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00:00N'importe où en France, n'hésitez pas à nous appeler au 0826 300 300 ou à nous envoyer un SMS au 7 20 18 avec le mot Bercoff 7 20 18.
00:15On en parlait hier André, l'opération tricolore qui consiste à déployer massivement le drapeau national.
00:22Hier c'est un député qui a pavoisé la fenêtre de son bureau à l'Assemblée et très rapidement les services de sécurité lui ont demandé de le retirer.
00:29Et vous le recevez aujourd'hui André.
00:31Mathias Renaud, bonjour.
00:34Bonjour.
00:35Bonjour, vous êtes député RN de la 3ème circonscription de la Somme et vous avez quand même fait quelque chose de terrifié.
00:41Enfin Mathias Renaud, vous déployez un drapeau français à la fenêtre, je crois, de votre bureau de l'Assemblée nationale.
00:49Mais c'est un geste sulfureux.
00:51Mais enfin, c'est un geste pratiquement sédicieux.
00:55Oui, c'est un acte de rébellion ultime.
00:58Non, effectivement, c'est quelque chose d'extrêmement banal.
01:02Le mouvement opération tricolore, c'est une idée qui a tourné un peu cet été, qui commence à prendre de l'ampleur sur les réseaux sociaux depuis une dizaine de jours.
01:10Que j'ai relié, par ailleurs, comme d'autres, sur les réseaux.
01:15Et effectivement, j'ai fait ça assez naturellement à la fenêtre de mon bureau.
01:19Et c'est vrai qu'au bout de deux heures, deux petites heures, j'ai des agents de l'Assemblée nationale qui sont venus me voir en me disant, on est désolé.
01:28Je ne leur en veux pas personnellement.
01:30Non, bien sûr.
01:31Mais c'est des agents de sécurité qui sont venus vous voir ? C'est juste pour comprendre.
01:34Non, c'est les agents du bâtiment chez mes bureaux qui m'ont dit qu'on a eu un ordre de la hiérarchie.
01:46Ils ne m'ont pas dit qui.
01:48Donc, me demandant de retirer le drapeau.
01:51Et que si je ne le faisais pas moi-même, ils le feraient eux-mêmes parce qu'ils avaient reçu l'ordre.
01:56Donc après, j'ai retiré dans un premier temps.
02:00J'ai demandé sur quel texte ça pouvait s'appuyer.
02:03Est-ce qu'il y avait un texte qui interdisait à un député de pouvoir pavoiser à la fenêtre de son bureau ?
02:09S'en est suivi une mini réunion de crise des services de l'Assemblée qui commençait à voir que mon cas commençait à être relégué sur les réseaux.
02:17Et donc finalement, contre-ordre, excuse.
02:21Et finalement, monsieur le député, vous avez le droit de pavoiser à votre fenêtre.
02:25Non mais c'est quand même, ce qui est hallucinant dans cette histoire, et c'est pour ça que vous voulez vous avoir, et merci d'être là,
02:32mais c'est extraordinaire.
02:33C'est-à-dire que l'acte, que ce soit vous député ou n'importe qui, on n'oblige personne à pavoiser.
02:41Personne, et il n'est pas question d'obliger qui que ce soit.
02:44Mais que poser un drapeau forcé sur son balcon, à sa fenêtre, dans son jardin ou ailleurs,
02:49devient un acte répréhensible, ou en tout cas supposé être répréhensible.
02:54Est-ce que, d'ailleurs, une question, vous êtes le seul député jusqu'ici, à votre connaissance, à avoir pavoisé ?
03:01Alors, pavoisé au balcon du bureau de l'Assemblée, oui, pour l'instant.
03:08D'accord.
03:09Effectivement, si les collègues veulent faire d'eux-mêmes, ce serait peut-être pas mal.
03:13Non, mais effectivement, ce qui est un peu érichant là-dedans, c'est le réflexe premier,
03:18où on se pose la question, on se dit, c'est peut-être sulfureux, c'est peut-être interdit.
03:24D'ailleurs, je note que dans les réactions que j'ai pu voir, il y a des gens qui pavoisent
03:30ces derniers temps, et il y en a un certain nombre qui ont dit,
03:34mais mon syndicat de copropriété m'a demandé de le retirer.
03:38Ah oui.
03:39C'est intéressant aussi.
03:40Pas mal, ça.
03:41Ça ne va pas de soi partout.
03:44Alors, dans des entreprises ou dans des administrations, je ne sais pas trop comment ça pourrait se passer.
03:51Dans une voiture, je pense que ça ne pose pas de problème.
03:55Non, mais ce qui est extraordinaire, c'est soit dans son terrain, à son bureau, mettons, etc.
04:00Mais ce qui est extraordinaire, d'ailleurs, je demande aux auditeurs,
04:04dites-moi si chez vous, si vous avez affiché un drapeau à votre fenêtre,
04:08à votre balcon ou dans votre jardin, ou quand c'est un immeuble,
04:11est-ce que le syndicat de copropriété vous a demandé de le retirer
04:16pour aller peut-être potentiel à l'ordre public ?
04:20Non, ce qui est terrible, Mathias Renaud, enfin terrible,
04:23ce qui pose question, c'est que dans toute l'Europe aujourd'hui,
04:27on voit ce qui se passe en Irlande, on voit ce qui se passe en Autriche,
04:30on voit ce qui se passe en Pologne, on voit ce qui se passe...
04:32Mais parlons de l'Angleterre, n'en parlons pas.
04:35Vous avez vraiment des milliers, des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers,
04:38des gens qui disent, bon, on est chez nous, et puis le symbole, c'est le drapeau,
04:42et ce n'est pas nouveau, que ce soit de droite ou de gauche,
04:45ça a toujours été une dimension.
04:47Voilà, on se demande effectivement, qu'est-ce qui préside à cela ?
04:52C'est le symbole, effectivement, c'est un symbole de fierté, un symbole patriotique.
04:58En Grande-Bretagne, c'est aussi corrélé, il ne faut pas se mentir,
05:01un mouvement anti-immigration, qui s'est développé et qui a obligé le gouvernement britannique à réagir.
05:07Alors maintenant, en France, il y a peut-être ça aussi un peu particulier,
05:11c'est qu'on a un contexte politique.
05:13C'est vrai que l'émergence de ce mouvement, ça s'approche aussi du 10 septembre,
05:17là on y est, et quelque part, on a bien senti aussi ces derniers jours
05:22qu'il y avait une certaine couleur politique à l'extrême-gauche
05:26qui pouvait récupérer ce mouvement du 10 septembre.
05:30On voit d'ailleurs les images qui commencent à apparaître sur les chaînes d'infos en continu,
05:35de black bloc, de violence, enfin bref, une frange,
05:38mais qui n'est pas représentative, on voit bien que ce n'est pas monsieur, madame, tout le monde
05:40qui est en train de défiler aujourd'hui, au 10 septembre, surtout dans les grandes villes.
05:45Et c'est vrai que le fait de pouvoir pavoiser, ça peut aussi être un moyen d'expression
05:49pour des gens qui ne se reconnaissent pas et qui se disent
05:53« mais non, j'aurais aimé défiler le 10 septembre, mais quelque part,
05:58ce n'est pas monsieur, madame, tout le monde, je ne me reconnais pas dans ces gens-là,
06:01de pouvoir le faire de manière pacifique. »
06:03Merci, merci Mathias Renaud.
06:04Je rappelle, vous êtes député RN de la troisième circonscription de la Somme.
06:08Voilà, écoutez, vous nous direz, voilà, opération tricolore,
06:11est-ce qu'on suit, on ne suit pas, à chacun.
06:15De faire très librement son choix.
06:18C'est à midi 14h, André Bercoff.
06:21Donc n'hésitez pas à réagir au 0826 300 300,
06:24comme René qu'on accueille, qui nous appelle de Canet en Roussillon.
06:27Bonjour René.
06:28Bonjour, au plaisir, et merci à André Bercoff
06:31pour toutes ces émissions que je suis assis du manque.
06:34Merci, merci René.
06:35Alors dites-moi, vous réagissez à, je crois, à l'opération tricolore,
06:39ou en tout cas à ce qui s'est passé avec ce député
06:42qui avait eu l'heure de mettre son drapeau.
06:45Alors, qu'en pensez-vous ?
06:47Quel est votre...
06:47Moi, j'en pense que, effectivement, moi, mon grand-père,
06:51marin sur le richelieu pendant la guerre de 1945,
06:55était fier d'exposer son drapeau le 14 juillet devant sa maison.
07:01Moi, après, j'ai fait ceci de même heure chez moi.
07:07Oui.
07:08J'avais affiché un drapeau français lors du 14 juillet sur mon platane murier,
07:13et bon, j'ai eu des échos.
07:15Certains voisins, ceux-là, les a choqués.
07:19Ah bon ?
07:19Et m'ont catalogué d'être du Rassemblement National.
07:24Oui, parce que ça les a choqués.
07:27Ça les a choqués, vous mettiez un drapeau français.
07:29Alors, j'affiche le drapeau français autant que le drapeau catalan.
07:33Oui, très bien.
07:34Voilà.
07:35Alors, voilà, c'est pour ça que je voulais le signaler,
07:38que nous sommes des Français, des vrais Français.
07:42Moi, je suis un Catalan pur sang,
07:45et j'affiche les deux drapeaux.
07:49Comme le font les Américains.
07:50Les Américains, moi, je me suis allé en Amérique,
07:52mais dès que le drapeau...
07:54Et il sait, mais les gens, ils se mettent presque au garde-à-vous de drogue de drapeau.
07:58Oui, oui, ils sont fiers de ceux qui sont...
08:00C'est fabuleux, ça.
08:01Il faut défendre notre nation.
08:03Ben, bien sûr, bien sûr.
08:05Je trouve que vous avez, non seulement que vous avez tout à fait raison,
08:09mais je trouve, je dois dire personnellement,
08:11je trouve hallucinant, enfin vraiment, extrêmement,
08:14je ne sais pas, je ne vais pas qualifier, je ne vais pas être méchant,
08:17qu'on soit choqués de voir un drapeau français hissé en France.
08:22Je ne sais pas, ça me semble un peu bizarre,
08:24mais voilà, chacun ses goûts ou ses dégouts, hein.
08:28Prenez.
08:31Sud Radio, Bercov dans tous ses états.
08:34À quelques bureaux de celui de Mathias Renaud,
08:37que vous venez de recevoir épinglé pour son patriotisme,
08:39une autre députée tenait hier une interview sur une plateforme d'ultra-gauche,
08:43on va le dire comme ça,
08:44après le glou-glou d'Arcelia Soudet.
08:46Vous devriez le refaire parce que vous le faisiez vraiment bien quand même.
08:49Ah, Arcelia !
08:51Non, mais je vais amener la prochaine fois,
08:53nous allons faire l'émission à la cuisine,
08:57et dans un évier, nous mettrons un petit drapeau,
09:00et vous ferez Arcelia Soudet, charlotte.
09:01Ah, merci !
09:03Bon, donc le naufrage désormais de Sandrine Rousseau.
09:06Twitter, je dois le dire,
09:07et plus je vais voir Twitter,
09:09et plus je me dis que vraiment je ne comprends pas qu'on y reste,
09:12tellement c'est un lieu de racisme décomplexé,
09:14de xénophobie, de suprémacisme,
09:17et que c'est là on d'y être.
09:18Voilà.
09:19Eh bien voilà, voilà, Sandrine Rousseau,
09:21c'est vrai, elle déteste,
09:23elle a raison,
09:24Twitter, elle a raison,
09:26vous me comprenez,
09:27au troisième degré,
09:28elle,
09:29elle,
09:29lieu,
09:30lieu terrible,
09:31lieu de racisme,
09:32lieu de xénophobie,
09:34mais c'est dégueulasse Twitter.
09:35Mais rappelez-vous qu'il y a eu un mouvement
09:37qui s'appelait Je quitte X,
09:39à ma Twitter,
09:40et Sandrine Rousseau était l'une des premières à dire,
09:43moi je ne ferai plus rien sur Twitter,
09:45terminé,
09:45je me désabonne de Twitter,
09:47vous ne verrez pas un mot de moi dans X.
09:49Et la même Sandrine Rousseau,
09:51voilà,
09:52se réaffiche,
09:53se remet sur X,
09:54et donne,
09:55et donne ce qu'elle pense.
09:57Mais ça donne,
09:58je pense que ça doit être terrible.
10:00Imaginez un peu Sandrine Rousseau,
10:01avec ce qu'elle pense de X et de Twitter.
10:03obligé d'amener ses doigts de rose
10:06à taper un tweet
10:08sur cette espèce de plateforme
10:10au nid,
10:11cette espèce de plateforme dégueulasse,
10:13ce marigot,
10:14ce marécage,
10:16et la voilà obligé,
10:17parce qu'il faut bien qu'elle parle,
10:19il faut bien qu'elle existe,
10:21et obligé de faire ses tweets
10:23sur cette espèce d'antre de Satan.
10:26Ah là là,
10:27que la vie d'une députée dure,
10:29vraiment,
10:29quels efforts il faut faire
10:31contre soi-même
10:32pour parler à ses constituants.
10:35Sandrine,
10:36on est avec vous,
10:37et vraiment,
10:38on compatit.
10:39Elle nous avait manqué.
10:41André, rien à voir.
10:42Vous sauriez me dire
10:43quel est le coût environnemental
10:44de votre t-shirt ?
10:46Le coût environnemental
10:48de mon t-shirt ?
10:48Alors vraiment,
10:49je ne savais même pas
10:50qu'il y avait un coût environnemental.
10:51Expliquez-moi un mode.
10:52C'est pas bien.
10:53Heureusement,
10:53le gouvernement va vous aider.
10:55Dès le 1er octobre 2025,
10:57les consommateurs pourront connaître
10:59le coût environnemental
11:00des vêtements qu'ils achètent
11:00grâce à un affichage inédit.
11:02C'est le communiqué de presse.
11:04Ce dispositif,
11:05lancé par Éric Lombard,
11:07Agnès Pannier-Runacher,
11:08Marc Ferracci,
11:09etc.,
11:10sera donc mis en place
11:11le 1er octobre.
11:12En fait,
11:13ça vous permet simplement
11:14d'être conscient
11:14de l'impact environnemental
11:16qu'a votre t-shirt,
11:17votre caleçon,
11:18etc.
11:18Mais c'est-à-dire
11:18que quand j'achèterai un vêtement,
11:21je serai...
11:22Expliquez-moi.
11:22En fait,
11:23vous aurez une espèce de QR code
11:24qui prend en compte...
11:26Qui sera sur mon vêtement ?
11:27Alors, pas sur le vêtement,
11:28ce n'est pas imprimé,
11:29c'est sur l'étiquette quand même.
11:30Oui.
11:31Et il prend en compte
11:32les émissions de gaz
11:32à effet de serre,
11:33la consommation d'eau,
11:34les atteintes à la biodiversité,
11:35la pollution,
11:37la durabilité
11:37et la réparabilité.
11:39C'est-à-dire ?
11:40Alors, c'est-à-dire
11:41que je connaîtrai cela
11:42et donc je peux l'acheter
11:43ou ne pas l'acheter.
11:44C'est à ce moment-là.
11:44On le sait.
11:45Oui, oui.
11:45Si vous êtes choqué
11:46par l'impact environnemental
11:48de votre vêtement,
11:48il ne faut pas l'acheter.
11:49Alors, écoutez-moi bien.
11:51Écoutez-moi bien.
11:52J'ai regardé mon t-shirt.
11:53Vous avez vu mon t-shirt ?
11:55Eh bien, je vais vous dire
11:56je vois que cet environnement
11:58est polluant.
11:59Eh bien, je vais vous dire
12:00je vais sauver la planète.
12:01J'enlève mon t-shirt.
12:03Non, non, non.
12:03Mais non, mais non.
12:04Il faut le faire.
12:05Voilà.
12:06Voilà.
12:06J'ai sauvé la planète.
12:09Je suis là.
12:10J'ai enlevé mon t-shirt
12:11et j'ai sauvé la planète.
12:14Merci.
12:15J'espère que vous serez tous
12:16à me remercier
12:17et vraiment à féliciter
12:19ces gens
12:20qui marquent
12:21la valeur environnementale.
12:24C'est magnifique.
12:25C'est beau.
12:26Voilà.
12:26J'ai sauvé la planète.
12:27Pour les auditeurs
12:28qui n'ont pas l'image quand même
12:29entrez bien.
12:30Écoutez, écoutez.
12:31En tout cas, je l'ai fait.
12:32Je tiens à vous dire
12:33qu'il faut sauver la planète.
12:35Donc, la prochaine fois
12:35si vous avez quelqu'un
12:36qui vous dit ça
12:37renlevez mon t-shirt.
12:38C'est très simple.
12:40Sud Radio.
12:40Parlons vrai.
12:41Parlons vrai.
12:41Sud Radio.
12:42Parlons vrai.
12:42Sud Radio.
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