- il y a 4 mois
Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 09/09/2025.
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SportTranscription
00:00:00Bonjour à toutes, bonjour à tous, ravie de vous retrouver pour votre premier rendez-vous sport de l'après-midi sur la chaîne L'Équipe.
00:00:11C'est jour de match et ça fait danser le tiro.
00:00:14Jour de match pour les Bleus, on est très chaud aujourd'hui dans l'équipe de choc, surtout qu'on a un invité prestigieux, rien à voir avec le foot, mais qui nous émoustille particulièrement aujourd'hui.
00:00:21Pierre-Oubé, Juju Allianne.
00:00:22Bonjour Français, ça va Français ?
00:00:23Est-ce que vous avez la bagarre ?
00:00:24Non.
00:00:25Ah bah d'accord.
00:00:26J'aime pas ça, j'aime pas ça.
00:00:27Mais il est derrière toi, tu peux faire semblant de dire oui.
00:00:30Non, mais j'ai raison de plus pour dire non.
00:00:31Oh bah il cherche des ennuis.
00:00:33On a vu au judo ce que ça donnait, c'était pas évident, évident.
00:00:36Ça se voit.
00:00:37Est-ce que vous voulez, il y a beaucoup de champions autour de ce plateau aujourd'hui, est-ce que vous voulez deux sportifs ?
00:00:41Allez.
00:00:41Deux immenses champions.
00:00:43Ah bah on les connaît ?
00:00:44Là on a du champion par la taille notamment.
00:00:46On commence, enfin surtout elle, on commence par Alissane Pinot.
00:00:49Attention, elle a fait ses études à l'EDEC, elle a un diplôme de finance, mais du coup elle tarde à payer sa tournée en soirée.
00:00:54Oh, ça c'est gratuit.
00:00:56C'est bon Alissane, tu peux nous rejoindre.
00:00:57Elle a gratuité, elle a gratuité.
00:01:00Toutes ses études dans la finance pour ça, je suis très déçue.
00:01:02Je suis à côté de mes sous, vous n'avez pas dit.
00:01:04Non mais en plus, elle a mis tellement, elle te faisait parler, elle te faisait parler, elle était là avec son truc, elle a noté tout, tout, tout.
00:01:11Je suis contente.
00:01:12Allez quoi toi, t'as écouté.
00:01:13J'attends la suite.
00:01:15Oui, ça va, il vous l'équipe.
00:01:16On commence sobrement.
00:01:17On est ravis d'être avec toi.
00:01:18J'avais dit une championne.
00:01:19Oui.
00:01:19Vous voulez un deuxième champion ?
00:01:20Bien sûr.
00:01:20J'appelle Mathieu de Séville.
00:01:22Alors lui, il n'a pas fait d'études de droit, mais c'est l'avocat des footballeurs et lui, il paye sa tournée et avec le sourire.
00:01:27Voilà, c'est ça qu'on veut.
00:01:28Merci Mathieu d'être avec nous.
00:01:29J'ai mon bac S quand même.
00:01:30Oh, bien.
00:01:32Pas mal.
00:01:33Jusqu'au.
00:01:33Ça fait le café pendant le...
00:01:35On ne peut pas juger.
00:01:36Mon seul diplôme, c'est le permis.
00:01:37Donc, tranquille.
00:01:39T'es en forme Mathieu ?
00:01:39Bah nickel, plaisir de te dire.
00:01:40Très joli petit look.
00:01:41Merci de relever le niveau, parce que Pierre Bourgui, c'est un peu décembre.
00:01:44Ça va, c'est un t-shirt noir.
00:01:46Arrête, on est mardi là.
00:01:48Oui, de quoi on va parler ce mardi ?
00:01:49Le sommaire est dans le décor, ça va aller très vite parce qu'il prend beaucoup de place.
00:01:52C'est Benoît Saint-Denis, la superstar du MMA, qui est notre invité.
00:01:55Il a brillé ce week-end à l'UFC Paris 4 devant son public.
00:01:58On parlera de sa victoire fracassante et de la popularité grandissante de son sport.
00:02:01On en déplaise à certains.
00:02:03Le MMA.
00:02:03Et puis les Bleus du foot ce soir, jour de match, Francis Land, sans les Parisiens, Dembélé et Douai.
00:02:08Et comment Deschamps va remanier son équipe ?
00:02:10On sera en direct du Parc des Princes, au plus près des Bleus.
00:02:13Pour les dernières infos, on a aussi du Kylian Mbappé, de la Vuelta, du VTT.
00:02:17On a un champion du monde d'espoir, dis donc plein de petites choses savoureuses.
00:02:20Est-ce que ça vous convient ?
00:02:21Bien sûr.
00:02:21Alors on y va.
00:02:22Place au moment que vous attendez tous, notre invité du jour.
00:02:24Je vous le disais, c'est la superstar à des poils légers en MMA.
00:02:27Benoît Saint-Denis, surnommé God of War.
00:02:29C'est le maître de l'étranglement.
00:02:30Et on va être très gentil avec lui.
00:02:32C'est bon Benoît, tu peux nous rejoindre, si tu veux bien en tout cas, sans te presser.
00:02:38Merci d'être avec nous.
00:02:39Alors du coup, on doit t'appeler Benoît ou God ?
00:02:41Benoît, ça a l'air très bien.
00:02:43En toute humilité.
00:02:45Est-ce que tu t'es bien remis de ton week-end parisien ?
00:02:48Oui.
00:02:49Oui, je suis toujours dans le bonheur et la joie de samedi soir.
00:02:54Tu es encore un peu dans le forêt ?
00:02:55Oui, un petit peu.
00:02:55On rappelle, samedi soir, énorme soir MMA à l'UFC Paris 4 où tu combattais le Brésilien Mauricio Ruffi,
00:03:02que tu pousses à l'abandon après étranglement arrière, donc victoire par soumission.
00:03:06J'ai une question bête, comment et quand tu décides de faire ce geste ?
00:03:09Est-ce que c'est instinctif ? Est-ce que c'était une option prévue ?
00:03:11Est-ce que tu avais étudié qu'il n'était pas bon là ?
00:03:13Alors, c'est un camp d'entraînement où on a beaucoup travaillé sur différentes soumissions
00:03:18parce qu'on savait que si on amenait le combat au sol, ça allait être une dimension qui maîtrisait sûrement moins bien que moi,
00:03:26même si on n'avait pas eu l'occasion de trop l'y voir dans ses précédents combats
00:03:29parce qu'il avait la capacité à rester debout.
00:03:33Mais à force de travailler, on a réussi à l'amener au sol et c'était une des options possibles, bien entendu.
00:03:40J'ai lu que tu étais outsider sur ce combat. Est-ce que ça t'a énervé ? Est-ce que ça t'a agacé un peu ?
00:03:44Non, je trouve que c'est toujours bien d'être outsider. Ça met une pression positive supplémentaire sur les épaules.
00:03:51Et puis, on n'a pas oublié, malheureusement, tu préférais peut-être l'oublier,
00:03:55mais la lourde défaite que tu avais subie à Paris il y a tout juste un an.
00:03:59Tu avais un esprit de revanche, en plus avec la manière.
00:04:01Ça doit faire tellement du bien de ressortir de ce combat avec le public, la manière, tout ce qui va.
00:04:06En fait, j'ai eu une année 2024 qui était compliquée, mais où j'ai énormément appris.
00:04:10Et effectivement, le combat contre Mohikano, c'est la plus grande déception de ma carrière.
00:04:16Parce que je pense que c'est la seule vraie grosse contre-performance que je fais.
00:04:20J'y suis allé avec un gros manque d'humilité, un petit peu les mains dans les poches,
00:04:23sans vraiment de stratégie, sans le staff sportif adéquat pour être à la hauteur des enjeux.
00:04:30Tu viens de le reconnaître ?
00:04:31Oui, du coup, forcément, j'ai fait une contre-performance.
00:04:34J'ai fait un très mauvais premier round, même si je me rattrape dès le deuxième.
00:04:37Mais c'est déjà trop tard, parce qu'il avait créé des ouvertures qui ont fait que le médecin a dû arrêter.
00:04:44Du coup, beaucoup de regrets et beaucoup de déceptions.
00:04:48Donc forcément, je me suis remis au boulot.
00:04:51Je me suis entouré.
00:04:53J'avais à cœur de revenir avec des bien meilleures choses cette année.
00:05:00Et je pense que ça a été chose faite.
00:05:02J'ai cru qu'il y avait un mois de préparation, opération commando.
00:05:08Ton fils est né, tu l'as à peine vu.
00:05:09Ça a dû être de gros sacrifices, c'est ça ?
00:05:11Oui, mon fils est né.
00:05:13Je suis resté quand même quelques jours avec ma femme Laura et puis avec le fiston.
00:05:20Et puis après, je suis parti pour me préparer rapidement,
00:05:22parce qu'il fallait être focus sur le brésilien.
00:05:25Il est né le 6 août, Clovis.
00:05:27Bravo, il nous regarde.
00:05:28D'ailleurs, on l'embrasse et il n'a pas beaucoup vu papa.
00:05:31À vous les copains, je crois qu'il y en a qui sont très excités sur ce plateau.
00:05:33Je vais commencer, Benoît.
00:05:34Samedi, quand tu es rentré dans la salle, tu as vraiment électrisé le public.
00:05:38La salle s'est transformée en volcan.
00:05:40Est-ce que tu as conscience aujourd'hui qu'il y a énormément d'attentes autour de toi ?
00:05:44Et pourquoi tu plais autant au public français ?
00:05:47Alors, je n'ai pas de réponse au deuxième point et j'en suis très fier.
00:05:52C'est un plaisir de pouvoir à chaque fois représenter la France de partout dans le monde
00:05:58et spécialement à Bercy, parce qu'on a attendu longtemps avant que le MMA soit légalisé.
00:06:04Et il y a un truc dont je rêvais, on a tous rêvé.
00:06:08Je pense qu'on aime tous le sport pour les grands événements sportifs français.
00:06:11Moi, quand j'étais petit, j'ai adoré 2006, j'ai adoré la victoire en 2018.
00:06:17En 1998, j'étais trop jeune, mais on me l'a relaté tellement de fois que j'aime ça.
00:06:232011 contre les All Blacks, on passe à travers.
00:06:26On passe au rugby.
00:06:27On fait le rugby.
00:06:28Pour moi, tout ça, c'est des grands événements sportifs français qui m'ont marqué,
00:06:31parce que tu es avec une foule dehors, avec des écrans géants, avec du public,
00:06:37tous mélangés.
00:06:38Il y a un espèce de patriotisme énorme, avec l'amour des siens,
00:06:44tous mélangés ensemble derrière nos bleus.
00:06:47Ça, c'est un truc qui est dingue à vivre en tant que spectateur.
00:06:51On aime le sport français pour ces moments-là.
00:06:53Et là, j'ai l'impression d'avoir le bonheur au fur et à mesure des années de le vivre,
00:06:57mais de l'intérieur.
00:06:58Et ça, c'est un truc que je ne pensais pas vivre un jour.
00:07:01Et maintenant, avec les UFC Paris qui s'enchaînent,
00:07:04au fur et à mesure d'y goûter, d'y prendre goût, spécialement le dernier avec Nassour,
00:07:11avec l'équipe, avec Nico, j'ai l'impression qu'on a vraiment vécu ça.
00:07:14Et le vivre de l'intérieur, c'est spécial.
00:07:16C'est une question positive, forcément ?
00:07:18Aujourd'hui, ça l'est, parce qu'aujourd'hui, j'ai l'expérience de le vivre comme une pression positive,
00:07:22parce que la pression, c'est un privilège.
00:07:24Si tu as le privilège d'avoir de la pression, c'est que ton combat, c'est un combat en jeu.
00:07:30C'est que les gens ont envie de te voir.
00:07:32Ils ont envie de te voir pour différentes raisons, soit pour réussir, soit pour faillir.
00:07:36Mais c'est un combat en jeu.
00:07:38C'est un truc qui...
00:07:40On en parle.
00:07:41Et en fait, c'est un privilège de vivre ces moments-là,
00:07:43parce que c'est ça qui fait que je peux vivre aujourd'hui mon sport,
00:07:47et que je prends du plaisir aussi.
00:07:48Et ça, ça a mis du temps.
00:07:50Je pense que 2024 aussi, j'étais un peu noyé dans l'explosion médiatique
00:07:55qu'il y a eu autour de ce sport et autour de moi.
00:07:59Et maintenant, j'ai appris à le prendre différemment.
00:08:01Maintenant, je prends du plaisir à chaque moment.
00:08:03Et on rappelle carton plein pour les Français sur cette UFC.
00:08:06C'était une avalanche.
00:08:08Allez, Sainte Pinault, la handballeuse que tu es aime les sports de combat et le MMA.
00:08:12T'es pris dans l'engouement, toi aussi ?
00:08:13Alors, je ne vais pas dire que j'adore ça,
00:08:15mais c'est toujours un plaisir quand je suis invité d'aller voir les combats.
00:08:18Ça a déjà été le cas à plusieurs reprises.
00:08:21Je pense que tu as un côté aussi attachant,
00:08:23qui plaît bien au public français.
00:08:25Et puis, de toute manière, j'ai aussi cette sensation
00:08:27que depuis les Jeux, tous les grands événements sportifs français,
00:08:31tous les Français ont envie d'être là, ont envie de répondre présent
00:08:33et de supporter et d'être derrière les athlètes
00:08:36et les encourager justement pour pouvoir briller.
00:08:38Donc, c'est cool que tu aies électrisé comme ça le public
00:08:41parce que c'est aussi pour ça que les gens viennent vivre des belles émotions.
00:08:45Comment t'expliques cet engouement ?
00:08:46Bon, pas tous, mais on va y venir.
00:08:48Pour le public français, les jeunes, les ados, les filles,
00:08:50enfin, c'est un carton plein et ça grandit, ça n'arrête pas.
00:08:54Est-ce que tu as une explication ?
00:08:55Ben oui, Alison a dit, je pense que les JO, ça a été incroyable aussi encore.
00:09:00Je ne les ai même pas cités, mais ça tombe sous le sens.
00:09:03Les JO, ça a été incroyable.
00:09:04Tous les Français étaient derrière leurs athlètes du premier jour au dernier jour de ces JO olympiques.
00:09:12Et je ne sais pas, c'est un truc, un côté émotion, c'est un côté instant présent.
00:09:20Je pense que les gens ont envie de voir.
00:09:21C'est ça qui fait que je pense qu'il y a autant d'attachement et d'engouement pour le sport mondialement.
00:09:28Et pourtant, l'image n'est pas forcément belle dans le sens où ce sont des images de violence.
00:09:33C'est aussi pour ça qu'aujourd'hui, on ne peut pas vous proposer de vidéos.
00:09:35C'est interdit.
00:09:36On n'a pas le droit dans l'après-midi de montrer des vidéos de violence.
00:09:37Donc, ce n'est pas facile de dépasser cette image-là.
00:09:39Comment tu ferais pour convaincre un Pierre Boubi de l'intérêt de ton sport ?
00:09:43Et pourquoi c'est beau à regarder ?
00:09:44Parce que là, on est d'accord.
00:09:46Ce n'est pas tout.
00:09:46Mais ce n'est pas, encore une fois, je suis admiratif du champion.
00:09:51Je suis admiratif.
00:09:52Non, mais c'est quelque chose qui me fascine.
00:09:54Mais pour moi, c'est trop violent à l'œil nu.
00:09:57Ce n'est pas quelque chose qui me...
00:09:58Généralement, quand je tombe sur un combat, je change de chaîne parce que c'est trop violent.
00:10:01Mais pour moi, ce n'est pas quelque chose qui m'attire.
00:10:03Mais je vois, je ne suis pas dupe, et je vois les gens avoir les yeux écarquillés,
00:10:07et regarder tout ce qui se passe, la technique.
00:10:10Je suis conscient que c'est un travail, qu'il y a une formation,
00:10:12enfin une préparation d'un mois et demi, voire des fois deux mois.
00:10:15Et la difficulté de l'épreuve, mais je pense que c'est personnel.
00:10:19Ce n'est pas...
00:10:20Il y en a qui préfèrent le foot, d'autres qui préfèrent la boxe.
00:10:22La boxe, j'aime bien, mais ça, j'aime un peu moins.
00:10:24Mais pour autant, j'ai autant de respect pour l'athlète
00:10:27parce que je suis incapable de faire 5% de ce qu'il fait.
00:10:30Oui, mais parce qu'il est là, surtout.
00:10:31Aussi.
00:10:32Mais non, mais c'est...
00:10:34Je comprends la difficulté d'entrer, en fait, dans le...
00:10:37Le sport, comme on en parle, avec un modèle JO, un modèle grand public,
00:10:42parce qu'il y a cette violence-là aussi.
00:10:43Mais c'est ce qui fait que ce sport est différent
00:10:45et le temps qui met aussi à rentrer dans le cœur des Français.
00:10:48Mais bon, en 20 minutes, tu remplis Bercy.
00:10:50Il sait qu'il y a un attrait qui est particulier.
00:10:52Ah oui !
00:10:52Il y a des arguments pour le convaincre ou pas ?
00:10:54Ou il est rattrapable ?
00:10:54Moi, je pense que...
00:10:55Non, moi, je pense que c'est juste l'éducation sportive en France
00:10:57qui est...
00:10:58Comme il le dit, il parle de boxe.
00:11:00La boxe, en réalité, c'est que des coupes.
00:11:01Donc, le MMA, c'est un mélange de sport, de préhension,
00:11:04donc de toutes les techniques de projection et de soumission
00:11:06qu'il y a dans le judo ou la lutte,
00:11:08plus toutes les techniques de percussion qu'il y a en boxe,
00:11:11notamment dans le Muay Thai.
00:11:12C'est le mélange de tout ça.
00:11:14Donc, en réalité, c'est juste une question d'éducation à ce sport.
00:11:18C'est vrai que ça a mis longtemps à arriver en France
00:11:20et à être vu.
00:11:21Donc, les gens qui n'ont pas grandi, malheureusement,
00:11:24sont peut-être un jour conquis, peut-être pas.
00:11:28Mais quand tu n'as pas grandi avec ce sport au quotidien,
00:11:30c'est vrai que les Américains,
00:11:31c'est un sport qui est depuis les années 90,
00:11:33qui prend de la place aux États-Unis.
00:11:37Aujourd'hui, aux États-Unis, c'est le quatrième sport ex-a-co
00:11:39avec le baseball, le plus populaire.
00:11:41Donc, l'UFC, c'est une grosse machine de guerre
00:11:44qui, aujourd'hui, a sa popularité et sa côte médiatique.
00:11:48Mais c'est l'éducation à ce sport, je pense, en France
00:11:51qui fait que c'est encore nouveau.
00:11:54Ce qui donne aussi un engouement spécial particulier.
00:11:56Mais ce qui fait aussi qu'il y aura toujours...
00:11:59que c'est un engouement peut-être retardé
00:12:01ou avec...
00:12:02Oui, on a du retard.
00:12:02...qui ne sera pas forcément pour tout le monde.
00:12:06D'ailleurs, je ne pense pas que c'est un sport qui est pour tout le monde.
00:12:08Tous les sports, tout le monde a son attirance
00:12:10plus ou moins pour chaque sport.
00:12:12La sensibilité, quoi.
00:12:13Mathieu de Céry ?
00:12:14Moi, je veux savoir, Benin, tu avais évoqué ton manque d'humilité
00:12:17que tu avais en 2024.
00:12:20Moi, je veux savoir, qu'est-ce qui t'a amené
00:12:22à cette introspection personnelle
00:12:23et qu'est-ce que, du coup, tu as changé
00:12:25dans ton approche de ton métier,
00:12:27que ce soit professionnellement ou en dehors ?
00:12:30Je pense que c'est un exemple pour beaucoup de jeunes
00:12:32qui peuvent t'écouter et prendre exemple.
00:12:35Je pense qu'en fait, les enjeux médiatiques et sportifs
00:12:38du combat contre Poirier
00:12:40ont fait que...
00:12:42Je me suis mis beaucoup de pression et j'avais des problèmes
00:12:44avec une partie de mon staff sportif
00:12:47avec qui je n'étais plus en adéquation
00:12:48avec les valeurs humaines.
00:12:50Et du coup, ça ne pouvait pas fonctionner,
00:12:52ce qui a fait que ce combat,
00:12:54je l'ai fait dans des conditions particulières.
00:12:56Je ne fais pas une contre-performance
00:12:57au vu des conditions dans lesquelles je le fais.
00:13:00Je ne sais pas que j'étais déçu par ma performance,
00:13:03mais je pense que je n'aurais peut-être pas dû le faire
00:13:05ou il y avait des choses qui faisaient un manque d'expérience.
00:13:07Et après, le combat contre Meccano,
00:13:09c'est clairement un manque de lucidité,
00:13:12de ne pas être allé chercher quelqu'un d'expérience
00:13:15dans le MMA pour avoir un vrai coach.
00:13:16En fait, j'ai voulu être mon propre général.
00:13:18Et dans la cage et dans l'octogone,
00:13:20il faut être un soldat.
00:13:21Il faut avoir des choses simples et efficaces à faire.
00:13:23Ça va tellement vite que tu ne peux pas réfléchir sur...
00:13:27Tu ne peux pas te coacher, t'auto-coacher.
00:13:29C'est impossible.
00:13:29Je pense que déjà, c'est impossible
00:13:30dans n'importe quel sport à haut niveau,
00:13:32mais tout spécialement dans ce sport
00:13:34parce qu'il pardonne peu et ça va vite.
00:13:37Et c'est ce que j'ai fait.
00:13:37Donc, je suis arrivé peut-être,
00:13:39je disais, un peu les mains dans les poches à ce combat-là.
00:13:41Je l'ai regretté.
00:13:43Mais ce qui fait aussi que je suis arrivé comme ça,
00:13:44c'est que j'ai un gros manque d'expérience encore dans ce sport
00:13:48comparé à beaucoup d'autres sportifs.
00:13:50Par exemple, encore cet UFC à Paris.
00:13:52Malgré mon classement,
00:13:53moi, j'ai commencé ce sport en 2018
00:13:55et en professionnel en 2019.
00:13:58Donc, je suis celui qui a commencé le plus tard
00:14:00sa carrière professionnelle
00:14:02de l'ensemble des combattants masculins
00:14:03qu'on combattue sur cette carte, cette année,
00:14:06l'année dernière, les années précédentes.
00:14:08Donc, il a fallu rattraper ce manque d'expérience
00:14:12et aussi mettre les pieds sur terre
00:14:15et faire confiance à quelqu'un
00:14:17et lui donner les clés du camion,
00:14:18lui dire, voilà, j'ai besoin de ça, ça.
00:14:22Je te laisse les clés du camion.
00:14:24Moi, je retourne au travail.
00:14:25Tu me dis quoi faire.
00:14:26Par rapport à ce que tu dis,
00:14:28le fait d'être arrivé,
00:14:30comment tu en es arrivé à se dire,
00:14:31je vais faire ça ?
00:14:33C'est quoi la transition ?
00:14:36Par rapport à ce que tu faisais avant
00:14:37et au moment où tu dis,
00:14:38bon, je vais me lancer dedans vraiment à fond.
00:14:41Ça a été assez particulier pour moi.
00:14:45Je commence le MMA en 2018,
00:14:47le YouTube résilient en 2017
00:14:48et un peu de temps après la boxe.
00:14:51Comme 2018, ça me plaît.
00:14:52Je fais une compétition amateur que je remporte.
00:14:55Je décide de ne pas re-signer mon contrat
00:14:57au sein des forces spéciales avec l'armée,
00:14:59d'arrêter.
00:15:00En plus, le crédo du régiment
00:15:02dans lequel j'ai servi,
00:15:03c'est qui os gagne,
00:15:04who does wins.
00:15:05Donc, je me suis dit, bon, bah...
00:15:06Pas la peine de traduire, ça va.
00:15:08Non, parce que c'est un régiment d'origine,
00:15:11qui tire ses origines
00:15:12de David Sterling
00:15:15et de la Seconde Guerre mondiale,
00:15:17qui est, on va dire, d'origine anglaise.
00:15:19Il fait riz.
00:15:19Et, bah, oui, j'aime beaucoup l'histoire.
00:15:23Mais, voilà, donc, du coup,
00:15:25je me suis dit, je vais regretter ça toute ma vie
00:15:27si je n'essaye pas cette aventure.
00:15:29Puisque moi, quand j'étais gamin,
00:15:30j'arrivais des chevaliers,
00:15:32de ce côté un peu protégé de l'orphelin, certes,
00:15:35mais ce côté aussi un peu du 1 contre 1,
00:15:38du duel, de la joute, gladiateur, tout ça.
00:15:41Je l'ai régrandi avec tout ça.
00:15:43La reine, Bravart, tout ce qui est dans l'hépique.
00:15:47Bravart.
00:15:48Exactement.
00:15:49Non, mais j'ai grandi avec cette culture-là,
00:15:51cet engouement-là.
00:15:52D'ailleurs, l'effort spécial,
00:15:53c'est pour ça aussi que je l'avais fait.
00:15:56Parce que je voulais de l'aventure
00:15:57et faire partie de cette élite de combattants
00:15:59en servant une bonne cause.
00:16:01Là, je me suis dit, je ne peux pas passer à côté,
00:16:03ça me plaît trop.
00:16:04J'ai envie d'essayer.
00:16:05Donc, je me lance dans ma carrière professionnelle
00:16:07et ça se passe bien.
00:16:08Et voilà.
00:16:09Pierre Boubis, si tu pouvais éviter de lui poser des questions
00:16:11qui durent 15 minutes,
00:16:12parce qu'on n'a pas beaucoup de temps.
00:16:13Juju Allianne.
00:16:14J'ai deux petites questions, Benoît, avant de terminer.
00:16:17Tu as parlé de ton nouvel entourage sportif.
00:16:19Aujourd'hui, c'est Nicolas Hoth, notamment,
00:16:21qui est devenu ton coach.
00:16:22Qu'est-ce qui t'apporte de plus en tant que combattant ?
00:16:24Moi, j'ai eu l'impression que tu avais fait
00:16:26ta prestation la plus aboutie face à Rufy.
00:16:28Donc, j'aimerais parler de ça.
00:16:29Et puis, c'est quoi la suite pour toi ?
00:16:31Est-ce que tu veux viser un top 10 ?
00:16:33Là, c'était ta deuxième victoire face à un top 15
00:16:34après Frévola.
00:16:35Qu'est-ce que tu veux pour la suite ?
00:16:39Alors, Nicolas, c'est un coach qui est exceptionnel
00:16:45parce qu'il a cette capacité à s'adapter à son combattant.
00:16:50Et surtout, il a su s'adapter aussi au staff sportif
00:16:53qui était autour de moi.
00:16:54Comme je le dis, on est un peu comme des triathlètes.
00:16:55On a différentes disciplines à travailler.
00:16:57Donc, j'ai un coach en sol, un coach en lutte.
00:16:59Alors, le coach de lutte, il le connaissait déjà très bien.
00:17:02Un coach en boxe, etc.
00:17:03Il a su harmoniser tout ça, m'amener dans une certaine direction.
00:17:07Et là, maintenant, ça fait un peu plus de six mois
00:17:08que je travaille avec lui.
00:17:09Et effectivement, entre mon dernier combat avec lui,
00:17:11pré-polek et celui-là, j'ai vraiment senti
00:17:13que le travail commençait vraiment à payer.
00:17:18Et que son mode de fonctionnement, je commence à le comprendre
00:17:22et à l'utiliser et à devenir méthodique
00:17:24comme il me demande de l'être.
00:17:26Et je prends du plaisir aussi dedans,
00:17:27ce qui est d'autant plus important.
00:17:29Donc, ça veut dire que si j'arrive à devenir plus performant,
00:17:31comprendre sa méthode est devenu...
00:17:33Et en plus, prendre du plaisir dedans, c'est le jackpot.
00:17:36Et avant que tu parles de la suite,
00:17:36parce que c'est la deuxième question,
00:17:38juste, on va vous lire un petit tweet
00:17:39de quelqu'un que tu connais bien,
00:17:40le Polonais Mateusz Gamrot.
00:17:43Prétendant, il est numéro 8, je crois,
00:17:44à son nom mondial, alors moins 70 kilos.
00:17:45J'étais tout prêt hier et j'ai attendu une réaction,
00:17:48mais il n'y a eu qu'un silence.
00:17:49Si tu veux en découdre, rendez-vous en décembre.
00:17:51Et il s'est même moqué de ton surnom.
00:17:52Son surnom est God of War.
00:17:53Je peux le changer en God of Comfort Zone.
00:17:56La parole est à toi.
00:17:57Non, Gamrot, c'est un très beau combat,
00:18:00mais je vois qu'il a retrouvé son stylo,
00:18:02parce que j'avais envoyé un stylo
00:18:04à l'American Top Team
00:18:05pour qu'il signe le contrat pour Paris.
00:18:08Malheureusement,
00:18:09ce n'est pas du coup Gamrot que j'ai affronté,
00:18:11mais Mauricio Ruffi.
00:18:13Non, c'est un beau combat,
00:18:14parce que c'est un gars qui est dans le top 10,
00:18:16qui est jeune et expérimenté.
00:18:19Maintenant, n'importe quel gars du top 10,
00:18:22ça sera un honneur et un privilège de l'affronter.
00:18:25On va voir ce que l'UFC va me proposer.
00:18:27Mais bien entendu,
00:18:29il fait partie des noms
00:18:30avec qui j'aimerais en découdre.
00:18:33Et ça serait un bonheur absolu
00:18:37de l'avoir face à moi
00:18:38lors du prochain combat.
00:18:39Mais tu ne les rentres pas trop dedans.
00:18:40Moi, je pensais que tu allais punchline, tout ça.
00:18:42Non, tu es très poli.
00:18:43Non, je n'ai pas besoin de ça.
00:18:45Généralement, je fais parler...
00:18:46Les pouais !
00:18:47Je fais parler tout ça dans l'octogone.
00:18:50Eh bien, ça tombe bien.
00:18:51Ça, c'était l'interview classique,
00:18:53on va dire, on est poli,
00:18:53on se parle entre nous.
00:18:54Là, maintenant, on va faire une ITV Shock.
00:18:55Des questions rapides, des réponses rapides.
00:18:57Tu développes si tu as envie ou non.
00:18:59Jingle d'abord, ITV Shock.
00:19:03On va faire une interview.
00:19:04Domination ou soumission ?
00:19:06Par rapport à ton sport.
00:19:07Commence pas à regarder mes fils.
00:19:09On commence facile.
00:19:10Benoît, face à tes adversaires.
00:19:13Soumission.
00:19:15Ah, quoi ?
00:19:15Domination ou soumission, tu m'as dit.
00:19:17Tu domines ou tu te soumets ?
00:19:19Non, ce que tu veux que je mette en place
00:19:21sur mon adversaire.
00:19:22Est-ce que je préfère le dominer ou soumettre ?
00:19:24Ben, le soumettre.
00:19:25Ah oui, dans ce sens-là.
00:19:26Et lui, il gagne à tous les coups.
00:19:27Je ne vais rien lui dire.
00:19:28Bon, ça va être plus dur.
00:19:29Face à ton banquier.
00:19:35Soumission.
00:19:36C'est lui qui décide ou c'est toi ?
00:19:38Domination.
00:19:40Ah, en domination.
00:19:40Essayer de dominer.
00:19:42Face à tes enfants.
00:19:44Et il n'a pas beaucoup dormi.
00:19:45C'est toujours que ces deux-là.
00:19:46Oui, ben oui.
00:19:47C'est le principe.
00:19:48Ah oui.
00:19:51Domination, soumission, on est un petit peu dans l'illégal.
00:19:54Non, mais cette nuit à 4h du mat, il ne t'a pas trop dominé.
00:19:57C'est plutôt lui qui t'a dominé.
00:19:58Oui, oui, c'est compliqué.
00:20:01Face à ton chef cuistot, tu domines ou tu te soumets ?
00:20:04C'est lui qui décide des plats ou c'est toi ?
00:20:06Alors, loin du combat, je me soumets à...
00:20:10Enfin, proche du combat, je me soumets à ses décisions.
00:20:12Loin du combat, je vais m'imposer.
00:20:15J'ai faim.
00:20:16À table.
00:20:17Et face à ta balance, alors, pour te peser, tu domines la balance ou c'est elle qui te domine ?
00:20:20Ah, idem.
00:20:21Loin du combat, je la domine et plus le combat approche, plus c'est l'inverse.
00:20:26À la salle de muscu ?
00:20:28Ah, je domine les poids.
00:20:30C'est moi qui mets la main dessus.
00:20:32Face à ton coach ?
00:20:34On en a parlé, le nouvel entraîneur Nicolas Haute.
00:20:36Je dirais qu'il faut être équilibré, donc 50-50.
00:20:40Il faut savoir l'écouter et savoir s'écouter, mais clairement, c'est un travail collectif.
00:20:47On a le droit de 50-50.
00:20:48Devant un match du 15 de France, parce qu'on est un passionné de rugby, tu domines tes émotions
00:20:52ou alors tu subis et je ne te vois pas vriller et devenir comme un fou.
00:20:55Ah, Saint-André, je ne sais pas quoi.
00:20:57C'est un vieux, ça.
00:20:58C'est un vieux, ça.
00:20:58C'est un vieux, ça.
00:20:59C'est un vieux, ça.
00:21:00C'est un vieux, mais bon, t'as été...
00:21:02Saint-André, c'était, il y a trois coupes du monté.
00:21:04En ce moment, c'est Galtier.
00:21:05Oui, merci.
00:21:05Alors, je serais...
00:21:08Alors, si c'est un match, si c'est le crunch et que c'est le grand chlam qui joue dessus,
00:21:14je pense que je subirais les émotions.
00:21:17Hormis ça, je pense que j'arriverais à me contrôler.
00:21:21Le choix de tes futurs combats, tu domines ou tu te soumets ?
00:21:25T'as ton mot à dire, quoi ?
00:21:26Ah, il faut dominer.
00:21:27Il faut dominer.
00:21:28Face à ton miroir, ton image, est-ce que tu l'as subie ou tu la travailles ?
00:21:33Aujourd'hui, je suis en adéquation avec, je suis bien.
00:21:37Il a réponse à tout, il est insupportable.
00:21:39Face à ton kiné ou ton médecin, enfin celui qui te répare, tu domines ou tu subis ?
00:21:44Ça dépend si je lui ai dit toute la vérité sur le ressenti de la blessure.
00:21:51Mais en général, il arrive vite à s'en rendre compte.
00:21:55Si on arrive à gratter et que le combat se fasse quand même, des fois, on se met sous silence.
00:22:01Voilà, on taire quelques sujets.
00:22:04Devant ta femme, tiens, domination ou soumission ?
00:22:07Avec ma femme, c'est 50-50.
00:22:10Il faut un couple harmonieux.
00:22:12Il y en a un qui domine plus que l'autre.
00:22:14Toujours.
00:22:14Il faut engueuler ou pas ?
00:22:16Il me fait engueuler, mais j'ai le bonheur d'être aussi très bien accompagné.
00:22:21Quel diplomate.
00:22:23C'est bien vous, la raison diplomatique.
00:22:25Quel diplomate.
00:22:25Exactement.
00:22:26Face à ton public, tu les domines ou bien tu te soumets à leurs cris, qu'ils soient bons ou mauvais ?
00:22:32Elle est un peu tordue, ça.
00:22:32Ah oui, elle est particulière.
00:22:34Alors, on va dire que je domine les publics étrangers, mais je me soumets face au public français.
00:22:40Oh là là, il est bon.
00:22:41Une petite dernière, mais elle n'est pas pour toi.
00:22:43Devant un micro, vous trouvez qui ? Domination ou soumission ?
00:22:47Domination.
00:22:48Domination, c'est insupportable.
00:22:50C'était Benoît Saint-André en direction de l'équipe de Choc.
00:22:52Merci beaucoup.
00:22:53C'est-tu quoi ?
00:22:54Saint-André, mais oui, Saint-André, tu sais que c'est l'homme de l'autre.
00:22:56On est encore sur les sélectionnaires.
00:22:57Il n'y a pas de coups du monde, tu sais.
00:23:00C'est dramatique, c'est sérieux.
00:23:01En parlant du 15 de France, ce soir, il y a le match des Bleus, France-Islande.
00:23:05Tu as une sensibilité, foot, la petite polémique avec le PSG, les joueurs blessés.
00:23:09Tu as un avis, un regard là-dessus ou quoi ton truc ?
00:23:12Je n'ai pas trop suivi les dernières news, mais bien sûr, on est toujours derrière nos Bleus.
00:23:20Tu regarderas le match, évidemment.
00:23:22Tu ne nous prendras pas une mise.
00:23:23Alors, j'ai vu une partie du match France-Ukraine, mais effectivement, je ne sais pas si je serai derrière.
00:23:30En tout cas, je serai derrière le résultat, mais est-ce que je serai derrière l'intégralité du match ?
00:23:34Pas sûr, ça dépendra des Bleus.
00:23:36Merci en tout cas d'avoir été avec nous.
00:23:37Il y a une queue dans le couloir pour faire des photos avec Benoît Saint-Denis.
00:23:40Benoît Trémoulinas, je balance.
00:23:41Il m'a dit, vous le retenez, je vais faire des photos avec lui.
00:23:43Après la pub, on ira sur la planète sport, tiens, avec du basket, après l'échec des Bleus.
00:23:47Et si Tony Parker rentrait dans le staff de l'équipe de France, lui qui vient d'entamer une carrière de coach ?
00:23:52L'idée n'est pas si folle.
00:23:54Vous me direz si vous y croyez ou non dans quelques minutes.
00:23:56A tout de suite.
00:24:09Deux êtres vous manquent et tout est dépeuplé.
00:24:11Ousmane Dembélé et Désiré Doe est forfait, blessé, on le rappelle, pour le deuxième match des Bleus ce soir face à l'Islande.
00:24:16Alors, comment va faire Didier Deschamps sans ces deux joueurs importants ?
00:24:19Quelle équipe, quel système ?
00:24:21On ira au Parc des Princes dans un instant pour obtenir les dernières infos, si vous êtes d'accord.
00:24:25Mais d'abord, il est 17h18, c'est l'heure de la planète sport de Juju.
00:24:29Il est déjà en train de le faire.
00:24:30Ça n'arrête jamais.
00:24:31Non, jamais, jamais.
00:24:33On va commencer par du basket, cette planète sport.
00:24:35On parlait de Jacques Monclar, ancien international de l'équipe de France de basket,
00:24:39qui est revenu sur l'euro des Bleus, terminé par une cuisante élimination en huitième de finale contre la Géorgie.
00:24:45Le consultant milite pour que le staff des Bleus soit plus conséquent et qualifié.
00:24:50Il donne ses pistes sur le site l'équipe.
00:24:52J'ai trouvé le staff sous-dimensionné et trop inexpérimenté, malgré les qualités de chacun.
00:24:57Ce n'était pas n'importe qui avant, Vincent Collet.
00:25:00Cela mérite au minimum d'être renforcé.
00:25:03Antoine Rigaudot, qui est vice-champion olympique au passage en 2000 à Sydney,
00:25:06qui a eu une éphémère expérience de coach au Paris-Levalois avec comme assistant Freddy Fotox,
00:25:10me semble une option légitime.
00:25:13Autre exemple, l'intégration de Tony Parker, qui se forme au coaching, pourrait être intéressante.
00:25:18Je suis ravi qu'il revienne au basket.
00:25:20Il pourrait apporter ce qu'apportait Kenyat Kinson,
00:25:23qui était l'adjoint de Vincent Collet pendant les Jeux 2024,
00:25:25qui est devenu le coach des Cavaliers de Cleveland.
00:25:28Cette NBA touch, à sa manière, les joueurs le respecteraient.
00:25:31Cela ne pourrait pas faire de mal à ce groupe.
00:25:34Alison, est-ce que tu trouves que c'est nécessaire ?
00:25:36Est-ce que cela peut permettre au Bleu de passer un cap en étoffant le staff avec des anciens joueurs
00:25:41qui ont une renommée extraordinaire ?
00:25:44Je pense que ce serait judicieux.
00:25:46Souvent, quand on change, on passe derrière un coach emblématique comme Vincent Collet.
00:25:52Derrière, tu arrives, tu es le petit nouveau, tu es le petit rookie un petit peu.
00:25:55Je pense qu'il y a cette dimension de la compétition que tu n'as pas, malheureusement,
00:25:59de ton inexpérience internationale.
00:26:01Je pense qu'il a des qualités, mais rajouter de l'expérience qui peut t'apporter.
00:26:10Comme il y a une équipe qui est très jeune,
00:26:13qui va un petit peu rajouter cette dimension que lui, il n'a pas pour le moment.
00:26:19Je pense que ce serait super pour ces jeunes qui ont quand même faim.
00:26:23Il y a eu cette déception contre la Géorgie.
00:26:26Je pense qu'il faut souligner le manque d'un intérieur.
00:26:28Moi, ce qui m'a vraiment surpris, c'est ça.
00:26:31C'est le fait qu'on ait décidé de ne pas en prendre du tout pour cette compétition.
00:26:36Il y a quand même une liste élargie.
00:26:38Certes, ce ne sont pas forcément les meilleurs.
00:26:41Mais d'avoir une présence physique et humaine, même si pas très talentueuse,
00:26:45ça fixe quand même des joueurs.
00:26:47Ça peut ouvrir aussi d'autres tirs, d'autres solutions.
00:26:51Moi, je le vois bien.
00:26:52Par exemple, pour bien suivre Luka Doncic et l'équipe de la Slovénie,
00:26:56la Slovénie s'est retrouvée dans la même situation que la France.
00:27:00Ils ont été chercher un mec qui n'avait pas été appelé depuis trois ans,
00:27:04Omic, qui n'est quand même pas très à l'aise avec le ballon en main.
00:27:11Donc, c'est pour dire que la Slovénie a été le faire.
00:27:13La Slovénie est qualifiée en quart et pas jouée contre l'Allemagne.
00:27:18Et nous, la France, on est rentrée à la maison.
00:27:19Donc, forcément, il y a énormément de questions qui se posent.
00:27:21Mais je pense que la frustration, elle vient du fait qu'on a un vivier.
00:27:25On a tellement de qualités athlétiques, physiques aussi.
00:27:28Et c'est pour ça que la déception, elle est énorme.
00:27:32On ne voyait peut-être pas cette équipe gagner.
00:27:34Mais on se disait que l'écart, c'était jouable.
00:27:37Et plus ses affinités, le dernier carré.
00:27:40Moi, je ne suis pas d'accord avec ça.
00:27:43Je comprends ce que veut dire Jacques Monclar.
00:27:45Mais moi, Tony Parker, ça me dérange un peu.
00:27:46Il est son frère en tant qu'entraîneur à Villeurbanne.
00:27:50Il est président, il est entrepreneur, il fait des émissions.
00:27:53C'est parpitreau.
00:27:53Non, mais encore une fois, ce n'est pas un reproche.
00:27:56Parce que j'aime ceux qui sont curieux et qui font plein de choses.
00:27:57Il veut devenir coach.
00:27:58Oui, il veut devenir coach.
00:27:59Mais c'est bien, il a raison de vouloir devenir coach.
00:28:01Le truc, c'est que ce n'est pas parce que tu as été un bon joueur
00:28:03que tu vas devenir un bon coach.
00:28:04Ça, c'est faux.
00:28:05Et la deuxième chose que je veux rappeler, c'est regarder l'équipe de France
00:28:09dans quel état elle était à la fin.
00:28:10Il a eu des blessés.
00:28:11Stralzal s'est blessé.
00:28:12Toutes les stars n'étaient pas là non plus.
00:28:14Je n'ai pas envie qu'on mette sur le dos de Fotoux
00:28:15le fait qu'il soit moyen et qu'il manque d'expérience
00:28:18parce qu'il a quasiment 5% de l'équipe de France au complet.
00:28:23Tout n'est pas à remettre en question sur cet euro.
00:28:27Complètement, tout n'est pas à remettre en question.
00:28:29On parle de Tony Parker, mais ça peut être quelqu'un d'autre que Tony Parker.
00:28:32On a parlé de Rigaudot.
00:28:35Fotoux était l'adjoint de celui-là.
00:28:37Je pense qu'on peut viser aussi des profils différents.
00:28:40Et clairement, on n'a pas eu de chance avec Stralzal qui s'est blessé en pure meneur.
00:28:45Il y a eu sa décision qui, moi, je pense, a quand même pas mal pesé sur le fait de l'intérieur,
00:28:51de ne pas en prendre un.
00:28:52Sars se blesse, il n'a pas forcément de chance non plus.
00:28:55C'est sûr qu'il n'a pas eu de chance.
00:28:57Mais pourquoi ne pas rappeler quelqu'un ?
00:28:59Pourquoi ne pas rappeler quelqu'un ?
00:29:01Oui, à ce moment-là.
00:29:03Mais avant Sars, il pouvait en prendre un autre.
00:29:06Peut-être qu'il aurait pu en prendre un autre.
00:29:07Il aurait pu anticiper.
00:29:08On ne sait jamais ce qui peut se passer dans une compétition.
00:29:10On sait très bien qu'il y a de la fatigue, etc., au fur et à mesure.
00:29:15Et qu'on n'est jamais à l'abri d'une blessure.
00:29:16Les joueurs NBA seraient au garde-à-vous, il dit Jacques Monclar.
00:29:19C'est vrai que ça a un impact.
00:29:21Si tu as Anthony Parker dans le vestiaire, toi qui suis l'NBA, tu l'écoutes.
00:29:24Oui, c'est sûr.
00:29:24Quand tu as la parole d'une personne qui a autant gagné,
00:29:27et qui a une aura comme ça, ça pèse forcément.
00:29:30On peut le voir, par exemple, avec un Zidane, son aura dégage naturellement quelque chose.
00:29:35Il a été sûr qu'il avait parlé de trois ligues des champions avec le Réal.
00:29:38Non, mais ça pèse le bonhomme.
00:29:40Non, mais avant, je te parle de lui non.
00:29:41Gattuso, il a gagné plein de trucs.
00:29:43Je te dis, c'est avant qu'il gagne.
00:29:45Avant qu'il arrive, tout de suite, quand il arrive dans le vestiaire,
00:29:48son aura dégage quelque chose.
00:29:49Tu as envie d'aller avec lui, tu l'écoutes.
00:29:51C'est sur ça qu'on va poser.
00:29:52Est-ce qu'il n'a pas d'historique, Tony Parker, quand il arrive, en tant qu'entraîneur ?
00:29:56Si on le prend, tout l'effet qu'on va chercher,
00:29:59c'est tout de suite d'avoir un effet rassembleur psychologique.
00:30:04Maintenant, comme l'a dit Ayson, pour moi, le gros problème de l'équipe de France,
00:30:08c'est surtout le fait de ne pas avoir de pivot sur cette compétition.
00:30:12On voit que ça a forcé l'équipe de France à prendre des tirs extérieurs.
00:30:16Et malheureusement, ils n'ont pas eu le talent suffisant
00:30:18pour la réussite suffisante pour les mettre.
00:30:22Un peu de Vuelta, maintenant.
00:30:24Oui, la trompette.
00:30:26Pour vous dire que la 16e étape de la Vuelta n'a pas été à son terme
00:30:29en raison des manifestations pro-palestiniennes sur le bord de la route.
00:30:33Dans la dernière montée de cette 16e étape,
00:30:35l'arrivée a été jugée à 8 km de la ligne d'arrivée.
00:30:38C'est Egan Bernal qui finit par s'imposer devant Mikkel Landa.
00:30:42Mais vous voyez les manifestants pro-palestiniens qui sont sur la ligne d'arrivée.
00:30:46Vuelta encore perturbée.
00:30:48Dimanche, la 15e étape avait été marquée par une chute involontairement provoquée
00:30:52par un manifestant pro-palestinien.
00:30:55Lors de la 11e étape aussi, elle avait été raccourcée à 3 km de l'arrivée à Bilbao
00:31:00justement à cause des manifestants pro-palestiniens aussi sur la ligne d'arrivée.
00:31:04On est en direct avec Patrick Chassé, notre consultant et journaliste spécialiste vélo.
00:31:09Patrick, est-ce que cette Vuelta doit aller à son terme qui est prévue ce dimanche à Madrid ?
00:31:15C'est un jugement moral là que vous me demandez.
00:31:18Je suis incapable de vous répondre.
00:31:21On retiendra quand même les propos de Jonas Wiengegaard, le leader de cette Vuelta,
00:31:25qui a dit il n'y a pas très longtemps, il y a 24 heures,
00:31:28qu'il comprenait en quelque sorte les récriminations des gens qui manifestent
00:31:32et qui disait que c'était probablement une réponse à des questions auxquelles personne ne veut répondre.
00:31:38Donc on peut dire en tout cas que ça ne va pas décourager les manifestants,
00:31:42tout comme le fait d'avoir retiré finalement le nom d'Israël sur leur maillot
00:31:50n'a pas du tout découragé les manifestants de perturber la course.
00:31:55Et ça on peut le comprendre puisque ce n'est pas parce que vous enlevez le nom d'un maillot
00:31:58que vous enlevez le principal financier de cette équipe.
00:32:02– Mais là il reste quelques étapes, Patrick, on est d'accord qu'on peut avoir le même scénario
00:32:06tous les jours jusqu'à la fin et on n'en veut pas.
00:32:09– D'autant que les récentes positions prises par le gouvernement espagnol,
00:32:15évoquant, et je crois, je ne suis pas un spécialiste de la question,
00:32:18mais je crois que le mot génocide n'a pas souvent été prononcé par des gouvernants jusqu'à présent en Europe,
00:32:24le fait qu'il parle de génocide pour la première fois a d'une part suscité beaucoup de réactions en Israël,
00:32:30réactions hostiles au gouvernement espagnol,
00:32:32et d'autre part aussi d'une certaine façon encourager les manifestants dans leur bon droit.
00:32:37– Si jamais on arrête la course là, Patrick, et qu'on décide,
00:32:40c'est Vingegaard qui le gagne, qui est maillot rouge aujourd'hui,
00:32:42qui l'a été quasiment pendant toute la durée de la compétition,
00:32:44évidemment que ce n'est pas ce qu'on aime, c'est anti-sport,
00:32:47mais est-ce que ce n'est pas volé finalement,
00:32:49et que ça met tout le monde en sécurité et que ça arrête de donner une mauvaise image du sport,
00:32:52ce n'est peut-être pas une si mauvaise idée ?
00:32:55– Oui c'est vrai, on se rappelle que l'année dernière,
00:32:58Ben O'Connor avait pris le maillot très tôt, près d'une échappée au long cours,
00:33:01et qu'il avait perdu sur la fin, là on n'est pas du tout dans cette configuration,
00:33:05on n'est pas sur un classement on va dire provisoire, entre guillemets,
00:33:09on est plutôt sur un classement avec le grand favori qui est en tête,
00:33:13qui n'a pas encore véritablement affiché sa domination,
00:33:16qui a roulé un petit peu à l'économie,
00:33:18mais c'est vrai que ce ne serait pas scandaleux de le voir déminer vainqueur,
00:33:21ça restera malgré tout pour lui une victoire horrible.
00:33:23– Merci beaucoup Patrick Chassé en direct de son petit jardin,
00:33:27il fait beau, il y a du soleil,
00:33:28et il est en repérage avec Pierre Roland, très bien, ça bosse les gars.
00:33:31À la prochaine, merci beaucoup Patrick,
00:33:33réaction en plateau, c'est scandaleux,
00:33:34on arrête la Vuelta ou on continue,
00:33:36et puis on va avoir des manifestations tous les jours.
00:33:38– Non mais ce qu'il faut retenir,
00:33:40c'est que de toute façon il y aura des manifestations jusqu'à la fin,
00:33:42et quand tu veux établir un classement par rapport à ce bilan-là,
00:33:46et à cette course, il y en a un qui est au-dessus de la mêlée,
00:33:48et il n'y a pas de débat là-dessus,
00:33:50donc évidemment que pour la sécurité de tout le monde,
00:33:52je ne suis pas convaincu qu'il faille aller jusqu'au bout.
00:33:55– Un mot, on va rester avec le vélo, du VTT maintenant,
00:33:58c'était à suivre sur la chaîne équipe juste avant notre émission,
00:34:01les championnats du monde espoir qui se déroulent en Suisse,
00:34:04vous dire qu'Adrien Bouachi, 22 ans,
00:34:06est devenu champion du monde espoir de short track,
00:34:09c'est Christophe Riblon et Tanguy Karouas qui étaient au commentaire,
00:34:12on va revivre l'arrivée du français.
00:34:15– Ah, il est fort, il est fort le Suisse, il est fort.
00:34:18– Il a ce petit écart, ça va être dur de revenir maintenant.
00:34:22– Bah non, malheureusement ce sera trop loin,
00:34:25je pense qu'il a une droite d'arrivée, il ne va pas être assez long.
00:34:26– Un virage relevé, il est là Adrien Bouachi, il n'est pas loin.
00:34:31– Allez, il est bien dans la roue, Christophe.
00:34:33– Allez, on donne tout, est-ce que ça va passer ?
00:34:35– Ah si, si, ça peut passer.
00:34:36– Si, nous le français, au bout de ce sprint, allez !
00:34:39– Oh, c'est passé !
00:34:40– Finalement c'est passé pour le français !
00:34:42Champion du monde, Adrien Bouachi !
00:34:45Incroyable, il n'était peut-être pas le plus rapide,
00:34:49le meilleur dans le dernier tour, mais quel finish !
00:34:52– Je n'y croyais pas au fait de pouvoir remonter dans sa dernière ligne droite.
00:34:55Bravo Adrien, magnifique !
00:34:57Ah, il a réussi à revenir dans le virage relevé.
00:34:59– Ça c'était tout à l'heure en direct sur la chaîne L'Equipe,
00:35:02donc un français champion du monde, espoir.
00:35:05Et là, tout de suite, si on se connecte sur L'Equipe Live…
00:35:08– Tu fais bien le jingle.
00:35:10– On a droit aux élites, maintenant, c'est les meilleurs,
00:35:13ceux qui ont fait les JO, avec de grandes chances de résultats,
00:35:16notamment pour Viktor Koretsky, le vice-champion olympique,
00:35:18ou encore Matisse Elzarro.
00:35:20Là, ce sont les femmes, ça se passe en Suisse,
00:35:22donc si vous voulez voir encore des chances de médailles françaises,
00:35:24vous allez direct, tout de suite, sur L'Equipe Live.
00:35:27– Du volet maintenant, Pierrot, si tu le veux bien,
00:35:30vendredi, c'est le début des championnats du monde de volets masculins
00:35:32qui se déroulent pour la première fois aux Philippines.
00:35:35Une compétition que vous pourrez suivre en intégralité
00:35:37sur les antennes du groupe L'Equipe.
00:35:38La France, double championne olympique en titre,
00:35:41débute le mondial dimanche contre la Corée du Sud à 11h.
00:35:44Les Français qui se sont préparés dans le sud-est de la France
00:35:47pour la compétition ont un objectif,
00:35:49ramener enfin le titre mondial.
00:35:51Écoutez Hervé Nengapet au micro de Romain Favre.
00:35:53– Certains, ça fait presque 20 ans qu'on joue ensemble,
00:35:58donc c'est un rendez-vous d'équipe, c'est un rendez-vous important
00:36:02et c'est la dernière qui nous manque, c'est la dernière qui nous manque.
00:36:06Donc on est tous très motivés pour aller la chercher.
00:36:09– Alisson, on n'attend que ça, les Bleus ramènent enfin le titre mondial.
00:36:13– C'est le seul qu'ils n'ont pas gagné, le seul qui manque à leur palmarès.
00:36:19J'espère que ça va être cette année.
00:36:20– Comment tu les juges ? Moi, je les ai déjà gagnés, contrairement à eux.
00:36:24– Je l'ai vu, dans ton regard.
00:36:25– Ils ont déjà gagné plein de compétences, ils ont tout gagné, c'est le seul qui manque.
00:36:30J'espère vraiment pour cette génération qui a vraiment brillé depuis plus de 10 ans,
00:36:35deux titres olympiques, la Ligue mondiale.
00:36:37Il nous faut ce mondial impérativement.
00:36:41Je compte sur toi, Erwin, si tu m'entends, je sais que tu m'écoutes, tu me regardes.
00:36:44– Là, tu le menaces.
00:36:46– Tu as tout compris, mais tu vois.
00:36:48– Un peu de tennis de table maintenant pour terminer cette planète sport
00:36:51et prendre des nouvelles d'Alexis Lebrun,
00:36:54qui était actuellement au WTT Champions de Macao.
00:36:57C'est l'équivalent d'un Masters 1000 au tennis.
00:36:59Alexis Lebrun l'aîné, il est sur la droite de l'écran.
00:37:03Le Français qui n'avait plus disputé de match en simple depuis le 11 juillet dernier
00:37:07a perdu dès son entrée en liste 3-7 à 0.
00:37:09Défaite contre un Taïwanais, Jung-Ju Lin.
00:37:13Il s'était fait retirer une plaque dans sa main droite à la fin du mois de juillet.
00:37:17Et là, il semblait vraiment en manque de repères de sensations dans ce match.
00:37:20Enfin, son 11e joueur mondial qu'il n'avait jamais battu.
00:37:22– Tu l'avais tapé sur la table ?
00:37:23– Exactement.
00:37:24En finale, contre son frère.
00:37:26– Tu t'en souviens ?
00:37:27– Bien sûr, je m'en souviens.
00:37:28Il s'était pété la main de rage.
00:37:30– Et le Taïwanais rencontrera un autre Français, Simon Gozzi,
00:37:33qui n'a fait qu'une bouchée de son adversaire du jour.
00:37:36He Chong-Fai, joueur qui n'est pas classé, invité par le tournoi.
00:37:40Victoire en 3-7, 11-4, 11-4, 11-5.
00:37:43C'est assez rare de voir un tel score dans un tournoi si prestigieux.
00:37:46– Il est loin de la table !
00:37:47– Le match n'a duré que 17 minutes.
00:37:49Voilà, donc Simon Gozzi qui affrontera le Taïwanais.
00:37:52Jung-Ju Lin en 16e de finale.
00:37:54– Bravo.
00:37:55– En 8e de finale.
00:37:55– Je trouve ça très bien que tu nous montres aussi du Simon,
00:37:57parce qu'à chaque fois, on est sur les frères Le Brun,
00:37:59mais il était là avant et il est très bon, Simon Gozzi.
00:38:02Et la preuve, il a gagné aujourd'hui.
00:38:03– Merci beaucoup, mon petit Juju.
00:38:05Après la bube, on va se projeter sur le match de ce soir.
00:38:08Francis Land, toutes les dernières coulisses en direct du Parc des Princes.
00:38:10Regardez, il fait beau, ça va être phénoménal.
00:38:12Et on s'intéressera plus particulièrement à Kylian Mbappé
00:38:15ou encore Michael Olysee.
00:38:16On vous expliquera, preuve à la pluie,
00:38:18comment ils peuvent faire basculer la rencontre ce soir.
00:38:20A tout de suite.
00:38:31Kylian Mbappé brise la glace comme jamais.
00:38:33La superstar du foot français fait la couverture du nouveau magazine L'Équipe
00:38:36avec un entretien XXL, où le capitaine des Bleus se livre intensément.
00:38:40Des confidences de ses proches, des photos magnifiques jamais diffusées.
00:38:43Bref, c'est un petit peu l'événement, ça sort demain
00:38:45et on en part dans un instant dans la planète foot.
00:38:48Mais d'abord, 17h41, on va se projeter sur le match de ce soir.
00:38:51Les Bleus qui sont sortis, vous le savez,
00:38:52pour leur deuxième match de qualif de la semaine, après l'Ukraine.
00:38:56Ce soir, ce sera l'Islande.
00:38:58On va prendre la direction du Parc des Princes,
00:38:59où la rencontre va se jouer,
00:39:01pour y retrouver Giovanni Castaldi qui prend le soleil,
00:39:03qui prend la pause également.
00:39:04Giovanni, on a une question toute simple.
00:39:06On rappelle Dembele et Edoué, forfait.
00:39:07Comment va faire Didier Deschamps sans ces deux-là ?
00:39:10Réponse ?
00:39:11Forfait.
00:39:12Bonjour France, bonjour à tout le monde.
00:39:14Écoutez, il va s'en sortir.
00:39:15Je vous rappelle qu'on affronte l'Islande
00:39:17avec tout le respect que j'ai pour nos amis islandais.
00:39:20L'attaque annoncée, c'est quand même Bradley, Barcola,
00:39:23Michael Olysee, Marcus Thuram et Kylian Mbappé.
00:39:25Donc c'est une attaque de France de qualité.
00:39:28Il y a une atmosphère différente quand c'est les Bleus
00:39:31qui jouent au Parc des Princes et quand c'est le PSG ?
00:39:33Juste une petite question.
00:39:34Comme ça, il y a plus de sécurité ?
00:39:35Les supporters ne sont pas les mêmes ?
00:39:36Les supporters, non, c'est sûr, ne sont pas les mêmes.
00:39:41Pour l'instant, je n'en ai pas trop vu France, à vrai dire,
00:39:44avec Jérémy Gernangro, on se sent un petit peu seul en l'état.
00:39:48En revanche, il y en a deux, trois, Pierre.
00:39:51Je veux dire, ce n'est pas l'affluence habituelle.
00:39:52En revanche, beaucoup, beaucoup de véhicules de police.
00:39:56Je ne sais pas si c'est pour Pierre Boubi qui fait beaucoup de zèle
00:39:58autour de la porte de Saint-Cloud ou pour le match de l'équipe de France,
00:40:01mais en tout cas, il y en a pas mal.
00:40:02Très bonne réponse, Giovanni Castali.
00:40:04Tu restes avec nous parce qu'on va avoir besoin de toi
00:40:06sur les questions qui arrivent.
00:40:07Comme on n'aura pas d'NBélé doué ce soir,
00:40:09on vous a demandé de vous intéresser à d'autres joueurs
00:40:11peut-être que vous allez surveiller de près particulièrement.
00:40:14Je crois que, Pierre Boubi, tu vas commencer par scruter un certain
00:40:16Michael Olysee.
00:40:18Oui, Michael Olysee, parce qu'il commence à prendre
00:40:20de plus en plus de poids à l'intérieur de cette équipe de France
00:40:23avec des débuts difficiles, mais il y a quand même
00:40:27beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses à retenir
00:40:29et on sent qu'il a pris la patte sur ce but-là.
00:40:30Alors, on a fait une petite palette, mais c'est lui qui fait la passe en profondeur.
00:40:33Il continue et il poursuit son action.
00:40:35Et je trouve qu'il a une faculté à voir les espaces libres.
00:40:37À chaque fois, il se met dans ces zones-là où il se les crée.
00:40:40Là, ici, c'est pareil.
00:40:41Il fait un 1-2.
00:40:42C'est lui qui se crée l'espace en attirant l'adversaire.
00:40:44Après, ça déroule tout seul, mais ça fait un énorme trou
00:40:46à l'intérieur du terrain.
00:40:49Ici, c'est un peu pareil.
00:40:51Il y a le ballon ici, mais je trouve que c'est un joueur
00:40:55qui est capable de génie dans ces moments-là
00:40:57où c'est compliqué.
00:40:58Ici, c'est pareil.
00:40:59Ce qui est intéressant, c'est l'appel de Mbappé.
00:41:01Il voit qu'il a pas le dessus.
00:41:02On croit que c'est une passe anodine,
00:41:03mais en fait, il fait exprès de lui mettre son pied gauche
00:41:05pour qu'il rentre ce ballon de cette façon.
00:41:07Et là, ici, c'est la gestion du contre.
00:41:11Il y a des joueurs devant lui.
00:41:12Il est capable de faire la différence,
00:41:13mais vu qu'il n'a pas apporté le surnombre,
00:41:14en fait, il le fait.
00:41:16Et il a une qualité de passe qui est absolument dingue.
00:41:19Moi, il me rappelle un petit peu Neymar
00:41:20dans la justesse, en fait, de la passe,
00:41:24dans l'endroit de l'appel de l'attaquant
00:41:27et aussi la puissance de la passe.
00:41:31Il a des passes qui sont d'une justesse vers l'avant.
00:41:34Et c'est pas des passes qu'il fait à 2 mètres,
00:41:36à 3 mètres latérales et tout ça.
00:41:37Il prend énormément de risques sur ses passes offensives.
00:41:40Et je trouve qu'on a trouvé un joueur ici
00:41:42qui était très important avant,
00:41:46mais on le voyait pas trop.
00:41:46mais il a pris une dimension en équipe de France
00:41:48où, en fait, donner lui le ballon.
00:41:49Et le meilleur exemple, c'est son but.
00:41:52Il est dans les pattes de Konaté, je crois,
00:41:54à ce moment-là.
00:41:55Il est quasiment défenseur central
00:41:56et c'est lui qui finit l'action.
00:41:58Donc, il a une vision d'avance
00:42:00et il arrive à voir des choses
00:42:01que les autres ne voient pas.
00:42:02Je trouve que c'est un créatif.
00:42:04Pour moi, il ne remplace pas Griezmann.
00:42:06C'est vraiment Olysee.
00:42:08Il apporte sa personnalité.
00:42:09Il skiffait.
00:42:09Et ça fait très, très, très longtemps
00:42:11que je n'ai pas vu un joueur comme ça
00:42:12en équipe de France.
00:42:12Est-ce qu'on partage les propos de Pierrot ?
00:42:14Il y a une sensation de facilité, en fait, avec lui ?
00:42:17Oui, parce qu'il a des qualités techniques au-dessus
00:42:19et on voit surtout qu'à chaque fois
00:42:21qu'il touche la balle, ça crée quelque chose.
00:42:25Ce ne sont pas des gestes futiles ou inutiles.
00:42:27Il est là pour faire un vrai lien
00:42:29entre défense, milieu et attaque.
00:42:33Et à la différence d'un Griezmann,
00:42:35lui, il a cette possibilité
00:42:36de pouvoir créer des différences.
00:42:39Balles au pied, techniquement,
00:42:40il a beaucoup plus de vitesse
00:42:43et cette qualité de passe
00:42:45pour pouvoir alimenter les attaquants.
00:42:46Pourquoi tu as dit Griezmann à ce niveau-là, en tout cas ?
00:42:49En fait, je ne le trouve plus complet.
00:42:52En tout cas, il a d'autres registres
00:42:54qu'avait Griezmann.
00:42:56Maintenant, voilà, Griezmann a eu sa carrière.
00:42:58Lui, il est au début.
00:42:59Il a encore plein de choses à prouver.
00:43:00Mais ce qui est bien, c'est qu'il offre quelque chose
00:43:02qu'on n'avait pas vu depuis longtemps,
00:43:03comme l'a dit Pierre.
00:43:05Alisson, est-ce que ça peut être
00:43:06un vrai potentiel titulaire
00:43:07en vue de la Coupe du Monde ?
00:43:09Oui, je pense.
00:43:09À mon avis, s'il fait une saison complète
00:43:11au Bayern, il peut prétendre.
00:43:13En tout cas, ce que j'adore avec ce joueur-là,
00:43:15c'est sa justesse technique.
00:43:17Vraiment.
00:43:18Tu sens que quand il a le ballon,
00:43:19il peut créer quelque chose d'exceptionnel,
00:43:24mais il n'en fera jamais trop.
00:43:26Et moi, c'est vraiment ce que j'apprécie
00:43:27parce qu'en équipe de France,
00:43:28on a beaucoup de joueurs
00:43:28qui peuvent faire énormément de choses ballonquées,
00:43:30mais des fois, quand on fait un peu trop des caisses,
00:43:32et lui, tu sens que malgré son jeune âge,
00:43:35cette qualité technique,
00:43:36il a cette justesse.
00:43:37Pour moi, il faut lui donner les clés du camion.
00:43:40Ah, tout de suite.
00:43:40Honnêtement.
00:43:42Il les a un peu.
00:43:43Non, parce qu'on voit que ça va aussi soulager,
00:43:46je pense, à Mbappé également,
00:43:47de pouvoir prendre ses responsabilités comme ça.
00:43:49Je pense que c'est à lui qu'on doit donner,
00:43:52en tout cas, cette responsabilité
00:43:54d'alimenter les attaquants.
00:43:55Il gaffe sa place.
00:43:57Ah ?
00:43:57Ça, à lui, il a l'a cherché.
00:43:58Ah bah, il l'a déjà.
00:43:59Oui, il l'a déjà.
00:44:00Il l'a déjà par rapport à son...
00:44:01Oui, complètement.
00:44:02Jérémy, qu'est-ce que tu as le dit ?
00:44:03On lui donne les clés du camion ou pas ?
00:44:04Est-ce que tu confirmes tout ce qui se dit ici ?
00:44:06Il n'a pas eu le poids lourd, déjà ?
00:44:09J'ai trouvé, Pierre, pour une fois, brillant.
00:44:12Ne pas avoir cette faiblesse d'esprit,
00:44:15d'avoir les comparaisons avec Antoine Griezmann.
00:44:17C'est bien.
00:44:18Ça change un peu des débats actuels.
00:44:20Ils ont des qualités différentes.
00:44:21Mais E-France, il ne faut pas vous inquiéter.
00:44:23Il sera titulaire à la Coupe du Monde.
00:44:25Et très clairement, ce système, le 4-2-3-1,
00:44:27en fait, ça répond à vos interrogations
00:44:29sur est-ce qu'il aura les clés ou non.
00:44:31Pour le coup, Didier Deschamps fait ce système
00:44:33en partie pour lui, parce qu'il a besoin
00:44:35de ce joueur, comme Mathieu l'a expliqué,
00:44:37qui fait le lien entre toutes les parties du terrain
00:44:39et parce qu'il a cette grande qualité offensive
00:44:42avec des joueurs de profils différents.
00:44:43Mais vraiment, le plan du sélectionneur
00:44:45pour cette Coupe du Monde 2026,
00:44:47c'est d'installer Michael Olysee en numéro 10.
00:44:49J'ajouterais juste, parce que tout a été dit
00:44:51sur l'excellent joueur du Bayern Munich,
00:44:53s'il peut avoir autant de liberté,
00:44:55c'est aussi parce que derrière,
00:44:56il y a un duo qui est très très important
00:44:57et qui monte en puissance actuellement
00:44:59en équipe de France.
00:45:00C'est Aurélien Chouamény et Manu Connet.
00:45:02Bien dit, mais ils n'ont pas été choisis
00:45:04par nos chroniqueurs.
00:45:05Je passe la balle à Mathieu de Séville
00:45:06qui a choisi d'intéresser à l'attaque
00:45:08de manière générale,
00:45:09mais de manière défensive, c'est ça ?
00:45:11Oui, c'est ça.
00:45:12J'ai vu quelque chose que je n'avais pas vu
00:45:14depuis longtemps et que j'ai beaucoup apprécié,
00:45:16surtout en première mi-temps,
00:45:18c'est le pressing offensif
00:45:20et la réaction à la perte de balle.
00:45:22Là, on voit que c'est très bien fait collectivement.
00:45:25Ils y vont tous.
00:45:26Et on sait que quand les attaquants font le premier pressing,
00:45:29ce n'est pas eux qui vont récupérer la balle,
00:45:30c'est souvent la deuxième ligne ou la troisième ligne.
00:45:32Là, on voit ces mêmes choses.
00:45:33Il y a une perte de balle
00:45:35et on voit immédiatement,
00:45:36on a les trois joueurs offensifs
00:45:37qui font le pas
00:45:38et derrière, la balle est récupérée
00:45:40et c'est ce qui permet de garder un bloc très haut.
00:45:43Là, encore une fois,
00:45:43il y a une réaction tout de suite.
00:45:45On voit Chouamény et Lukading qui viennent
00:45:47et ça fait tout de suite,
00:45:49ça mène en tout cas en erreur l'adversaire.
00:45:52Là, même chose.
00:45:52On voit Varkola qui continue son pressing,
00:45:55il fait son effort.
00:45:56On voit collectivement,
00:45:57Manu Conné avance également.
00:45:59Tout le monde est fait
00:46:00et on voit que ça a fini par payer en fait.
00:46:02Il n'y a pas de hasard là-dessus.
00:46:05Et par contre, en contrepartie,
00:46:08là, on voit que sur cette action,
00:46:09ils venaient de marquer,
00:46:11ils entament leur pressing,
00:46:13mais ils ont un temps de retard
00:46:14parce que là,
00:46:14ils viennent de faire un effort avant
00:46:15qui n'était pas possible
00:46:16et on voit quand c'est mal fait,
00:46:18malheureusement, tout de suite,
00:46:20c'est ce qui dérègle tout.
00:46:21Et tu es obligé de refaire
00:46:22des courses de 50 mètres
00:46:24parce que tu as perdu ton pressing.
00:46:26Et c'est là où il faut avoir
00:46:27la lucidité, par exemple,
00:46:29à Mbappé de dire
00:46:31« Bon, là, on n'a pas le coffre.
00:46:32Pour le faire,
00:46:33on va attendre. »
00:46:34Parce qu'on ne peut pas faire
00:46:35un pressing tel qu'ils ont voulu le faire
00:46:37sur toute la rencontre.
00:46:38Et on l'a bien vu
00:46:39qu'ils l'ont payé en deuxième mi-temps.
00:46:41Mais même en première mi-temps,
00:46:42il y a des fois
00:46:43où quand c'était mal fait,
00:46:44malheureusement,
00:46:45tu passes à travers
00:46:46et pour quelques mètres
00:46:48qui n'ont pas été faits au début,
00:46:50tu as 50 et 60 mètres
00:46:52à faire derrière.
00:46:53Donc je trouve
00:46:54qu'ils l'ont vraiment
00:46:55très bien fait.
00:46:56Ça a été quelque chose
00:46:56que je n'avais pas vu
00:46:57depuis longtemps.
00:46:59Ça doit devenir
00:47:00l'ADN de cette équipe
00:47:01de pouvoir,
00:47:02si elle veut,
00:47:03installer et imposer
00:47:04son statut,
00:47:06de pouvoir maintenir
00:47:07son bloc haut
00:47:07et, entre guillées,
00:47:10de faire suffoquer l'adversaire,
00:47:11récupérer le ballon
00:47:11très haut à chaque fois.
00:47:13Et ça a été très bien fait.
00:47:14Et c'est ça,
00:47:14ce que j'ai aimé.
00:47:15Pierrot a levé le doigt quand même.
00:47:16Non, non,
00:47:16je suis complètement d'accord
00:47:18avec ce que dit Mathieu,
00:47:20mais je trouve
00:47:21que tu as la réaction
00:47:22d'un attaquant
00:47:22qui a fait ce genre de pressing.
00:47:25Je ne sais pas
00:47:25comment toi...
00:47:26La dernière séquence,
00:47:27je trouve qu'ils le font
00:47:27plutôt pas trop mal.
00:47:29En fait,
00:47:30les attaquants sont quand même
00:47:31très dépendants
00:47:32de ce que fait la défense
00:47:33et la ligne défensive aussi
00:47:35et les milieux
00:47:35de terrain défensif.
00:47:36Et sur la dernière séquence
00:47:37qu'on montre,
00:47:38tu vois qu'il y a Conaté...
00:47:39Enfin, tous les défenseurs
00:47:40sont sur la ligne médiane.
00:47:41Je pense que
00:47:41s'ils sont accompagnés
00:47:42à ce moment-là,
00:47:44je pense qu'ils récupèrent le ballon.
00:47:45C'est pour ça que je dis ça
00:47:45parce qu'en fait,
00:47:46on ne le voit pas
00:47:47mais l'action,
00:47:48elle vient juste après le but.
00:47:49Il y a eu le but,
00:47:50il y a eu de l'euphorie,
00:47:51etc.
00:47:52Et tout de suite,
00:47:53Mbappé,
00:47:53il a voulu continuer
00:47:54le pressing,
00:47:55l'idée,
00:47:56alors que ton milieu de terrain,
00:47:58tes défenseurs,
00:47:58cette fois-ci,
00:47:59n'étaient pas là.
00:48:00Donc c'est là
00:48:01où il doit avoir l'hallucidité.
00:48:01C'est de la faute
00:48:02des milieux de terrain
00:48:02et ça, eux,
00:48:04de lui dire,
00:48:04n'y va pas.
00:48:05Je suis d'accord.
00:48:06C'est un peu partagé,
00:48:07tu as raison.
00:48:07Mais l'attitude est bonne.
00:48:08Il peut lui dire,
00:48:09le rappeler,
00:48:09non,
00:48:10là,
00:48:10on attend 5 minutes,
00:48:11là,
00:48:11on vient de marquer,
00:48:12on va récupérer
00:48:14avant de se faire un effort.
00:48:15L'attitude est très bonne.
00:48:16Parce qu'au final,
00:48:17c'est dommage
00:48:18parce qu'il fait un effort,
00:48:20parce qu'il va presser,
00:48:21donc c'est vraiment
00:48:22des efforts qui sont engrangés
00:48:23mais ils ne sont pas payants
00:48:24parce que ce n'est pas
00:48:25accompagné collectivement.
00:48:26On a un dernier joueur
00:48:27sur lequel on voulait
00:48:28se projeter un petit peu,
00:48:29c'est Marcus Turam
00:48:30et c'est le choix
00:48:30de M. Juju.
00:48:31Oui,
00:48:31Marcus Turam
00:48:32qui devrait jouer,
00:48:33évoluer dans ce positionnement
00:48:34de milieu offensif gauche
00:48:35et lié gauche
00:48:36dans cette animation
00:48:36en 4-2-3-1.
00:48:38Ce soir,
00:48:39Marcus Turam,
00:48:39en équipe de France,
00:48:40il joue essentiellement
00:48:41sur le côté
00:48:42et c'est un match important
00:48:44aussi pour lui
00:48:45pour marquer des points
00:48:46parce que la concurrence
00:48:46elle est assez féroce
00:48:47à son poste.
00:48:49On peut penser
00:48:49à Desiré Douai,
00:48:50Barcola
00:48:50ou même Marnès et Clouge
00:48:52qui viennent d'intégrer
00:48:52cette équipe de France.
00:48:53C'était son dernier match
00:48:54titulaire à ce poste-là
00:48:56face à la Belgique,
00:48:58c'était il y a un peu
00:48:58plus d'un an.
00:48:59Je veux dire que
00:49:00sur le côté gauche,
00:49:00c'est quelqu'un
00:49:01de très discipliné
00:49:01qui sait tout faire,
00:49:02qui sait jouer
00:49:02avec son latéral gauche
00:49:03et je serais très attentif
00:49:04aussi à la prestation
00:49:06de Théo Hernandez
00:49:06qui, je trouve,
00:49:08Giovanni,
00:49:09Théo Hernandez,
00:49:09je trouve qu'il a pris
00:49:10du retard sur la concurrence
00:49:11à son poste de latéral gauche
00:49:13et je reviens aussi
00:49:14sur ma première intervention,
00:49:16Marcus Turam,
00:49:17je trouve qu'il joue,
00:49:18en gros,
00:49:18c'est peut-être un peu fort
00:49:20et il doit marquer
00:49:21des points ce soir aussi.
00:49:25L'un ou l'autre ?
00:49:26Est-ce que Giovanni
00:49:28nous a entendu ?
00:49:29Ce qu'il fait en club,
00:49:30évidemment,
00:49:31on en attend un petit peu plus,
00:49:33ça c'est logique.
00:49:34J'ai encore le retour
00:49:35plein fer dans les oreilles
00:49:36à Régis,
00:49:36s'il vous plaît,
00:49:37si vous pouvez me couper ça,
00:49:38je ne peux pas parler,
00:49:39c'est vraiment insupportable,
00:49:40merci beaucoup.
00:49:41Non mais,
00:49:41tu as totalement raison
00:49:42pour le coup,
00:49:43Juju,
00:49:44Marcus Turam,
00:49:45il joue,
00:49:46c'est très important
00:49:46pour lui ce soir
00:49:47parce que c'est quelqu'un
00:49:48qui est précieux
00:49:48comme tu l'as expliqué
00:49:49mais qui manque de statistiques.
00:49:52Pour ce qui est de la position,
00:49:52on verra ce soir
00:49:53parce que 4-2-3-1,
00:49:544-4-2,
00:49:55on verra comment s'articule
00:49:56cette équipe de France
00:49:57et pour Théo Hernandez,
00:49:59il a perdu sa place,
00:50:00tout simplement,
00:50:01l'Ukadi ne lui est passé devant
00:50:02dans la hiérarchie,
00:50:03le match le plus important
00:50:04c'était face à l'Ukraine,
00:50:05c'est lui qui a été titulaire,
00:50:07donc effectivement,
00:50:08on verra son transfert
00:50:09en Arabie Saoudite,
00:50:10on voit bien que Didier Deschamps
00:50:11ne rechigne pas
00:50:12à appeler des joueurs
00:50:13qui partent dans ce championnat
00:50:14mais c'est extrêmement important
00:50:16pour Théo,
00:50:17cette rencontre.
00:50:18Bien vu Juju,
00:50:18tu progresses toi aussi
00:50:19comme Pierre.
00:50:20Merci beaucoup
00:50:22Diomenico Astali,
00:50:23il s'entend,
00:50:23il ne supporte pas s'entendre,
00:50:24c'est normal comme nous tous
00:50:25mais nous on ne dit rien.
00:50:27On le retrouve dans l'équipe de Greg
00:50:28et dans l'équipe du soir,
00:50:28l'équipe de la mi-temps aussi,
00:50:29ne ratez pas à la mi-temps du match
00:50:31et puis le débrief
00:50:31dans l'équipe du soir.
00:50:3317h53,
00:50:33on est un petit peu en retard,
00:50:34vite,
00:50:34allons sur la planète foot,
00:50:35Juju.
00:50:35On va essayer d'être rapide.
00:50:41Match de dingue hier
00:50:42entre Israël et l'Italie,
00:50:43match de qualification
00:50:44pour la Coupe du Monde 2026,
00:50:469 buts dans la rencontre
00:50:47et une victoire sur le fil
00:50:49pour,
00:50:50pour,
00:50:50et bien vous allez le découvrir
00:50:51dans ce grand format
00:50:52monté par Romain Gégoût.
00:50:56Solomon,
00:50:56avec le corner rentrant,
00:50:57le point !
00:50:59Il est passé au travers,
00:51:01Gigi Donnarumma,
00:51:02le coup de sifflet
00:51:03de Monsieur Vincic
00:51:03pour une faute.
00:51:08Pas grand chose
00:51:09sur le capitaine italien.
00:51:18Passa.
00:51:20petit surnombre
00:51:22côté droit d'Assa,
00:51:23ça s'est bien fait
00:51:24dans la surface,
00:51:25c'est magnifiquement réalisé
00:51:26et il provoque la faute
00:51:28des Italiens
00:51:30sur ce mouvement
00:51:32particulièrement intéressant
00:51:34de la part des Israéliens.
00:51:37de la part des Israéliens.
00:51:39Tonali,
00:51:41ballon au deuxième poteau,
00:51:42remise de Bastoni.
00:51:43Di Marco
00:51:44remet ce ballon
00:51:45dans la surface
00:51:46avec la barre
00:51:47qui vient sauver
00:51:50Peretz.
00:51:51Moïskine,
00:51:58Moïskine,
00:51:59qui vient à retirer
00:52:03une épine du pied
00:52:04à la squadra
00:52:04sur le premier moment
00:52:07délicat peut-être,
00:52:09de l'air Gennaro Gattouzou.
00:52:10Manor Solomoun,
00:52:12c'est le nom
00:52:12du coup de la balle
00:52:13de l'Israéliens.
00:52:14Il se déroule
00:52:14dans la route,
00:52:14mais il ne peut pas
00:52:15dérouler.
00:52:16Il a toujours
00:52:16le coup de la balle
00:52:17dans la balle.
00:52:17Maintenant Manor
00:52:18délicat le pire.
00:52:19Daniel Peretz !
00:52:21Le jour de l'Eau
00:52:22de l'Eau
00:52:23de l'Eau
00:52:24de l'Eau
00:52:25de l'Eau
00:52:25de l'Eau
00:52:26de l'Eau
00:52:27de l'Eau
00:52:28de l'Eau
00:52:30de l'Eau
00:52:30de l'Eau
00:52:31de l'Eau
00:52:32de l'Eau
00:52:33de l'Eau
00:52:34de l'Eau
00:52:39d'Akken,
00:52:40Slomo,
00:52:41Pato-Livo.
00:52:49Et Politano,
00:52:513 à 2
00:52:52pour l'Eau
00:52:52de l'Eau
00:52:53de l'Eau
00:52:53de l'Eau
00:52:54de l'Eau
00:52:54de l'Eau
00:52:55d'Israël.
00:52:56Il a bien fait le relais à l'intérieur Fratesi, là il y a un bon coup à jouer pour les Italiens, le décalage Donnelli, à l'intérieur avec Fratesi, la petite passe, tout ça est somptueux de la part des Italiens, une action collective magnifique.
00:53:16La récupération de Revivo, oh là là, ce match qui n'est pas encore terminé encore, un contre son camp, le coup franc joué à deux avec le petit ballon dans la surface, oh là là, ce match est complètement
00:53:46Israël, revient de nulle part.
00:53:57Donnelli, avec la frappe, oh mais c'est pas possible.
00:54:05L'Itali qui trouve à nouveau les ressources.
00:54:07Solomon, le coup de sifflet final qui retentit, Monsieur Vincic libère l'Italie, match absolument ébouriffant.
00:54:24Neuf buts, neuf buts dans ce match dingue entre Israël et l'Italie.
00:54:29On va revenir un petit peu sur la prestation des Italiens, les copains et les copines.
00:54:32Didio Donnarumma qui encaisse quatre buts, notamment il y a un but qui a été refusé, l'arbitre a été très très gentil avec lui.
00:54:40Pour une première cette saison, c'était compliqué.
00:54:43Oui, mais ça casse quand même, ça tord le coup quand même à une fausse idée reçue que les gardiens, ils ont besoin d'être dans un confort pour être bien, pour être en confiance, pour être machin.
00:54:54Didio Donnarumma, il était exceptionnel en phase de Ligue, enfin dans les matchs couperés en Ligue des champions.
00:54:59Là, il est incontesté et incontestable en Italie, c'est-à-dire qu'il a un fauteuil avec un cigare, son cognac à côté.
00:55:05Et puis en fait, il joue, il est sûr de jouer, il est capitaine, il y a tout qui va.
00:55:08Mais il fait cinq premières minutes, mais cataclysmique.
00:55:11Parce que là, on ne voit même pas la relance au pied qu'il fait.
00:55:14Il est parti à City quand même, qui est quand même le pèlerinage de tous ceux qui veulent jouer avec un gardien qui ont deux pieds peut-être plus forts que ceux qui jouent sur le terrain.
00:55:23Et là, la première relance est cataclysmique, il y a une action pour Israël.
00:55:26Et la deuxième, c'est une sortie aérienne alors qu'il fait sept mètres et il met son ballon dans le but.
00:55:31Enfin, si c'est n'importe quel autre gardien, on ne lui tombe pas dessus en fait, on l'assassine de tous les côtés.
00:55:38Et là, il va être nommé quand même au ballon d'or.
00:55:39C'est pour ça que ce gardien a quelque chose quand même qui est paradoxal et qui est incroyable.
00:55:45Je n'arrive pas à comprendre.
00:55:46Toujours dans la zone Europe, le Danemark s'est imposé 3-1-0 face à la Grèce.
00:55:51Deux joueurs de Ligue 1 étaient titulaires, le Marseillais Pierre-Émile Heuberg ou encore le Monégasque Mika Biérette.
00:55:56Pierre-Émile Heuberg, on va le retrouver là, le pressing haut pour Damsgaard.
00:55:59Et puis l'enchaînement ensuite, il est fabuleux du joueur de Brentford qui va pivoter sur lui-même, se remettre dans le sens du jeu.
00:56:07Et puis bien placer son ballon.
00:56:09Merci beaucoup.
00:56:10Ouverture du score à la demi-heure de jeu.
00:56:13Heuberg, on retrouve qu'il passe ce ballon à Christian Sen.
00:56:15Christian Sen, le défenseur central de cette équipe danoise qui s'avance, s'enfonce dans la défense et en met le ballon.
00:56:20J'aime bien.
00:56:21J'ai l'impression qu'ils aimaient bien le petit filet du gardien grec.
00:56:25Donc 2-0 à l'heure de jeu.
00:56:28Et puis à la 81e, un but un peu gag, Dorgou, le joueur de Manchester United, va griller la politesse du gardien.
00:56:34Je ne sais pas où il allait le gardien.
00:56:35Je n'ai pas compris sa sortie.
00:56:36La frappe sur le poteau.
00:56:37Et ensuite, c'est Rasmus Oylou, prêté par le Manchester United d'Anab qui marque.
00:56:42C'est fait exprès le poteau, pour faire une passe-dé.
00:56:44Ah tu crois ?
00:56:44Non, c'est pour rien.
00:56:45Mais le gardien, il faisait quoi là Mathieu ?
00:56:48Il faut être sûr de toi quand tu sors comme ça.
00:56:50Il a surestimé sa vitesse et au bout d'un moment, il s'est dit bah non, finalement c'est pas.
00:56:54Je ne sais pas.
00:56:55Lors de cette soirée, il y a eu de très très jolis buts lors de cette soirée de qualification pour les matchs à la Coupe du Monde.
00:57:02La Croatie s'est imposé 4-0 contre le Monténégro.
00:57:04J'ai adoré l'ouverture du score d'un certain Jachic.
00:57:08Là, c'est Luka Modric qui est au ballon, au milieu de terrain d'Oxbourg, mais qui jouait latéral droit, qui va revenir sur son pied gauche.
00:57:17Et merci, monsieur.
00:57:20T'as pas aimé toi Mathieu ?
00:57:22Non, je sais pas, j'ai pas aimé.
00:57:23Rappel qu'il est droitier, la frappe pied gauche, comment ça se voit ?
00:57:28Il balance le pied gauche, on est un club de golf.
00:57:30On voit qu'il n'y a pas la même dextérité exactement, c'est un peu un club de golf.
00:57:33Là, le quatrième but croate, j'ai adoré la passe.
00:57:36C'est parfait Mathieu, c'est dans le sens du jeu, non ?
00:57:44C'est pas maîtrisé, c'est totalement maîtrisé.
00:57:49Elle passe entre les jambes.
00:57:51Non, il est en galère, il est trop en avant.
00:57:55Il est en galère, il s'est dit, je peux faire que ça.
00:57:58Donc il la met et elle arrive.
00:57:59Non, il peut frapper.
00:58:00Là, il peut pas frapper, son corps, il est en déséquilibre.
00:58:02Il se dit, attends, je vais la mettre en arrière.
00:58:04On verra bien.
00:58:04Elle arrive entre les jambes.
00:58:06T'es décevant Mathieu.
00:58:07Ouais, non, ça fait mieux.
00:58:08Non, non, c'est connu, mieux.
00:58:09Non, t'es décevant.
00:58:10Nul, zéro.
00:58:11La Suisse, 3-0 contre la Slovénie.
00:58:13Et j'ai aimé le troisième but suisse de Dan Ndoi.
00:58:16Surtout la construction du but.
00:58:18Vous allez voir l'échange entre Freuler et Granit Xhaka.
00:58:21Et là, la petite passe de Granit Xhaka, elle n'est pas évidente.
00:58:23Il y a du monde devant lui.
00:58:25Dan Ndoi qui va couper.
00:58:26Ça, Alisson, j'aime bien.
00:58:28Collectivement, c'est bien.
00:58:28C'est surtout le décevant passé du 3, là.
00:58:30Mais laisse parler Alisson, elle n'est pas par la question.
00:58:32Non, mais j'ai la subtilité du 3.
00:58:35Ouais, c'est ça.
00:58:35Merci Alisson.
00:58:36Du coup, Alisson, la subtilité du 3 ?
00:58:38Pas vu.
00:58:40Merci Mathieu.
00:58:41Bon, un dernier petit but à vous montrer.
00:58:43Le Kosovo qui a créé la surprise en s'imposant 2-0 à domicile contre la Suède.
00:58:47Deux buts sur contre-attaque.
00:58:49J'ai apprécié le deuxième, celui de Vedat Moriki, juste avant la pause.
00:58:52Ça part d'un centre suédois.
00:58:54Ramani récupère le ballon.
00:58:55Il s'appuie sur Moriki.
00:58:57Et là, c'est la contre-attaque.
00:58:58C'est la contre-attaque.
00:58:59Ils sont deux.
00:59:00Ils sont deux contre cinq.
00:59:00Et vous voyez, il y a cinq suédois qui essaient de suivre.
00:59:02L'appel de Moriki.
00:59:03Et puis on repousse.
00:59:05Le gardien n'a pas été bon.
00:59:06Ah, c'est le gardien, là.
00:59:09Oh, c'est dur.
00:59:11La frappe est bonne.
00:59:12La frappe est belle.
00:59:12Garde où ça part.
00:59:14Mais là, il ne peut rien faire.
00:59:15La frappe est magnifique.
00:59:16Elle est spontanée.
00:59:17Ah oui, elle est spontanée.
00:59:19Mais il y a...
00:59:20Il l'appelle aussi.
00:59:21La lucidité.
00:59:22En fait, moi, je trouve qu'il ne peut la mettre que là.
00:59:23C'est ça, le truc.
00:59:25Non, non.
00:59:27Généralement, on peut croiser.
00:59:28Il peut croiser quand même.
00:59:29Non, mais j'ai pas...
00:59:30Généralement, on va chercher à croiser.
00:59:32Bon, des nouvelles maintenant des Bleuets.
00:59:34L'équipe de France Espoir qui a facilement battu hier soir, là.
00:59:37La Serbie, c'était à Lorient.
00:59:39Match amical.
00:59:40Victoire 3-0 dans ce match amical.
00:59:42L'ouverture du score, elle est somptueuse.
00:59:44Ben, Mathis.
00:59:44Mathis Tell.
00:59:45Ça, c'est magnifique.
00:59:47Pied gauche pour le droitier de Tottenham.
00:59:49Ça, tu valides, c'est bon.
00:59:49Il portait le brassard.
00:59:50C'est magnifique.
00:59:51Frappe exceptionnelle dans la lutte arme.
00:59:53Après la pause, 56e minute de jeu.
00:59:56Christian Mawissa, la Monégasque, qui va centrer pour Louis Leroux.
00:59:59Le joueur du FC Nantes.
01:00:00Frappe sans contrôle.
01:00:012-0.
01:00:02Oui, début du gauche, Pierrot.
01:00:03Et puis, il y a la 93e, Mathis Tell, qui va s'offrir un doublé dans ce match-là.
01:00:07Bien joué, l'enchaînement.
01:00:08Alisson, ça va lui faire du bien.
01:00:10Lui qui a été écarté de la liste pour la Ligue des champions par son club Tottenham.
01:00:14Ben là, il répond sur le terrain avec deux...
01:00:15Fangeance !
01:00:16C'est fou, quand même.
01:00:18C'est dingue de se dire qu'il a été écarté.
01:00:21C'est un scandale, même.
01:00:22Oui, complètement.
01:00:23Mais après, je sais que les règles...
01:00:25Il y a du monde devant.
01:00:26C'est un problème.
01:00:28C'est bien, il a continué d'acheter les gens pour ne pas les faire jouer, c'est bien.
01:00:31Un petit moment délicieux, maintenant, à vous proposer.
01:00:33Toujours dans ce match, France Espoir contre la Serbie.
01:00:36Noah Edjouma, le Toulousain qui est entré à la pause, a régalé dans ce match-là.
01:00:41Récupération haute du gaucher toulousain.
01:00:43Petit.
01:00:44Oh !
01:00:44Merci.
01:00:45Mais malheureusement, il ne finit pas l'action.
01:00:46Et là, c'est le pire.
01:00:47Mais c'est pas grave.
01:00:48On peut lui pardonner.
01:00:49Parce que le petit pont de la surface, la frappe ensuite.
01:00:51Magnifique.
01:00:52Regarde-moi ça ensuite.
01:00:53Contrôle.
01:00:54Talonnade.
01:00:54Merci pour Danoual, qui va lui remettre.
01:00:57On pense qu'il va marquer.
01:01:00Mais non, le gardien.
01:01:00Mais non, mais si ça ne veut pas à vous.
01:01:01C'est magnifique, Français.
01:01:02Mais moi, je veux le but derrière.
01:01:04Excusez-moi.
01:01:04C'est magnifique, Français.
01:01:05Je fais la clé.
01:01:06Tu vois ça tous les jours ?
01:01:06Le contrôle.
01:01:07Est-ce que tu vois ça tous les jours ?
01:01:09Quand il y a des buts, c'est mieux.
01:01:10Bon, d'accord.
01:01:11Dernière info dans cette planète foot à vous.
01:01:12Belle intervention.
01:01:13Le magazine L'Equipe se réinvente et sera désormais vendu seul et plus uniquement avec le journal.
01:01:19Disponible le mercredi.
01:01:21Ce magazine sera vendu 3,50 euros.
01:01:23Et restera en kiosque jusqu'au mardi suivant.
01:01:26Le samedi, il continuera à être couplé avec le journal L'Equipe au prix de 3,90 euros au total.
01:01:31Dévoilé hier, le premier numéro de cette nouvelle formule proposera un dossier spécial sur Kylian Mbappé.
01:01:36Regardez la une avec une photo de lui enfant, bambin.
01:01:39Un tacle français a brisé la glace comme jamais.
01:01:41Vous pourrez lire ses confidences et des interviews de sa famille avec des photos exclusives également de son enfance.
01:01:47Numéro à découvrir dès demain dans tous les points de vente et sur le site L'Equipe.
01:01:51Et on sera avec le directeur de la rédaction, Mathias Gürtler, demain dans l'émission.
01:01:54Vous voulez voir un but en direct ?
01:01:56En général, ça ne marche pas.
01:01:58L'équipe Live Foot, 4 matchs de qualifes, Coupe du Monde, zone Afrique et notamment un Congo-Sénégal très très important.
01:02:07Chancelle Mbappé face à Sadio Mene, bien sûr.
01:02:09Match sous haute tension.
01:02:10N'hésitez pas à vous connecter tout de suite sur l'équipe Live Foot.
01:02:12J'ai aussi du Cap vers Cameroun, du Burkina face au Égypte et de l'Afrique du Sud-Nigéria.
01:02:17On n'a pas le temps pour voir un but en direct parce qu'il est l'heure de jouer au tir au but.
01:02:20Je n'attends pas.
01:02:24Les tir au but, Team Boobie contre le reste du monde.
01:02:27Ça fait 5 jours d'affilée que la Team Boobie perd tous ses tir au but.
01:02:30Donc ils sont menés 5-4.
01:02:32Je ne sais pas ce qu'il s'est passé.
01:02:33Plus envie peut-être.
01:02:33On rappelle le gage de fin de mois.
01:02:35Un petit saut en hauteur, un petit fuzzberry ou ciseau.
01:02:38Mais j'ai hâte de voir ça.
01:02:39Est-ce que vous avez bien suivi l'actualité sportive du jour ?
01:02:42C'est la Team Brest du Monde qui commence et qui choisit.
01:02:46Je vous sens motivé.
01:02:48On commence.
01:02:49Oui, mais on commence.
01:02:51Je lui montre les deux enveloppes.
01:02:53Elle me dit on commence.
01:02:54Oui, vous commencez.
01:02:55Avec laquelle ?
01:02:56La rose.
01:02:58Tu sais qu'il y a des durs et des faciles.
01:03:00Elle a vraiment bien fait de venir chez nous.
01:03:02J'ai décidé de commencer.
01:03:04Allez, première question.
01:03:05Reste du Monde.
01:03:05Combien de matchs ?
01:03:06Ah oui, c'est une spéciale.
01:03:07Francis Land, j'ai oublié de vous le dire.
01:03:08C'est une spéciale match des Bleus ce soir.
01:03:10Combien de matchs contre Didier Deschamps à la tête des Bleus à 10 près ?
01:03:13C'est ce genre de question.
01:03:14C'est ce genre de question.
01:03:17127.
01:03:17Je peux parler fort.
01:03:19En plein bleu ?
01:03:19582 au moins.
01:03:21À 10 près ?
01:03:22100.
01:03:25Tu les comptes là ?
01:03:25Je veux dire quelque chose.
01:03:26Vite.
01:03:26127.
01:03:27Ils étaient très loin.
01:03:28Vous l'aviez ?
01:03:29270.
01:03:32Pas de points.
01:03:33Team Boobie.
01:03:33Tu as encore tapé les questions dures.
01:03:35Tu peux réviser tout ce que tu veux.
01:03:37Faites pas les malins.
01:03:38Vous vous souvenez Francis Land à l'Euro 2016 ?
01:03:41Non.
01:03:42Victoire 5-2.
01:03:43Vous allez me donner 3 des 4 buteurs français.
01:03:45Je ne sais rien.
01:03:46Je ne sais même pas ce que j'ai fait hier.
01:03:48Oui, c'est bon.
01:03:49Griezmann va piquer.
01:03:51Griezmann, c'est bon.
01:03:52Il n'y a pas Blaise Mathieu qui a remarqué dans ce match ?
01:03:54Mauvaise réponse.
01:03:54Je ne sais pas.
01:03:56Punaise, punaise.
01:03:57Je ne sais pas.
01:03:59Mais dis un mec.
01:03:59Tante.
01:04:00Je ne sais pas.
01:04:01Pogba.
01:04:02Pogba, mais c'est trop tard.
01:04:03C'est vraiment dommage.
01:04:04Dimitri Payet.
01:04:05C'est vraiment dommage.
01:04:06Ça ne joue pas grand-chose.
01:04:07On se tape encore les questions curées.
01:04:08Ça ne s'est vraiment pas joué à grand-chose.
01:04:10En revanche, Alisson, si tu donnes, réponds où ?
01:04:12Tu as écouté Alisson ?
01:04:16Je peux écouter.
01:04:16Tu avais juste à dire des noms.
01:04:18Mais non, il faut qu'on s'arrête.
01:04:20Team Rest du Monde.
01:04:21Punaise.
01:04:22Qui a marqué le plus de buts en bleu ?
01:04:24Le plus de buts, pas des buts, ça ne veut rien dire.
01:04:26Entre Barcola et Thuram ?
01:04:27Trois propositions.
01:04:28Est-ce que c'est Barcola ?
01:04:30Est-ce que c'est Thuram ?
01:04:31Les deux, ils sont à égalité.
01:04:32Ça, j'adore.
01:04:33Ça, j'aime beaucoup.
01:04:35Normalement, quand il y a ça, c'est égalité.
01:04:37Normalement.
01:04:38Le gars est chauve.
01:04:40Le gars est chauve.
01:04:41Est-ce qu'il n'est pas pareil ?
01:04:43Je tente quand même l'égalité.
01:04:46Égalité.
01:04:46C'est une bonne réponse.
01:04:48Le but de chacun.
01:04:49Il est fourbe.
01:04:51Le grand chef.
01:04:53Chauve.
01:04:53Team Booby.
01:04:53Oui.
01:04:54Vous êtes mené 1-0.
01:04:55Bien sûr.
01:04:56Combien de matchs les Bleus ont-ils gagné face à l'Islande sur les 15 derniers matchs
01:05:00à deux prêts ?
01:05:01Sur les 15 derniers ?
01:05:01Oui, il y a eu 15 matchs.
01:05:04Combien de victoires ?
01:05:04Gagné ?
01:05:05Oui.
01:05:06Au moins 10, non ?
01:05:07À combien près ?
01:05:08Deux.
01:05:10Ils ne perdent jamais contre l'Islande.
01:05:11On dit 12 ?
01:05:138 ?
01:05:1512.
01:05:16Ça marche, c'était 11.
01:05:18Sur le fil par contre.
01:05:20Attention à la jauge.
01:05:22Carbonus.
01:05:25Écoutez le grand chauve.
01:05:26Mathieu, Alisson, vous avez le droit à autant de réponses que vous voulez.
01:05:30Vous direz si c'est plus ou moins.
01:05:31Ah, c'est à juste prix.
01:05:33Ah, c'est à juste prix.
01:05:35Mais non, pas chacun à leur tour.
01:05:36C'est trop dur.
01:05:37Il me dit chacun à leur tour.
01:05:37C'est lui qui décide.
01:05:38C'est le grand chef qui décide.
01:05:40Qui participe ?
01:05:40Alisson.
01:05:42Alisson, tu connais le principe.
01:05:43C'est plus, c'est moins.
01:05:44Question.
01:05:46Quelle est la place de l'Islande au classement FIFA ?
01:05:48Elle n'a pas compris la question, j'ai appris.
01:05:53Vite, donne un chiffre.
01:05:5420.
01:05:55C'est plus.
01:05:5650.
01:05:57C'est plus.
01:05:57100.
01:05:58C'est moins.
01:05:5870.
01:05:59C'est plus.
01:06:0080.
01:06:00C'est moins.
01:06:0179.
01:06:02C'est moins.
01:06:0375.
01:06:03C'est moins.
01:06:0474.
01:06:06On a perdu la moitié.
01:06:08Il fallait remettre.
01:06:09Mais ça a commencé au moment où elle dit le premier.
01:06:12La jauge a été déjà à la moitié.
01:06:13Elle pose la question.
01:06:14Elle a mis 9 semaines.
01:06:15C'est pour ça.
01:06:16Mathieu, s'il tape qu'au équipe IRL, bug, j'y suis pour rien.
01:06:20Normalement, il commence toujours à partir de la première.
01:06:24Est-ce qu'on est au juste prix ?
01:06:25On est à l'équipe de choc.
01:06:26J'ai bug et je cherchais.
01:06:28Tu feras une lettre de réclamation.
01:06:29On embrasse Philippe Rizoli.
01:06:30C'est l'équipe de choc.
01:06:31Tiboubi, comment s'appelle le sélectionneur de l'Islande ?
01:06:33Je ne sais pas.
01:06:34Trois choix.
01:06:35Inga Son.
01:06:36Non.
01:06:36Gret Arsson.
01:06:37Non.
01:06:37Gunn Lok Son.
01:06:38Oui, c'est ça.
01:06:39Ça commence par un G.
01:06:41Vas-y, refais.
01:06:41Inga Son.
01:06:42Non.
01:06:42Gret Arsson.
01:06:43Gunn Lok Son.
01:06:44Oui, Gunn Lok Son.
01:06:45Troisième.
01:06:46C'est une bonne réponse.
01:06:46Bravo.
01:06:47T'as vu mon accent islandais un peu ?
01:06:49Gunn Lok Son.
01:06:49Ça fait 2-1 pour la team Ubi.
01:06:52Team reste du monde.
01:06:53Combien de sélections compte Mbappé avec les bleus ?
01:06:56Trois choix.
01:06:5771, 81, 91.
01:06:59Indice, ça se finit par un 1.
01:07:02Excellent.
01:07:03C'est écrit ça ?
01:07:0471, 81, 91.
01:07:05Je crois que c'est moins que 91.
01:07:08J'ai redit 81.
01:07:0991, c'est quoi le département ?
01:07:1181.
01:07:11Bien sûr.
01:07:1281, c'était 81.
01:07:14Bon, mais c'est une réponse.
01:07:15Attention, la team Ubi va peut-être gagner.
01:07:17Oui.
01:07:18Dans la famille Good Johnson.
01:07:19Bien sûr.
01:07:20Le fils, le père, le grand-père et l'arrière-grand-père ont porté le maillot de l'Islande.
01:07:25C'est vrai ou c'est faux ?
01:07:26Ah ouais, mais la même famille, parce qu'il y en a beaucoup.
01:07:28Fils, père, grand-père, arrière-grand-père.
01:07:30La même famille.
01:07:30Je crois qu'il n'y a pas l'arrière-grand-père.
01:07:31Il y a grand-père, père, sûr.
01:07:33Allez, on dit faux.
01:07:35Ouais, faux.
01:07:35Ça fait beaucoup trop de monde.
01:07:36L'arrière-grand-père, non.
01:07:37C'est une bonne réponse.
01:07:38Il n'y en avait que trois.
01:07:39Effectivement, il n'y a pas l'arrière-grand-père.
01:07:41Et c'est une victoire de la team Ubi.
01:07:42Enfin !
01:07:43Qu'est-ce qu'on fait ?
01:07:43Calmez-vous.
01:07:46Déjà, on va regarder le tableau des scores pour voir que ça égalise.
01:07:48Je crois.
01:07:49Ça fait cinq fois.
01:07:50Bravo.
01:07:51Réfléchissez à votre photo.
01:07:52Je vous félicite pas.
01:07:53Vous êtes pas très bons.
01:07:53Team reste du monde.
01:07:55Et on a qu'un Greg Hachère pour nous parler de l'équipe de Greg.
01:07:57Oui, bon, c'est vrai.
01:07:58C'est celui qui gagne.
01:08:00C'est moche.
01:08:02C'est pas la question, mais c'est trop le malin.
01:08:06Après, tu hurles dans les couloirs et tout ça.
01:08:07Alors, comment, pourquoi ?
01:08:08Oh là là, me casse pas la table.
01:08:10Mais changez-nous cette table.
01:08:11Ça fait deux ans que je le réclame.
01:08:12Et cette émission, qu'est-ce qu'il y a dedans ?
01:08:13Écoute, on est au plus près du match contre l'Islam, évidemment.
01:08:16Donc, la compo, les dernières infos, on va se demander comment c'est possible que
01:08:19Thuram ait autant de buts que son père en équipe de France.
01:08:22Comment c'est possible ?
01:08:23C'est le comment du soir de Raphaël Sebaoun.
01:08:25Il ne s'écoute pas du tout.
01:08:26Non, de toute façon, je ne fais pas de la télé pour eux.
01:08:27Je fais pour ceux qui nous regardent parce qu'eux, ils font de la télé dans leur coin.
01:08:31Pourquoi ?
01:08:32Je ne sais plus.
01:08:33Ah oui, pourquoi l'équipe de France et le Parc des Princes, c'est une histoire d'amour.
01:08:35C'est bien parce que c'est quand même un lieu culte de l'équipe de France.
01:08:39Et puis Antoine Pinault sera là et on jouera.
01:08:40Casting ?
01:08:41Alors, Jérôme Alonso.
01:08:42Olivier Bossard, Bruno Salomon.
01:08:46J'ai le dernier parce qu'il a voulu faire une photo avec Benoît Saint-Denis qui est venu exprès.
01:08:49Il vient de loin.
01:08:50Je crois, ça se trouve, il n'a pas eu l'admission.
01:08:51Oui, Benoît Trémoulinas.
01:08:52Voilà, c'est lui, le saillot.
01:08:54Greg Acher, tout de suite, l'équipe de Greg.
01:08:55C'est toi, 16h45, c'est nous demain.
01:08:58Et en attendant, pardon pour vous, mais la team Boobie va nous offrir sa plus belle photo.
01:09:02Qu'est-ce qu'ils ont fait à demain ?
01:09:04Oh là là, c'est tout ça pour ça ?
01:09:06C'est nul.
01:09:08Et rien.
01:09:09Tu verras pourquoi.
01:09:09T'as un site photo à la con, c'est quoi le...
01:09:13Ah ben c'est lui.
01:09:13Ah vous verrez.
01:09:14C'est un site.
01:09:14C'est un site.
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