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  • il y a 2 mois
Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 08/09/2025.

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Sport
Transcription
00:00:00Bonjour à tous, bienvenue dans l'écoute, ce qui est un plaisir de commencer cette semaine avec vous, j'espère que vous passez un excellent lundi, en tout cas vous êtes au bon endroit pour ça, de l'actualité sportive, des images, des débats toujours plus brûlants, c'est ce qui vous attend jusqu'à 18h15.
00:00:23Pierre Boubis, comment ça va ?
00:00:24Ça va et toi Virginie ?
00:00:25Très bien.
00:00:26T'es très jolie.
00:00:27Merci beaucoup.
00:00:27Coupe de cheveux, belle robe, très jolie.
00:00:30Merci beaucoup Julien Alliane, le week-end ça a été ?
00:00:33Avec les enfants, on a aussi éclaté.
00:00:37Beaucoup de compliments là.
00:00:39On sait accueillir.
00:00:41Repos, repos, repos.
00:00:43Comme par hasard.
00:00:44Je ne sors pas, je me repose pour bien démarrer la semaine.
00:00:48La coupe de cheveux c'est la flemme ?
00:00:51Non, ça ne vit pas bien.
00:00:52Non, généralement les filles quand elles font des trucs comme ça, c'est que...
00:00:55Mais ça prend du temps, ça ne va pas ou quoi ?
00:00:57Ok Alicia.
00:00:58Bon, accueillons nos invités.
00:01:00Oui, j'ai fait ça toute seule.
00:01:01Bravo, bravo.
00:01:02Fred Lecanu est en coulisses.
00:01:05Fred, spécialiste en jeu de mots.
00:01:07Une édition, lui, blague avec Fred.
00:01:10Et puis 50% de réussite et 50% d'échec malheureusement.
00:01:14C'est pas faux.
00:01:14Allez, t'es plutôt satisfait toi ?
00:01:17Moi, je suis satisfait parce que j'ai trouvé un peu trivial cette approche de dire que vous êtes jolis, bien habillés, tout ça.
00:01:22Ça pourrait faire croire qu'il y a une différence par rapport à d'habitude.
00:01:24Ben oui, mais c'est le cas.
00:01:26Comment ça c'est le cas ?
00:01:27Non, c'est pour rigoler, calme-toi.
00:01:28Merci beaucoup.
00:01:28Allez, on enchaîne.
00:01:29Merci, c'est réciproque.
00:01:33On enchaîne avec Mathias Duché, chef de la plateforme L'Équipe Live.
00:01:36Guinée-Algérie, c'est à suivre à 18h.
00:01:39Et puis, il peut vous faire des promos sur les abonnements.
00:01:41Ah oui ?
00:01:41Voilà, ben oui, écrivez-lui au 06 72.
00:01:46J'allais dire que sa présentation était un peu longue, mais elle fait bien.
00:01:49Non, il y a des promos, il y en a tout le temps sur le site L'Équipe.
00:01:52Il suffit juste de s'y prendre un petit peu avant les trêves internationales.
00:01:55Et vous avez le droit de voir tous les matchs.
00:01:57Un petit mot sur le programme du jour, les matchs ?
00:01:58Écoutez, on est en plein Maroc, là, qui est officiellement qualifié.
00:02:01Peut-être la qualification de l'Algérie à 18h, avant encore une grande soirée.
00:02:05Encore 12 matchs ce soir et demain.
00:02:07C'est incroyable.
00:02:07Il a commencé par les promos, il finit par les promus.
00:02:10Oh là là là là !
00:02:11Allez, voici le sommaire de l'émission.
00:02:15Elle n'est pas passée, celle-là.
00:02:15Merci, Fred.
00:02:16Les promos, les promus ?
00:02:17Non, oui, oui, non.
00:02:18L'auto ?
00:02:19Non, non, on va s'arrêter là, on va regarder le sommaire de l'émission.
00:02:23Coup de théâtre à l'Euro de basket, les bleus centres de la compétition dès les huitièmes de finale.
00:02:28Éliminé par la Géorgie, grosse désillusion.
00:02:30Est-ce qu'on peut parler de fiasco ?
00:02:32Eh bien, on répondra à cette question.
00:02:34Ousmane Dembele, blessé et forfait en équipe de France.
00:02:37Désiré doué aussi.
00:02:38Les deux Parisiens ont dû quitter la pelouse vendredi face à l'Ukraine.
00:02:42Le PSG est en colère.
00:02:43Didier Deschamps s'agace.
00:02:44En conférence de presse, vous entendrez le sélectionneur.
00:02:47On parlera aussi de la sublime victoire de Carlos Alcaraz à l'US Open.
00:02:51Sixième fois qu'il soulève le trophée en grand chelem.
00:02:54Deuxième fois à New York.
00:02:55Il n'y a pas eu match entre lui et le désormais ex-numéro 1 mondial Yannick Sineur.
00:03:00Vous verrez tout dans Planet Sport.
00:03:01C'est aux alentours de 17h.
00:03:04Voilà pour le programme.
00:03:05On va aller droit au but.
00:03:07On va taper là où ça fait mal.
00:03:08L'équipe de France est éliminée de l'Euro de basket.
00:03:11Défaite surprise.
00:03:1213-80 à 70 contre la Géorgie.
00:03:15Onzième nation mondiale.
00:03:16Les Bleus ont couru après le score pendant toute la partie sans parvenir à renverser les Géorgiens.
00:03:23L'arrière des Bleus, Elio Kobo, était très marqué par cette cuisante élimination en huitième de finale.
00:03:27Écoutez-le au micro de nos confrères de First Team.
00:03:30Beaucoup de frustration.
00:03:31On pense à être prêt mais apparemment pas.
00:03:34Ils mettent 80 points.
00:03:35On avait dit que même si on n'était pas en attaque, on est capable de défendre.
00:03:40Et là, on ne l'a pas fait aujourd'hui.
00:03:41On pensait vraiment avoir créé quelque chose de fort pour se battre 40 minutes.
00:03:45On l'a montré sur des matchs où on était derrière à la mi-temps ou au troisième quartier temps.
00:03:49Et là, on n'a pas réussi à faire le run qu'il fallait pour revenir.
00:03:53Donc là, on rentre à la maison avec de la frustration.
00:03:58Énorme déception de la frustration.
00:03:59Oui, huitième de finale totalement manqué.
00:04:02Mais premier échec face à cette nation, la Géorgie.
00:04:06Est-ce qu'on peut parler de fiasco ?
00:04:08C'est la première question que je vous pose.
00:04:09Fred, tu n'as pas l'air convaincu.
00:04:10Fiasco, oui et non.
00:04:12Le résultat, proprement parlé, pour moi, ce n'est pas un fiasco.
00:04:15Et je pense qu'il faut être un peu gentil avec cette équipe qui est en reformation.
00:04:20Par contre, là où il y a fiasco, c'est sur la capacité offensive.
00:04:23À trois points, ça a été beaucoup trop mauvais.
00:04:25Je crois que c'est 6 sur 26 de réussite.
00:04:27Et pourquoi ?
00:04:286 sur 36 contre la Géorgie.
00:04:30J'ai même été gentil dans les chiffres.
00:04:31Mais ce que je veux dire, c'est que ce sont des matchs coups près.
00:04:35Alors juste pour partager un peu d'expérience,
00:04:37les Géorgiens, ils ont été la champion du monde par équipe en judo.
00:04:41C'est une nation de compétiteurs.
00:04:42Et j'en parle à Pierre parce que lui, il a connu le sport collectif.
00:04:46Je pense que ça peut aussi se partager individuel ou collectif.
00:04:49C'est-à-dire cette capacité de ne pas laisser la place,
00:04:52d'être agressif dans le match, de rien lâcher.
00:04:54Et je pense que les Français, ils étaient un peu verts au lieu d'être bleus.
00:04:57Ils étaient jeunes.
00:04:58Et là, c'est une leçon aussi qu'ils ont prise d'intensité.
00:05:01Ils n'ont pas réussi à se mettre au niveau dans l'intensité.
00:05:03Alors que le schéma, il était très clair.
00:05:06Il fallait les faire courir.
00:05:07Il y avait un banc qui était moins puissant du côté de la Géorgie que du côté de la France.
00:05:10Donc les objectifs, on les avait.
00:05:11Ils les avaient.
00:05:12Ils les connaissaient.
00:05:13Et le fiasco, c'est de ne pas avoir pu les mettre en place,
00:05:16malgré le fait qu'ils avaient tout le talent pour passer.
00:05:18et que c'est la première fois que la France perd sur la Géorgie.
00:05:20Donc c'est un vrai signal.
00:05:21Et je rappelle juste, pour être positif,
00:05:23que c'est le même signal qu'il y a eu en 2017 au lendemain des Jeux de Rio en 2016.
00:05:27Les Français avaient fait le même fiasco aux euros, à l'euro et aux Europe.
00:05:31Donc fiasco.
00:05:31Donc fiasco, en tout cas, espoir pour la suite.
00:05:33Parce qu'on va renaître comme un phénix de ses cendres.
00:05:36Fred, tu as évoqué la maladresse des bleus face aux Géorgiens hier.
00:05:39On le rappelle, 6 paniers à 3 points réussis sur 36 tentés.
00:05:43C'est terrifiant.
00:05:44Sur l'ensemble du tournoi, regardez, la réussite des bleus à 3 points,
00:05:47c'est 28,5%.
00:05:48C'est l'avant-dernier bilan de cet euro-basket.
00:05:52Mathias, à quoi elle est due, cette maladresse des bleus,
00:05:56tir à longue distance, durant cet euro-basket ?
00:05:59Oui, on en parle beaucoup.
00:06:00Tous les gens qui regardent le basket de temps en temps,
00:06:03ils se disent qu'ils ne mettent pas un panier, donc ils sont nuls.
00:06:06C'est un peu le résumé.
00:06:08Et pour mettre des paniers, il y a des systèmes à mettre en place au basket.
00:06:11Et quand votre base n'est pas solide avec un meneur qui est capable de gérer,
00:06:15de faire les passes dans les bons timings,
00:06:18d'avoir des grands sous le cercle qui prennent de la place pour faire bouger la défense,
00:06:22pour qu'on ait encore plus de shoots ouverts.
00:06:23Oui, ils ont raté des shoots faciles, mais ils n'ont pas raté 30 shoots faciles.
00:06:27Et le problème, c'est que quand on n'arrive pas à faire du mal offensivement à un adversaire,
00:06:31qu'est-ce qu'on fait ?
00:06:32On jette le ballon loin du cercle et on tire, et on tire, et on tire.
00:06:36Sauf que quand ça rentre chez personne, c'est qu'il y a un souci.
00:06:38Et après, l'étape numéro 2, l'analyse qu'on a depuis aujourd'hui
00:06:42et qu'il va falloir avoir sur le plus long terme, c'est sur la formation française.
00:06:46Parce que si vous prenez toutes les catégories de jeunes cet été
00:06:49qui ont participé à des compétitions, on est quasiment le pire pays en adresse à 3 points.
00:06:54On forme de merveilleux basketeurs, on en parle toute l'année,
00:06:56ils vont tous en NBA, ils jouent tous dans les grands clubs Euroleague,
00:06:59mais on n'a pas un mec qui est capable de tirer à 3 points.
00:07:02Alors on ne va pas parler de Steph Curry, que les gens connaissent,
00:07:04ce qui est le tireur le plus dingue, on n'a pas un seul tireur à 3 points en équipe de France
00:07:09depuis une éternité.
00:07:10Mais est-ce que ce n'est pas lié au mental, quelque part ?
00:07:13On a le meneur des Bleus, justement, tu évoquais le meneur, Sylvain Francisco.
00:07:17Il peut être le début de match catastrophique.
00:07:19Moi, je me dis qu'il y a peut-être quelque chose de mental là-dedans,
00:07:22un problème d'orgueil. Est-ce qu'ils n'ont pas sous-estimé leurs adversaires ou rien à voir ?
00:07:27Moi, je pense que c'est complètement une question de mental.
00:07:30Du talent, il y a un effectif qui est riche, il y a énormément de talent.
00:07:36Après, il y a aussi le contexte avec les Stratzel qui s'est blessé,
00:07:38Sarc qui s'est blessé aussi pendant le reste de la compétition.
00:07:42Mais tu as quand même des joueurs qui jouent NBA à l'intérieur.
00:07:44Il y en a un qui a été drafté numéro un, c'est Rizaché.
00:07:46Il y a quand même de quoi faire quelque chose.
00:07:48Le seul problème, c'est qu'on en a parlé en tout début de compétition.
00:07:51Moi, je ne m'attendais pas à ce qu'ils aillent très loin,
00:07:54pour la simple et bonne raison qu'en fait, dans les moments où tout va bien,
00:07:56mais tout va bien, il n'y a rien à gérer.
00:07:58C'est facile d'être capitaine, d'être un cadre et tout ça.
00:08:00À un moment, quand il y a un petit grain de sable qui arrive
00:08:02ou quand on est un peu trop dans un fauteuil en se disant
00:08:04« Bon, sur la feuille, on est largement au-dessus »,
00:08:06tu arrives un petit peu en claquette.
00:08:08Ça leur est arrivé un petit peu sur un premier match, après la Slovénie.
00:08:11Et puis là, contre la Géorgie, ça a été un petit peu pareil.
00:08:15Pas forcément de manque dans l'attitude,
00:08:18mais juste inconsciemment, tu mets peut-être un petit peu moins.
00:08:22Et puis tu dis « Bon, on a le temps, on va rattraper. »
00:08:24Et puis en fait, tu ne rattrapes pas.
00:08:26Et puis plus le temps passe, et plus le temps joue pour la Géorgie.
00:08:28Et à un moment donné, les Géorgiens, ils ne sont pas plus bêtes que les autres.
00:08:31Quand tu joues dans un sport collectif et que tu as un adversaire
00:08:33qui commence à être un peu plus rassuré,
00:08:35des fois, ils tentent des trucs et ça marche.
00:08:36Parce qu'ils sont dans une confiance, parce qu'ils sont dans une bonne dynamique.
00:08:40Et puis là, tu commences à gangréner à l'intérieur de ton cerveau.
00:08:43Et puis tu dis « Putain, on est en train de passer à côté, en fait ».
00:08:45Et puis quand tu réalises le truc, c'est trop tard.
00:08:47Et là, c'est exactement ce qui s'est passé.
00:08:48Ce n'est pas une question de talent ni d'attitude.
00:08:54Les darons qui sont derrière toi en train de te dire « Oh, bouge-toi, bouge-toi ! »
00:08:57Parce que là, ça ne va pas se passer comme ça.
00:08:58Ça ne va pas être simple.
00:08:59Pour aller un peu plus loin dans ton argumentation,
00:09:01Pierre, effectivement, les Bleus, c'était l'effectif le plus jeune de cette compétition.
00:09:05Un peu moins de 25 ans de moyenne d'âge.
00:09:0724 ans, vous voyez, non, 25 ans à la moyenne d'âge.
00:09:1024, c'est le nombre de sélections.
00:09:1124 sélections, c'est la moyenne.
00:09:13Ce n'est pas énorme.
00:09:14C'est même très, très peu.
00:09:15Sur la compétition, il n'y avait que trois joueurs qui avaient participé au jeu.
00:09:18Il y a Bouzélé, Koulibaly ou encore Corzigné.
00:09:20Et c'est là où le bas blesse, Mathias, on a manqué d'expérience dans cette équipe ?
00:09:25Mais oui, parce qu'après, c'est facile de le dire.
00:09:27Après, on en avait déjà parlé vendredi.
00:09:29On avait dit « Attention, la Géorgie, c'est une équipe costaude. »
00:09:32Pierre a utilisé le bon terme.
00:09:33C'est ce qu'a utilisé Yann Ouna dans le journal aujourd'hui.
00:09:36Ils se sont retrouvés, ces petits jeunes, face à des darons qui ont tout fait pour l'en mettre.
00:09:40Voilà, on a eu l'impression de voir des juniors face à de vrais adultes.
00:09:45La différence, elle est là.
00:09:46Et après, oui, c'est totalement ça, le mental sur un début de match.
00:09:49Ils ont raté presque tout leur début de match.
00:09:52Sauf contre le dernier match de poule qui était facile face à l'Islande.
00:09:56Mais du coup, pour se mettre en confiance et aussi pour pouvoir mettre des choses en place.
00:09:59Et Sylvain Francisco l'avait dit à notre micro.
00:10:01Après, on peut reprendre la liste.
00:10:03Aujourd'hui, c'était l'équipe B de l'équipe de France.
00:10:06Évidemment.
00:10:07Voir l'équipe C.
00:10:09Il ne faut pas négliger ça aussi.
00:10:11Et on prend toute la liste.
00:10:12Oui, il y a Bousselet, Cordigné.
00:10:13Les gens commencent à les connaître.
00:10:15Parce qu'ils ont été fantastiques aux Jeux Olympiques.
00:10:17Mais on ne passe pas de lieutenant derrière des superstars à cadre du jour au lendemain
00:10:21et dire, allez, Gershon, tu es bien gentil, tu es capitaine.
00:10:25Il ne peut pas mettre 35 points tous les matchs.
00:10:27Ce n'est pas son jeu.
00:10:28Cordigné, c'est la même chose.
00:10:29Cordigné, c'est un lieutenant, un super lieutenant.
00:10:31Il a explosé aux Jeux Olympiques parce qu'il y avait du monde devant lui et qu'il avait zéro pression.
00:10:36Et qu'hier, ils se sont pris la pression.
00:10:37Il y a aussi le fait de se retrouver un petit peu au pied du mur dans l'adversité.
00:10:41Quand c'est un événement, tu parlais des JO, évidemment que tu es concentré.
00:10:45Tu n'as même pas besoin de faire de coderie quand tu es sélectionneur.
00:10:47Là, ce n'est pas pareil.
00:10:49Parce que tu joues contre, je ne vais pas dire des coiffeurs, c'est manqué de respect.
00:10:52Mais ce que je veux dire, c'est que c'est les petits.
00:10:54C'est comme des matchs de Coupe de France.
00:10:55Quand tu joues contre une DH, tu te dis, c'est bon, il y a juste à courir et c'est bon en fait.
00:10:59Ben non, ça ne suffit pas.
00:11:01Et c'est là où ça te rappelle tout le temps le coup de pelle que tu prends derrière la nuque
00:11:04en disant que c'est difficile le sport de haut niveau.
00:11:06Je ne partage pas ton point de vue, tu sais, un peu en claquette là.
00:11:10C'est-à-dire que moi, je pense que c'est la pression qui les a bouffés.
00:11:13Mais tu n'as pas la pression contre la Géorgie, enfin Fred.
00:11:15Tu crois ?
00:11:16Mais non.
00:11:16Pour toi, ce n'est pas qu'ils ont sous-estimé la Géorgie plutôt.
00:11:19Pourquoi pas une seule seconde ?
00:11:20Quand tu as 25 ans et que tu représentes l'équipe de France.
00:11:22Ben, il faut arrêter le sport alors.
00:11:23Tu joues contre la Géorgie, tu es en équipe de France, il faut arrêter.
00:11:24Moi, je pense qu'ils ont été pris par l'enjeu.
00:11:27Parce que 25 ans de moyenne d'âge, tu l'as dit, pas d'expérience particulière,
00:11:30pas de leader pour les protéger.
00:11:31Il y a un mec qui a été numéro un à la drape dedans.
00:11:36Il faut dire que je pense qu'il a été très très bon.
00:11:38Mais à un moment donné, c'est la réalité de l'opposition.
00:11:40Et en face, quand on parle d'expérience, c'est quoi ?
00:11:41Ce n'est pas juste qu'ils ont fait plus de matchs que les autres.
00:11:43Pour moi, c'est le même parallèle qu'avec le Paris Saint-Germain sur la Ligue mondiale.
00:11:46En face, ils n'ont pas réussi à mettre l'intensité.
00:11:48Alors, ce ne sont pas les mêmes raisons, mais le PSG a disparu en finale.
00:11:51Là, c'est pareil parce qu'en face quoi ?
00:11:53Les anciens, ils ont appuyé au bon moment.
00:11:55Ils ont mis l'intensité dès le départ.
00:11:55C'est la gestion d'un match.
00:11:56Ils les ont fait douter.
00:11:58Ils ont appuyé dans les côtes là où ça pique.
00:11:59Toi, quand tu es jeune, tu ne savais pas que ça faisait mal là.
00:12:02Et ils ont tapé, et ils ont tapé.
00:12:03C'est la gestion du match.
00:12:04Ils ont fait craquer, ils ont joué.
00:12:05Ils ont tapé à trois points, ça ne passait pas.
00:12:07Pas de pression.
00:12:08Bien sûr que si, ils ne sont pas arrivés comme ça.
00:12:10Non, je ne dis pas ça.
00:12:11Tu dis qu'inconsciemment, je pense qu'ils voulaient bien faire.
00:12:16Mais la motivation que tu as à l'intérieur de ton esprit
00:12:20quand tu arrives dans ces matchs-là ou quand tu joues les JO,
00:12:22ce n'est pas la même.
00:12:23Je peux me dire ce que tu veux.
00:12:24L'intensité que tu dois mettre.
00:12:25Oui, c'est pas la même équipe.
00:12:26C'est pas pareil.
00:12:27Ce n'est pas la même équipe.
00:12:28Mais non, ce n'est pas une question de pression.
00:12:30Mais si, parce que tu es dans une rotation si cyclique.
00:12:32Tu sors des Jeux de Paris tout en haut, le truc qui tient.
00:12:34Tu as vu comment c'était chaud ?
00:12:35Parce qu'on parle de fiasco.
00:12:36Si l'équipe de France, elle avait perdu en poules à Paris
00:12:38et ce n'est pas passé si loin, rappelez-vous la préparation.
00:12:40Elle a perdu même.
00:12:41Dans la réalité, si tu sors du rêve et tout,
00:12:43elle avait perdu avant ce shootout.
00:12:44Quand je dis perdu, elle n'aurait plus l'équipe de France
00:12:45sortir dès les poules.
00:12:46Il y avait le Canada, tout ça.
00:12:47On se rappelle des matchs avec l'Allemagne,
00:12:48il y a des trucs où on flippait.
00:12:50Au final, ils finissent 10 champions olympiques.
00:12:52Donc, est-ce que tu es en train de m'expliquer ?
00:12:54Là, les gars, ils ont la pression.
00:12:55Ils ont plus de pression contre la Géorgie
00:12:57que contre la Slovénie, tu vas me dire.
00:12:58Moi, je te dis que là, la nouvelle équipe,
00:13:00c'est nouveau.
00:13:01C'est la pression contre la Slovénie
00:13:02qui font qu'ils ont fait ce match-là.
00:13:04C'est le fait d'être au pied du mur
00:13:06et de dire ça va être dur.
00:13:07C'est peut-être plus facile
00:13:08de prendre la Pologne chez elle en poule
00:13:10que de prendre là un match coup près.
00:13:12Quand tu n'as pas de repêchage derrière,
00:13:13quand tu n'as pas de parachute doré,
00:13:15ce n'est pas la même pression.
00:13:16Tu rentres chez toi.
00:13:16Il faut arrêter.
00:13:17Non, mais c'est la réalité.
00:13:18C'est dur.
00:13:19Ce n'est pas méchant pour eux.
00:13:20C'est la réalité.
00:13:21C'est dur.
00:13:22Pierrot, tu parlais du numéro 1
00:13:23de la dernière draft
00:13:23Zachary Rizaché, notre français.
00:13:26La compétition de Zachary Rizaché,
00:13:28Mathias, elle est ratée hier.
00:13:29On regarde ses stats
00:13:30avec Bilal Koulibaly.
00:13:31C'est 7 points.
00:13:32Bilal Koulibaly, c'est la bulle.
00:13:340 sur 3 en termes de tir.
00:13:37Vraiment, ces deux joueurs-là,
00:13:38on les attendait durant cet Eurobasket.
00:13:40On ne les a quasiment pas vus.
00:13:41Bilal Koulibaly, c'est l'énorme déception
00:13:44parce que sa force numéro 1,
00:13:46c'est quand même la défense.
00:13:46Et même en défense, il a été dépassé.
00:13:48Hier, il a été troué
00:13:49par les différents attaquants géorgiens.
00:13:52Zachary Rizaché,
00:13:53on connaît ce profil de joueur.
00:13:55Un jour, les tirs y rentrent.
00:13:56Un jour, les tirs y rentrent moins.
00:13:58Voilà.
00:13:58Mais moi, j'en reviens à cette expérience
00:14:01de...
00:14:01Ils ont 20 ballets.
00:14:02Oui, Pierre a raison.
00:14:03Il est numéro 1 de la draft.
00:14:05Mais quel est son rôle
00:14:06dans l'équipe où ils jouent en NBA ?
00:14:07Il a un rôle derrière les stars.
00:14:09Ça manque d'un leadership.
00:14:10Mais ça manque totalement de patrons.
00:14:12Et c'est sur genre...
00:14:12Encore une fois, c'est facile.
00:14:13C'est facile de le dire
00:14:14après les matchs.
00:14:15Mais hier,
00:14:15quels ont été
00:14:16les deux meilleurs joueurs géorgiens ?
00:14:18C'est les deux seuls
00:14:18qui ont le plus d'expérience.
00:14:20C'est Schenghelia
00:14:21qui a plus de 30 ans
00:14:22et qui débarque à Barcelone
00:14:23cette année.
00:14:24C'est Mamoukashvili
00:14:24qui a fait les blagues à la fin.
00:14:26Il a joué avec Victor Wimbaniama.
00:14:28Il a joué dans plein d'équipes américaines.
00:14:30Là, c'est des enfants.
00:14:31Vous reprenez l'équipe.
00:14:32Mam Jaité,
00:14:33il n'est même pas titulaire à Monaco.
00:14:35Et c'était le seul pivot à l'intérieur.
00:14:36En fait,
00:14:37on s'est voilé la face
00:14:38parce que oui,
00:14:39l'équipe de France,
00:14:40c'est la quatrième nation mondiale.
00:14:42OK ?
00:14:42Mais cette équipe-là,
00:14:43elle manque très clairement de qualité
00:14:45pour aller plus loin.
00:14:46Voilà.
00:14:46Alors oui,
00:14:46tout le monde est surpris
00:14:47parce que la Géorgie,
00:14:48c'est la 24e nation mondiale.
00:14:50Mais le basket,
00:14:51ce n'est pas que des chiffres
00:14:52et des textes.
00:14:53Il y a eu combien de surprises ?
00:14:55La Serbie,
00:14:55ils sont où ?
00:14:56La Serbie,
00:14:57ils avaient l'équipe
00:14:57pour être champions d'Europe
00:14:59avec le meilleur joueur du monde.
00:15:00Alors oui,
00:15:00ils ont perdu un joueur majeur,
00:15:02mais ils n'en ont perdu qu'un.
00:15:03Nous,
00:15:03on jouait avec l'équipe B.
00:15:04Donc oui,
00:15:05c'est un fiasco
00:15:06parce qu'on n'espérait plus
00:15:07et qu'un quart de finale,
00:15:08pour moi,
00:15:08c'était une compétition réussie.
00:15:09C'est dur par rapport
00:15:10à ceux qui y sont quand même
00:15:11parce qu'ils n'ont pas...
00:15:12Oui,
00:15:12mais c'est important pour la suite.
00:15:13C'est important de dire
00:15:14les mots aussi pour la suite.
00:15:15Si tu ne dis pas fiasco,
00:15:15tu ne dis pas que c'est un fiasco ?
00:15:16Accident de parcours ?
00:15:17Non,
00:15:17même pas un accident.
00:15:18En fait,
00:15:18ils apprennent.
00:15:19C'est le processus.
00:15:19C'est le processus.
00:15:21C'est dommage d'apprendre
00:15:22pendant l'Euro.
00:15:22Non,
00:15:23mais honnêtement,
00:15:24jamais une seule seconde,
00:15:25je me suis dit
00:15:26il y a peut-être moyen
00:15:27qu'on aille au bout,
00:15:28mais impossible.
00:15:29Impossible.
00:15:29Dans les moments compliqués,
00:15:31tu avais forcément...
00:15:32Mais en plus,
00:15:33c'était tellement écrit
00:15:34contre la Georgie
00:15:35avec l'expérience
00:15:36qu'il y avait en face.
00:15:37Oui,
00:15:37mais vu le vivier
00:15:38qu'il y a quand même,
00:15:39des talents français...
00:15:40Il y en a plein
00:15:40qui ont du talent.
00:15:41Il y en a plein
00:15:42qui ont du talent.
00:15:42Si tu n'es pas entouré
00:15:43et drivé,
00:15:43ça ne sert à rien ton talent.
00:15:45Et puis,
00:15:45toutes les grandes équipes
00:15:46se sont construites.
00:15:47Le handball,
00:15:48les barjos,
00:15:49tout ça,
00:15:49derrière même le basket,
00:15:50il y a des trous.
00:15:51C'est normal.
00:15:52Ce qui se passe,
00:15:52ce n'est pas un fiasco,
00:15:53c'est le démarrage
00:15:54d'une autre histoire.
00:15:54C'est maintenant
00:15:54qu'il faut se ressaisir.
00:15:55Très bien,
00:16:04l'Espagnol,
00:16:04désormais numéro 1 mondial.
00:16:06Ce sera l'ouverture
00:16:07du Planet Sport.
00:16:07A tout de suite.
00:16:20On est de retour
00:16:21sur le plateau
00:16:22de l'équipe de choc.
00:16:22La tension ne redescend pas
00:16:24entre le PSG
00:16:25et l'équipe de France
00:16:26depuis le forfait
00:16:27d'Ousmane Nambélé.
00:16:28L'attaquant des Bleus
00:16:29est sorti blessé
00:16:29face à l'Ukraine.
00:16:30Vendredi,
00:16:31victime d'une lésion
00:16:32à la cuisse droite,
00:16:33il sera absent
00:16:33six à huit semaines.
00:16:35Didier Deschamps
00:16:36l'a évoqué
00:16:36en conférence de presse.
00:16:38On en parle tout à l'heure.
00:16:39Mais d'abord,
00:16:39c'est plein d'espoir.
00:16:45Hier soir,
00:16:46c'était la grande finale
00:16:47de l'US Open
00:16:48entre Carlos Alcaraz
00:16:49et Yannick Siner.
00:16:50Victoire de l'Espagnol
00:16:51dans un match
00:16:52un peu bizarre.
00:16:53Premier set
00:16:54de haut de volée
00:16:55d'Alcaraz,
00:16:55dominant,
00:16:56déterminé,
00:16:57plein d'envie
00:16:57à l'image de son tournoi.
00:16:59Siner va ensuite
00:17:00se rebeller
00:17:00et retrouver son tennis
00:17:01pour égaliser
00:17:02un set partout.
00:17:03On se dit que le match
00:17:04va enfin décoller
00:17:04et atteindre les sommets.
00:17:05Non.
00:17:06Nouvelle promenade de santé
00:17:07de l'Espagnol
00:17:08dans le troisième set
00:17:08face à un Siner éteint.
00:17:10Dans la quatrième manche,
00:17:12Siner se fait briquer
00:17:12à 2-2.
00:17:13La suite,
00:17:14un point le plus accroché.
00:17:15Malcaraz,
00:17:16trop autoritaire,
00:17:17conclut la partie
00:17:18sur sa troisième balle de match
00:17:19et s'impose
00:17:206-2-3-6-6-1-6-4.
00:17:22Il s'offre
00:17:23un sixième tournoi
00:17:24du Grand Chelem
00:17:25à seulement 22 ans
00:17:26et au passage,
00:17:27l'Espagnol
00:17:28reprend la place
00:17:29de numéro 1 mondial
00:17:30à Yannick Siner.
00:17:31Mais pour débriefer ce match,
00:17:32moi j'appelle
00:17:33notre chronique journaliste
00:17:35Cam Cam,
00:17:35Camille Macailly,
00:17:36spécialiste tennis,
00:17:38notamment.
00:17:38Et rugby,
00:17:39notamment.
00:17:39Et badminton.
00:17:40Et badminton,
00:17:41la suite.
00:17:41Et tout ce que vous voulez.
00:17:42La raquette, quoi.
00:17:43Cam Cam,
00:17:44elle était assez étonnante
00:17:45cette finale, je trouve.
00:17:46Elle n'a pas atteint
00:17:47les sommets de tennis
00:17:48que j'attendais,
00:17:49personnellement.
00:17:50Elle a fait un peu pchit.
00:17:51Elle a fait un peu pchit.
00:17:53Évidemment,
00:17:54on est resté sur les 529
00:17:55de Roland-Garros,
00:17:55donc il va falloir
00:17:56tourner la page.
00:17:57On n'aura pas que
00:17:57des finales d'anthologie
00:17:58comme ça.
00:18:00Wimbledon était un cran
00:18:01en dessous
00:18:02et celle-ci
00:18:02n'est vraiment pas belle.
00:18:04Elle ne restera pas
00:18:04dans les annales.
00:18:05Même s'il y a eu 4-7,
00:18:06ça ne reflète pas trop
00:18:06le niveau
00:18:07d'équilibre
00:18:09entre les deux.
00:18:11Carlitos,
00:18:12il était vraiment,
00:18:12vraiment au-dessus.
00:18:14Il était en pétard.
00:18:15Oui.
00:18:15Et puis, en fait,
00:18:16il est rentré très sérieux
00:18:17comme on l'a vu
00:18:17à l'image
00:18:18lors de ses deux premiers 7
00:18:19en demi face à Djoko
00:18:20où il a dû batailler.
00:18:22Là, il est rentré
00:18:23taille patron.
00:18:24Il lui a tout fait.
00:18:25Il lui a tout fait.
00:18:26L'inciner, c'est simple.
00:18:27Amorti,
00:18:28monté à contre-temps.
00:18:30Il a fait des gros lifts.
00:18:31Il lui a envoyé
00:18:31des énormes parpaings
00:18:33du fond de cours.
00:18:34Il n'a rien raté.
00:18:35Très, très bon au service.
00:18:37Il a mis 41 coups gagnants.
00:18:40Yannick Sinner,
00:18:40c'était 21.
00:18:41Donc, ça place un petit peu.
00:18:43Là, Carlos Alcaraz,
00:18:44il a remporté
00:18:457 de ses 8 derniers matchs
00:18:46face à Yannick Sinner.
00:18:47Clairement, Mathias,
00:18:48il a pris l'ascendant
00:18:48sur l'italien.
00:18:49Oui, j'allais dire,
00:18:50il a un interrupteur.
00:18:51Je pense même
00:18:51qu'il en a deux.
00:18:53Déjà, on sait
00:18:54que ses motivations,
00:18:56parfois,
00:18:56elles sont un petit peu
00:18:57en balance.
00:18:59Il aime bien la vie
00:19:00à côté du circuit
00:19:01et tout ça.
00:19:02Donc, l'interrupteur,
00:19:03je rentre sérieux
00:19:03à l'image de Gioco.
00:19:04Puis là,
00:19:05il y a le deuxième interrupteur
00:19:06où je pense que là,
00:19:07il est en train d'entrer
00:19:08dans la tête de Yannick Sinner.
00:19:09Et moi, je trouve
00:19:10que c'est inquiétant
00:19:10pour l'italien.
00:19:11J'ai très peur pour lui
00:19:12parce que des confrontations,
00:19:13il risque d'y en avoir beaucoup.
00:19:15Là, Alcaraz,
00:19:16il n'a plus aucune pression.
00:19:17En plus,
00:19:17ils sont vraiment potes.
00:19:19Il lui met
00:19:19à chaque discours
00:19:20d'après-titre.
00:19:21Ouais, je t'adore.
00:19:22J'ai l'impression
00:19:22de te voir tout le temps.
00:19:24Plus que ma famille,
00:19:25etc.
00:19:26Et il est entré
00:19:26au-delà de sa tête.
00:19:27Il est entré
00:19:28dans son tennis,
00:19:29en fait.
00:19:29Parce qu'hier,
00:19:30c'était irrégulier,
00:19:30mais parce qu'en fait,
00:19:31il fait ce qu'il veut.
00:19:32Dans le deuxième set,
00:19:32il a relâché un peu.
00:19:33Paf, tu te fais punir
00:19:34parce que Sinner est monstrueux.
00:19:36Mais dès qu'il remet
00:19:36la marche avant,
00:19:38il n'y a plus de duel.
00:19:39Mais il n'y a pas de marge,
00:19:40en fait.
00:19:40Carlos a une marge
00:19:41par rapport à Yannick.
00:19:42C'est-à-dire qu'il peut
00:19:43se permettre de faire
00:19:44un mauvais set
00:19:45comme le deuxième
00:19:46où il fait beaucoup plus
00:19:47de fautes directes,
00:19:48il passe moins de premières,
00:19:49il tente un petit peu plus,
00:19:50ça sort toujours
00:19:50de 20 centimètres
00:19:51à droite, à gauche, etc.
00:19:53Le problème,
00:19:53c'est que Yannick Sinner
00:19:54est à 100% tout le temps.
00:19:57Et Carlos,
00:19:57dès qu'il a envie
00:19:58d'être à 80 ou 120,
00:19:59d'un coup, boum,
00:20:00ça explose.
00:20:01Et en face,
00:20:02ça n'existe plus.
00:20:02Nadal Fédérère.
00:20:03Oui.
00:20:04Attends, on m'expliquait
00:20:05il n'y a pas si longtemps
00:20:06que Yannick Sinner
00:20:07était un robot.
00:20:08Moi, je trouve qu'il est...
00:20:10Tu penses qu'il est au summum
00:20:11de ce qu'il peut faire ?
00:20:12Moi, je...
00:20:12Enfin...
00:20:13Ah non, les deux,
00:20:13ils ne sont même pas au summum
00:20:14encore, Piero.
00:20:15Voilà, c'est pour ça, en fait.
00:20:16Là, hier, Sinner
00:20:17est peut-être passé à côté
00:20:19et Alcaraz a été très fort.
00:20:21Moi, il y a une chose
00:20:23qui m'a marqué
00:20:23où je pense un peu comme toi
00:20:25sur le fait
00:20:26qu'il soit rentré dans sa tête.
00:20:27À chaque fois
00:20:28qu'il y avait une fin de set,
00:20:29il y a Alcaraz
00:20:31qui attendait tout le temps
00:20:31pour laisser passer Sinner.
00:20:32Genre, un peu trop de respect,
00:20:34tu sais.
00:20:34Comme faisait Agassiz.
00:20:35Mais c'est...
00:20:37Enfin, moi, ça me faisait rire
00:20:38parce que je me suis dit
00:20:38ça se voit trop, en fait, là.
00:20:40Mais c'est exactement
00:20:41ce qui s'est passé.
00:20:42Sinner, il a les oeufs hier,
00:20:42il est dans son truc,
00:20:43mais en fait,
00:20:43il bouillonne tout seul.
00:20:44Nadal, je redis,
00:20:46Nadal fait des rares.
00:20:48Nadal, au début,
00:20:49s'était serré avec Roger
00:20:50et puis il avait commencé
00:20:50à prendre le dessus
00:20:51et ce coup de laisser passer,
00:20:52il laissait quasiment
00:20:53tout le temps passer Roger.
00:20:54Moi, j'ai peur
00:20:55qu'il n'y ait plus match.
00:20:55Ça le met dans l'inconfort.
00:20:57Plus match, non,
00:20:58parce que, par exemple,
00:20:59on va voir
00:21:00et on va guetter
00:21:00l'Open Australie,
00:21:01mais l'Open Australie,
00:21:03c'est la surface
00:21:04de prédilection
00:21:05de Yannick Sinner.
00:21:06C'est même des conditions
00:21:07où il aime user
00:21:08les adversaires, etc.
00:21:09Et Carlos, lui,
00:21:09il n'aime pas trop.
00:21:10Il fait trop chaud pour l'instant.
00:21:11Il n'a pas encore gagné.
00:21:12Non, c'est le seul
00:21:13qui lui manque.
00:21:15Il n'a pas envie
00:21:15de se faire trop, trop mal.
00:21:17Ça va dépendre.
00:21:18Mais là, on a un nouveau Carlos.
00:21:19Moi, je trouve,
00:21:19on avait vu,
00:21:20on en avait parlé d'ailleurs
00:21:21en plateau de son documentaire
00:21:23au Roi de Carlos.
00:21:23Il disait, attends,
00:21:24si tu veux être
00:21:24comme les trois gros cadors,
00:21:26il va falloir bosser.
00:21:27Il va falloir arrêter
00:21:28de vouloir aller à Ibiza
00:21:29quand tu gagnes un grand chef,
00:21:30etc.
00:21:31Là, honnêtement,
00:21:33non, mais là,
00:21:34il est programmé.
00:21:35Là, quand on fait le calcul,
00:21:36on se dit,
00:21:36il est déjà à 6 à 22 ans.
00:21:39C'est mieux que Nadal
00:21:39au même âge.
00:21:40C'est mieux que Federer.
00:21:41Mieux que Djokovic
00:21:42au même âge.
00:21:42Oui.
00:21:43C'est aussi,
00:21:44je trouve que symboliquement,
00:21:45tu vois,
00:21:45là, il passe numéro 1 mondial
00:21:46sur cette action-là.
00:21:47Il avait vraiment envie
00:21:48d'aller la chercher.
00:21:48Et tu sens que,
00:21:49un, c'est un projet
00:21:50qu'il avait vraiment déterminé.
00:21:52C'est ce que tu dis.
00:21:52Tu sens qu'il se passe quelque chose
00:21:53parce que, pour moi,
00:21:54là où je suis très surpris
00:21:56de la finale,
00:21:57c'est la supériorité d'Alcaraz.
00:21:59Oui.
00:21:59Et tu vois,
00:22:00je voulais te poser deux questions.
00:22:02La première,
00:22:02c'est le seul set qui lâche,
00:22:04tu as l'impression
00:22:04qu'il lui donne.
00:22:05Oui.
00:22:05Et je me dis,
00:22:06est-ce que finalement,
00:22:06il ne lui a pas donné ?
00:22:07Moi, ça me semble impossible
00:22:08dans ma tête.
00:22:09Je ne pense pas qu'il calcule.
00:22:10Allez, je te fais un petit cadeau
00:22:11pour pas que tu s'en avais dit.
00:22:12Il était tellement au-dessus
00:22:12sur les autres sets
00:22:13que je me dis,
00:22:14est-ce que stratégiquement,
00:22:15il a voulu lui donner ?
00:22:15Et puis la deuxième chose
00:22:16que je lui ai demandé,
00:22:17c'est sur la surface.
00:22:18Parce que tu l'as dit pour la suite.
00:22:20Oui.
00:22:20La suite fait qu'il y aura peut-être
00:22:21des moments où Siner sera meilleur.
00:22:22Mais là,
00:22:23la dimension,
00:22:23elle est tellement au-dessus,
00:22:24c'est est-ce qu'il est au-dessus
00:22:25parce que sur terre battue,
00:22:26il y a encore match
00:22:27et on va retrouver match ailleurs
00:22:28sur d'autres surfaces
00:22:29ou est-ce que c'est parce
00:22:30qu'il a pris une dimension
00:22:31tellement incroyable
00:22:32que là,
00:22:32il y a vraiment un delta.
00:22:34Moi, j'ai l'impression
00:22:34qu'il est numéro 1 mondial
00:22:35pour super longtemps en fait.
00:22:36Ah non,
00:22:36mais il est numéro 1 mondial
00:22:37pour super longtemps.
00:22:38Après,
00:22:39ils n'ont pas du tout
00:22:40la même mentalité.
00:22:41Quand tu dis,
00:22:41il lui donne un set,
00:22:42non,
00:22:42c'est parce qu'en fait,
00:22:43Carlos,
00:22:43il réussit 50 coups gagnants
00:22:46et bien,
00:22:46il a envie d'en faire 70
00:22:47pour régaler le public,
00:22:48pour avoir les petits sourires
00:22:49et regarder Juan Carlos
00:22:50en tribut.
00:22:51C'est vrai ça,
00:22:51on a vu.
00:22:53Et puis après,
00:22:54il fait sa tête,
00:22:55c'est bon,
00:22:55ça va aller,
00:22:56je vais me reconcentrer,
00:22:57là,
00:22:57c'est le money time du set,
00:22:58c'est bon,
00:22:58t'inquiète pas,
00:22:59balle de break à sauver,
00:23:00j'y vais,
00:23:00il n'y a pas de problème.
00:23:01Donc en fait,
00:23:01il gère même sa concentration
00:23:03et son degré,
00:23:04un peu comme a pu faire
00:23:05parfois Djoko,
00:23:06c'est-à-dire que quand il arrivait
00:23:07dans les tie breaks ou quoi,
00:23:08il serrait le jeu,
00:23:09bam,
00:23:09c'était terminé quoi.
00:23:10Merci beaucoup,
00:23:11pour ce débrief
00:23:12de cette finale
00:23:13de l'US Open.
00:23:15Merci.
00:23:16Mais n'oubliez pas
00:23:16la missionnaire quand même.
00:23:17Avec Mémé.
00:23:18On a fait une journée.
00:23:21On va continuer
00:23:22cette planète sport.
00:23:23Un peu de rugby maintenant,
00:23:24on va filer en Angleterre.
00:23:25Camille, j'ai rugby là.
00:23:26Camille, reviens.
00:23:27En Angleterre,
00:23:28il y a le mondial
00:23:29du monde de rugby féminin.
00:23:31Voilà,
00:23:31l'équipe de France féminine
00:23:32a surclassé l'Afrique du Sud
00:23:34lors du dernier match de poule.
00:23:35Victoire 57 à 10,
00:23:37bonus offensifs à la clé,
00:23:39forcément.
00:23:39Les Français ont inscrit
00:23:40neuf essais
00:23:41avec des doublés
00:23:42notamment de Johanna Grisé
00:23:44ou encore d'Emilie Boulard.
00:23:46En terminant
00:23:47première de leur groupe,
00:23:48les Français
00:23:49évitent de croiser
00:23:50la route de la Nouvelle-Zélande,
00:23:51championne du monde
00:23:51en titre.
00:23:53Les Bleus affronteront
00:23:54l'Irlande dimanche prochain
00:23:55en quart de finale.
00:23:57Fredo,
00:23:57il y a énormément d'écarts
00:23:59dans les succès
00:23:59de l'équipe de France.
00:24:00En moyenne,
00:24:01c'est 50 points d'écart
00:24:02lors des victoires françaises.
00:24:04Sur l'ensemble du tournoi,
00:24:05la moyenne,
00:24:06elle est de 40.
00:24:0740 points d'écart.
00:24:08La compétition,
00:24:09le niveau
00:24:10de la compétition,
00:24:11il n'est pas au rendez-vous.
00:24:12Il est en construction.
00:24:13Il y a trop de disparités.
00:24:14Il est en construction.
00:24:15Là où je te rejoins,
00:24:16c'est que le sport,
00:24:16c'est l'incertitude.
00:24:17Et là,
00:24:17l'incertitude,
00:24:18on n'en a pas beaucoup.
00:24:19Même s'il y a des pays
00:24:20qui sont prestigieux
00:24:21en leur qualité
00:24:22chez les hommes
00:24:23rugbystiques.
00:24:24L'Afrique du Sud,
00:24:25entre autres,
00:24:26sur le terrain
00:24:27pour les féminines,
00:24:27c'est encore en construction.
00:24:28Moi,
00:24:28ça me fait penser
00:24:29au judo,
00:24:30qui s'est construit
00:24:31avec les hommes au départ.
00:24:32Et puis ensuite,
00:24:32les femmes ont heureusement
00:24:34construit le truc.
00:24:36Les premières femmes
00:24:36les plus fortes,
00:24:38ce n'étaient pas du tout
00:24:38les japonaises.
00:24:39C'étaient les européennes,
00:24:40notamment les anglaises,
00:24:41les néerlandaises
00:24:41qui étaient plus fortes.
00:24:42Et ensuite,
00:24:42ça s'est régulé,
00:24:43ça s'est mondialisé,
00:24:44ça s'est construit.
00:24:45Là,
00:24:45j'ai l'impression
00:24:45que c'est un peu la même chose.
00:24:46Donc,
00:24:46il ne faut pas tirer
00:24:46à boulet rouge
00:24:47sur la différence de niveau.
00:24:48Tu arrives à te prendre
00:24:49de passion
00:24:50pour cette compétition ?
00:24:52Ah non.
00:24:52Non.
00:24:53Non.
00:24:53Ce n'est pas l'opposition
00:24:54qui me passionne.
00:24:55Parce que très honnêtement,
00:24:56on le sait que les Français
00:24:56vont gagner.
00:25:05ça sera la demi-finale potentielle.
00:25:07Il y a la Nouvelle-Zélande
00:25:07chez les féminines.
00:25:08Là aussi,
00:25:09ce sont des pays
00:25:09qui ont construit
00:25:10dans la mixité hommes et femmes.
00:25:11Donc là,
00:25:11il va y avoir de l'enjeu.
00:25:12Donc,
00:25:12je regarde le truc.
00:25:13Après,
00:25:13te dire que je suis avec mon truc
00:25:14comme ça sur les matchs,
00:25:15je ne vais pas mentir.
00:25:16Je ne vais pas mentir.
00:25:17La trompette,
00:25:17j'attends pour la demi.
00:25:19J'attends pour la demi,
00:25:20la trompette.
00:25:20Mais par contre,
00:25:21ce qui est passionnant,
00:25:21c'est de voir quand même
00:25:22la construction sportive dans l'ensemble
00:25:23et espérer que les filles,
00:25:24voilà,
00:25:24qui est une homogénéité
00:25:25pour ne pas qu'il y ait
00:25:26ce genre de reproche
00:25:27qui pour l'instant,
00:25:27c'est vrai,
00:25:28c'est encore en construction.
00:25:29Allez les filles.
00:25:30Toujours sur la planète rugby,
00:25:31on va filer au top 14.
00:25:33Hier soir,
00:25:33c'était la clôture
00:25:34de la première journée
00:25:34avec le champion en titre,
00:25:36le stade toulousain
00:25:36qui s'est imposé à Clermont.
00:25:38Victoire 34-24.
00:25:39Le match a longtemps été
00:25:40incertain et serré.
00:25:42À l'image,
00:25:43on vous a mis
00:25:43les deux beaux essais du match.
00:25:45Notamment le premier essai toulousain,
00:25:47Anthony Gelon
00:25:48qui va transpercer
00:25:49la défense de Clermont
00:25:50et Graoult
00:25:51qui va aplatir.
00:25:53Mais l'instant de génie,
00:25:54il arrive à la 46e.
00:25:55Thomas Ramos,
00:25:56extérieur pied droit,
00:25:57s'il vous plaît.
00:25:58Pour Dimitri Délib,
00:25:59qui est à la réception,
00:26:00va aussi bien travailler,
00:26:02slalomé dans la défense de Clermont
00:26:04pour lui aussi aplatir.
00:26:06Mais la passe de Thomas Ramos,
00:26:08Mathias,
00:26:08elle est exceptionnelle.
00:26:09C'est rare de voir
00:26:10une passe extérieure pied droit
00:26:11finir comme ça ensuite
00:26:13par un essai au rugby.
00:26:15Il a dit au micro de Canal+,
00:26:17après le match,
00:26:18qu'il s'entraînait
00:26:19pour s'amuser.
00:26:20souvent à la fin des entraînements.
00:26:23Mais franchement,
00:26:25c'est fantastique.
00:26:27J'ai été élevé enfant
00:26:29avec le stade toulousain.
00:26:31Évidemment qu'il y a des jalousies.
00:26:32C'est un peu le PSG
00:26:33avec les moyens financiers,
00:26:35tout ça et tout.
00:26:36Mais quand on aime le rugby
00:26:37et il y a eu une magnifique
00:26:38opposition de Clermont,
00:26:39franchement,
00:26:39regarder un match du stade toulousain,
00:26:41c'est fantastique.
00:26:41Et ce geste-là,
00:26:43dès la première journée,
00:26:44ça annonce quand même
00:26:45de grandes choses.
00:26:46Et oui,
00:26:46on parle beaucoup d'Antoine Dupont
00:26:48à juste titre,
00:26:49de Ntamak aussi.
00:26:50Mais Thomas Ramos...
00:26:52Il a choisi une dimension
00:26:52pour toi sur les joueurs-là ?
00:26:53Oui, franchement,
00:26:54il fait des trucs sur le terrain
00:26:56qui sont incroyables.
00:26:58Cette qualité au pied
00:26:58d'un sport de main...
00:27:00Je veux dire,
00:27:01Pierrot,
00:27:01on est un peu footballeur,
00:27:03on a déjà tapé
00:27:03dans des ballons de rugby
00:27:04de temps en temps
00:27:04pour s'amuser avec des copains.
00:27:05Mais faire ça,
00:27:06dans les bras de son hélié.
00:27:08C'est-à-dire que le mec,
00:27:08il sait que ça va lui tomber dessus
00:27:10et derrière,
00:27:10il peut travailler son slalom.
00:27:11Moi, je trouve ça vraiment fantastique.
00:27:13Et le slalom à suivre,
00:27:13il est magnifique.
00:27:14Et le slalom est magnifique.
00:27:15Derrière,
00:27:15c'est la continuité collective
00:27:16pour aller dans le sens
00:27:17de ce que tu dis.
00:27:17Ils sont tous sur les talons
00:27:19et c'est grâce à son talent.
00:27:20Enfin, Ramos qui fait l'exter
00:27:21justement pour sortir de la zone
00:27:23et l'autre qui revient dedans.
00:27:24J'ai pas compris
00:27:25qu'il fallait aller tout droit.
00:27:27Il y avait du trafic devant lui, Pierrot.
00:27:29C'est pour rire.
00:27:30Calme-toi à premier degré.
00:27:31Bon, direction,
00:27:32le Grand Prix d'Italie
00:27:3866e succès en carrière
00:27:39et le 3e de la saison.
00:27:40La pôle est le tour
00:27:41le plus rapide de l'histoire samedi
00:27:43et une énorme domination hier.
00:27:45Il s'impose devant les McLaren
00:27:46de Norris et Piastri.
00:27:48Vous dire aussi
00:27:48que la folle remontée du jour
00:27:50est signée Isaac Hadjar.
00:27:51Le Français,
00:27:52parti dernier
00:27:52avec son compatriote,
00:27:54Pierre Gasly,
00:27:54à cause d'une pénalité
00:27:55liée à un changement de moteur,
00:27:57a pris un point
00:27:58en terminant 10e.
00:28:00Assez remarquable
00:28:00pour Isaac Hadjar
00:28:02qui avait fait podium
00:28:02la semaine dernière.
00:28:04Maintenant,
00:28:04il fait 10e en partant dernier.
00:28:06D'abord,
00:28:06on va parler d'Isaac Hadjar,
00:28:07Pierrot.
00:28:08La remontée,
00:28:08elle est assez folle,
00:28:09assez fantastique.
00:28:10Il disait à la fin du Grand Prix
00:28:12que c'est l'objectif
00:28:13de chaque week-end
00:28:14être là dans les 10 premiers.
00:28:16Je pense que son objectif
00:28:19est peut-être trop faible maintenant.
00:28:22Il commence à prendre
00:28:23de plus en plus d'assurance
00:28:24et puis il arrive
00:28:24à driver cette voiture
00:28:25comme personne.
00:28:27Honnêtement,
00:28:28il la comprend parfaitement.
00:28:30Son équipe lui fait
00:28:30complètement confiance.
00:28:33Moi,
00:28:33je t'ai dit,
00:28:34je le vois bien
00:28:35changer d'écurie
00:28:35à la fin de l'année
00:28:36pour passer chez Red Bull
00:28:37parce qu'il est en train
00:28:38de marquer beaucoup,
00:28:38beaucoup,
00:28:39beaucoup de points
00:28:39et la personnalité.
00:28:42Il a une vraie personnalité.
00:28:44Il ne s'apitoie jamais
00:28:45sur son sort.
00:28:46Il accepte ses erreurs
00:28:47quand il en fait
00:28:47et il en fait de moins en moins.
00:28:49Il est sur deux grands coups.
00:28:50Il en a fait une
00:28:51qui nous a fait très peur
00:28:52et derrière,
00:28:53il est parti tout de suite.
00:28:54Mais c'est quasiment parfait
00:28:54ce qu'il fait.
00:28:55C'est vraiment ça
00:28:57qu'on ressent,
00:28:57Pierre Tarrison.
00:28:58Il est juste dans ses courses,
00:29:00il est juste dans ses propos,
00:29:01il est juste dans son attitude.
00:29:02C'est cette notion de justesse
00:29:03qui est...
00:29:04C'est la gestion,
00:29:05la gestion de ses émotions
00:29:05à l'intérieur de sa voiture,
00:29:07dans son baquet.
00:29:07Franchement,
00:29:07c'est assez incroyable
00:29:08parce que garder la troisième place
00:29:10la semaine dernière
00:29:11et là,
00:29:12partir avec détermination.
00:29:13Alors,
00:29:13tu peux avoir
00:29:14la détermination que tu veux.
00:29:16Si tu n'as pas
00:29:16le geste qu'il faut
00:29:18en un millième de seconde,
00:29:20ça ne marche pas.
00:29:21Là,
00:29:21il enchaîne.
00:29:23C'est de l'horlogerie
00:29:24ce qu'il est en train de faire.
00:29:25Donc,
00:29:25bravo.
00:29:26Mathias,
00:29:26rapidement,
00:29:26Versapen,
00:29:27il est plus que jamais
00:29:28en course pour le titre
00:29:28de champion du monde
00:29:29où il est trop loin.
00:29:30Il a 94 points d'écart
00:29:32avec le lead.
00:29:33Tu l'as travaillé cette fois ?
00:29:34Un petit peu.
00:29:35Non,
00:29:35mais c'est beau aussi de lutter
00:29:36parce que normalement,
00:29:37le titre,
00:29:38il est promis à McLaren
00:29:38mais après,
00:29:40il ne lâche pas l'affaire.
00:29:40Il a quand même fait des perfs.
00:29:42Il aurait pu rouler
00:29:43toute la nuit
00:29:43et il aurait fini
00:29:44avec trois tours d'avance.
00:29:46Voilà,
00:29:46samedi,
00:29:46il avait déjà prouvé.
00:29:47Donc,
00:29:48c'est beau aussi
00:29:48de trouver de l'objectif
00:29:51et une vraie motivation
00:29:52quand on sait sur le papier
00:29:53parce qu'il n'y a qu'une chose
00:29:54qui l'intéresse,
00:29:55c'est le titre de champion du monde,
00:29:56de se battre
00:29:57pour continuer à gagner des courses.
00:29:58Et oui,
00:29:59on ne sait jamais.
00:30:00Là,
00:30:00les réglages,
00:30:00en tout cas,
00:30:01étaient vraiment intéressants
00:30:02pour la suite de la saison.
00:30:03Il y a eu des ajustements.
00:30:04Non,
00:30:05mais il y a un sujet
00:30:05sur lequel je vous branche un peu aussi,
00:30:07les copains.
00:30:08C'est Hamilton.
00:30:11C'est ça.
00:30:12Il finit cinquième,
00:30:14sixième,
00:30:15et c'est Leclerc qui est devant.
00:30:16Leclerc 4,
00:30:17ouais.
00:30:18Et tu vois,
00:30:18je ne sais pas comment interpréter le truc.
00:30:20Je me dis,
00:30:20est-ce que c'est un échec ?
00:30:21Parce que finalement,
00:30:22il est au pied du podium
00:30:23et on l'attendait,
00:30:24il n'y est pas.
00:30:24Et en même temps,
00:30:25il n'est pas loin.
00:30:27Et c'est la question que je me pose.
00:30:28Est-ce que c'est une bonne
00:30:28ou une mauvaise nouvelle ?
00:30:29L'année de transition,
00:30:29c'est tout.
00:30:30Moi,
00:30:30je ne suis pas du tout inquiet
00:30:31pour l'année prochaine.
00:30:32Enfin,
00:30:33il va y avoir des changements aussi
00:30:34de réglementation.
00:30:36La Ferrari ne sera pas la même non plus.
00:30:39Et on verra comment ça va se dérouler.
00:30:41S'il est encore là ?
00:30:42Je ne suis pas...
00:30:42Si,
00:30:43il sera encore là.
00:30:44Si,
00:30:44si,
00:30:44si.
00:30:44Ne t'inquiète pas.
00:30:46C'est fini pour moi,
00:30:46Virginie.
00:30:47Merci,
00:30:47Juju.
00:30:48On passe à l'info foot.
00:30:49Oui,
00:30:50tu me remets le bébé ?
00:30:51Avec plaisir.
00:30:51Il faudrait que tu bosses un peu quand même.
00:30:52On passe à l'info foot.
00:30:53On est en train de faire ton émission.
00:30:55L'info foot qui a fait l'actualité
00:30:57tout le week-end
00:30:58et qu'il fait encore aujourd'hui.
00:31:00C'est Ousmane Damélé
00:31:00sorti sur blessure
00:31:01face à l'Ukraine vendredi.
00:31:03Il ne sera pas
00:31:04sur la pelouse
00:31:06lors de France-Islande
00:31:07demain à 20h45.
00:31:08L'attaquant du PSG
00:31:09est forfait à 6 à 8 semaines.
00:31:11Oui,
00:31:12oui,
00:31:12et puis le sélectionneur
00:31:13des Bleus,
00:31:13Didier Deschamps,
00:31:14lui,
00:31:14était particulièrement agacé
00:31:15en conférence de presse
00:31:16après cette polémique
00:31:17autour des blessures
00:31:18des joueurs parisiens,
00:31:19Désiré Douai
00:31:19ou Spendembele.
00:31:21A la question,
00:31:22est-ce que vous êtes prêt
00:31:23à changer le protocole médical
00:31:24comme le demande
00:31:25le club parisien ?
00:31:26Regardez ce qu'il répond
00:31:27au micro de Jérémy Charnagro.
00:31:29Ce protocole,
00:31:30je ne sais pas
00:31:30duquel vous parlez
00:31:32et qu'est-ce que ça signifie
00:31:33transparent,
00:31:34machin.
00:31:34Je vous le dis encore,
00:31:35on a fait les choses
00:31:36de manière très professionnelle,
00:31:39progressive,
00:31:40comme on le fait
00:31:41avec tous les joueurs.
00:31:44Le PSG,
00:31:44ce n'est pas notre adversaire.
00:31:46Ça ne l'a jamais été.
00:31:47Les clubs,
00:31:47on ne l'a jamais été,
00:31:48même si on a des intérêts
00:31:49et c'est normal.
00:31:51J'étais de leur côté
00:31:52de la barrière
00:31:53à un autre moment.
00:31:55Ils peuvent diverger,
00:31:56mais notre seul adversaire,
00:31:58c'est l'Islande.
00:31:58Je reste un peu
00:31:59sur ce dossier-là,
00:32:00même si ça concerne...
00:32:01Je vais le fermer.
00:32:02Il est fermé,
00:32:03il est clos pour moi.
00:32:04Ça concerne quand même
00:32:05le match de demain.
00:32:06Est-ce que cette polémique,
00:32:07est-ce que cette pression
00:32:09mise par le Paris Saint-Germain,
00:32:10ça peut vous influencer
00:32:11dans votre composition
00:32:12d'équipe de demain ?
00:32:14Concrètement,
00:32:14est-ce qu'un Bradley Barcola,
00:32:16vous dites,
00:32:17bon,
00:32:17je vais peut-être éviter
00:32:18parce que s'il y a un pépin,
00:32:19ça va être le drame ?
00:32:21Et après,
00:32:22j'ai le Bayern
00:32:22qui m'appelle,
00:32:23le Real,
00:32:23et je vous fais jouer à vous
00:32:25autrement.
00:32:26Là,
00:32:28Didier Deschamps
00:32:29s'agace.
00:32:31Est-ce que vous comprenez
00:32:32la réaction,
00:32:33l'agacement
00:32:33du sélectionneur
00:32:34des Bleus ?
00:32:35Mais il a 100% raison.
00:32:37Je ne suis pas...
00:32:38Je n'ai pas souvent été tendre
00:32:40avec Didier Deschamps,
00:32:41mais à un moment donné,
00:32:41je veux dire,
00:32:42quand tu es sélectionneur
00:32:44de l'équipe de France,
00:32:45tu fais ta sélection,
00:32:45tu fais avec ce que tu as,
00:32:47tu fais comme tu veux.
00:32:49Il y a aussi le point du joueur,
00:32:54son ressenti,
00:32:55l'échange avec...
00:32:55Après,
00:32:56s'il faut mettre les mecs
00:32:56dans le formule,
00:32:57venez,
00:32:57on ne fait pas de sélection.
00:32:58En fait,
00:32:58restez dans votre club
00:32:59et puis je ne sélectionne personne
00:33:01ou des mecs de Ligue 2
00:33:02et de Nationale
00:33:02qui vont être très contents
00:33:03de venir,
00:33:04mais je ne fais pas
00:33:04une équipe de France.
00:33:05Ça ne sert à rien.
00:33:06Ce genre de questions,
00:33:09est-ce qu'il va se faire influencer
00:33:10par rapport au fait
00:33:11que le PSG,
00:33:12si jamais il y a Barcola
00:33:13qui joue,
00:33:14tu ne vas pas...
00:33:15Tu es sélectionnéur
00:33:16de l'équipe de France,
00:33:16tu ne vas pas faire la compo
00:33:17par rapport à ceux
00:33:18qui ont le moins de temps de jeu.
00:33:19C'est stupide déjà
00:33:21et je trouve
00:33:22qu'il est complètement
00:33:23dans son droit
00:33:24de...
00:33:24Si il y a un mec
00:33:26qui se fait les croisés
00:33:26le prochain match,
00:33:27ils vont se dire
00:33:28il ne fallait pas jouer.
00:33:29Ben oui,
00:33:29merci du tuyau.
00:33:30Après,
00:33:31c'est normal
00:33:31que ça prenne de l'ampleur
00:33:32et qu'on pose des questions.
00:33:32C'est peut-être
00:33:33le futur ballon d'or français.
00:33:37C'est un joueur
00:33:38qui symbolise
00:33:39l'explosion du PSG
00:33:40une saison incroyable.
00:33:41Il ne joue plus jamais.
00:33:42Il est français,
00:33:43on est en France.
00:33:44Ce n'est pas ce que je dis.
00:33:45Je trouve que c'est normal
00:33:45que les journalistes
00:33:46posent autant de questions
00:33:47et qu'on n'en parle pas.
00:33:48Mais non,
00:33:48ce n'est pas normal.
00:33:49Il ne joue pas alors.
00:33:50C'est pour ça
00:33:51que Didier Deschamps
00:33:51le sélectionne.
00:33:52C'est parce que c'est le meilleur.
00:33:54Parce qu'à un moment donné,
00:33:55c'est une vérité sportive.
00:33:56Lui,
00:33:56c'est ce qu'il dit
00:33:57quand le journaliste
00:33:58lui dit
00:33:59mais alors
00:33:59est-ce que Barcola
00:34:00vous allez...
00:34:01Et c'est ce que répond Deschamps.
00:34:02Il dit dans ce cas-là
00:34:02si je suis sur la peur,
00:34:04je ne peux plus faire mon travail.
00:34:05Tu comprends ou pas
00:34:06Didier Deschamps ?
00:34:07Ben moi,
00:34:07je comprends complètement.
00:34:08À un moment donné,
00:34:09tu sais,
00:34:10c'est comme la tectonique
00:34:10des plaques.
00:34:11Tu sais,
00:34:11tu as le club
00:34:12et tu as le plus loin.
00:34:14Au milieu,
00:34:15c'est le volcan.
00:34:15La lave.
00:34:16Reviens,
00:34:16reviens Pierrot.
00:34:17Les deux plaques,
00:34:18clac, clac, clac
00:34:19et au milieu,
00:34:20c'est Deschamps.
00:34:21Et il te dit,
00:34:22attendez,
00:34:22moi je comprends
00:34:23votre univers,
00:34:23les clubs,
00:34:24je comprends vos enjeux,
00:34:25je comprends le truc,
00:34:25il n'y a pas de sujet.
00:34:26J'ai été entraîneur de club.
00:34:27Mais moi,
00:34:27j'ai une sélection à faire
00:34:28et moi,
00:34:29le meilleur,
00:34:30c'est lui.
00:34:30Parce que là où Pierre
00:34:32ue a entièrement raison,
00:34:39et qu'on perd derrière,
00:34:40on va lui reprocher aussi.
00:34:41Donc lui,
00:34:42il n'a pas le choix.
00:34:42On ne peut pas anticiper
00:34:43la blessure,
00:34:44on ne peut pas se projeter là-dessus.
00:34:45Donc lui,
00:34:45il est dans ses choix stratégiques,
00:34:46il fait son travail,
00:34:47il met le meilleur.
00:34:48Si, à ce moment-là,
00:34:50le club fait en fonction
00:34:53d'Embélé
00:34:54où ce n'est pas sûr,
00:34:55tu ne l'en vois pas,
00:34:56c'est tout.
00:34:56Parce que la dernière fois,
00:34:57quand il y avait le Real
00:34:58où Mbappé était fatigué,
00:35:00il n'est pas venu.
00:35:00Quand il y en a d'autres
00:35:01qui sont fatigués,
00:35:03le Real ne l'ont pas laissé partir.
00:35:04Il y a les joueurs du Bayern,
00:35:06le club du Bayern
00:35:08qui n'a pas laissé partir
00:35:09aussi des joueurs.
00:35:10Enfin,
00:35:10quand ils veulent prendre
00:35:11leur disposition,
00:35:12les clubs,
00:35:12ils le font.
00:35:13Donc pourquoi là,
00:35:13ils le laissent ?
00:35:14Ils disent,
00:35:14« Didier,
00:35:15tu as fait jouer d'Embélé. »
00:35:16Ben oui,
00:35:16écoute,
00:35:16il est sélectionné,
00:35:17il peut jouer,
00:35:17donc il joue.
00:35:18Les copains,
00:35:19on va aller voir Giovanni Castaldi
00:35:20en direct du Parc des Princes.
00:35:22Ça tombe bien,
00:35:22Giovanni suit les bleus,
00:35:23donc il va nous donner son avis.
00:35:24Salut, Joe.
00:35:25Alors,
00:35:26est-ce que tu comprends,
00:35:27toi,
00:35:27l'agacement du sélectionneur ?
00:35:29Tu étais forcément
00:35:29à cette conférence de presse.
00:35:30On t'écoute.
00:35:34Bonjour Virginie,
00:35:34bonjour à tous.
00:35:35Oui,
00:35:35je l'ai eu aussi
00:35:36avant la conférence de presse
00:35:37en entretien individuel,
00:35:39en one-to-one.
00:35:40Il n'est pas surpris,
00:35:41Didier Deschamps,
00:35:41il a suffisamment d'expérience
00:35:42pour comprendre
00:35:43que depuis la blessure
00:35:45d'Ousmane Dembele
00:35:45et Désiré Doué,
00:35:46son temps médiatique
00:35:47allait être largement consacré
00:35:49à cette affaire.
00:35:51Après,
00:35:51là,
00:35:51Didier Deschamps,
00:35:52il est dans son bon droit.
00:35:54C'est normal
00:35:54qu'il puisse agir librement
00:35:55pour faire ses compos d'équipe.
00:35:57À l'époque
00:35:57où Ousmane Dembele
00:35:59était constamment blessé
00:36:00au FC Barcelone,
00:36:01je n'ai pas vu
00:36:01la Fédération Française de Football
00:36:02envoyer un courrier
00:36:03pour mettre en cause
00:36:04le staff médical du Barça
00:36:05parce qu'il ne pouvait jamais
00:36:06avoir à disposition Dembele.
00:36:09Ce qui est problématique
00:36:10dans le cas d'Ousmane Dembele,
00:36:11c'est pour ça
00:36:11que ça fait polémique,
00:36:13c'est que le staff médical
00:36:14du Paris Saint-Germain
00:36:15estime que le staff médical
00:36:16de l'équipe de France
00:36:17n'a pas suivi
00:36:18les recommandations.
00:36:20Ousmane Dembele,
00:36:21il est arrivé à Clairefontaine
00:36:22le lundi comme tout le monde,
00:36:23il a fait constater sa blessure
00:36:24auprès du staff médical
00:36:25de l'équipe de France
00:36:26qui a déclaré
00:36:28qu'il avait
00:36:28une petite gêne
00:36:30mais pas une lésion grave
00:36:31et qu'il y aurait
00:36:32un protocole de reprise
00:36:33et qu'en fonction
00:36:33des sensations du joueur
00:36:34et de l'évolution
00:36:36de cette gêne
00:36:37à l'ischio gauche
00:36:38à l'époque,
00:36:39il allait pouvoir jouer ou non.
00:36:40On sait que le sélectionneur
00:36:41de l'équipe de France
00:36:42accorde beaucoup d'importance
00:36:44aussi au ressenti du joueur.
00:36:45Donc si Ousmane Dembele
00:36:46est rentré sur la pelouse,
00:36:48c'est qu'il était bien évidemment
00:36:49OK,
00:36:50est conscient,
00:36:50est disponible pour jouer.
00:36:52Donc c'est malheureux,
00:36:54c'est malheureux pour l'équipe de France,
00:36:55c'est malheureux pour le Paris Saint-Germain,
00:36:56c'est avant tout malheureux
00:36:57pour Ousmane Dembele
00:36:58mais on ne peut pas
00:36:59prévoir des blessures
00:37:00des joueurs.
00:37:01Voilà, moi je trouve
00:37:02que cette polémique
00:37:03prend une ampleur disproportionnée.
00:37:05Merci beaucoup Giovanni,
00:37:06tu restes avec nous
00:37:06évidemment
00:37:07et c'est vrai que cette blessure
00:37:09en fait,
00:37:09c'est surtout la faute
00:37:11de l'enchaînement des matchs.
00:37:12Alors oui,
00:37:12Didier Deschamps aurait pu
00:37:13le préserver contre l'Ukraine,
00:37:14Paris aurait pu préserver
00:37:15Ousmane Dembele
00:37:16contre Toulouse aussi.
00:37:18Mais oui,
00:37:18mais on peut refaire le monde.
00:37:20Moi je suis surpris pour une fois,
00:37:21je suis d'accord
00:37:21avec Giovanni Castaldi
00:37:22de A à Z.
00:37:23Il progresse.
00:37:23C'est quand même incroyable
00:37:24mais il a raison.
00:37:27On ne peut pas critiquer
00:37:28tout le monde tout le temps
00:37:29et c'est facile nous
00:37:30sur notre plateau
00:37:30de dire des choses
00:37:31mais les questions
00:37:33à Didier Deschamps,
00:37:33on a l'impression
00:37:34qu'on parle d'un entraîneur
00:37:35de district.
00:37:36On a l'impression
00:37:37qu'ils n'ont rien respecté,
00:37:39que le staff médical
00:37:40de l'équipe de France,
00:37:41c'est des médecins
00:37:42qu'on trouve n'importe où
00:37:43comme ça,
00:37:44sans diplôme.
00:37:45Il ne faut pas exagérer.
00:37:46Et puis Ousmane Dembélé,
00:37:47pensons aux joueurs.
00:37:48Si Ousmane Dembélé
00:37:49ne peut pas s'entraîner
00:37:50ou ne peut pas jouer,
00:37:52il ne sera pas là,
00:37:53il ne sera pas dispo,
00:37:53il dirigeait mal
00:37:54et puis il ne sera pas
00:37:55sur la feuille,
00:37:55il ne rentrera pas.
00:37:56J'imagine qu'Ousmane
00:37:57était ravi de rentrer
00:37:58sur la pelouse
00:37:59à ce moment-là
00:38:00et il aurait peut-être
00:38:00même pu être titulable
00:38:01puisque c'est potentiellement
00:38:02le futur ballon d'or
00:38:03et aujourd'hui,
00:38:04c'est un cadre
00:38:04de l'équipe de France.
00:38:05Il faut arrêter.
00:38:06Il a raison,
00:38:07cette polémique,
00:38:09mais elle est complètement d'acte.
00:38:09Donc on ne met plus
00:38:10les joueurs sur le terrain.
00:38:11Et alors en plus,
00:38:12appuyez sur...
00:38:13Vous allez peut-être avoir peur
00:38:14de mettre Bradley Barcola
00:38:15sur le terrain,
00:38:15mais on est où là en fait ?
00:38:17Donc en fait,
00:38:18on ne joue pas.
00:38:19Déclarons forfait
00:38:19demain au Parc des Princes
00:38:20et comme l'a dit Pierre,
00:38:21on va chercher des joueurs
00:38:22de Ligue 2.
00:38:22On n'arrête pas de dire
00:38:23les joueurs,
00:38:24ils viennent en équipe de France,
00:38:25ils ne chantent pas la Marseillaise,
00:38:27ils n'ont pas la passion
00:38:27du drapeau.
00:38:28Là, les mecs viennent
00:38:29même pas au top de leur forme.
00:38:31Ils sont là,
00:38:32ils veulent jouer.
00:38:33Ils ne sont pas contents.
00:38:33Mais non,
00:38:34mais parce que je veux bien
00:38:35qu'on critique Deschamps
00:38:36ces dernières années
00:38:36sur plein de choses.
00:38:37Mais là,
00:38:37c'est ridicule ce qui se passe.
00:38:38C'est vraiment ridicule.
00:38:41Giovanni Castaldi veut réagir.
00:38:43Les garçons,
00:38:44on l'écoute Joe.
00:38:44C'est à toi.
00:38:46Oui,
00:38:47par rapport à ça,
00:38:48il y a un autre cas
00:38:49très concret
00:38:50sur ce rassemblement.
00:38:52Typiquement,
00:38:52William Saliba
00:38:53et Ryan Cherki,
00:38:54il y a eu des données
00:38:56qui ont été envoyées
00:38:57au staff de l'équipe de France.
00:38:58Ils n'ont même pas eu
00:38:58à venir constater
00:39:00leurs blessures.
00:39:01Le forfait était acté.
00:39:02Voilà,
00:39:03Manchester City
00:39:03a contacté
00:39:05le staff de l'équipe de France
00:39:06et c'est pareil
00:39:06pour le staff médical
00:39:08d'Arsenal
00:39:08pour William Saliba.
00:39:10Autre cas précis,
00:39:11Ibu Konaté était sorti
00:39:12suite à des...
00:39:14À l'époque,
00:39:15on pensait que c'était
00:39:15une blessure.
00:39:16On ne savait pas encore
00:39:16que c'était des crampes
00:39:17lors de la rencontre
00:39:18entre Liverpool et Arsenal.
00:39:19Lui aussi a fait venir
00:39:21constater sa blessure
00:39:22à Clairefontaine.
00:39:23Il a pu s'entraîner
00:39:24toute la semaine.
00:39:25Il a disputé
00:39:25les 90 minutes
00:39:26face à l'Ukraine
00:39:27sans aucune complication.
00:39:28Donc,
00:39:29moi,
00:39:29je peux comprendre
00:39:30qu'on estime
00:39:31de manière générale
00:39:32que parfois
00:39:33le staff médical
00:39:34de l'équipe de France
00:39:35soit un petit peu archaïque,
00:39:36travaille à l'ancienne
00:39:36beaucoup sur le ressenti
00:39:38des joueurs.
00:39:39Il n'y a peut-être pas
00:39:40toutes les grandes avancées
00:39:41technologiques
00:39:41qu'il y a dans certains
00:39:42grands clubs européens.
00:39:43Peut-être de faire évoluer
00:39:45certaines choses.
00:39:45Le débat pourrait être intéressant
00:39:47sur le fond
00:39:48comme sur la forme.
00:39:49Mais tout mettre
00:39:49sous les épaules
00:39:50de Didier Chant
00:39:51et du staff médical
00:39:52comme si c'était
00:39:52des amateurs,
00:39:54franchement,
00:39:54ça va beaucoup trop loin.
00:39:56Et on a un peu
00:39:56ce sentiment-là
00:39:57que c'est un petit peu facile
00:39:59de tomber sur Didier Chant
00:40:00et son staff
00:40:00parce que c'est bien
00:40:01de dire du mal
00:40:02de ces personnes-là.
00:40:03C'est un peu exagéré.
00:40:04C'est l'époque qui veut ça,
00:40:05malheureusement.
00:40:05Je pense qu'on est à peu près
00:40:06tous d'accord avec toi
00:40:07sur ce plateau, Joe.
00:40:08On marque une pause.
00:40:09On continue à parler
00:40:10évidemment de l'équipe de France
00:40:11juste après la pub.
00:40:13On revient avec
00:40:13toutes les images
00:40:14des matchs de qualification
00:40:15à la Coupe du Monde 2026.
00:40:17L'Espagne a encore déroulé.
00:40:19L'Allemagne se rassure.
00:40:20Même fils de paille
00:40:21devient le meilleur buteur
00:40:22de l'histoire des Pays-Bas.
00:40:23On vous dit tout
00:40:24dans Planète Foot.
00:40:25A tout de suite.
00:40:33Vous regardez l'équipe de choc.
00:40:35Les qualifications
00:40:35à la prochaine Coupe du Monde
00:40:36de football se poursuivent.
00:40:38L'Italie joue Israël ce soir.
00:40:39Coup d'envoi 20h45
00:40:41sur l'équipe live.
00:40:42On va jouer au tir au but
00:40:43dans quelques minutes.
00:40:44On va rigoler.
00:40:45On est toujours avec
00:40:45Fred Lecanu.
00:40:47Mathias Suchet.
00:40:48On va rigoler.
00:40:49Je te promets qu'on va rigoler.
00:40:50On va se foutre deux mois.
00:40:50Pierre Boubi.
00:40:52Et Julien Allianne
00:40:53qui danse.
00:40:53qui est en pleine forme.
00:40:54Toujours.
00:40:54Toujours Juju.
00:40:56Toujours.
00:40:56Allez.
00:40:57C'est l'heure de Planète Foot.
00:40:58Avec plaisir.
00:40:58Allez.
00:41:04L'Espagne s'est baladée hier
00:41:06contre la Turquie.
00:41:07Victoire 6-0
00:41:08de la Rora de la Miniamale
00:41:10qui n'a pas marqué
00:41:11dans ce match.
00:41:11Mais une action
00:41:12a illuminé le match.
00:41:14Le but du 2-0
00:41:15des Espagnols
00:41:16c'est une oeuvre d'art
00:41:17tout simplement.
00:41:18Le ballon dans les pieds
00:41:19de Zubimendi.
00:41:20Là,
00:41:20Pedri maintenant
00:41:21au ballon.
00:41:22Le joueur du Barça
00:41:22qui va décaler
00:41:23Marco Correlia
00:41:24entre les deux joueurs.
00:41:25Merci.
00:41:26Tu vas lui remettre.
00:41:26Marco Correlia
00:41:27qui va centrer
00:41:28appuie Williams
00:41:29au Yard Sabal
00:41:30et Merino.
00:41:31C'est tout ce qu'on aime
00:41:32Pierrot.
00:41:33C'est tout ce qu'on aime.
00:41:34C'est un apparu
00:41:34collectif.
00:41:36C'est à toi,
00:41:36à moi,
00:41:37je t'aime,
00:41:38moi aussi.
00:41:38Et voilà,
00:41:39ça fait filoche.
00:41:39C'est difficile de passer
00:41:40derrière ce que tu viens
00:41:40de raconter.
00:41:41c'est bon.
00:41:42C'est bon.
00:41:42C'est bon.
00:41:43Assez sympa
00:41:44les constructifs
00:41:45en rouge quand même.
00:41:46Oui,
00:41:47les constructifs
00:41:47étaient peut-être figés
00:41:48mais ils étaient dépassés
00:41:49par cette qualité technique.
00:41:50Tu peux s'y aller très vite,
00:41:51c'est vrai.
00:41:52Non mais bon,
00:41:53c'est bravo.
00:41:54C'est bien.
00:41:54Tout simplement.
00:41:55Ça ne t'émoustille pas
00:41:56un peu plus.
00:41:56Le mec ne s'en balle pas.
00:41:57Mais non,
00:41:57honnêtement,
00:41:59ça peut t'émoustiller.
00:42:00C'est une très belle action.
00:42:01C'est magnifique.
00:42:02De l'année même.
00:42:03Après,
00:42:04moi j'ai été défenseur
00:42:05plus qu'attaquant.
00:42:07J'aimais bien le beau jeu aussi.
00:42:09Mais là,
00:42:10excuse-moi,
00:42:11les Turcs,
00:42:12il y a eu un coup de tonnerre.
00:42:14Ils ont peut-être tous pris la foudre
00:42:15mais il n'y a pas beaucoup
00:42:15de rouge qui a bougé.
00:42:17Ils ont ramassé ça.
00:42:17Il est peut-être un petit peu déçu
00:42:18par Yamal aussi qui a vanté.
00:42:20Attends,
00:42:20on va y venir après.
00:42:21Ah ouais,
00:42:21parce que c'est ça aussi.
00:42:22Moi je connais Pierrot.
00:42:23C'est un gars qui ne s'enflamme pas,
00:42:24il connaît le foot.
00:42:25Il sait faire l'équilibre
00:42:26et on dit qu'il l'emballe
00:42:27sur un but comme ça.
00:42:28Il sait que ça n'a pas été bon sur le match.
00:42:29Mathias,
00:42:30remets-le dans le droit chemin
00:42:31s'il te plaît.
00:42:32Il n'y a rien de plus beau ?
00:42:33Non,
00:42:33il n'y a rien de plus beau
00:42:34et surtout,
00:42:35on a beau aimer les détestés,
00:42:37les Espagnols,
00:42:38c'est le fruit d'un travail
00:42:42chez les jeunes
00:42:43depuis des années,
00:42:44tout ça.
00:42:45Et c'est la seule sélection au monde,
00:42:47et je pèse mes mots,
00:42:49qui joue au foot collectivement
00:42:50et qui est prête
00:42:51quels que soient les joueurs
00:42:52parce qu'il y en a certains
00:42:53qu'on connaît moins.
00:42:54Je veux dire,
00:42:54Oyarzabal,
00:42:55il n'est pas connu
00:42:55du très grand public.
00:42:58Il joue avançante,
00:42:59c'est le pivot.
00:43:00C'est une équipe fantastique.
00:43:01Je vous conseille,
00:43:02je fais de la promo
00:43:03pour l'émission d'après
00:43:04et le pourquoi
00:43:05dans l'équipe de Greg
00:43:06juste après,
00:43:07il se pose la question
00:43:07pourquoi l'Espagne
00:43:08va être championne du monde.
00:43:09Il y a juste à regarder
00:43:10ce but-là
00:43:10et vous avez la réponse.
00:43:11Il n'y a aucun pays
00:43:12aujourd'hui
00:43:14qui arrive à la cheville
00:43:14de l'Espagne
00:43:15et on vous explique pourquoi.
00:43:16Dans ce match,
00:43:17il y a un joueur
00:43:18qui a été assez irrésistible,
00:43:19c'est Pedri,
00:43:20le milieu de terrain du Barça,
00:43:21qui s'est offert
00:43:21un doublé face aux Turcs.
00:43:24Son deuxième doublé
00:43:25déjà avec la sélection espagnole,
00:43:26porte son total
00:43:27à 5 buts
00:43:28en 36 sélections.
00:43:29D'abord,
00:43:30l'ouverture du score
00:43:31après un petit travail
00:43:31de Nico Williams.
00:43:32Là, ce que j'ai aimé,
00:43:33c'est la fin de deux frappes.
00:43:35Et puis,
00:43:35il a un joueur
00:43:36sur le ballon.
00:43:37Là, tu préfères ça ?
00:43:37Oui, je préfère ça.
00:43:39Ah bon, d'accord.
00:43:39La fin de deux frappes,
00:43:40après, c'est de la justesse.
00:43:42Il ne cherche même pas
00:43:43à faire Pedri.
00:43:43Ce n'est pas quelqu'un
00:43:43qui cherche la force généralement.
00:43:45Il s'est créé le but tout seul.
00:43:46Oui, c'est simple
00:43:47quand on le regarde faire.
00:43:49Ce que j'aime aussi
00:43:49avec ce milieu de terrain,
00:43:50c'est sa capacité
00:43:51à se projeter.
00:43:52Là, il est derrière.
00:43:53On regarde sa balle.
00:43:54Il n'est pas suivi, d'accord ?
00:43:55Mais ensuite,
00:43:55il a la lucidité
00:43:56pour finir l'action
00:43:57et permettre à la Rora
00:43:59de l'emporter
00:44:006 buts à 0
00:44:01dans ce match-là.
00:44:02Pour moi,
00:44:02Mathias Pedri,
00:44:03c'est le meilleur milieu
00:44:04de terrain au monde.
00:44:05Il y a un match
00:44:06avec Vitinha, je pense.
00:44:07Mais dans sa capacité
00:44:09à faire évoluer
00:44:09le jeu de son équipe,
00:44:11à être bon
00:44:12dans les déplacements,
00:44:14à être juste
00:44:15dans les frappes de balles.
00:44:16Moi, je vois un mix
00:44:17de Xavi et Iniesta
00:44:17quand je le vois jouer.
00:44:18Et je reste bouche bée souvent.
00:44:20Les Espagnols,
00:44:21ils voient ça aussi.
00:44:22Et la comparaison,
00:44:22elle est bonne
00:44:23avec Vitinha.
00:44:25Il y en a même
00:44:26un deuxième au PSG
00:44:27qui pourrait rentrer
00:44:27dans cette course-là.
00:44:29Et ce qui est surtout bien,
00:44:30c'est que Pedri,
00:44:30il est un petit peu
00:44:31hors blessure,
00:44:33un peu comme Dembélé.
00:44:34Et on espère le voir
00:44:35sur une saison complète
00:44:36prendre sa pleine mesure.
00:44:38Mais c'est un joueur...
00:44:39Enfin, juste...
00:44:40Non, mais c'était qui ?
00:44:41Vous imaginez ?
00:44:41Vous êtes l'entraîneur
00:44:42de l'Espagne.
00:44:43Vous avez Yamal,
00:44:44vous avez cette qualité-là.
00:44:45Je veux dire,
00:44:45ça, c'est un but
00:44:46d'entraînement, Pierrot.
00:44:47La fin, comme ça,
00:44:48c'est un petit but
00:44:49d'entraînement,
00:44:49genre, voilà.
00:44:50Avec les cages rapprochées,
00:44:52on s'amuse.
00:44:52Et le truc, c'est que...
00:44:53Enfin, avec lui,
00:44:54ce qui est différent,
00:44:55c'est que tu t'aperçois
00:44:56qu'il se facilite
00:44:58quasiment tout.
00:44:58Il fait tout le temps
00:44:59le geste juste.
00:45:00Ce n'est pas un joueur
00:45:00qui est puissant,
00:45:01ce n'est pas un joueur
00:45:01qui est physique,
00:45:02qui court énormément.
00:45:03Regardez la course.
00:45:04Regardez la course.
00:45:05La course,
00:45:06elle est juste intelligente,
00:45:07en fait.
00:45:07Il ne va pas très vite.
00:45:08Il sait que l'appel
00:45:09est fait pour aller
00:45:10ouvrir quasiment
00:45:11le côté droit.
00:45:12Après, il y a le défenseur
00:45:13qui suit.
00:45:13Mais Oyarzabal
00:45:15fait un travail de dingue.
00:45:16C'est vrai.
00:45:16Mais il ne va pas très vite,
00:45:18Pedri.
00:45:18Mais c'est juste, en fait,
00:45:19voir le couloir
00:45:21où est-ce qu'il faut aller.
00:45:22Et il a une science
00:45:22du placement
00:45:23et du timing
00:45:25pour aller dans ces zones
00:45:25qui est peut-être
00:45:27la meilleure du monde.
00:45:28Tu vois,
00:45:28tu faisais le comparatif
00:45:29avec Vitinha.
00:45:29Vitinha, c'est un joueur
00:45:30qui touche le ballon
00:45:31à chaque foulée,
00:45:32qui va très vite
00:45:32avec le ballon
00:45:33et qui jongle
00:45:35avec une pomme
00:45:35comme personne.
00:45:36Mais lui,
00:45:37c'est dans la science tactique
00:45:38et du jeu
00:45:39et le placement
00:45:39et l'orientation du corps
00:45:40qui flinguent
00:45:41tous les autres milieux
00:45:42du monde.
00:45:43J'aimerais aussi
00:45:43qu'on parle de Lamin Yamal,
00:45:45auteur de pas décisif
00:45:46dans ce match-là.
00:45:47Mais il a eu plusieurs situations
00:45:48pour marquer son but,
00:45:49Lamin Yamal.
00:45:50Mais il a pêché
00:45:51dans l'efficacité,
00:45:52dans le dernier geste.
00:45:54Typiquement, Frido,
00:45:55l'Espagne gagne 6-0,
00:45:57il ne marque pas.
00:45:57Est-ce que ça fait tâche ?
00:45:59Non, mais je trouve
00:46:00que c'est un bon miroir
00:46:02de ballon d'or.
00:46:03Parce que, d'un côté,
00:46:05tu as un Français
00:46:06qui est blessé,
00:46:07pressenti pour peut-être
00:46:08être ballon d'or.
00:46:09De l'autre côté,
00:46:09c'est l'Espagnol
00:46:10qui est dans sa concurrence directe
00:46:11et son état de forme,
00:46:13comme tu peux le constater,
00:46:14n'est pas flamboyant.
00:46:15Donc, il n'est pas blessé,
00:46:16heureusement pour lui.
00:46:16Mais le parallèle
00:46:17est intéressant,
00:46:18c'est d'avoir les deux personnes
00:46:18qui soient malheureusement
00:46:21dans un état de difficulté
00:46:22assez grande
00:46:23parce que tu sens
00:46:24qu'il n'est pas au milieu
00:46:25de sa forme.
00:46:25Là, il y a un rebond.
00:46:26Là, il y a un rebond.
00:46:27C'est lié à la forme, ça ?
00:46:28Moi, pour un moment donné,
00:46:30je veux bien, Pierre,
00:46:33tu vas me dire le rebond,
00:46:33tout ce que tu veux,
00:46:34mais je trouve que le parallèle
00:46:35est intéressant
00:46:36avec le Français
00:46:38qui est en difficulté d'un côté,
00:46:39qui est ballon d'or pressenti.
00:46:40Lui, il ne fait pas
00:46:40un super match non plus.
00:46:41Donc, OK, il y a un rebond,
00:46:42mais il y a surtout
00:46:43un état de forme global.
00:46:44L'un est blessé,
00:46:44l'autre est maladroit.
00:46:45Bref, ils ont beaucoup joué
00:46:46tous les deux.
00:46:47On enchaîne peut-être, Pierre.
00:46:48Tu n'es pas d'accord avec ça ?
00:46:49Non.
00:46:50Tu vois que tu n'es pas d'accord.
00:46:51Je ne suis pas d'accord.
00:46:52Il n'a pas marqué
00:46:55pour une fois.
00:46:55Il a fait quand même
00:46:56un match incroyable
00:46:57et on l'a quand même vu
00:46:58on l'a quand même vu beaucoup.
00:47:00Mais il y a l'exigence
00:47:02qu'on a déjà de lui.
00:47:04Il y a des soirées sans.
00:47:05Il y a 6-0.
00:47:06Le match d'avant,
00:47:07il était dans tous les bons coups.
00:47:08Oui, mais elle était fatiguée
00:47:09sur ce match-là
00:47:10et j'ai le droit de le dire.
00:47:12Même si c'est peut-être
00:47:13une connerie.
00:47:14Qu'est-ce qu'il en a à faire ?
00:47:15C'est vrai.
00:47:16Il n'était pas une vraie finalement.
00:47:17Il était fatigué sur ce match-là
00:47:17et trouvez-moi le contraire.
00:47:19Que quelqu'un prouve
00:47:19qu'il n'était pas fatigué.
00:47:21Bon, on enchaîne avec la Georgie
00:47:23de Gvarak-Juvelia
00:47:24qui l'a emporté 3-0
00:47:26contre la Bulgarie.
00:47:27C'est dans le même groupe
00:47:27des matchs de qualification
00:47:29pour la Coupe du Monde 2026
00:47:30de cette zone Europe.
00:47:32Le but du capitaine
00:47:34Vichak-Juvelia,
00:47:35le parisien,
00:47:36qui va ouvrir le score.
00:47:38Merci.
00:47:39Bon, le gardien,
00:47:39il n'est pas exemple
00:47:40pour reproche.
00:47:40Là, j'ai adoré
00:47:41la passe décisive
00:47:43de Zuriko David Hatchvili,
00:47:44mon Mathias.
00:47:45Ce petit ballon piqué,
00:47:47subtil,
00:47:48pour Ganitze,
00:47:49qui va marquer
00:47:50le deuxième but georgien.
00:47:52Hop là.
00:47:53Il va endormir tout le monde.
00:47:54Il se remet en jeu.
00:47:55L'attaquant, bravo.
00:47:56Je pense qu'il n'aurait pas
00:47:57fait cette passe
00:47:57à Georges Mikotadze.
00:47:59Pourquoi ?
00:48:00Hein, Virginie ?
00:48:00Qu'est-ce que ça veut dire ?
00:48:03Georges Mikotadze,
00:48:04justement,
00:48:04on va le retrouver.
00:48:05Là, il va s'appuyer
00:48:05avec Gvarak-Juvelia.
00:48:07Regarde-moi ça.
00:48:08L'attaquant georgien.
00:48:09Puis, hop là,
00:48:10l'ancien joueur
00:48:10de l'Olympique lyonnais
00:48:11qui est à l'affût
00:48:13pour marquer
00:48:13le troisième but georgien.
00:48:14Petit ronard.
00:48:15Voilà,
00:48:16le nouveau joueur
00:48:16de Villarreal.
00:48:17Virginie,
00:48:18est-ce que ton petit cœur
00:48:19va mieux ?
00:48:20Il a quitté Lyon.
00:48:21Est-ce que tu t'en es remis ?
00:48:23Honnêtement,
00:48:23je pense qu'on ne peut pas
00:48:24vraiment...
00:48:25Non, mais c'est compliqué
00:48:26si on supporte
00:48:27l'Olympique lyonnais
00:48:27de se remettre
00:48:28du départ de Georges Mikotadze
00:48:30parce que c'est un BBOL.
00:48:32C'est la saison
00:48:33où il devait exploser
00:48:33parce qu'il devait devenir
00:48:34le remplaçant
00:48:36attitré d'Alexandre Lacazette,
00:48:38porter le club
00:48:38vers des horizons
00:48:39incroyables.
00:48:41Et puis, finalement,
00:48:42il est obligé de partir.
00:48:43Quelque part,
00:48:44il y a une poésie
00:48:45puisque c'est pour sauver le club.
00:48:46Donc, tu n'es pas guéri.
00:48:47Mais non, absolument pas.
00:48:48T'as une larme qui coule.
00:48:49C'est le Donnarumma de Lyon.
00:48:51Il est sur l'équipe
00:48:51de la foot, Virginie.
00:48:53C'est formidable.
00:48:53Je suis ravie pour toi.
00:48:55Au mois de novembre.
00:48:56En tout cas,
00:48:56je réponds à la question,
00:48:57je ne suis pas remise.
00:48:58La Géorgie est deuxième
00:48:59derrière l'Espagne
00:49:01dans ce groupe.
00:49:02On va filer du côté
00:49:02de l'Allemagne
00:49:03qui a eu chaud
00:49:04mais l'Allemagne
00:49:05l'a emporté
00:49:053 buts à 1
00:49:06face à l'Irlande du Nord.
00:49:08Ouverture du score
00:49:09de Serge Gnabry.
00:49:10Un but que j'apprécie
00:49:11tout particulièrement.
00:49:12Il va se le créer
00:49:13tout seul.
00:49:14Ce but là,
00:49:15Serge Gnabry,
00:49:16fixer le gardien
00:49:16et puis la petite finition
00:49:18et le petit ballon piqué
00:49:18parfait pour le joueur du Bayern.
00:49:20Mais les Nord-Irlandais
00:49:21vont égaliser
00:49:22sur ce corner.
00:49:23En second poteau,
00:49:24c'est Price
00:49:25qui va reprendre ce corner.
00:49:27À la demi-heure de jeu,
00:49:28il y a un but partout.
00:49:29Les Allemands,
00:49:30en seconde période,
00:49:31à 20 minutes,
00:49:32le long centre de Rome.
00:49:35Amiri,
00:49:35la défense
00:49:37nord-Irlandaise.
00:49:38Et puis là,
00:49:39il y avait Juninho
00:49:39du côté d'Allemagne.
00:49:41Florian Wirtz
00:49:42qui va marquer
00:49:43un coup franc
00:49:44de Juninho.
00:49:44Ça faisait un moment
00:49:45que je n'avais pas vu.
00:49:46Un tel coup franc
00:49:46avec cette trajectoire
00:49:47de balle un peu flottante
00:49:48prise coup du pied quasiment.
00:49:51Victoire
00:49:52après la défaite
00:49:53face à la Slovaquie.
00:49:54Mais victoire
00:49:54dans la douleur,
00:49:55Mathias.
00:49:56Dans le jeu,
00:49:57ce n'est pas simple
00:49:57du côté de l'équipe
00:49:58de Julian Nagelsmann.
00:50:00Eh bien non.
00:50:00C'est un peu bizarre
00:50:01parce que c'était peut-être
00:50:02le deuxième pays,
00:50:03on parle beaucoup de l'Espagne,
00:50:04qui jouait plutôt bien
00:50:06ces derniers mois.
00:50:08Et là,
00:50:08la reprise,
00:50:09elle est compliquée.
00:50:11Je trouve que Nagelsmann
00:50:12avait réussi
00:50:12à mettre de vraies choses
00:50:13en place.
00:50:13Ah bon ?
00:50:14Ah bah oui.
00:50:15Sur les mois précédents...
00:50:17Je trouve que ça fait
00:50:17trois ans qu'il ne ressemble
00:50:18à rien à l'Allemagne.
00:50:19Non, parce qu'ils n'ont pas
00:50:21une grande génération.
00:50:21Après, il y a des changements aussi.
00:50:23Il est obligé
00:50:23d'intégrer son nouvel
00:50:25avant-centre.
00:50:25Mais ce qui est inquiétant,
00:50:26c'est que c'était la Slovaquie
00:50:27et l'Irlande du Nord
00:50:28et qu'ils ont pas mal galéré.
00:50:30Et que là,
00:50:30il faut faire attention
00:50:31avec cette défaite en Slovaquie.
00:50:33Il n'y a que le premier
00:50:33qui est qualifié
00:50:34pour la Coupe du Monde.
00:50:35Il ne va pas falloir lâcher
00:50:36d'autres points en route
00:50:38parce que même si la Slovaquie
00:50:39a eu chaud,
00:50:40elle est gagnée.
00:50:41Elle est toujours devant.
00:50:42Mais moi,
00:50:43j'en reviens toujours
00:50:43à la même chose.
00:50:44Ce genre de compétition.
00:50:45Didier Deschamps,
00:50:45il nous a rabâchés
00:50:46pendant des siècles.
00:50:47Oui, mais l'important,
00:50:48c'est de se qualifier.
00:50:49Mais il a raison.
00:50:49Je le fais très mal.
00:50:50Je le fais très mal.
00:50:51Tu veux limiter ?
00:50:51Non, non, je t'en prie.
00:50:52Mais c'est hyper compliqué.
00:50:53Et là, les Allemands,
00:50:54ils sont en galère.
00:50:55Et là, cette égalisation,
00:50:56ça leur a mis un petit coup.
00:50:57Et franchement,
00:50:57il faut qu'ils fassent gaffe
00:50:59pour aller au Mondial.
00:50:59Tu peux nous refaire
00:51:00Didier Deschamps ?
00:51:01Oui, alors vous savez...
00:51:02Alors c'est Didier Deschamps
00:51:04mais qui a le nez bouché quand même.
00:51:05Oui, un peu enhumé.
00:51:06Nous, on va rechaîner
00:51:07avec Memphis Depay
00:51:08qui est entré dans l'histoire
00:51:09de la sélection des Pays-Bas.
00:51:12L'ensemble buteur
00:51:12de l'Olympique tionnais
00:51:13s'est offert un doublé
00:51:14contre la Lituanie.
00:51:15Et il est devenu
00:51:16le meilleur buteur
00:51:17de la sélection batave
00:51:18en dépassant
00:51:19un certain Robin Van Persie.
00:51:20Il avait besoin d'un but
00:51:21pour le dépasser.
00:51:23Il en a mis deux.
00:51:23D'abord sur ce centre
00:51:24de Cody Gatpo
00:51:25il va reprendre ce ballon
00:51:26plat du pied, parfait
00:51:28pour permettre aux Néerlandais
00:51:29de mener 1-0
00:51:30à ce moment-là de la partie.
00:51:32Et puis il va donner
00:51:33la victoire après
00:51:34ce centre parfait aussi
00:51:35de Dental Dempries
00:51:35et puis la tête
00:51:36bien claquée
00:51:37de Memphis donc
00:51:38qui a marqué 52 buts
00:51:41avec la sélection néerlandaise.
00:51:42C'est deux de plus
00:51:43que Robin Van Persie.
00:51:45Alors oui,
00:51:46il est rentré
00:51:47dans l'histoire du foot néerlandais
00:51:48mais ça ne fait pas de lui
00:51:50une légende de son pays.
00:51:52Pourquoi ?
00:51:53Il y a des joueurs
00:51:53beaucoup plus référenciers
00:51:57avec la sélection néerlandaise
00:51:58qui sont devant lui.
00:52:00Attends, laisse-moi finir.
00:52:00Je pense à Robin Van Persie,
00:52:02je pense à Patrick Kluivert,
00:52:03Dennis Bergkamp,
00:52:03je ne parle même pas
00:52:04de Johan Cruyff.
00:52:05Wesley Schneider
00:52:06est plus une légende
00:52:07que Memphis Depay
00:52:08avec la sélection.
00:52:09Il a mis le plus de buts,
00:52:10d'accord ?
00:52:11Mais qu'est-ce qu'il a fait
00:52:11concrètement pour permettre
00:52:12à son équipe de gagner des trophées ?
00:52:13Je trouve que Memphis Depay
00:52:16c'est le mec
00:52:17qu'on ne voit pas comme ça
00:52:19mais en termes de stats
00:52:21continue de faire du rap,
00:52:23fais des clips,
00:52:24fume des cigares dans tes clips,
00:52:25fais ta vie,
00:52:26va jouer au Brésil,
00:52:27en fait amuse-toi.
00:52:28Mais il kiffe sa vie
00:52:29et c'est les deux buts
00:52:32qu'il met là
00:52:32entre la tête.
00:52:33Là, techniquement,
00:52:34c'est ultra difficile à faire.
00:52:35Tu valorises le style de vie
00:52:38de Memphis Depay.
00:52:39Non, je valorise,
00:52:40c'est le meilleur buteur
00:52:41de l'équipe des Pays-Bas.
00:52:42Il m'a parlé du rap,
00:52:42des cigares,
00:52:43mais pas de foot.
00:52:43Mais parce qu'en fait,
00:52:44il arrive à mélanger les deux
00:52:46sans noyer sa performance.
00:52:47Et tu te rappelles
00:52:47d'une grande performance
00:52:48de Memphis Depay
00:52:52dans un grand tournage
00:52:53avec les Pays-Bas ?
00:52:54Et c'est sa faute à lui ?
00:52:55Lui, il est au rendez-vous
00:52:56ou pas ?
00:52:56Lui, il est au rendez-vous
00:52:57ou pas ?
00:52:58Au rendez-vous des stats,
00:52:59oui.
00:52:59Ah, d'accord, ok.
00:53:01Donc en fait,
00:53:01il faut être en...
00:53:02Mais le problème,
00:53:03c'est que si tu es entouré
00:53:04de Clarence Seedorf,
00:53:05de Davids,
00:53:06de Bergkamp
00:53:07et de Kluivert
00:53:07et de Van Basten,
00:53:09évidemment que peut-être
00:53:10tu entends un peu plus
00:53:10dans l'histoire.
00:53:11Lui, regarde qui est à côté de lui.
00:53:14Regarde avec qui il joue, lui.
00:53:15Tu les connais tous ?
00:53:15Cody Gagpo.
00:53:16Ouais.
00:53:17Van Dyck.
00:53:17Ah d'accord.
00:53:18Et ça, c'est des légendes.
00:53:19Ben, c'est pas mal.
00:53:20Je ne sais pas si c'est des légendes.
00:53:20Non, arrête un peu ta comédie.
00:53:22Je ne t'ai pas dit
00:53:22que c'était des légendes.
00:53:22Tu me négliges.
00:53:23C'est une légende du foot.
00:53:24Évidemment que c'est une légende.
00:53:25C'est comme Giroud.
00:53:26Voilà, pareil.
00:53:27Laisse participer les autres.
00:53:28Pareil, comme Giroud.
00:53:28Ouais, tic et tac, là.
00:53:29Tic et tac.
00:53:30Giroud.
00:53:30Et alors ?
00:53:31Il est champion de quoi, lui ?
00:53:32Le fils de Paille.
00:53:33T'aimes pas la vie.
00:53:34C'est une légende.
00:53:35Il n'aime pas la vie.
00:53:36Il vous a mis le feu de Paille.
00:53:37C'est une légende ou pas ?
00:53:37Excellent.
00:53:39Il vous a mis le feu de Paille.
00:53:41Eh ben, il est long.
00:53:42C'était long, la voix derrière.
00:53:43C'était dur.
00:53:44C'était dur.
00:53:44Non, mais c'est vrai.
00:53:45Maintenant ?
00:53:45C'était mignon.
00:53:47Ben, moi...
00:53:47Non.
00:53:48Non, non.
00:53:50C'est difficile.
00:53:50Il est naze.
00:53:51Pardon, il est naze.
00:53:52On n'a pas dit ça.
00:53:52Non, c'est pas naze.
00:53:53Écoutez, Mathieu.
00:53:53Il a sa centaine de sélections.
00:53:56Oui, il a mis un but tous les deux matchs.
00:53:58Mais ils ont gagné des matchs 8-0 face à Malte.
00:54:01Ce genre de choses.
00:54:02Donc, c'est les stats.
00:54:03Malheureusement, aujourd'hui,
00:54:04on a envie de faire des légendes.
00:54:05Tout le monde, mais même fils de Paille.
00:54:06Et dans 10 ans, plus personne ne s'en souviendra.
00:54:08À part son style, parce que c'est un ovni
00:54:10dans l'état d'esprit hors terrain
00:54:12et qu'il a un style particulier.
00:54:14C'est le meilleur buteur de l'histoire de Pays-Bas,
00:54:15mais par contre, il ne rentre pas dans l'histoire.
00:54:17Oui, mais je suis fan d'Olivier Giroud.
00:54:19On ne va pas dire qu'Olivier Giroud
00:54:20est une légende du foot français.
00:54:22Hein ?
00:54:22Ah ben si, quand même.
00:54:23Ouais, mais les mecs, arrêtez aussi.
00:54:24Ah ben quand même.
00:54:25On me parle en même temps, j'ai pas écouté.
00:54:27Olivier Giroud n'est pas une légende du foot français.
00:54:30Je quitte ce plateau, si tu continues.
00:54:32Je suis fan numéro un d'Olivier Giroud.
00:54:34Non, mais ce que tu essayes de dire,
00:54:37c'est que tu peux avoir de grosses statistiques
00:54:39et pas forcément un impact collectif.
00:54:41Ouais, ne pas marquer les esprits.
00:54:43Ou ne pas être traité de légende.
00:54:45On ne se mettra pas d'accord,
00:54:46on va avancer les garçons, le temps presse.
00:54:49Peut-être que je vais vous mettre d'accord
00:54:50avec des beaux buts.
00:54:51Je vous ai tenu quelques beaux buts
00:54:53avec cette soirée d'hier
00:54:56qui était très prolifique.
00:54:58Vous parlez de Kevin De Bruyne
00:54:59qui a mis un doublé face au Kazakhstan.
00:55:01J'ai adoré l'ouverture du score des Belges.
00:55:03La passe de Charles de Cattelard
00:55:04pour la frappe pleine lunette
00:55:06de Kevin De Bruyne
00:55:08qui va nettoyer vraiment littéralement
00:55:10la lucarne du gardien du Kazakhstan.
00:55:13La frappe est sublime.
00:55:14La passe aussi.
00:55:14Il a senti que De Bruyne attendait ce ballon.
00:55:17Il va l'échoir.
00:55:19Non mais là, ce qu'il fait déjà,
00:55:21notre ami là...
00:55:21Trop ça ?
00:55:22Trop ça ?
00:55:22Tu penses que c'est fait exprès ?
00:55:23Ah oui, c'est volontaire, ça c'est sûr.
00:55:25Après, c'est de l'art.
00:55:26Tu mets De Bruyne comme ça sur les 16 mètres.
00:55:28Oh merci.
00:55:28Va chercher là-bas.
00:55:29Oh merci.
00:55:30On va enchaîner avec son coéquipier à Naples,
00:55:33le macédonais Elmas.
00:55:36Sur le côté gauche
00:55:37qui va fixer toute la défense du Liechtenstein.
00:55:40Rentrer dans la surface.
00:55:42Crochet.
00:55:42Encore un petit crochet.
00:55:43Et puis là, c'est le défenseur
00:55:45qui va marquer contre son camp.
00:55:46C'est dommage.
00:55:47Elmas, il aura fait toute l'action.
00:55:49Tu préfères ça, Fred ?
00:55:50Ou la frappe de De Bruyne ?
00:55:51Oh là là, c'est beau quand même ça.
00:55:53Pour moi, De Bruyne,
00:55:55parce que je comprends.
00:55:56Et là, à moi,
00:55:58parce que je ne comprends pas ce qu'il fait.
00:55:59Là, tu ne comprends pas.
00:55:59Là, c'est Hamza Higaman,
00:56:01le nouveau joueur de Lille
00:56:03qui joue avec la sélection marocaine.
00:56:04Encore plus simple.
00:56:05Le match vient se terminer.
00:56:07Là, l'instinct, Mathias,
00:56:08j'ai adoré.
00:56:09Oui, parce qu'en plus,
00:56:10le ballon, il est derrière lui.
00:56:11Donc, il est en train de se retourner.
00:56:13Et on pourrait croire au départ
00:56:14que le gardien, il est complètement à la ramesse.
00:56:16Mais en fait, le gardien,
00:56:16il suit le mouvement du ballon.
00:56:18Donc, il se retrouve décalé.
00:56:19Il va la croiser de l'autre côté.
00:56:20Il est assez loin.
00:56:20Et c'est quand même pas mal.
00:56:22J'ai l'impression que le Higaman,
00:56:24là, ça peut être très haut.
00:56:25Attention qu'on ne voit pas aussi
00:56:26deux, trois saucisses
00:56:27pendant trois, quatre matchs.
00:56:28On ne peut voir personne.
00:56:30D'accord.
00:56:31Je ne sais pas.
00:56:32Je ne sais pas.
00:56:33Mais bon.
00:56:33Ce soir, il y aura encore du foot
00:56:35sur la chaîne L'Équipe
00:56:35avec un multiplex proposé par notre antenne
00:56:38dès 20h40
00:56:39autour de Messon Benterki
00:56:40ou encore Fred Piquen.
00:56:41Toujours avec ses matchs de qualification
00:56:42à la Coupe du Monde 2026.
00:56:44Kosovo, Suède, Suisse, Slovénie,
00:56:45Biélorussie, Écosse, Grèce, Danemark,
00:56:47Israël face à l'Italie de Donnarumma
00:56:49encore de Gattuso.
00:56:51Croatie, Monténégro,
00:56:52tout ça à suivre
00:56:53dès 20h40.
00:56:54Et le Gibraltar, il fait roer.
00:56:56Celui-là, il ne faut pas le rater.
00:56:58Notamment.
00:56:58Vous dire aussi que pour la première fois
00:57:00de son histoire,
00:57:01le ballon d'or propose aux fans
00:57:03d'élire l'action en or
00:57:06parmi cinq actions collectives
00:57:08sélectionnées par la rédaction
00:57:09de France Football.
00:57:11Voici les cinq actions collectives
00:57:12de l'année.
00:57:13Regardez-vous.
00:57:35Sergio Busquets, Messi again.
00:57:39The return from Suarez.
00:57:41Lionel Messi, what a ball.
00:57:43Here's Alba, shoot it, Kaki!
00:57:48Petinho.
00:57:52Petinho on his way.
00:57:58Here's Dwayne,
00:57:58looking for his second.
00:57:59Valverde, Bellingham.
00:58:00Valverde, Bellingham.
00:58:09Buscando la espacio,
00:58:10está buena.
00:58:11Va a sortir Benicio,
00:58:12la quiere jugar.
00:58:13La para Rodrigo,
00:58:14todavía oportunidad.
00:58:14La deja para Papé.
00:58:15Sous-titrage Société Radio-Canada.
00:58:29Et pour élire l'action collective de l'année, envoyez le numéro 1, 2, 3, 4 ou 5
00:58:50correspondant à l'action de votre choix au 71-021.
00:58:54Et vous pourrez peut-être remporter deux places pour assister à la cérémonie du Ballon d'Or
00:58:58qui aura lieu le 22 septembre prochain sur notre antenne.
00:59:02Je vous le rappelle, le Ballon d'Or France Football.
00:59:04D'ailleurs, voici le duo qui sera à la présentation de cette cérémonie du 22 septembre prochain.
00:59:11Kate Abdo, journaliste présentatrice anglaise qui officie notamment sur Paramount aux Etats-Unis
00:59:15dans l'émission Sidiez-Golasso avec Thierry Henry, Mickaël Richards ou encore Jimmy Carragher.
00:59:19Et elle sera accompagnée d'un certain Ruth Gullit, Ballon d'Or France Football 1987
00:59:24qui faisait partie du trio exceptionnel du côté du Milan avec Franck Raikard ou encore Marco Van Basten
00:59:30dans la fin des années 80, début des années 90.
00:59:32C'est notre équipe.
00:59:33C'est une légende ?
00:59:34Oui.
00:59:36Merci beaucoup, Juju.
00:59:38Il va bientôt être 18h.
00:59:40Bientôt le coup d'envoi de Guinée-Algérie.
00:59:43Oui, avec un enjeu pour les Algériens, Mathias, puisqu'ils ne sont pas encore qualifiés.
00:59:49Non, et ils ne le seront pas officiellement s'ils s'imposent.
00:59:53Mais avec le bol avérage largement favorable, ça sonnerait comme une qualification en vue du Mondial
00:59:59pour rejoindre le Maroc et la Tunisie.
01:00:02Je pense qu'avec Mahrez, Benrama et Amoura à la pointe de l'attaque,
01:00:07sur un vrai terrain de football à Casablanca, je vous conseille,
01:00:11il y a énormément de matchs qui sont décalés du côté du Maroc pour avoir de meilleures pelouses.
01:00:16Le Maroc aura la chance d'organiser la prochaine Cannes.
01:00:21Et évidemment, on va vous montrer comment on se connecte pour aller voir ces matchs-là.
01:00:25Ah oui, important.
01:00:26Bien sûr, puisque là vous avez la chaîne L'Équipe sur votre télévision.
01:00:29Ça ne s'est pas vu que tu allais là-bas à ta question.
01:00:30Vous allez sur la tablette.
01:00:32Petit mode d'emploi en direct.
01:00:33Mais bien sûr, vous avez un petit onglet.
01:00:35Tu n'as pas besoin de faire ça, ils vont mettre la tablette à l'écran.
01:00:37Mais oui, mais elle n'est pas encore arrivée.
01:00:38Donc je leur montre.
01:00:39Comme ça, on a les images de l'Algérie.
01:00:41Et vous avez tous les matchs qui vont apparaître ce soir.
01:00:44Voilà, ceux qui veulent suivre juste Israël-Italie viendront se connecter.
01:00:48Mais Messaoud fera bien mieux la promotion que moi.
01:00:50Oui, j'espère.
01:00:51Il faut espérer en tout cas.
01:00:52Bravo Mathias, c'était parfait.
01:00:55Voilà, vous n'avez plus d'excuses.
01:00:56Vous êtes obligés d'aller vous abonner et de regarder toute la belle programmation de l'équipe Live Foot.
01:01:01Ça a sonné parce que Giovanni Castati nous attend en direct du Parc des Princes.
01:01:05Ça y est, les Bleus vont s'entraîner avant ce match demain à 20h45 contre l'Islande.
01:01:12Giovanni, est-ce qu'il y a des choses à nous raconter ?
01:01:14Est-ce que tout le monde est là déjà ?
01:01:16Est-ce que le groupe est au complet ?
01:01:18Hormis les blessés, évidemment, dont on connaît l'identité.
01:01:22Ousmane Dembele, désiré doué.
01:01:27Rebonjour Virginie.
01:01:28Alors pour l'instant, il n'y a personne.
01:01:29Personne n'est sorti du tunnel.
01:01:31Donc je ne peux pas vous dire l'état du groupe.
01:01:33Ce qu'on peut vous dire, et c'est une information importante,
01:01:35puisque pour ceux qui suivent la Ligue 1 et qui ont vu la pelouse du Parc des Princes
01:01:40dans un piteux état lors de la deuxième journée du championnat de France,
01:01:43elle est d'un bien meilleur état.
01:01:44Elle commence à retrouver son éclat habituel.
01:01:47Alors que vous le voyez sur les images de Jérémy et Jalingros,
01:01:49le staff de l'équipe de France ainsi que le sélectionneur d'Ili Deschamps
01:01:52font leur entrée sur la pelouse du Parc.
01:01:55Les joueurs devraient suivre dans quelques instants.
01:01:56Début de la séance à 18h, Virginie.
01:01:58Merci beaucoup, Giovanni.
01:01:59On va attendre que les joueurs rentrent sur la pelouse tranquillement.
01:02:01Peut-être qu'on peut se projeter sur le match de demain rapidement.
01:02:04Est-ce que vous avez envie de parler de l'attaque ?
01:02:07Qui, par exemple, pour remplacer Dembele Doué ou du milieu de terrain ?
01:02:11Parce que Coney nous a quand même vachement surpris et séduits.
01:02:15Tu l'avais annoncé.
01:02:16Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
01:02:17On a deux petites minutes pour en parler.
01:02:18La confirmation, en fait.
01:02:20On a quand même vu une très belle première période
01:02:22et il y a des choses à remettre en place.
01:02:24Moi, j'imagine pas mal de continuité dans la compo
01:02:27pour continuer à valider les choses positives qu'on a vues.
01:02:31Après, devant, sur le papier, j'ai envie de dire,
01:02:33qui que ce soit dans le 11 du départ,
01:02:35il y a un vrai roulement à mettre en place
01:02:38parce qu'il va falloir compter sur tout le monde.
01:02:41Et puis, il y a des joueurs qui ont leur preuve à faire.
01:02:43Et puis, on va certainement se retrouver avec un bloc bas
01:02:45qu'il va falloir attaquer.
01:02:46Donc, il va vraiment falloir mettre les ingrédients dès le début du match.
01:02:49Je rappelle qu'il y a quelques années, on a joué contre l'Islande.
01:02:51Certes, c'est amical.
01:02:52Ils étaient tous derrière.
01:02:54Ils nous avaient puni deux fois.
01:02:55Et on avait fait 2-2 dans les arrêts de jeu.
01:02:56Donc, voilà, encore une fois, ce n'est pas un match à prendre à la légère.
01:02:59Fred ?
01:02:59Moi, c'est plutôt ça que j'ai hâte de voir.
01:03:01C'est l'Islande aussi.
01:03:02Parce que...
01:03:03Autant je...
01:03:04Ah, pas les bleus, l'Islande.
01:03:05Les bleus, je n'ai pas de doute.
01:03:06En fait, moi, j'ai une curiosité comme tout le monde.
01:03:08Mais c'est le match qui m'intéresse et c'est l'adversaire.
01:03:10Parce que l'Islande, je trouve piégeux.
01:03:11On parlait de la Géorgie pour le basket.
01:03:13L'Islande...
01:03:14Alors après, normalement, il n'y a pas de sujet.
01:03:15Tu te méfies de qui ?
01:03:16Je me méfie du pays dans sa globalité.
01:03:19Tu vois, cette capacité à faire...
01:03:20Il est très globale dans ses analyses, Fred.
01:03:21Il faut savoir.
01:03:22C'est surtout que je suis un gros flipper, en fait.
01:03:24Tu vois bien ?
01:03:24Oui, voilà, c'est ça.
01:03:25Pour toi, c'est le Bayern de...
01:03:26Oui, mais moi, je flippe, je balise.
01:03:28J'aime l'équipe de France.
01:03:29Et je vois bien que ce n'est pas évident.
01:03:31Et qu'effectivement, dans cette configuration
01:03:32où on a perdu deux de nos grands joueurs,
01:03:34mine de rien,
01:03:35ce n'est pas si simple que ça.
01:03:36Et je te dis, ça me fait penser un peu...
01:03:38Tout le monde pense que c'est facile,
01:03:39comme la Géorgie.
01:03:39Moi, je trouve que c'est une très bonne chose, moi.
01:03:43Justement, qu'il y ait les cadres un peu
01:03:47qui sont un peu sur le côté de la route,
01:03:48qu'on voit un peu ceux qui ont des choses à montrer aussi.
01:03:50C'est vrai, ce qu'ils ont dans le ventre.
01:03:51C'est très bien.
01:03:52Mais s'il y a un seul truc que j'ai envie de revoir,
01:03:55c'est ces deux joueurs du milieu
01:03:56avec Joao Méli et Manu Connet
01:03:58pour confirmer qu'il faut absolument...
01:04:00Eh oui, peut-être que Rabiot peut craindre sa place dans le...
01:04:04Si tu as Rabiot sur le banc, ça reste quand même bien.
01:04:06Bien sûr, bien sûr.
01:04:08On remercie Giovanni quand même
01:04:09que vous allez retrouver dans l'équipe de Greg
01:04:11après avec les joueurs sur le terrain.
01:04:14Nous, on ne les a pas encore.
01:04:15Merci, Giovanni.
01:04:16Du coup, on va jouer.
01:04:17Je vous propose de jouer.
01:04:18Vous êtes prêts ?
01:04:19Allez, les tirs au but.
01:04:22Allez, Fred.
01:04:22Fred.
01:04:24Bon, il est grand là.
01:04:27Égalité parfaite, 4 partout
01:04:29entre la team Boobie et la team reste du monde.
01:04:32Team Boobie, vous choisissez la couleur aujourd'hui.
01:04:35Inspiré ou inspirant ?
01:04:39Inspiré ou inspirant ?
01:04:40Ou aspirant, ça.
01:04:42Violet ?
01:04:42Vamos, vamos.
01:04:43Violet ?
01:04:44Tu as appris de prendre l'initiative.
01:04:45J'ai l'impression que vous n'êtes pas d'accord.
01:04:46Oui, oui, violet, violet.
01:04:47Il y a une unanimité ?
01:04:49On ouaille.
01:04:49Très bien.
01:04:50On ouaille.
01:04:50C'est parti.
01:04:52Violet pour la team Boobie, rose donc pour la team reste du monde.
01:04:54Avec plaisir.
01:04:56Team Boobie.
01:04:57Oui.
01:04:58Combien de matchs ?
01:04:59Oh putain, on commence bien.
01:05:01Presnel Kimpembe a-t-il disputé avec le PSG ?
01:05:05Il faut un toupil.
01:05:06Est-ce que c'est plus ou moins que 250 ?
01:05:11Oh, c'est plus.
01:05:13Cadeau.
01:05:13Il est 25 ans qu'il est au club.
01:05:15Ouais, c'est piège.
01:05:16Il s'est beaucoup baissé.
01:05:17Il est passera.
01:05:19Il a l'air qu'il a fait de suite la semaine dernière.
01:05:21On dit plus quand même.
01:05:21Plus ?
01:05:22Ouais, on dit plus.
01:05:22250, c'est bad.
01:05:23Plus.
01:05:24Allez, plus.
01:05:25C'est une mauvaise réponse.
01:05:25C'est pas possible.
01:05:27Je savais, on savait que c'était un piège.
01:05:28Mais on y va quand même.
01:05:31Le chiffre exact, c'était 241.
01:05:34Bah oui, de toute façon, je pensais que c'était 248, moi.
01:05:38Ça commence bien.
01:05:41Team Restos du Monde.
01:05:42Oui.
01:05:42Qui a remporté les championnats du monde de volet féminin hier ?
01:05:45C'est un pied, le monde.
01:05:46C'est sexe.
01:05:47Genre, tu sais.
01:05:48Vas-y.
01:05:48Vas-y.
01:05:49Attention, Fred.
01:05:50J'ai un doute.
01:05:51Tu sais, toi ?
01:05:52Bah oui, c'est.
01:05:53Bah alors, réponds.
01:05:54Allez, on gagne du temps, là.
01:05:56On gagne du temps encore l'Italie.
01:05:57C'est l'Italie, c'est une très bonne réponse.
01:05:591-0-1.
01:06:00Mais oui, je savais.
01:06:01C'est une boobie, un peu de concentration.
01:06:03Mais les combien ?
01:06:04J'en peux plus des combien.
01:06:05Je ne sais pas.
01:06:05Alcaraz a remporté l'US Open hier.
01:06:07Combien ?
01:06:08Un Français est-il déjà arrivé en finale du tournoi américain ?
01:06:12Pour l'interrogation.
01:06:14Ah, merci.
01:06:14C'est une question, là.
01:06:15Un Français est-il déjà arrivé en finale du tournoi américain ?
01:06:19C'est simple, la question.
01:06:20Ah là là là.
01:06:21C'est oui ou non ?
01:06:22Quel choix d'envoi pourri, aussi.
01:06:24Ou alors, tu peux en parler.
01:06:27Il faut une réponse ?
01:06:28Allez, non !
01:06:29Oui !
01:06:30Fédric Piolin, en 1993.
01:06:3493 en plus.
01:06:35Véro pointé.
01:06:37S'il me reste du monde.
01:06:38C'est terrible.
01:06:39On avance.
01:06:39On avait la même réponse.
01:06:41Poupoun.
01:06:42Cinq Français étaient engagés à la soirée UFC Paris de samedi.
01:06:46Combien ont remporté leur combat ?
01:06:4712.
01:06:48Oh, c'est un truc qui est faux, ça ?
01:06:49Attends.
01:06:5012.
01:06:50C'est les 5.
01:06:51C'est 3 ou 4 ?
01:06:5212.
01:06:53Je ne suis pas sûr qu'ils se sont sur les 5.
01:06:54Non, c'est 3.
01:06:543.
01:06:5612.
01:06:56C'est votre réponse ?
01:06:583.
01:06:58Ultime bafouille ?
01:06:59Eh bien, c'est non.
01:06:59La réponse est 5.
01:07:005, les gars.
01:07:01Oui, mais ça, je savais.
01:07:02Poco Rico, lui de l'avance.
01:07:04Exactement.
01:07:05Terrible.
01:07:06Team Boobie.
01:07:06Ah bon ?
01:07:07Il faut pas qu'on aille trop vite.
01:07:08Essayez de mettre un petit point.
01:07:09Quelle blague ?
01:07:09J'en sais rien.
01:07:11Julien Alaphilippe a-t-il fait à Guernes-Thomas pour son départ à la retraite ?
01:07:16J'en sais rien.
01:07:16Mais qui fait ça ?
01:07:17Est-ce que c'est un masque à l'effigie de Thomas ?
01:07:21Des chaussettes à l'effigie de Thomas ?
01:07:23Un masque.
01:07:23Un vélo à l'effigie de Thomas ?
01:07:25Un masque.
01:07:26Un masque.
01:07:26Un masque.
01:07:27Un masque, allez.
01:07:28On s'en fout de toute façon.
01:07:29Un masque.
01:07:30Un masque ?
01:07:30Un masque.
01:07:31Un masque.
01:07:31Un masque, bien sûr.
01:07:32Les gars, vous êtes sûrs ?
01:07:33Ben non, on n'est pas sûr, évidemment.
01:07:35C'est une bonne réponse.
01:07:38C'est parti.
01:07:39C'est une super blague.
01:07:44Selon les médias turcs,
01:07:46qui a perdu la Mini Yamal après son match contre la Turquie ?
01:07:48Tout le monde sait ça.
01:07:50C'est devenu viral.
01:07:51Ben oui, tout le monde est au courant.
01:07:52On va yager mon jeton après.
01:07:53Ah bon ?
01:07:54Son passeport ?
01:07:55Eh oui.
01:07:56Tout à fait.
01:07:57C'est une excellente réponse.
01:07:592, 1 pour la team Reste du Monde.
01:08:03Regardez.
01:08:05Ça, c'est son passeport ?
01:08:07Ah ouais, c'est son...
01:08:07Ben oui, oui, il cherche son passeport dans la valise.
01:08:10Comme quoi ça arrive à tout le monde ?
01:08:10C'est pour ça qu'il est à l'arrêt.
01:08:12Eh oui, ils sont comme nous.
01:08:13Super.
01:08:14Ah !
01:08:14C'est bon.
01:08:16Carte bonus.
01:08:17Julien Appierre, vous avez le droit à votre téléphone pour répondre à cette question.
01:08:21Attention, pas de tout ce monde.
01:08:22Non, non, non, non.
01:08:23Vous devez attendre la fin de la question.
01:08:25Ça change.
01:08:26Tricheur.
01:08:27Vous verrouillez les téléphones.
01:08:29Ouais, c'est bon, vous verrouillez.
01:08:30Allez.
01:08:31Quel ancien joueur du Real a sorti une chanson cette semaine ?
01:08:34Ça durera un mousse.
01:08:35Allez, vas-y.
01:08:35Ça durera un mousse.
01:08:36Allez, vas-y.
01:08:37Ton bonus pourri.
01:08:39On va mettre ta bonus sur un autre truc ?
01:08:41C'est une bonne réponse.
01:08:43Ça fait de partout.
01:08:44Team Reste du Monde.
01:08:48Carte bonus.
01:08:49Vous devez mimer votre réponse.
01:08:51Qu'est-ce que tu fais là ? Tu me prends mon boulot, Virginie ?
01:08:53Pardon.
01:08:56Mathias Fred, vous devez mimer votre réponse.
01:08:58Ah, d'accord.
01:08:59Les Bleus.
01:09:01Nicolas Girard, Jean-Philippe Bouche et François Dubois ont décroché hier une médaille d'argent
01:09:05au championnat du monde.
01:09:07Dans quelle discipline ?
01:09:08Il sait ça aussi.
01:09:10Non mais, oh là là.
01:09:11Il sait tout, Mathias Duches.
01:09:12C'est une très bonne réponse.
01:09:13Ça, c'est la chasse.
01:09:15C'est du tir à l'arc.
01:09:16Tu sais quoi ?
01:09:17J'étais face à lui.
01:09:18Je n'ai rien compris au sport qu'il y avait.
01:09:19En deux jours, j'ai vu ma vie des films.
01:09:21Ça fait trois à l'heure.
01:09:22Il tient sa flèche comme ça, déjà.
01:09:2311, Pierre.
01:09:24C'est Bouby pour égaliser.
01:09:25Pierre-Ou, Pierre-Ou.
01:09:25Bravo.
01:09:26Combien de grands prix ont-ils été ?
01:09:28On-t-il été ?
01:09:29Oula.
01:09:29Combien de grands prix ont été disputés depuis le début de saison ?
01:09:32À un prêt.
01:09:33Aïe, aïe, aïe.
01:09:33C'est ta rubrique, ça.
01:09:34Pierre-Ou, c'est cadeau.
01:09:34C'est ta rubrique.
01:09:35Je sais qu'il en reste 8, non.
01:09:37Mais je ne sais pas combien il y en a en tout.
01:09:38Pierre-Ou, prends ton premier choix.
01:09:40Ça commence-toi.
01:09:40Je vais dire 11.
01:09:42Il a dit en reste 8.
01:09:43C'est ton ultime bafouille ?
01:09:44Ah non, ouais.
01:09:45C'est ça ou pas ?
01:09:46C'est une très mauvaise réponse.
01:09:48La réponse était 16.
01:09:49C'est donc une victoire de la team Reste du Monde.
01:09:52Aïe, aïe, aïe.
01:09:53Un vaincu.
01:09:54Bravo les copains.
01:09:55Ça fait 5 de suite.
01:09:57Il y a les 4-0.
01:09:585 à 4 pour la team Reste du Monde.
01:10:00Un vaincu depuis le début de saison, pas une bonne réponse.
01:10:02Bravo.
01:10:03Bravo.
01:10:04S'il vous plaît.
01:10:05C'est l'enfer.
01:10:06Il faut venir justifier votre salaire.
01:10:08C'est l'enfer.
01:10:09Bonsoir Grégory.
01:10:10C'est trop bien.
01:10:11L'équipe de Greg Hachir.
01:10:13C'est la vraie Virginie Saint-Signy.
01:10:14C'est le vrai Greg Hachir.
01:10:15Je vous adore.
01:10:16Bonsoir.
01:10:17Mathias Duches, c'est le pire Robert des Bois de l'histoire.
01:10:19Ah d'accord.
01:10:20Je fais la promo de son émission et je me fais critique.
01:10:23Non, c'est très bien.
01:10:24Mais je n'ai pas de répartie.
01:10:25Oui, c'est fou.
01:10:27Comment au lycée a fait oublier Griezmann ?
01:10:29Ça sera le comment du soir.
01:10:30Grégoire Noali.
01:10:32Pourquoi du soir ?
01:10:32Pourquoi l'Espagne va être intouchable à la Coupe du Monde 2026 ?
01:10:35On espère qu'on se trompe, bien sûr.
01:10:37Et puis PSG, équipe de France, haute tension.
01:10:40Plus J-1, les matchs contre l'Islande.
01:10:42Voilà, ça c'est quelques-uns des thèmes.
01:10:44Plus en fin de vidéo.
01:10:45Bien sûr.
01:10:45Je ne te demande pas le casting.
01:10:47Eh bien, tu fais bien de ne pas me le demander.
01:10:48Olivier Bossacan, Benani.
01:10:51Bonne entre Molinas.
01:10:52Alicia Dobie.
01:10:53Comme tous les lundis.
01:10:53Alicia Dobie.
01:10:54Grégoire Noali.
01:10:55Greg Hachir.
01:10:56Punez Jean-Nobli.
01:10:57Super.
01:10:57Allez, on l'embrasse.
01:10:58Salut t'enblis, on l'embrasse.
01:11:01Il va être à l'hier.
01:11:02J'espère qu'il ne regarde pas.
01:11:03Viens voir le journal ?
01:11:04Non, non, non.
01:11:05Merci beaucoup.
01:11:06Écoute, les téléphones.
01:11:07Bon, allez, on y va.
01:11:07La règle, la règle.
01:11:08Photos sur les vainqueurs, s'il vous plaît.
01:11:10C'est pas nous.
01:11:10Bonne soirée à tous.
01:11:11Vous les virouillez.
01:11:12Voilà, formidable.
01:11:13Tu as tout cassé haut.
01:11:14Tu as tout cassé.
01:11:15Tu as tout cassé, hein.
01:11:16Mais je ne sais pas.
01:11:17Merde, c'est pas.
01:11:17Sous-titrage Société Radio-Canada
01:11:28Sous-titrage Société Radio-Canada
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