française viennent de sortir pour le deuxième trimestre.
00:12Un nouveau record historique a été battu.
00:15On s'y attendait bien sûr, mais surtout ce qui inquiète, c'est l'augmentation.
00:19Sur le seul deuxième trimestre, une augmentation de quasiment 71 milliards d'euros de la dette publique.
00:26C'est des niveaux évidemment dramatiques, avec parallèlement, si on regarde en pourcentage du PIB, on est à quasiment 116%.
00:32Ce qui veut dire que si on enlève la période coronavirus, nous sommes sur un sommet historique là aussi.
00:38Donc ça dérape complètement et malheureusement, nos dirigeants ne font pas grand chose.
00:43Ils regardent, ils essayent de nous faire passer une augmentation des impôts.
00:47Franchement, vous voyez, j'ai ressorti le t-shirt.
00:48Ce n'est pas sérieux.
00:50Comment peut-on encore vouloir augmenter les impôts en France,
00:53alors que nous sommes déjà numéro 1 des impôts dans le monde,
00:56également numéro 1 de la dépense publique.
00:58Mais là, plus personne ne dit qu'il faut baisser la dépense publique.
01:01En attendant, on va voir dans le détail les chiffres.
01:03La dette est en train de déraper.
01:05Ça devient extrêmement dangereux.
01:07Les taux d'intérêt également augmentent.
01:09L'écart de taux d'intérêt avec l'Allemagne notamment se rapproche des 90 points de base,
01:13donc des niveaux extrêmement élevés et parallèlement très très dangereux.
01:17On a également le chômage qui est en train d'augmenter.
01:20Et les derniers indicateurs avancés viennent de sortir sur l'activité,
01:23que ce soit les chiffres de l'INSEE ou des directeurs d'achat.
01:26Ça confirme que la récession, malheureusement, en France, est en train de s'aggraver.
01:30Voilà.
01:31Merci, messieurs les dirigeants.
01:33Merci, monsieur Macron, notamment,
01:34parce qu'on verra que tout à l'heure, la dette publique a explosé depuis qu'il est arrivé,
01:38et surtout depuis 2019.
01:40Là aussi, on bat des records,
01:41alors que la croissance, la richesse n'a pas beaucoup augmenté, malheureusement.
01:45Ce qui veut bien dire qu'il y a eu du gaspillage énorme.
01:48Il y a eu, encore une fois, un dérapage complet de nos dépenses publiques,
01:52avec très peu, je dirais, d'impact positif sur l'activité.
01:55Et c'est ça qui est particulièrement dangereux.
01:58Alors, évidemment, on parlera également de la question de la semaine,
02:01relative notamment à l'immobilier,
02:02parce que le taux d'intérêt augmente.
02:03Vous avez été très nombreux à me poser la question,
02:05quels sont les impacts sur l'immobilier ?
02:06On en parlera dans la question de la semaine.
02:08On terminera également avec une bonne nouvelle,
02:10qui ne concerne pas vraiment la France,
02:12mais qui pourrait avoir des conséquences,
02:14espérons-le pour les prochaines années,
02:16en espérant que les dirigeants changent,
02:18et surtout que les dirigeants arrivent à prendre les bonnes mesures,
02:21et à réformer, à moderniser l'économie française.
02:23Voilà, d'où ce titre, dette, récession, chômage.
02:27La France est à l'agonie.
02:28Oui, la France est à l'agonie.
02:29Ce qui est dramatique, c'est que personne ne fait rien,
02:32du moins chez les dirigeants, pour essayer d'infercer la tendance.
02:34Nous continuerons à dire la vérité,
02:36quoi qu'il arrive, quoi qu'il en coûte,
02:37malgré les pressions que nous subissons, malheureusement.
02:40Mais heureusement que vous êtes là, merci encore pour votre soutien.
02:43Vous êtes vraiment formidables.
02:44Ça me fait chaud au cœur, encore une fois, vos messages, votre soutien.
02:48On doit être là, on doit continuer,
02:49parce que je suis sûr que grâce à cela,
02:51on pourra sauver l'économie française.
02:54Sachant que là aussi, on vient d'entendre Mme Lagarde,
02:56la Banque Centrale Européenne, nous dire
02:58« Gardez un petit peu de cash à la maison ».
03:00C'est quand même assez incroyable.
03:01Ça veut dire qu'il y a peut-être des dangers que nous ne voyons pas.
03:03Toujours est-il que l'heure est très grave,
03:05et qu'il faut absolument se réveiller, nous réveiller,
03:08et que nos dirigeants se réveillent et arrêtent de vouloir augmenter les impôts,
03:12ça n'a évidemment aucun sens.
03:13Je rappelle, bien sûr, comme d'habitude, notre phrase fétiche dorénavant,
03:17une époque de supercherie universelle,
03:19et on y est vraiment en plein dedans,
03:20quand on voit effectivement qu'on a réussi à faire passer
03:23cette augmentation des impôts pour tout le monde,
03:25parce que quand on dit que c'est pour les riches,
03:26c'est pour tout le monde, évidemment,
03:28comme une mesure quasiment, je dirais, indispensable.
03:31C'est incroyable.
03:32Donc non, c'est une supercherie universelle,
03:34et donc dire la vérité comme nous le faisons,
03:36c'est bien sûr un acte révolutionnaire,
03:38Georges Orwell,
03:39et je rappelle que je ne suis toujours pas,
03:41et je ne le serai jamais, j'espère, suicidaire.
03:43Donc merci encore pour votre soutien,
03:45vous êtes formidable,
03:46et continuez d'être là,
03:47vous me donnez la force pour continuer.
03:49Alors on va commencer tout de suite avec ce graphique assez incroyable.
03:53Voilà, les dévolutions de la dette publique,
03:54Le chiffre du deuxième trimestre 2025,
03:573 416,3 milliards d'euros,
04:00voyez, 70,9 milliards d'euros sur un trimestre.
04:04C'est évidemment dramatique,
04:06on voit cette tendance,
04:07voyez, depuis le début 2020,
04:10plus de 1 000 milliards d'euros d'augmentation,
04:12depuis 2017,
04:13plus de quasiment 1 200 milliards d'euros d'augmentation.
04:17Ce n'est pas sérieux, encore une fois,
04:18et ce n'est pas, je dirais,
04:20encore une fois, responsable de la part de nos dirigeants,
04:23surtout que, comme je viens de l'évoquer,
04:25malgré cette augmentation de la dette publique,
04:27eh bien le PIB n'a pas augmenté à l'aune de cette dette publique.
04:31Voilà les chiffres qui sont évidemment particulièrement dramatiques.
04:35Donc augmentation depuis 2019,
04:38donc là on a la courbe rouge,
04:39encore une fois, c'est la dette publique,
04:40alors on remonte, voyez, à Amegme 1996.
04:43La courbe bleue, c'est le PIB en valeur,
04:45donc augmenté de l'inflation,
04:46donc on voit que pendant des années,
04:48il y avait plus de PIB en valeur que de dette publique,
04:49très bien,
04:50sauf qu'évidemment, la dette publique ensuite passe devant le PIB,
04:52même si le PIB, c'est un flux de revenus,
04:55alors que la dette, c'est un stock de dette,
04:57mais néanmoins, ce qui compte, c'est l'évolution.
04:58Et regardez bien ce chiffre,
04:59cet écart qui se creuse, voyez bien,
05:02plus 1028,9 milliards précisément d'augmentation de la dette publique,
05:06donc depuis le début 2020,
05:08alors que sur la même période,
05:09le PIB français a augmenté de 519,5 milliards d'euros.
05:13Oui, vous ne rêvez pas,
05:15il manque quasiment 510 milliards d'euros
05:19qui ont donc disparu,
05:21qui ont donc été gaspillés.
05:24Alors là, encore une fois,
05:25on ne peut pas continuer comme ça,
05:26on ne peut pas laisser faire nos dirigeants,
05:28il faut que ça s'arrête,
05:29parce que là, évidemment,
05:30comme rien n'est fait,
05:31ça va continuer,
05:32ne nous l'aurons pas,
05:33on va encore battre des records demain de dette publique,
05:36et quand on regarde même sur longue période,
05:38voilà les chiffres,
05:39donc depuis 2007,
05:42soit disant l'année de la rupture,
05:43à l'époque, vous vous souvenez,
05:44dette publique en France,
05:46plus 174,5%,
05:48donc depuis 2007 jusqu'au deuxième trimestre 2025,
05:52sur la même période le PIB français,
05:53en valeur, encore une fois,
05:54augmentée de l'inflation,
05:56augmentée de 57,8%,
05:58du simple au triple,
06:00c'est-à-dire la dette publique a augmenté
06:01trois fois plus que la richesse qu'on crée en France,
06:05c'est un véritable scandale,
06:06tout simplement,
06:07donc il faut voir les choses,
06:08et encore une fois,
06:09si on regarde ce qu'ont fait nos partenaires,
06:11par exemple l'Allemagne,
06:13évidemment,
06:13parce que c'est le pays qui nous ressemble le plus,
06:14on est dans la zone euro,
06:16on a la même monnaie,
06:16plus ou moins,
06:17on a globalement le même niveau de développement,
06:20même si les éléments,
06:21malheureusement pour nous,
06:22se sont améliorés,
06:23alors que nous on s'est dégradés,
06:24mais regardez bien,
06:24sur la même période,
06:26dette publique,
06:2666,6%,
06:28je précise qu'il n'y a pas encore le deuxième trimestre en Allemagne,
06:30on l'aura bientôt,
06:31donc on va dire 67% pour arrondir,
06:33PIB en valeur,
06:3475%,
06:35donc là, évidemment,
06:36quand le PIB augmente plus que la dette publique,
06:39ça passe,
06:39c'est logique,
06:40j'ai envie de dire,
06:40alors que chez nous,
06:41on l'a vu,
06:42c'est, encore une fois,
06:43particulièrement dramatique,
06:44je remontre ce graphique,
06:45parce qu'il faut quand même l'avoir en tête,
06:47trois fois plus,
06:48vous voyez,
06:48d'augmentation de la dette publique par rapport au PIB,
06:50alors que les Allemands,
06:51déjà,
06:51ont beaucoup moins augmenté leur dette publique,
06:53mais surtout,
06:53ils ont,
06:54leur PIB a augmenté davantage que leur dette publique,
06:56et ça,
06:57encore une fois,
06:57ça peut passer,
06:58ça peut s'accepter,
06:59nous,
06:59ce n'est pas du tout acceptable,
07:05pour cet âge du PIB,
07:07on est remonté à 115,6%,
07:09quasiment 116%,
07:10donc si on enlève la période coronavirus,
07:12parce que c'est évidemment un petit peu artificiel,
07:13la dette a beaucoup augmenté,
07:14alors que le PIB avait plutôt baissé même,
07:16eh bien,
07:17or,
07:17cette période,
07:17nous sommes sur un sommet historique,
07:19regardez la tendance quand même,
07:202007,
07:2165,5%,
07:222019,
07:2398%,
07:25et oui,
07:25et après,
07:26voilà,
07:26109,
07:27et là,
07:27115,6%,
07:29je pense qu'on pourrait même atteindre les 117% du PIB,
07:33donc,
07:33avant la fin de l'année 2025,
07:35je ne sais pas,
07:36on donne des chiffres comme ça,
07:37ça paraît assez loin,
07:38c'est pour montrer le drame,
07:39sachant que la France est le pays qui a le plus augmenté sa dette publique,
07:44donc des pays de la zone euro,
07:45donc tous les pays ont essayé de limiter leur augmentation de la dette publique,
07:48voire de baisser leur dette publique,
07:49mais on a augmenté de plus de quasiment 20 points de PIB,
07:53c'est inacceptable,
07:54et regardez,
07:55encore une fois,
07:56de 2007 au deuxième trimestre 2025,
07:59et là,
08:00on va comprendre ce dérapage de la dette publique,
08:03qui n'a pas été profitable pour notre économie,
08:06vous voyez,
08:06dette publique,
08:07donc plus 174,5%,
08:09on vient de voir,
08:093416,3 milliards d'euros,
08:12en fait,
08:12ça ne sert à rien de retourner le chiffre,
08:13parce qu'on sera bientôt à 3500,
08:14mais bon,
08:14toujours dit que c'est important de l'avoir en tête pour le deuxième trimestre,
08:18dette publique par habitant,
08:18regardez bien,
08:19on est à quasiment 50 000 euros,
08:2249 793 exactement,
08:25de dette publique par habitant,
08:26depuis donc 2007,
08:28145,6% de hausse,
08:31vous voyez,
08:31c'est inacceptable,
08:32encore une fois,
08:33donc en termes de dette publique par rapport au PIB,
08:3550 points de PIB de hausse,
08:38vous vous rendez compte,
08:3850 points,
08:39encore une fois,
08:39je le dis,
08:40mais quand je le dis,
08:40ça me fait mal,
08:41parce que comment,
08:42pourtant,
08:42j'ai essayé d'inverser la tendance,
08:44je vais dire à nos dirigeants,
08:45arrêtez,
08:46ils n'ont pas écouté,
08:46malheureusement,
08:47ils ont continué,
08:48alors que sur la même période,
08:49il y avait les PIB en valeur,
08:5057,8%,
08:51vous voyez,
08:51dette publique,
08:52174,5%,
08:54PIB en valeur,
08:56voilà, c'est 2954,7 milliards d'euros,
08:59donc aujourd'hui,
08:59sur une année,
09:00bien entendu,
09:01avec donc augmenter de l'inflation,
09:03c'est bien que le PIB par habitant en valeur
09:05a fait seulement plus 38%,
09:07vous voyez,
09:07145% pour la dette publique par habitant,
09:1238% pour le PIB par habitant en valeur,
09:15c'est quelque chose d'incroyable,
09:17vous voyez,
09:17on est à 43 065 euros,
09:19voilà,
09:19aujourd'hui,
09:20nous en sommes,
09:21donc il y a beaucoup plus de dettes
09:22que de PIB,
09:23que de richesses par habitant,
09:25c'est complètement faux,
09:25bien sûr,
09:26mais on ne va pas demander à tous les Français
09:27de rembourser la dette,
09:28c'est sûr,
09:28mais c'est juste pour avoir un ordre de grandeur,
09:30voilà comment nos dirigeants,
09:31disons le mot,
09:32ont sacrifié la France,
09:34pour la fuite en avant,
09:35pour soi-disant la paix sociale,
09:36que nous n'avons même pas,
09:37regardez ce qui se passe aujourd'hui,
09:38les Français ne sont pas heureux,
09:39les Français ne sont pas contents,
09:41et pourtant,
09:41cette dette publique a flambé,
09:43a explosé,
09:44parce que,
09:44évidemment,
09:44la dette publique,
09:45c'est que la conséquence des déficits publics,
09:47les déficits publics,
09:48le dernier excédent remonte,
09:49vous voyez,
09:49le petit truc bleu au début,
09:50le petit point bleu,
09:511974,
09:52depuis que des déficits,
09:54et cette année encore,
09:55vous voyez,
09:55on n'a même pas de budget,
09:56je peux vous dire que,
09:57on va faire un déficit public
09:58qui se rapproche de 6% du PIB,
10:00tant cette année,
10:01que l'année prochaine,
10:02donc on aura encore une dette publique,
10:03qui va se rapprocher des 120% du PIB,
10:06ça veut dire qu'on va être,
10:07la poinçonne est le numéro 3,
10:08il y a encore la Grèce et l'Italie,
10:09on va certainement bientôt passer devant l'Italie,
10:12c'est assez incroyable,
10:13et rien n'est fait,
10:14rien n'est fait pour inverser la tendance,
10:16même l'inverse,
10:17que cette dette publique,
10:17ne cesse d'augmenter,
10:19encore une fois,
10:19si on prend le cas allemand,
10:20ce n'est pas par plaisir que je prends ça,
10:21mais globalement,
10:22ce que c'est encore une fois,
10:23c'est des bêtes qui nous ressemblent,
10:24voilà,
10:24ils ont su faire des excédents,
10:26limiter leurs déficits publics,
10:28donc limiter leurs dettes,
10:29ce n'est pas compliqué,
10:30si on veut réduire notre dette,
10:31c'est pas en augmenter les impôts,
10:32les Allemands n'ont pas augmenté les impôts,
10:33non,
10:34c'est justement en réduisant les dépenses publiques,
10:36et surtout en faisant du sérieux budgétaire,
10:38ça veut dire pas beaucoup plus de dépenses
10:39que de recettes,
10:40tout simplement,
10:41et ça,
10:41évidemment,
10:42on ne sait pas faire,
10:43on ne sait que faire,
10:44cette fuite en avant permanente,
10:46alors on me dit,
10:46oui,
10:47mais c'est à cause des collectivités locales,
10:48etc.,
10:49non,
10:49encore une fois,
10:50l'essentiel de la dette publique vient de l'État,
10:53il y a bien les chiffres,
10:54de l'INSEE,
10:54qui vient de sortir,
10:56donc 81,6% de la dette publique française,
11:00ça vient de l'État,
11:02c'est l'État qui éleveille 2787 milliards d'euros,
11:04vous voyez,
11:04donc une augmentation de quasiment 46%
11:06depuis le quatrième trimestre 2019,
11:08par contre,
11:09attention,
11:09alors sur la collectivité locale,
11:11vous voyez,
11:11il n'y a pas trop de dette publique,
11:12c'est 7,7% de l'ensemble de la dette,
11:15et l'administration sociale,
11:17c'est 8,7%,
11:18mais ce qui compte par contre,
11:19c'est l'augmentation,
11:19vous voyez,
11:2053% d'augmentation de cette dette,
11:22donc depuis la fin 2019,
11:24sur la dette sociale,
11:25encore une fois,
11:26qui ne cesse d'augmenter,
11:27et on le sait bien,
11:28on l'a souvent dit ici même,
11:29la sécurité sociale est,
11:31je dirais,
11:31en crise de liquidité,
11:33bientôt en défaut de paiement,
11:34selon même les paroles de la Cour des comptes,
11:36parce qu'elle n'arrive pas justement à rembourser,
11:38il y a tellement de dépenses,
11:39et finalement,
11:40il n'y a pas assez de recettes,
11:41donc elle met du temps pour rembourser,
11:44donc c'est,
11:45par exemple,
11:45les congés maladie,
11:46etc.,
11:46aux entreprises,
11:47donc voilà,
11:47la crise de liquidité est déjà là,
11:49il faut évidemment encore s'endetter,
11:51d'où cette explosion de la dette,
11:53puisque jusqu'à présent,
11:53on avait une dette,
11:54encore une fois,
11:55c'est surtout lié à l'État,
11:56mais là,
11:56il y a l'État qui est toujours là,
11:57et en plus,
11:57maintenant,
11:58il y a les collectivités sociales,
11:59donc il y a la sécurité sociale,
12:00qui effectivement,
12:01augmente cette dette,
12:03et parallèlement,
12:04on le voit ici,
12:04on a l'augmentation des taux d'intérêt,
12:10les 3,6% sur le taux d'intérêt à 10 ans,
12:14voilà,
12:14c'est ce dont je vous parle,
12:16alors certainement,
12:17il y a d'ailleurs des interventions
12:17pour limiter les dégâts,
12:19voilà où nous en sommes,
12:20et ça va évidemment continuer,
12:21on sera bientôt à 4% de taux d'intérêt à 10 ans
12:23pour la dette publique française,
12:25et quand on regarde le détail,
12:27par rapport à nos amis allemands,
12:28voilà,
12:29il y avait 88 points de base d'écart le 2 décembre,
12:31ça a baissé,
12:32et là,
12:32on était à 70 points de base,
12:33on remonte,
12:34on est aujourd'hui à 82 points de base d'écart,
12:37donc quasiment bientôt,
12:38un point d'écart de taux d'intérêt,
12:40entre la France et l'Allemagne,
12:42c'est-à-dire que l'Allemagne finalement,
12:43malgré qu'elle va annoncer une augmentation de sa dette,
12:45finalement elle n'inquiète pas trop,
12:46par contre nous évidemment,
12:47on inquiète de plus en plus,
12:49n'oubliez pas que nous avons déjà été dégradés par Fitch,
12:51on va l'être encore par Moody's,
12:53et par Standard & Poor's,
12:55donc Moody's en fin octobre,
12:57et Standard & Poor's fin novembre,
12:59donc là ça fera évidemment particulièrement mal,
13:02sachant que le gouvernement ne sait pas ce qu'il va faire,
13:04si la politique c'est uniquement d'augmenter les impôts,
13:06évidemment ça ne fonctionnera pas,
13:08dans le même temps,
13:10on voit que l'écart de taux d'intérêt avec le Portugal,
13:12il y a 41 points de base de plus
13:14pour le taux d'intérêt français
13:15par rapport au taux d'intérêt portugais,
13:17voilà on est également devant le taux d'intérêt à 10 ans de la Grèce,
13:20voilà c'est simplement une catastrophe,
13:21c'est une honte,
13:22voilà tout simplement c'est une honte,
13:23nos dirigeants nous ont mis dans une situation catastrophique,
13:25honte à vous messieurs les dirigeants français,
13:27d'avoir mis la France dans une telle situation,
13:30et encore une fois,
13:30si à la rigueur on avait une croissance forte,
13:32on pourrait dire,
13:32bon c'est pas trop grave,
13:33c'est ce que fait l'Espagne aujourd'hui,
13:34il y a une croissance forte,
13:35mais elle dérape sur les dépenses publiques,
13:39elle paiera la facture dans quelques années,
13:41mais pour l'instant on ne voit pas,
13:42comme dans les années 2000,
13:44on dit tout va mieux en Espagne,
13:45puis après on a vu ce que ça a coûté,
13:46là c'est pareil,
13:47ils refont la même erreur,
13:49par contre ce qu'on ne fait pas le Portugal ou l'Italie,
13:51donc tant mieux pour eux,
13:52et bravo à eux,
13:53par contre nous évidemment on continue de déraper,
13:54et surtout il n'y a même pas de croissance,
13:57à la rigueur encore une fois en Espagne,
13:58au moins il y a de la croissance,
13:59chez nous il n'y a même pas de croissance,
14:00regardez bien,
14:01l'indicateur qui vient de sortir,
14:03donc des directeurs d'achat,
14:04l'indicateur composite,
14:05tout secteur confondu,
14:06vous connaissez l'enquête,
14:07il y a la barre à 50,
14:08au-dessus c'est la croissance,
14:09en deçà c'est la baisse de l'activité,
14:11on repart sous les 50,
14:13vous voyez on est sur une activité,
14:14on est à quasiment 48,
14:15donc un niveau de baisse de l'activité,
14:17de baisse du PIB qu'on n'a toujours pas,
14:19parce que les chiffres évidemment sont arrangés,
14:21va-t-on dire,
14:22mais évidemment c'est dramatique,
14:24parallèlement,
14:24regardons ce que nous voyons ici,
14:26industrie,
14:27on avait eu un petit espoir,
14:28certains,
14:28il y a quelques mois avec la baisse des prix du pétrole,
14:31etc,
14:31et non ça y est ça repart à la baisse,
14:33avec 48,1 sur l'indicateur,
14:35donc directeur d'achat dans l'industrie,
14:37donc là aussi en zone de récession,
14:39et pareil sur les services,
14:40regardez bien,
14:40bon à part évidemment l'été 2024,
14:43avec les Jeux Olympiques,
14:44la France est en récession dans les services,
14:47on n'a quasiment jamais eu une période aussi longue,
14:50de baisse de l'activité dans les services,
14:52en France,
14:53donc c'est pour vous montrer que l'austi c'est particulièrement grave,
14:55puisque normalement la France est une économie de services,
14:58c'est vrai qu'on a voulu justement sacrifier,
15:01détruire notre industrie,
15:02donc maintenant on nous parle de réindustrialisation,
15:04on voit bien que c'est du pipeau,
15:04encore une fois c'est une bonne expression,
15:06mais en tout cas c'est un mensonge,
15:08l'industrie est toujours en train de s'effondrer,
15:10et même dans les services qui devaient remplacer l'industrie,
15:12là aussi nous sommes en phase de baisse de l'activité,
15:15alors ce qui est incroyable c'est que,
15:17alors que nous on est en train de s'effondrer,
15:18d'autres pays vont mieux,
15:19et notamment l'ensemble de la zone euro,
15:20vous voyez,
15:21où là on est à 51,2,
15:23bon c'est pas une croissance forte,
15:24mais ça va un peu mieux,
15:25donc c'est bien la France qui tire l'ensemble de la zone euro vers le bas,
15:29je vous ai fait un petit résumé,
15:30donc uniquement sur les chiffres,
15:32parce que vous savez que tous les pays ne sortent pas leurs chiffres des directeurs d'achat,
15:35donc ils ne font pas une première estimation,
15:37ça c'est uniquement les pays qui font une première estimation,
15:39donc avant le début de mois,
15:40on aura donc la semaine prochaine tous les pays,
15:43c'est uniquement les pays qui ont sorti leur indicateur sur le mois de septembre,
15:46on a toujours l'Inde qui est devant,
15:47les Américains qui ralentissent,
15:48mais bon ça reste quand même sur une croissance,
15:50l'Allemagne a des 52,4 indicateurs composites,
15:53on n'a jamais vu ça depuis juin 2024,
15:55donc bravo à eux,
15:55ils sont en train de redémarrer,
15:56nous on est en train de plonger,
15:57ils sont en train de redémarrer,
15:58bravo à la France,
15:59l'Australie 52,1,
16:01la zone euro on vient de voir 51,2,
16:02donc on voit bien que l'Allemagne a tiré vers l'eau la zone euro,
16:05par contre la France elle a plongé vers le bas,
16:07Japon 51,1,
16:08Royaume-Uni ça baisse,
16:09attention également nos amis anglais,
16:10et ça m'a mis également à augmenter les impôts,
16:13ça peut être dangereux,
16:14et voilà la France 48,4,
16:16nous sommes le seul grand pays,
16:18donc dans la zone de récession,
16:21vous rendez compte,
16:22selon les directeurs d'achat,
16:23donc c'est évidemment une catastrophe,
16:25donc et tout ça évidemment ne va pas,
16:27avec la crise politique ça ne va pas arranger la situation,
16:29les taux d'intérêt qui augmentent là aussi ça ne va pas arranger la situation,
16:31et si en plus on augmente les impôts sur les entreprises,
16:34parce qu'encore une fois ça ne sera pas sur les riches,
16:36ça c'est évidemment la partie émergée de l'iceberg,
16:38tout le monde est visé par une augmentation des impôts,
16:40y compris sur notre épargne,
16:42et ça ça serait particulièrement dangereux,
16:43donc voilà je suis très inquiet pour l'avenir de la France,
16:46les dirigeants actuels me font peur,
16:48j'ai l'impression qu'ils vont peut-être vouloir déclencher quelque chose
16:51pour faire diversion, je ne sais pas trop,
16:53je ne l'espère pas en tout cas,
16:54j'espère qu'ils n'y arriveront pas,
16:56mais en tout cas ils sont extrêmement inquiétants,
16:58donc il faut garder les yeux ouverts,
16:59et ne pas évidemment les laisser faire,
17:01vous voyez même l'indicateur de l'INSEE,
17:03parce qu'on a vu les directeurs d'achat,
17:05l'indicateur du climat des affaires de l'INSEE,
17:06là aussi il vient de sortir au mois de septembre,
17:07là aussi on est en zone de contraction de l'activité,
17:11vous voyez depuis 2023,
17:12le PIB, la courbe rouge ne baisse toujours pas,
17:14mais ça ne va pas tarder évidemment,
17:15si on regarde les indicateurs par exemple de commerce de détail,
17:19l'indicateur INSEE du climat des affaires dans le commerce de détail,
17:21regardez bien, un plus bas depuis octobre 2014,
17:25évidemment hors période corona,
17:26un plus bas depuis octobre 2014,
17:28là si on se rend compte évidemment de ce qui est en train de se passer
17:30dans le commerce de détail,
17:32les Français ne consomment plus,
17:33évidemment ils n'ont plus tellement envie,
17:34puis on leur fait tellement peur,
17:35globalement nos dirigeants leur font peur,
17:37c'est pas nous, nous on ne fait que dire la vérité,
17:39et donc à partir de là ils n'ont pas envie de consommer,
17:41donc commerce de détail est en train de s'effondrer,
17:43et parallèlement le climat de l'emploi de l'INSEE également,
17:47selon les chefs d'entreprise,
17:48est en train de baisser un plus bas depuis janvier 2015,
17:52si on enlève la période de coronavirus,
17:55donc là aussi c'est particulièrement inquiétant,
17:57vous voyez que si on voit la corrélation entre le climat de l'emploi,
17:59ici la courbe rouge en échelle inversée,
18:01et le taux de chômage qui est à 7,6%,
18:03on pourrait monter bientôt à 9% de taux de chômage.
18:06Si on regarde l'enquête INSEE auprès des ménages qui est sorti ce matin,
18:09là aussi, donc perspective de chômage,
18:12c'est un peu moins mauvais au mois de septembre,
18:14enfin bon à peine,
18:15mais surtout regardez bien la tendance,
18:17taux de chômage là aussi pourrait dépasser même les 9,5%,
18:20taux de chômage de catégorie A évidemment,
18:22donc voilà la situation effective de l'économie française,
18:25c'est une catastrophe sur la dette,
18:27sur la récession, sur le chômage,
18:29je vous rappelle qu'en termes de chômage,
18:30la France est déjà numéro 5 de l'Union Européenne,
18:33il y a toujours, vous voyez,
18:34l'Espagne, 10,4% de taux de chômage,
18:37malgré la croissance, vous voyez c'est un petit peu bizarre,
18:38Finlande, Suède, Grèce, vous voyez,
18:41et nous 7,6%,
18:42donc c'est la France,
18:43on est juste effectivement derrière la Grèce,
18:45juste devant l'Estonie finalement,
18:47voilà la moyenne de la zone euro,
18:49on est à 6,2%,
18:50l'Italie à 6%,
18:51voilà on a évidemment l'Allemagne à 4,9%,
18:54on est sur des niveaux,
18:55même non,
18:55oui c'est ça,
18:56on est sur des niveaux,
18:57donc 3,7% pardon l'Allemagne,
18:59il y a la Pologne,
19:00la Bulgarie,
19:00je sais qu'il y en a beaucoup qui nous regardent de Pologne,
19:02de Bulgarie,
19:02donc là aussi on est sur des niveaux très bas,
19:04donc à 3,7%,
19:06et donc évidemment Malte à 2,6%,
19:09vous voyez donc là aussi c'est particulièrement bas,
19:11tout ça pour dire que la France est là aussi le cancre sur le front du chômage,
19:15et ça va s'aggraver malheureusement dans les mois venus,
19:18regardez bien,
19:19cet écart entre le taux de chômage français à la courbe roue,
19:21et le taux de chômage de la zone euro à la courbe bleue,
19:24ça baisse 6,2%,
19:25et nous ça monte 7,6%,
19:27vous voyez que jusqu'en 2015 à peu près,
19:29on avait un taux de chômage de la zone euro
19:30qui était supérieur au taux de chômage de la France,
19:33après c'était quasiment le même niveau,
19:34puis à partir de 2017,
19:37alors là évidemment l'écart se creuse de plus en plus,
19:39et donc on voit qu'aujourd'hui,
19:41on n'a jamais eu un tel écart entre le taux de chômage de la France
19:43et le taux de chômage de la zone euro,
19:44ce qui veut dire que la France va mal,
19:45la France c'est l'homme malade,
19:48le pays malade on va dire,
19:49de la zone euro,
19:51et malheureusement avec ce qui se passe aujourd'hui,
19:52ça ne va pas arranger la situation.
19:53Alors, question de la semaine,
19:55vous êtes très nombreux,
19:56je vous ferai bientôt une vidéo exprès,
19:57donc exclusive vraiment sur l'immobilier,
20:00mais quand même que vous avez été très nombreux à me poser la question,
20:02que va-tu se passer ?
20:03Ce n'est pas compliqué.
20:04Si les taux d'intérêt augmentent,
20:06ça casse l'activité sur l'immobilier,
20:08et là aussi on a plus de mal à avoir des crédits,
20:10et donc clairement les prix de l'immobilier ont baissé.
20:12Alors bien sûr,
20:13on avait fait 34% de hausse de 2015 à 2021-2022,
20:17après ça a baissé,
20:18on a eu un petit rebond au premier trimestre 2025,
20:21qui était un petit peu artificiel,
20:22et on a dit ça y est, c'est reparti à la hausse,
20:24et bien non, regardez,
20:25au deuxième trimestre 2025,
20:26moins 0,5%,
20:27donc au total on est sur une baisse de 5,5%
20:30des prix des logements anciens en France,
20:33chiffre des notaires de l'INSEE,
20:34donc c'est-à-dire que c'est les chiffres avec les ventes,
20:36ça veut dire que potentiellement la baisse est peut-être
20:38beaucoup plus élevée,
20:41et donc ça va malheureusement continuer,
20:42puisque si les taux d'intérêt augmentent,
20:44c'est la courbe rouge ici en échelle inversée,
20:46c'est-à-dire que quand la courbe rouge baisse,
20:47ça veut dire que les taux d'intérêt augmentent,
20:48c'est exactement ce qui est en train de se produire,
20:50et bien évidemment, pour l'instant,
20:51la courbe bleue a déjà baissé,
20:52les prix de l'immobilier ont déjà baissé,
20:54ça pourrait aller beaucoup plus loin,
20:56malheureusement beaucoup plus bas,
20:57donc prudence encore sur le secteur de l'immobilier,
21:00mais j'en reparlerai bientôt plus en détail dans une vidéo.
21:04Alors la bonne nouvelle de la semaine,
21:05elle ne vient pas de chez nous,
21:06elle vient de l'Italie,
21:07effectivement parce que aussi bien chez nous en France,
21:09on a été dégradé,
21:10la note de la France a été dégradée à A+,
21:11comme vous le savez,
21:12donc on change de catégorie,
21:13on est en catégorie moyenne,
21:15et l'Italie a été upgradée,
21:16sa note a été améliorée,
21:18donc de triple B à triple B+,
21:20donc c'est-à-dire que c'est la dernière étape avant le A,
21:22le A+, donc bien vous voyez,
21:24ça va se croiser entre la France et l'Italie,
21:26ben oui c'est normal,
21:27nous la France,
21:28le déficit public c'est la courbe bleue ici,
21:30on sera autour des 6% de déficit public sur PIB,
21:33et cette année et l'an prochain,
21:34dans le meilleur des cas 5,5,
21:35allez faire plaisir au gouvernement,
21:37mais à mon avis on sera plutôt autour des 6,
21:38et l'Italie réduit son déficit,
21:40on est à 3% du PIB de déficit public,
21:42bravo à eux,
21:43et maintenant même ils baissent les impôts,
21:44pendant que nous on les augmente,
21:46eux ils baissent,
21:46tous les pays dans le monde ont compris
21:48qu'il fallait justement baisser les impôts,
21:49pour tous,
21:49les entreprises,
21:50les ménages,
21:51pour permettre justement de dynamiser la croissance,
21:54et nous on ne pense qu'à les augmenter,
21:55ce qui évidemment est une erreur,
21:57et nous coûtera extrêmement cher,
21:58et je vous dirai si jamais ça se produit,
22:01si vraiment il y a cette augmentation des impôts,
22:03je vous dirai comment réagir à ce moment-là,
22:05si on regarde également en termes de taux de chômage,
22:06regardez bien,
22:07taux de chômage d'Italie c'est la courbe verte,
22:09la France la courbe rouge,
22:10donc les Italiens avaient tout le temps un taux de chômage
22:11largement au-dessus du taux de chômage français,
22:14et ça y est,
22:15depuis 2024,
22:17c'est l'inverse,
22:17donc le taux de chômage français est passé devant le taux de chômage italien,
22:21et eux ça continue de baisser,
22:21ils sont à 6% de taux de chômage,
22:23contre nous on est à 7,6%,
22:25donc on peut réduire le déficit,
22:27on peut réduire la dette,
22:29on peut réduire les dépenses publiques,
22:30tout en faisant baisser le taux de chômage,
22:32c'est pour tous les économistes de salon qui nous disent,
22:34ben non,
22:34si vous baissez la dette,
22:35si vous baissez le déficit,
22:37si vous baissez la dépense,
22:38ça va casser la croissance,
22:38ben non,
22:39si on réduit les dépenses,
22:41notamment de fonctionnement,
22:42on peut là aussi générer de la croissance,
22:44c'est faire baisser le taux de chômage,
22:45la preuve l'Italie,
22:46beaucoup d'autres pays l'ont fait également,
22:47mais nous évidemment,
22:48on n'y arrive pas malheureusement,
22:50et donc la sanction elle est là,
22:51vous voyez,
22:51l'écart de taux d'intérêt à 10 ans,
22:53France-Italie,
22:54ça y est,
22:54il n'y a quasiment plus d'écart,
22:55c'est quasiment le même niveau,
22:57à 0,1 point près,
22:59donc 0,01 point près,
23:01donc vous voyez,
23:01c'est un point de base,
23:02c'est quasiment le même niveau,
23:03alors qu'avant il y avait des écarts énormes,
23:05évidemment,
23:05entre la France et l'Italie,
23:07voilà,
23:07ça va nous montrer que maintenant,
23:08la France n'est plus sérieuse,
23:09voilà,
23:09c'est le cas de le dire,
23:10et donc ce sera la dernière bonne nouvelle de la semaine,
23:12ce t-shirt évidemment,
23:13alors voilà,
23:14on arrive à la fin,
23:15donc là on est sur la troisième production,
23:17donc je pense qu'on va arrêter,
23:19donc maintenant c'est les collecteurs,
23:20voilà,
23:20vous avez les derniers t-shirts collecteurs,
23:22et ce que je vous propose,
23:23c'est que je ferai des conférences,
23:23moi partout en France prochainement,
23:25là pour l'instant,
23:25je suis à l'étranger,
23:26donc si vous ne me voyez pas sur les médias,
23:27ne vous inquiétez pas,
23:28c'est un peu logique,
23:29pour des raisons diverses et variées,
23:30mais je ne rentrerai pas dans le détail,
23:38un kilo spécial pour vous dédicacer le t-shirt,
23:40pour ceux qui l'auront,
23:40donc voilà,
23:41n'hésitez pas,
23:41vous pouvez le continuer évidemment,
23:42à vous le procurer sur marktoitie.com,
23:44voilà,
23:44après on arrêtera,
23:45parce que je ne suis pas un vendeur de t-shirts,
23:46j'ai fait ça évidemment,
23:47pour rappeler,
23:48la France,
23:49ce n'est pas sérieux,
23:49messieurs les dirigeants,
23:50vous n'avez pas été sérieux,
23:51vous avez été irresponsables,
23:52et encore beaucoup aujourd'hui,
23:54qui ne sont pas au pouvoir,
23:54mais sont toujours irresponsables,
23:56parce qu'ils proposent des mesures catastrophiques,
23:58évidemment,
23:58donc espérons que,
24:00et même j'en suis sûr,
24:01la vérité économique finira par l'emporter,
24:04grâce à vous,
24:05donc encore merci pour votre soutien,
24:07merci pour vos pouces vers le haut,
24:08pour vos likes,
24:09pour vos commentaires,
24:09j'y réponds,
24:10je crois que je prends un peu de temps,
24:11mais j'y réponds à quasiment tous,
24:12merci encore,
24:13ça me fait chaud au cœur,
24:14j'en ai besoin,
24:15pour pouvoir continuer,
24:16pour trouver la force,
24:16surtout en ce moment,
24:17pour trouver la force pour continuer,
24:19parce qu'évidemment,
24:19on essaye de nous embêter,
24:21mais on n'y arrivera pas,
24:22on s'en sortira,
24:23grâce à vous,
24:23merci encore beaucoup,
24:24merci,
24:25vous êtes formidables,
24:25je vous le dirai à chaque fois,
24:27je vous aime,
24:29merci beaucoup,
24:29portez-vous bien,
24:30bonne continuation,
24:32et à très bientôt.
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