- il y a 18 heures
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 08/09/2025.
Catégorie
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SportTranscription
00:00:00Musique
00:00:00C'est l'équipe du Soir, bonsoir à tous et bienvenue.
00:00:18Présentation express, mais juste avant, un petit saut de pub du côté des réseaux sociaux,
00:00:22compte Instagram, voyez-vous la France, battre largement l'Islande demain au Parc des Princes.
00:00:26Vous pouvez aller fréquenter Instagram, c'est nouveau, ça va nous sortir, enfin déjà depuis la rentrée.
00:00:31Présentation express de tous nos invités.
00:00:34Le président, c'est Joël Micou, dans votre vie de peuple, cher président.
00:00:38J'ai un monsieur mercatholique d'Anzi, j'ai un enfant terrible, Thomas Bonavent,
00:00:42et puis j'ai deux vieux grigous, deux chroniqueurs expérimentés, l'équipe du Soir, Etienne Moïti, et Sébastien Tarragon.
00:00:48Bonsoir messieurs.
00:00:49Bonsoir.
00:00:50Il a 15 ans de plus que moi, Etienne Moïti.
00:00:51Oui, non, mais c'est au niveau de l'ancienneté.
00:00:52Ça reste à Dieu, c'est bon.
00:00:53C'était pas au niveau de l'expérience à l'équipe du Soir.
00:00:56Les cartes jokers, vous les avez ?
00:00:58Tout le monde a compris à peu près le pouvoir que cette carte vous confère dans un débat ?
00:01:03Sébastien, je sais pas.
00:01:04Oui, Sébastien, c'est bon, vous êtes...
00:01:05Moi, je ne viens pas quatre fois par semaine, du coup, Camille a eu la gentillesse de tout m'expliquer.
00:01:09Eh bien, Camille Macalier est dans la place, Camille explique le pouvoir des cartes jokers,
00:01:13et nous fait un résumé de ce succulent Italie-Israël-Israël-Italie à Débrecen en Hongrie.
00:01:19Une rencontre qui s'est transformée en multiplex, 5-4 pour l'Italie.
00:01:22Ah oui, on va voir beaucoup, beaucoup de buts, beaucoup de rebondissements aussi.
00:01:26Match totalement fou, match de tous les dangers pour l'Italie.
00:01:30Une entame catastrophique pour les Italiens.
00:01:33Dès la 16e minute de jeu, Israël qui prend l'avantage.
00:01:36Dan Bitton, centre au premier poteau, et provoque la faute de Manuel Locatelli,
00:01:41venu tacler, qui trompe Didio Donnarumma.
00:01:4346e minute, l'Italie recolle sur une ouverture de Niccolo Barrella.
00:01:46Rettégui s'appuie sur Moïskine qui contrôle et déclenche du droit.
00:01:50Perrette s'est battu un partout.
00:01:5352e minute, Israël reprend l'avantage après un relais avec Manor Salomon.
00:01:59Dor Perrette se conclut.
00:02:00Mais deux minutes plus tard, heureusement pour les Italiens.
00:02:03Moïskine est là et signe un doublé, à nouveau bien servi par Rettégui.
00:02:0859e minute, l'Italie passe devant avec une reprise du pied gauche de Matteo Politano.
00:02:133-2, 81e minute, break fait, centre de Tonali.
00:02:16Frantaisie, c'est Raspadori qui conclut.
00:02:194-2 pour l'Italie, on les croit libérés.
00:02:23Eh bien non, 5 minutes plus tard, Israël se relance sur une erreur.
00:02:26Alessandro Bastoni.
00:02:294-3, Israël ne s'arrête pas là.
00:02:324 partout après le doublé de Perrette sur une tête.
00:02:37Et dans le temps additionnel, l'Italie qui renverse le tour encore avec Sandro Tonali.
00:02:425-4, score final au classement.
00:02:45L'Italie revient à 3 points de la Norvège.
00:02:47La Norvège qui jouera demain la Moldavie.
00:02:49Est-ce qu'elle n'a pas eu le temps de vous montrer, Camille ?
00:02:52C'est qu'il y a une balle de 5-5 pour l'Italie en toute fin de rencontre au bout de la nuit.
00:02:56Pour Israël, évidemment, une balle de 5-5, score final 5-4.
00:02:59Vous avez regardé le match ?
00:03:01L'Italie a loupé les deux derniers mondiaux.
00:03:03Là, ça semble, on va dire, un peu se rétablir miraculeusement.
00:03:07Mais c'est une fébrilité incroyable cette équipe, non ?
00:03:10Je ne sais pas.
00:03:11Joe, vous avez regardé ?
00:03:13Non, c'est une fébrilité.
00:03:15Ils ne sont pas très bien.
00:03:16Ils savaient que ce soir, il fallait l'emporter à tout prix pour avoir un espoir de se rapprocher de cette première place.
00:03:21Donc, oui, il y a eu une tension énorme.
00:03:24Il y a des erreurs qui sont faites qui sont incroyables.
00:03:25Parce qu'on n'a pas montré aussi, dans les 4 premières minutes, il y a Donnarumma.
00:03:30L'arbitre était gentil à siffler faute contre lui, mais il se met quand même un corner contre son camp.
00:03:34Donc, il veut dégager, ça rentre dans le but.
00:03:37Donc, on sent qu'ils ne sont pas sereins.
00:03:38Après, en plus, je crois qu'ils jouent la Norvège le dernier match du groupe.
00:03:42Donc, il faut qu'ils espèrent, ça sera chez eux, mais il faut qu'ils espèrent peut-être que la Norvège se fasse accrocher.
00:03:48Parce que je crois qu'en Golavera, il y a un peu d'écart.
00:03:51Oui, exactement.
00:03:52Ils ont pris 3-0, je crois.
00:03:53Je ne sais pas si c'est le général.
00:03:55C'est Golavera général.
00:03:56Oui, c'est le général.
00:03:57Je crois que ça fait 11.
00:03:59Je crois qu'ils ont 6 d'écart.
00:04:00Après, tu peux aussi te dire que l'Italie, pour le coup, mentalement, ils te font du trou quand même.
00:04:05Quand tu es mené par Israël, tu te dis que c'est fini la Coupe du Monde.
00:04:09Puis finalement, quand même, ils arrivent à l'emporter à la fin.
00:04:11Je pense, moi, plutôt que c'est une victoire fondatrice.
00:04:13Et qu'à la fin, ils peuvent, en tout cas, travailler sur ce qui s'est passé aujourd'hui pour essayer d'aller chercher la qualif.
00:04:19Moi, je trouve quand même que ça reste quand même une équipe.
00:04:21Aujourd'hui, dans le gratin mondial et en prévision de la Coupe du Monde, elle n'est pas sérieuse pour le moment l'équipe.
00:04:27Défensivement, c'est malgré les noms qu'il peut y avoir.
00:04:29Bastoni, quand on voit le match qu'il a fait aujourd'hui, par rapport à sa saison.
00:04:33Mais non, il n'y en a pas tant que ça.
00:04:34Oui, mais quand même.
00:04:35L'équipe d'Italie, tu ne te dis pas que c'est rempli de star en arrière.
00:04:37Il y a quelques cadres de l'Inter, Bastoni, Barrella, on a quand même du mal à le reconnaître en Italie.
00:04:42Gimmarco également, c'est quand même Moïskine.
00:04:45Là, tu as tête de gondole aujourd'hui sur les qualifs et depuis la dernière séquence de l'Italie.
00:04:51Donc pour moi, aujourd'hui, l'Italie n'est pas une équipe sérieuse.
00:04:54Donc comme l'a dit Loïc, ça peut peut-être les débloquer.
00:04:56Mais l'Israël, il y a 2-3 buts où franchement...
00:04:59La fondatrice dans l'état d'esprit, peut-être.
00:05:02Peut-être, il n'y a que le prochain match qui nous le dira.
00:05:04Dans le jeu avec Gattuso, on peut avoir quand même quelques deux.
00:05:07Mais qu'est-ce qui compte dans la liste de l'Italie ?
00:05:08C'est une dernière liste de l'Italie.
00:05:10Mais quand l'Italie a fait un résultat à l'Euro quand elle était champion d'Europe,
00:05:14bon, il n'y avait pas tellement de stars non plus, mais il y avait un jeu collectif qui était en place.
00:05:17Il y avait quelque chose.
00:05:18Pour l'instant, il n'y a pas ça du tout.
00:05:20Il y a le retour de l'état d'esprit, il y a la grinta de Gattuso, il n'y a pas le reste.
00:05:23J'aimerais justement avoir la réaction de Gennaro Gattuso, pas de cris de colère, un soulagement.
00:05:28Qu'est-ce qu'il a dit ?
00:05:29Parce que c'est quelqu'un qui est assez sonore sur un banc de touche, la conférence de presse de Sabo.
00:05:34Déjà, il avait dit avant la rencontre qu'il fallait gagner sale.
00:05:37Il fallait savoir gagner sale, c'était le mot qu'il avait employé, peu importe.
00:05:40L'important, c'était de gagner.
00:05:42Et aujourd'hui, évidemment, c'était à mourir.
00:05:44Il nous dit, nous sommes fous d'avoir encaissé des buts totalement absurdes.
00:05:49Nous sommes trop fragiles.
00:05:51Nous concédons des buts trop facilement.
00:05:53Mais quand même, il faut rendre hommage aux garçons qui ont eu la force de réagir à chaque gifle reçu.
00:06:00Félicitations à eux.
00:06:01Mais si nous voulons faire quelque chose d'important, nous devons nous améliorer beaucoup.
00:06:07Quelques images aussi de Gianluigi Donnarroa.
00:06:09Vous l'avez raconté au début de match.
00:06:13Il ne les met pas dans le bon sens de la marche.
00:06:16Il n'a pas joué non plus depuis un moment.
00:06:18C'est vrai.
00:06:18Il a toujours commis des erreurs de Donnarroa.
00:06:24À côté de ça, il a réalisé des prestations exceptionnelles.
00:06:27Mais des erreurs, il en a souvent commises.
00:06:29Même avec l'équipe d'Italie.
00:06:30C'était vraiment une pub pour Chevalier.
00:06:33Et pour le choix qui était pour le PSG.
00:06:35Parce qu'avant le but qui se marque tout seul, il y a une relance au pied.
00:06:39On vient de l'avoir.
00:06:42Catastrophique.
00:06:42Je comprends.
00:06:43Je n'ai jamais été fan de Donnarroa.
00:06:45Je comprends le PSG.
00:06:46Je le suis davantage.
00:06:47Mais il a quand même fait gagner la Ligue des Champions au PSG.
00:06:49Il n'y a pas faute du tout quasiment.
00:06:53Il n'y a pas de droit de le but qui se met.
00:06:55On est d'accord.
00:06:56Il n'y a vraiment rien.
00:06:57Il n'y a rien du tout.
00:06:58Il a fait quand même quelques arrêts qui ont été déterminants dans le match.
00:07:02Il a double visage ce match.
00:07:03C'est vrai qu'à la fin, sur une séquence très chaude de l'Israël,
00:07:06il a deux, trois séquences dont une sortie au pied sur une frappe
00:07:10où le but est vide, où il va la récupérer.
00:07:13C'est Donnarroa comme on l'a souvent vu,
00:07:15comme on l'a moins vu l'année dernière.
00:07:17Mais là, c'est vrai que si même lui n'arrive pas à être le cadre
00:07:20et vraiment le garant d'une sérénité du côté d'Italie
00:07:23avec la séquence et l'année qu'il vient de nous sortir,
00:07:25oui, on peut peut-être espérer que mieux les barrages pour l'Italie.
00:07:29Je regardais son jeu au pied à chaque fois.
00:07:31C'est une sidération que Guardiola l'ait voulu.
00:07:34Je n'arrive pas à comprendre.
00:07:35C'est une opportunité de marcher, comme on dit.
00:07:37Comme il l'a été pour l'heure.
00:07:39C'est bien dit, c'est une opportunité de marcher.
00:07:41Non, mais d'accord, mais que Guardiola fasse ça,
00:07:44je veux dire, d'autres coachs peuvent faire ça.
00:07:46Mais que Guardiola, on va dire, qui a créé, qui a redéfiné le point...
00:07:50Je trouve que normalement, il a progressé quand même dans le jeu au pied.
00:07:53Alors évidemment, sur ce match, ça ne se voit pas du tout.
00:07:56Il dégage maintenant, quoi.
00:07:57Il vaudrait mieux, mais il est quand même capable de jouer mieux au pied,
00:08:02de mieux jouer avec ses défenseurs qu'il a fait aujourd'hui.
00:08:05Mais c'est vrai qu'il a l'air quasiment fragilisé.
00:08:07C'était l'ancien Donnarumma sur toutes les actions.
00:08:11Sortie aérienne, jeu au pied catastrophique.
00:08:13On se marque des buts, n'est-ce pas, Joe ?
00:08:14Il est passé d'un gardien qui ne fait aucun arrêt,
00:08:18mais qui avait un très bon pied,
00:08:19un gardien qui peut faire des arrêts,
00:08:20mais qui a un pied plus compliqué.
00:08:22Donc ça va être à lui...
00:08:23On peut lui reconnaître, pas sur le match-là,
00:08:26mais il a progressé quand même.
00:08:27Oui, bien sûr.
00:08:27Mais tu sais que ça a l'air fragile.
00:08:30Entre ce que demandait Louis-Sénérique
00:08:31et ce que va probablement lui demander Guardiola,
00:08:33il sera largement sollicité.
00:08:35Ce qui s'est passé avec Donnarumma,
00:08:36c'est quand même très curieux l'année passée.
00:08:38Parce que je me souviens, en Ligue des Champions,
00:08:40j'ai oublié si c'était en huitième ou en quart,
00:08:42mais je crois que c'est en huitième,
00:08:42où en première période, il est catastrophique.
00:08:47C'est-à-dire que...
00:08:48Liverpool ?
00:08:48Huitième, c'est Brest.
00:08:49Non, non, non, c'est 16e Brest.
00:08:51Huitième, Liverpool.
00:08:52En première période, tu te dis,
00:08:54mais ce n'est pas possible.
00:08:55En fait, le ballon lui brûle les pieds.
00:08:56Et puis, il y a cette seconde période
00:08:59qui le met dans le match
00:09:00et il devient même très bon au pied
00:09:02sur toute la qualification de Ligue des Champions.
00:09:06Donc, quel est son vrai niveau ?
00:09:08C'est la question que s'est posée le Paris Saint-Germain.
00:09:09Et le Paris Saint-Germain a répondu
00:09:11que ce n'était pas celui qu'on a vu
00:09:12pendant la dernière Ligue des Champions.
00:09:15Mais c'est curieux.
00:09:16Mot de la fin, Sébastien Tarrago.
00:09:18On file à France-Islande.
00:09:20Deuxième match qualificatif pour les Bleus
00:09:21dans leur route vers le Mondial.
00:09:24Malgré les forfaits de Douai Dembélé,
00:09:25Deschamps assiste.
00:09:26Et va aligner deux mains au Parc des Princes.
00:09:28Quatre attaquants au coup d'envoi.
00:09:29Voici la compo probable.
00:09:31On va la découvrir ensemble avec cette organisation
00:09:34qui est reconduite.
00:09:36Vous voyez, Barcola, Olizé et Thuram.
00:09:38Ligne de trois attaquants.
00:09:39Olizé est bien au centre.
00:09:40Mbappé, lui, est dans l'axe.
00:09:42Confirmer l'élan offensif.
00:09:43Est-ce la priorité des Bleus demain contre l'Islande ?
00:09:45A cette question, deux chroniquants ne sont pas d'accord.
00:09:48Un jeune contre un vieux Grégo.
00:09:49Confirmer l'élan offensif.
00:09:55Est-ce la priorité des Bleus demain contre l'Islande ?
00:09:58On peut être jeune et avoir des idées derrière.
00:10:00Vous m'avez répondu non, mon cher Thomas.
00:10:02Oui pour Étienne Moati.
00:10:04Thomas, vous, ce n'est pas la priorité de cette rencontre.
00:10:07C'est quoi la priorité ?
00:10:08Étienne et tous les chroniqueurs de l'Église du Saint vous écoutent.
00:10:11Qui commence ?
00:10:12C'est vous, Thomas.
00:10:13Pour moi, demain, la priorité n'est pas devant.
00:10:16En plus, ça va tourner.
00:10:17Pour moi, le talent, il est là.
00:10:19Il est acquis à l'équipe de France.
00:10:20Je pense que jusqu'à la Coupe du Monde et pendant la Coupe du Monde,
00:10:22on restera dans une sorte d'improvisation devant
00:10:25et on va laisser les individualités essayer de faire les différences.
00:10:28Moi, vraiment, mon gros intérêt, c'est ce qui se passe au milieu de terrain
00:10:31et qui confirme Chouamini-Kone.
00:10:33Et dans le fait qu'il veut l'installer sur le 4-2-3-1,
00:10:37Chouamini-Kone sur leur dynamique de niveau qui est croissante,
00:10:40je trouve que c'est vraiment un énorme enjeu pour moi,
00:10:42pour des chances.
00:10:43Chouamini-Kone jusqu'à la Coupe du Monde.
00:10:45Sans eux, vraiment, au top niveau, ça va être très compliqué.
00:10:47Bon, Étienne, la salle des machines, ça vous emmerde ?
00:10:51C'est-à-dire qu'on est en train de nous expliquer
00:10:53qu'en fait, les 10, 12, 15, 20, je ne sais plus combien d'années
00:10:56de déchamps à la tête de l'équipe de France,
00:10:57c'était football-champagne, c'est offensif.
00:10:59Et ça, franchement, c'est enregistré, c'est clair, c'est précis.
00:11:03Il n'y a vraiment pas du tout à revoir ça
00:11:05et que c'est derrière que ce sont les chantiers ou au milieu.
00:11:09Non, franchement, moi, il y a eu ce virage qui a été fait.
00:11:12Il y a aujourd'hui quatre attaquants sur la ligne de départ.
00:11:15On a vu une série de matchs, il y a des choses prometteuses
00:11:18et j'ai envie d'en voir encore d'autres et notamment demain soir.
00:11:21OK, ce premier bel est terminé.
00:11:23Vous votez pour qui ?
00:11:25Pour Thomas et son...
00:11:27J'ai une grosse communauté Twitter, on va y aller.
00:11:30On va vérifier ça dans quelques minutes.
00:11:33On va appeler la famille.
00:11:34La communauté de Thomas, c'est-à-dire la famille de Thomas va se mobiliser.
00:11:38Président, je n'aime pas quand vous grattez le bouc.
00:11:41Non, parce que c'était intéressant, mais je ne sais pas,
00:11:43je réfléchissais aussi par rapport à ce que la priorité...
00:11:47Je n'ai pas envie de dire non à cette question
00:11:49parce que c'est vrai qu'on a envie que ça continue avec ce quatuor,
00:11:53mais même si on n'a pas quand même vu...
00:11:58On a vu quelques phases de jeu, combinaisons qui étaient intéressantes
00:12:01en Ukraine, contre l'Ukraine, mais il y avait...
00:12:06Les buts, tu les mets presque en contre.
00:12:07Donc, ce n'est pas non plus ça qui t'a amené à cette qualité offensive.
00:12:10Donc, moi, j'ai envie...
00:12:11Je trouve que c'est un quatuor qui a besoin de trouver ses marques
00:12:15et c'est bien de les aligner de nouveau et de continuer avec ça.
00:12:19Donc, moi, je veux dire...
00:12:20Même si ce n'est pas ma priorité, mais j'ai envie de les voir
00:12:23un peu plus combinés ensemble, en fait.
00:12:25Donc, j'attends un peu plus ça, oui.
00:12:27OK, plus Étienne que Thomas.
00:12:31Thuram est bien à gauche.
00:12:32C'est une surprise, non ?
00:12:33Pourquoi ?
00:12:33Il a joué à gauche à l'Euro.
00:12:34Oui, c'est toujours...
00:12:35Il a fait tout l'Euro à gauche ?
00:12:36Il est là pour ça.
00:12:37Bon, il est là pour ça.
00:12:38Vous voulez le voir où ?
00:12:39Là devant.
00:12:40Là devant.
00:12:41Non, il y a Mbappé.
00:12:42Il est là, pour le coup.
00:12:43Qu'est-ce que tu sous-entends ?
00:12:44Je sous-entends que Thuram,
00:12:45on est les débordements pour faire bien un couloir.
00:12:48Oui, il est joueur de foot.
00:12:49Il défend aussi.
00:12:51Ah oui, bah oui.
00:12:51Pourquoi ? Parce que...
00:12:52Ah, pardon.
00:12:53Pour des chances, c'est important, oui.
00:12:55Toi, tu voudrais voir un duo.
00:12:57Tu voudrais voir un duo,
00:12:58mais il ne joue pas comme ça.
00:12:59Oui, non, mais soit un duo,
00:13:00soit quelque chose,
00:13:01mais en fait,
00:13:02sachant que Mbappé ne défend pas,
00:13:04donc bon, il reste...
00:13:05Le titulaire aujourd'hui, c'est Barcola.
00:13:06Il ne peut pas le mettre à gauche
00:13:07parce que Dembélé et Douai ne sont pas là.
00:13:10Mais sinon, Barcola, il joue à gauche
00:13:11et Thuram est sur le banc.
00:13:13C'est sa place aujourd'hui.
00:13:14Sauf que quand il n'est pas là,
00:13:15Thuram, lui il défend.
00:13:16Mais Mbappé, il aimerait bien jouer à gauche.
00:13:18On a tous l'impression
00:13:19que lui, il joue en 9,
00:13:20c'est lui qui a demandé de jouer en 9.
00:13:21Lui, si Deschamps lui demande
00:13:22de jouer côté gauche...
00:13:22Oui, mais c'est de jouer côté gauche,
00:13:23mais sans défendre.
00:13:24Sans défendre.
00:13:25Ah oui, donc ça, c'est compliqué.
00:13:26Exactement.
00:13:26Ah oui, non, je joue à gauche,
00:13:28mais sans défendre.
00:13:28Après, s'il est dans l'état d'esprit
00:13:30comme il est en ce moment, peut-être.
00:13:32Peut-être qu'il va défendre un peu plus.
00:13:33Peut-être qu'il va défendre un peu plus
00:13:34côté gauche.
00:13:35On peut le tenter.
00:13:36Il y a Dembélé 9, par exemple.
00:13:37De cette nouvelle organisation, Sébastien,
00:13:39vous étiez content.
00:13:41Vous étiez content,
00:13:42mais vous voyez un petit peu,
00:13:43en disant, avec Deschamps quand même,
00:13:45bon, des révolutions sans lendemain,
00:13:47il y en a eu.
00:13:48Et vendredi dernier, moi,
00:13:49j'ai repensé à vous
00:13:50lors de son coaching
00:13:51à la 76e minute,
00:13:52parce que c'est vrai
00:13:53qu'il a démarré avec 4 attaquants,
00:13:544 offensifs,
00:13:55mais à un moment,
00:13:56le navire bleu a pris un petit peu
00:13:58en toute part.
00:13:59Et la correction des chances,
00:14:00c'est quoi ?
00:14:01Eh bien, je fais rentrer
00:14:02mon baril de Rabiot
00:14:03et je sors mon Barcola.
00:14:06Alors là, ça veut dire
00:14:07qu'on est en train
00:14:07de s'enthousiasmer pour le football
00:14:09et les idées de Deschamps
00:14:10à la nouvelle direction,
00:14:11mais dès que le navire tangue un peu,
00:14:14il y a vite un réflexe sécuritaire.
00:14:16Parce qu'on peut le comprendre.
00:14:17Il est attendu.
00:14:18Tu dis 76e,
00:14:19il est attendu quand même.
00:14:20Il est attendu.
00:14:20Il est attendu pendant
00:14:21une bonne petite demi-heure.
00:14:2346, oui,
00:14:24depuis la deuxième mi-temps.
00:14:25Non, non, mais moi,
00:14:26je fais la différence
00:14:26entre les qualifications
00:14:28et les compétitions.
00:14:29Je pense que
00:14:29dans le football de sélection,
00:14:31aujourd'hui,
00:14:32ce qui se passe
00:14:33pendant les qualifications
00:14:34n'a quasiment aucune incidence
00:14:36sur les équipes
00:14:37que vous voyez
00:14:37pendant les compétitions,
00:14:39à quelques exceptions près,
00:14:40comme l'Espagne.
00:14:41Mais l'équipe de France
00:14:43que l'on voit aujourd'hui,
00:14:44à mon avis,
00:14:45ce ne sera pas celle
00:14:45de la Coupe du Monde.
00:14:46Je ne pense pas
00:14:47que Didier Deschamps,
00:14:48il bâtisse quoi que ce soit,
00:14:49il achète aussi,
00:14:50il fait ce qu'on...
00:14:51Il l'a souvent fait,
00:14:52vous savez,
00:14:52on oublie,
00:14:52mais il a souvent répondu
00:14:54aux attentes aussi
00:14:55du grand public,
00:14:56de l'opinion publique.
00:14:57L'Euro 2021, quand même.
00:14:58Très souvent,
00:15:00il a...
00:15:00Ça sert à quoi
00:15:02de le faire
00:15:02sur les matchs de qualification ?
00:15:03Parce que quand il joue
00:15:05l'Ukraine,
00:15:06quand il joue à l'Islande,
00:15:07lui, il considère
00:15:08que vous pouvez gagner
00:15:09malgré un éventuel déséquilibre.
00:15:12Mais lui, moi,
00:15:13je dis juste que...
00:15:13Oui, mais il pourrait aussi
00:15:14les gagner avec de l'équilibre
00:15:15dans son esprit des matchs.
00:15:16Donc, à quoi ça lui sert
00:15:17de mettre ce système en place
00:15:19s'il ne le maintient pas
00:15:19ensuite pendant le tournoi final ?
00:15:21Deschamps est très attentif aussi
00:15:22à répondre à tout ce qui vient
00:15:26de l'extérieur
00:15:27parce qu'il considère
00:15:28que ça rejaillit sur l'intérieur.
00:15:30Et je crois qu'il a raison d'ailleurs.
00:15:32Et souvent,
00:15:33il a fait des tentatives
00:15:34que tout le monde lui a réclamées
00:15:35pour montrer à quel point
00:15:37ça ne marchait pas d'ailleurs.
00:15:38C'est arrivé...
00:15:39C'est pour nous endormir
00:15:40pendant toute la phase
00:15:40de qualification
00:15:41et qu'on ne se rende pas compte
00:15:42et tac,
00:15:43dès que je pense qu'on démarre,
00:15:44on remet tout.
00:15:44Il n'est quand même pas fou.
00:15:45Il voit bien que Olizé
00:15:46est le joueur qu'il est
00:15:48au Bayern Munich.
00:15:49Il en profite,
00:15:50il le fait jouer
00:15:51et tout va bien.
00:15:53Et d'ailleurs,
00:15:53il faut quand même
00:15:53le mettre à son crédit
00:15:54parce qu'Olizé a raté
00:15:56ses cinq premières sélections.
00:15:57Il a continué à l'aligner quand même.
00:15:59Donc, voilà.
00:16:00Après, moi,
00:16:00je n'arrive pas à imaginer,
00:16:01mais peut-être que je me trompe
00:16:02et auquel cas, tant mieux.
00:16:04Je n'arrive pas à imaginer
00:16:05Didier Deschamps
00:16:06qui, depuis 12 ans
00:16:07qu'il est sélectionneur,
00:16:08considère qu'une équipe nationale
00:16:10ne peut pas gagner un titre
00:16:12avec une configuration
00:16:14comme celle-ci,
00:16:15aligner cette équipe.
00:16:17Ou alors,
00:16:18peut-être de l'autre fois.
00:16:20Peut-être.
00:16:23Il a déjà joué
00:16:24avec quatre joueurs offensifs.
00:16:25Mais Antoine Griezmann
00:16:26à la Coupe du Monde 2022,
00:16:28il était au milieu de terrain.
00:16:29Il jouait vraiment très bas.
00:16:31Dembélé était arrière-droite.
00:16:33J'ai dit l'autre fois,
00:16:34arrière-droite,
00:16:34j'exagère.
00:16:35Il n'était pas loin.
00:16:37Ça va dépendre de la saison
00:16:38que vont faire ces milieux de terrain.
00:16:39Ça dépend toujours
00:16:40de la forme.
00:16:42S'il fait froid,
00:16:43ça risque d'être compliqué.
00:16:44Non, non.
00:16:44La météo,
00:16:44s'il fait trop chaud,
00:16:45il l'a déjà dit dans l'équipe,
00:16:47s'il fait trop chaud aux Etats-Unis,
00:16:48il estime que le pressing haut
00:16:50comme ça,
00:16:51et les joueurs croient pas offensif,
00:16:52c'est pas possible.
00:16:52Pourquoi ?
00:16:52Parce que tu joues avec quatre joueurs offensifs,
00:16:53tu fais du pressing haut ?
00:16:54Pour lui, oui.
00:16:55Ah.
00:16:56Oui, mais d'ailleurs,
00:16:57ça n'a pas...
00:16:58Pour lui,
00:16:58il faut...
00:16:58Avec quatre devant,
00:17:00tu es obligé de presser très haut.
00:17:01Tu vas pas être plus fatigué en quatre,
00:17:03deux, trois.
00:17:03Et si tu presses plus haut,
00:17:04tu fais moins de courses.
00:17:05Et qui allait en finale
00:17:05la Coupe du Monde des Lugues ?
00:17:07Des équipes qui pressaient beaucoup.
00:17:10Le problème,
00:17:11c'est que le joueur a à Atlanta aussi.
00:17:13La seule chose,
00:17:14c'est qu'avec Didier Deschamps,
00:17:15c'est souvent ennuyé,
00:17:17mais lui,
00:17:18il a aussi gagné.
00:17:19Il pourrait répartir ça
00:17:20et dire cela.
00:17:22Et on peut pas dire à Didier Deschamps...
00:17:24Oui, il a gagné comme les autres.
00:17:25On peut pas lui reprocher
00:17:26d'avoir des convictions.
00:17:27C'est juste ça que je dis.
00:17:28C'est-à-dire que lui,
00:17:29sa conviction profonde,
00:17:30c'est qu'il a besoin
00:17:31d'équilibre défensif.
00:17:32C'est sa conviction d'entraîneur.
00:17:33Je trouve que c'est comme ça.
00:17:35J'en ai pris mon parti.
00:17:36Je suis pas sûr
00:17:37que t'es pas un équilibre défensif
00:17:38avec cette équipe.
00:17:39Parce que surtout
00:17:39que les deux sur les côtés,
00:17:40ils travaillent quand même.
00:17:41Olyseo, il travaille.
00:17:42Bon, après,
00:17:43Mbappé, il travaille pas.
00:17:44Bon, ça, c'est sûr
00:17:45que ça peut poser un problème.
00:17:46Mais je pense que tu peux avoir
00:17:47cette équipe défensif
00:17:49et offensif
00:17:50avec cette équipe.
00:17:51Thuram et Barcola,
00:17:52c'est pas pareil déjà.
00:17:53Oui, mais ça défend quand même.
00:17:53Barcola, il défend.
00:17:55Mais moi,
00:17:55il est moins costaud
00:17:56que Thuram.
00:17:57Et je trouve que très vite,
00:17:59on est dans l'instantané
00:18:01et on a l'impression
00:18:02qu'aujourd'hui,
00:18:03Adrien Rabiot n'existe plus.
00:18:04S'il y a un joueur...
00:18:05Non, mais après,
00:18:06ça sera dans les deux.
00:18:07C'est un des deux.
00:18:08Voir le match Udi de l'époque.
00:18:09Oui, si.
00:18:10Ben voilà.
00:18:10Et tu te dis jamais,
00:18:11Sébastien,
00:18:12que peut-être finalement Deschamps,
00:18:14il a l'impression
00:18:14peut-être qu'il ne peut plus gagner
00:18:16avec son ancien système.
00:18:17C'est peut-être ça aussi.
00:18:19Et que peut-être
00:18:19ce système-là,
00:18:20il a envie de le mettre en place
00:18:21parce qu'il a envie de le maintenir.
00:18:21Mais non, il le fait
00:18:21parce qu'il y a trop de joueurs devant.
00:18:22Pas parce qu'il a un gros pot
00:18:23de champagnes,
00:18:24mais parce que...
00:18:25Il y a trop de joueurs devant,
00:18:26c'est pas qu'il le fait.
00:18:27Oui, mais...
00:18:27C'est la seule raison.
00:18:28Aussi, c'est ce qu'on a dit
00:18:29au fil des émissions,
00:18:30à ce que vous expliquez
00:18:31dans le journal.
00:18:32Mais de toute façon,
00:18:33son ancien système,
00:18:34il commence aussi un peu
00:18:35à s'étioler.
00:18:36Qu'est-ce qu'on a vu
00:18:36la dernière fois ?
00:18:37Mais c'est quoi son ancien système ?
00:18:39Il a joué avec tous les systèmes.
00:18:40Après, il a un système
00:18:40et l'animation aussi.
00:18:43On a vu quand même
00:18:45que ça bouge beaucoup.
00:18:47Le mec à gauche
00:18:48vient souvent aider
00:18:49dans le milieu de terrain.
00:18:50Parce qu'il a les joueurs
00:18:50pour le faire.
00:18:51C'est intéressant.
00:18:54Il a joué avec quel système
00:18:55à la Coupe du Monde, par exemple ?
00:18:56Il a joué en 4-2-3
00:18:57ou en 4-3-3 ?
00:18:58En 4-3-3.
00:18:59Pour moi, il a joué en 4-3-3.
00:19:00Le Zman était en 4-3-3.
00:19:01Mais sauf qu'au départ,
00:19:02on se dit...
00:19:03Après, c'est l'esprit
00:19:04que tu mets à ton équipe
00:19:05si c'est les joueurs
00:19:06que tu vas mettre.
00:19:07L'Espagne joue en 4-3-3.
00:19:08C'est le plus beau football mondial.
00:19:10Les gars, je le dis quoi.
00:19:11Voir avec les Argentins.
00:19:12Je trouve que c'est extraordinaire.
00:19:13On n'en parle jamais.
00:19:14Il y a quelque chose
00:19:15qui a été évoqué
00:19:15sur la météo aux Etats-Unis
00:19:17qui fait chaud le pressing
00:19:18contre l'Ukraine.
00:19:20Il n'y avait pas une calicule
00:19:21à Vroclaw ?
00:19:22Pas du tout.
00:19:23Voilà.
00:19:23En fait, on regardera
00:19:24la température le matin.
00:19:26Suivant s'il fait 20 ou 32,
00:19:27il y aura un pressing.
00:19:28Attendez, attendez, attendez.
00:19:33On a expliqué que les Bleus
00:19:34avaient trop pressé
00:19:35en premier mi-temps.
00:19:36Ils étaient fatigués.
00:19:37Petit bouchon.
00:19:38C'est pour ça que Ravio rentre.
00:19:39Donc, jouer l'offensive...
00:19:41Si c'est ça,
00:19:41tu le fais rentrer avant quand même.
00:19:43Donc, jouer l'offensive,
00:19:46c'est énergivore.
00:19:47Jouer comme ça,
00:19:47on consomme trop d'énergie.
00:19:49Il estime qu'à partir du moment
00:19:50où l'équipe n'arrive plus
00:19:51à faire le pressing,
00:19:52il faut redescendre dans le long bar.
00:19:54Donc, de la 45e à la 75e,
00:19:57tu n'arrives plus à faire le pressing,
00:19:58donc tu attends une demi-heure.
00:19:59Il l'a attendu.
00:20:00Peut-être que l'équipe
00:20:01à les reprendre.
00:20:02Si tu vois que pendant un quart d'heure
00:20:04tu n'es pas bien,
00:20:04tu ne fais rentrer un Ravio de suite.
00:20:05Tu ne le fais pas rentrer
00:20:06à 76e après un poteau,
00:20:08après deux actions
00:20:09et un sauvé sur la ligne.
00:20:10L'explication qu'on a eu
00:20:11après le match, c'est celle-là.
00:20:13Qui gagne, mes amis ?
00:20:14Est-ce que c'est Thomas
00:20:15et sa forte communauté ?
00:20:17Je n'ai pas eu le temps
00:20:17d'y aller.
00:20:18Ah, d'accord.
00:20:19Oh, il y a eu.
00:20:20Heureusement qu'il y a une grosse communauté.
00:20:23Je n'ai pas eu le temps.
00:20:24Moi aussi, c'est encore...
00:20:25Moi, j'ai une grande famille.
00:20:27Moi, je n'ai pas reconnu ma tête
00:20:31hier, on a eu un récit à l'offensif
00:20:33de l'Espagne en Turquie.
00:20:35Victoire de l'Espagne 6-0.
00:20:36Un deuxième but marqué
00:20:37après 24 passes.
00:20:39On regarde ce que ça donne.
00:20:41On a les 20.
00:20:52Sous-titrage MFP.
00:21:22Sous-titrage MFP.
00:21:52Moi, je me rappelle aussi qu'ils ont perdu...
00:21:53C'est vrai que la France, ils ne les ont pas battus.
00:21:55Ils n'ont pas mis 5 à la France.
00:21:56Oui, enfin, il y a un trou d'air aussi contre la France au bout d'un moment.
00:21:59Et puis, ils ont perdu le match d'après.
00:22:01Si tu regardes tous les matchs, ils perdent le match d'après contre le Portugal.
00:22:04Et puis, moi, je trouve que cette équipe-là, elle est super avant-jouée, sauf qu'elle a des trous d'air dans les matchs et qu'elle n'est pas imbattable.
00:22:10Ce n'est pas une équipe aujourd'hui en disant qu'ils vont être champions du monde, il ne va pas y avoir de problème, ça va rouler pour eux.
00:22:16Terrifiante pour moi, c'est une équipe où tu rentres sur le terrain, tu te dis c'est fini, je n'ai aucune chance de les battre.
00:22:20Mais tu ne trouves pas que c'est une équipe qui fait des différences incroyables et que c'est la seule aujourd'hui sur la scène internationale
00:22:25qui a cette marge-là et qui a une identité et qui déroule avec une facilité dans les matchs.
00:22:32À part, si tu nous prends l'exemple de l'équipe de France, oui.
00:22:34Mais même à l'Euro, ils gagnent l'Euro, ils ne déroulent pas face à tous les gros.
00:22:37Ils battent la France, ils mettent un carton à la Turquie, ils gagnent l'Euro.
00:22:41Mais en fait, ils ne sont pas bien quand même.
00:22:43Je ne dis pas qu'ils ne sont pas bien.
00:22:44Je dis qu'ils ne déroulent pas.
00:22:45Tu me dis qu'ils déroulent face à tout le monde.
00:22:46Lui, qu'on sort d'un débat avec les Bleus.
00:22:50La demi-finale contre qui ?
00:22:51Mais je ne dis pas que ce n'est pas bien.
00:22:52De l'Euro, contre l'Allemagne, ce n'est pas faux.
00:22:54Ah oui, ils ne déroulent pas.
00:22:55Parce qu'en face, c'était pas mal aussi.
00:22:56Quand il y a une équipe en face, évidemment.
00:22:58Non, mais terrifiant, ça ne veut pas dire que tu mets 5-0 à tout le monde.
00:23:00Il me dit qu'il déroule.
00:23:01Non, mais je veux dire que tu as une maîtrise sur le match.
00:23:03Contre la France, tu as une maîtrise sur le match.
00:23:05Parce que c'est l'Espagne, tu es obligé de leur laisser le ballon.
00:23:07Si tu veux les priver de ballon, au bout d'un moment, ça va bien.
00:23:09L'Espagne de l'Euro, l'Espagne était une surprise.
00:23:12L'Espagne n'était pas attendue.
00:23:13Aujourd'hui, il y a la maturité d'un groupe qui a déjà connu la gagne ensemble.
00:23:16C'est ça, moi, qui...
00:23:17Ils viennent de perdre au final des Nations.
00:23:19Donc, ils sont hyper natures, mais ils ne perdent pas.
00:23:20Il n'y a pas de souci.
00:23:21Au plénatif.
00:23:21Mais ce que je veux dire...
00:23:22Mais attendez, je pense qu'on passe à côté d'une belle conversation, mes amis.
00:23:26Mais on vient de sortir des Bleus.
00:23:29On est content parce que notre idée des champs nous met 4 attaquants.
00:23:32Et tout ça, on dit que ça va jouer.
00:23:33Là, il y a quand même un récital offensif.
00:23:36On se dit, pourquoi ?
00:23:37Je me dis, mais pourquoi on ne copie pas le voisin d'Espagne ?
00:23:39Ça fait depuis 2008 qu'on est traversé.
00:23:41Il y a d'abord un récital, d'abord, collectif, avant qu'il soit offensif.
00:23:46Mais ça a l'air...
00:23:47Enfin, c'est d'une...
00:23:49Je trouve que c'est l'élémentaire, c'est simple.
00:23:52Ça, c'est la formation.
00:23:53C'est une formation, c'est le jeu espagnol.
00:23:55On ne peut pas copier ça, nous.
00:23:57Il faut tout remettre en cause, alors.
00:23:59Ça fait depuis 2008 que c'est...
00:24:00Il y a U17 en équipe de France jusqu'à Eucherois.
00:24:03Ils jouent comme ça en club depuis tout le temps.
00:24:05Il y a une vraie contamination aussi du championnat du Barça
00:24:08qui va durer encore sur plusieurs compétitions, j'ai l'impression.
00:24:13Moi, ce qui me terrifie, c'est qu'en fait, l'équipe...
00:24:15Pourquoi du Barça ?
00:24:16C'est le Barça qui joue comme ça.
00:24:17Là, on est plus côté flic que Xavi Lonzo, que Arteta, que tout ça.
00:24:23Moi, je vois plus...
00:24:23Non, mais quand il y avait Iniesta, Xavi...
00:24:26C'est une chose, elle a changé l'équipe.
00:24:27Que toute l'équipe était barcelonaise ou presque, bon, je comprends.
00:24:31Il y a aussi une influence basque, mine de rien, dans l'équipe.
00:24:35Mais je trouve quand même que dans ce que met en place de la Fuente,
00:24:38c'est quelqu'un de très intelligent, c'est quelqu'un qui vient de la Fédération.
00:24:41Il a traversé toutes les équipes.
00:24:43Et dans ce qu'il met en place, si on a assez apparent à un club,
00:24:46pour moi, c'est quand même beaucoup plus le Barça.
00:24:48Mais sur la préparation...
00:24:49Non, mais l'Espagne, c'est l'Espagne.
00:24:50L'Espagne, tu regardes toutes les équipes, ça joue comme ça.
00:24:52Ils sont en train de chercher à jouer, de derrière même.
00:24:54La dernière fois que j'ai regardé le Barça, ils ont joué, je ne sais plus où,
00:24:56c'est une petite équipe espagnole.
00:24:58Ils se sont fait rentrer dedans.
00:24:59Mais rentrer dedans, dans le sens où les autres attaquaient, ils ont joué.
00:25:02Je crois que même, je ne sais pas si ils ne sont pas perdus.
00:25:05Le match nul, le dernier match de Choc.
00:25:07C'était contre qui ?
00:25:08Vigo ?
00:25:09Non, c'était contre l'Eventé.
00:25:11Ouais, l'Eventé.
00:25:12Je regardais, les mecs, ça joue, quoi.
00:25:14Donc c'est un esprit de jeu,
00:25:17chercher à faire avancer le ballon avec des passes,
00:25:20avec des mouvements, avec des positionnements.
00:25:21Et c'est si compliqué, ça, d'apprendre à jouer avec des passes,
00:25:25de se mettre dans un espace.
00:25:27Mais nous, on n'a pas les mêmes joueurs, nous.
00:25:29Oh, ça, c'est pas...
00:25:30Alors ça, c'est pas vrai.
00:25:32Ça, c'est pas vrai.
00:25:33Si tu regardes les effectifs, je veux dire, poste par poste,
00:25:37je trouve que l'Espagne, évidemment, il y a les extraterrestres de devant.
00:25:42Mais sinon, individuellement et poste par poste,
00:25:45ils ne sont pas au-dessus du nom.
00:25:45Pedri et Rodri, on les a chez nous.
00:25:47Mais on a aussi, à d'autres postes, on a des joueurs qui sont aussi dominants.
00:25:52Évidemment que ce sont des bons joueurs,
00:25:53mais c'est évidemment pas le talent individuel qui fait la différence avec l'Espagne.
00:25:58Et quand il y a le talent individuel,
00:25:59et quand il y a le talent individuel, parce qu'ils l'ont aussi,
00:26:01la différence, elle devient énorme.
00:26:03Mais là, sur le match qu'on a vu, par exemple, hier,
00:26:05c'est pas le talent individuel, c'est le jeu collectif.
00:26:08L'Espagne, il joue toujours très bien,
00:26:14même quand ils sont éliminés prématurément dans les compétitions.
00:26:17Et justement, la différence, c'est que ce système-là
00:26:20a absolument besoin d'extraterrestres, comme tu dis.
00:26:23C'est-à-dire qu'au Barça, puisque tu parlais du Barça,
00:26:25à un moment, il y avait Messi et d'autres, Neymar par exemple,
00:26:29c'était fantastique au milieu de terrain,
00:26:30mais ils ont besoin de ces joueurs-là.
00:26:31Et la différence entre 2022 et maintenant,
00:26:34c'est qu'il y a les deux sur les côtés qui sont arrivés.
00:26:36Nico ou Liam, c'est l'ennemi ?
00:26:37Et là, c'est fantastique.
00:26:38Dans quelques minutes, la suite de l'équipe du soir.
00:26:40Ils n'ont pas l'avancante, comme d'habitude.
00:26:41Ça ne vous plaît pas, les jokers, ce soir, non ?
00:26:43Les cartes jokers ?
00:26:44Non, c'est d'accord.
00:26:47Allez, à tout de suite, mes amis.
00:26:58Juste une petite prolongation sur notre discussion sur l'Espagne.
00:27:01Moi, j'avais une question, juste comme ça.
00:27:03Si vous mettiez Luiz de Lafuente à la tête des Bleus,
00:27:08est-ce que le jeu de l'équipe de France…
00:27:10Et Deschamps d'Espagne ?
00:27:11Et Deschamps d'Espagne, oui, oui.
00:27:12Je n'ai pas d'accord avec vous.
00:27:14Et Luiz de Lafuente ?
00:27:16Je pense que Deschamps d'Espagne, il jouerait comme de Lafuente.
00:27:18Je pense aussi.
00:27:19C'est juste que…
00:27:20Moi, je crois à la terre ravide.
00:27:22Allez, Sébastien !
00:27:23Non, mais à un moment, quand ils prennent de Lafuente,
00:27:25personne ne le connaît.
00:27:26Non.
00:27:26J'exagère encore.
00:27:27Non, non, mais c'est quelqu'un qui est un serviteur de la Fédération.
00:27:30Ils le prennent parce qu'ils considèrent qu'il va aller dans le sens du football espagnol
00:27:34et qu'il va gérer son histoire, justement.
00:27:37Mais si Didier Deschamps, il était dans ce contexte-là,
00:27:39où tout est bien cadré,
00:27:42où il y a des philosophies très claires,
00:27:45je pense qu'il ne s'amuserait pas à changer,
00:27:47à jouer en 3-5-2 ou en je ne sais pas quoi.
00:27:50Il a démarré.
00:27:50C'est-à-dire que de Lafuente, il ne sert à rien, en fait.
00:27:53Il ne sert à rien, en fait.
00:27:53Tu mets n'importe quel sélectionneur dans l'Espagne,
00:27:55il jouerait comme ça, apparemment.
00:27:56C'est vrai, un peu.
00:27:57Bah si !
00:27:58Tu mets Deschamps là-bas,
00:27:59il jouerait pareil, avec les mêmes systèmes et tout.
00:28:01Non, mais Johan…
00:28:02Moi, je ne suis pas si sûr…
00:28:03Je pense que de Lafuente,
00:28:04il a pris des joueurs que personne ne connaissait,
00:28:06il les a mis, il a fait son système.
00:28:08Au début, c'était un peu compliqué.
00:28:09Ça ronronnait.
00:28:11Mais ça ronronnait parce qu'avec Louis-Sénérique,
00:28:14ça ronronnait.
00:28:15Mais parce qu'il n'avait pas Yamal,
00:28:17il n'avait pas Yamal.
00:28:18Il a commencé sans Yamal.
00:28:19Il est arrivé après la Coupe du Monde.
00:28:22Ça a été un compliqué un tout petit peu.
00:28:24Et ça s'est arrangé quand il y a eu Yamal et Williams.
00:28:28Globalement, quand même, c'est un peu ça.
00:28:31Mais je pense, moi je dis juste que…
00:28:32Je pense que Didier Deschamps, il s'adapterait
00:28:34parce qu'en fait, il y a toute une pyramide
00:28:36où, bah voilà, tout le monde joue comme ça.
00:28:39Deschamps, il met très mort à temps.
00:28:40Sébastien, écoutez-moi,
00:28:44maintenant, je vous mets de Lafuente en France.
00:28:46Je pense qu'il galèrerait un peu pendant un moment
00:28:48parce qu'il faut du temps.
00:28:50Mais il essaierait de développer quelque chose
00:28:51de différent d'Espagnol.
00:28:53Je ne suis pas sûr.
00:28:54Mais c'est faire quoi en fait ?
00:28:55Avec les joueurs de l'équipe de France, c'est faire quoi ?
00:28:58Non, mais c'est une vraie philosophie.
00:28:59Si tu parles là-dessus, tu pars sur 10-15 ans.
00:29:02Mais après, est-ce qu'on le veut ?
00:29:03On ne le veut pas.
00:29:04L'Allemagne, à l'époque de 1998,
00:29:05ils font une révolution
00:29:07parce qu'ils trouvaient que ça ne marchait plus.
00:29:10Donc là, par contre, la FED est allée dans les clubs
00:29:13pour dire qu'il faudrait qu'on fasse la formation comme ça.
00:29:15Et tout le monde a adhéré.
00:29:17Après, est-ce qu'en France, on serait capable de le faire ?
00:29:19Je ne pense pas.
00:29:20Mais par contre, ça veut dire...
00:29:21Pour moi, l'Espagne, il y a eu un avant Cruyff et un après Cruyff.
00:29:25On parle de l'Espagne en général,
00:29:26mais ça vient du Barça.
00:29:27Le Barça, c'était Boucher à l'époque.
00:29:29Cruyff est arrivé et il a révolutionné tout.
00:29:31Mais c'était quand Cruyff au Barça ?
00:29:33On commençait à en parler un petit peu tout à l'heure.
00:29:36C'était les années 80.
00:29:37Et depuis, tout le monde joue un peu dans cet esprit.
00:29:41Loïc disait ça.
00:29:42Je crois qu'aujourd'hui, s'il y a une francisation du Paris Saint-Germain,
00:29:47ça peut être un apport pour l'équipe de France.
00:29:48On voit qu'aujourd'hui, les attaquants du PSG,
00:29:52ils ont appris à défendre.
00:29:52Ils ont appris à presser.
00:29:54Ils le font avec intelligence.
00:29:55Ils apportent quelque chose à l'équipe de France.
00:29:59Il faut revenir à Paris, c'est tout.
00:30:01Je ne suis pas sûr.
00:30:02Le PSG va influencer l'équipe de France.
00:30:04Moi, je suis persuadé.
00:30:05Sur le long terme, plus il y aura de Français,
00:30:07comme tu disais, plus il y aura de Français au Paris Saint-Germain,
00:30:09plus l'équipe de France en bénéficiera.
00:30:11On l'a vu, le pressing, il ne sort pas de nulle part.
00:30:14Si l'équipe de France presse comme ça,
00:30:15comme elle l'a fait en Ukraine,
00:30:16c'est parce que le PSG le fait déjà.
00:30:18Ça veut dire que tu le développes dans tous les clubs, cet esprit-là ?
00:30:24Non, mais si je rejoins le truc de Craig,
00:30:26pour moi, c'est la base de l'Espagne.
00:30:29Avec les équipes espagnoles, je n'ai pas comme ça.
00:30:32Dans tous les clubs.
00:30:33Après, ce jeu-là ?
00:30:34Non, ce n'est pas dans tous les clubs.
00:30:35Tu as quand même des identités aussi régionales.
00:30:36Moi, à chaque fois que je vois jouer des équipes,
00:30:39ça cherche à jouer quand même.
00:30:41Si l'idée est que ça joue plus au ballon
00:30:42que ça joue en Ligue 1 et que dans le système français,
00:30:45c'est vrai.
00:30:46Tu as des particularismes régionaux,
00:30:48tu as des clubs aux Pays-Bas,
00:30:49où tu mets plus le pied,
00:30:50tu as de l'intensité,
00:30:52l'Atletico de Simeone,
00:30:54il ne joue pas comme ça quand même non plus.
00:30:55L'Espagne est forte avec le ballon et aussi sans le ballon.
00:30:57Ils ne laissent pas passer les mecs quand ils n'ont pas le ballon.
00:30:59Je trouve que c'est un esprit aussi...
00:31:00Ça veut dire que l'Atletico de Simeone,
00:31:01il joue le jeu de la Fuente,
00:31:03le jeu de l'Espagne aujourd'hui.
00:31:04Non, ils sont capables de jouer aussi.
00:31:06C'est des joueurs de ballon,
00:31:07mais après, ça joue un peu plus physique.
00:31:09Les Espagnols aussi ont des coachs de partout,
00:31:11ce qu'on n'a pas.
00:31:12Dans les quatre coins de l'Europe,
00:31:13il y a des coachs espagnols aujourd'hui.
00:31:14Donc ça leur permet aussi d'avoir des joueurs...
00:31:16Mais Rino, il joue en première ligue,
00:31:17mais il joue à quart d'État.
00:31:18Donc il joue avec la même philosophie en première ligue,
00:31:20même si c'est un tout petit peu différent
00:31:21parce que c'est la première ligue.
00:31:22Mais il a cette philosophie d'avoir le ballon,
00:31:25de bien jouer au ballon tout simplement.
00:31:27Comment on vend un coach français ?
00:31:29Difficile à vendre.
00:31:30Il n'y a pas une identité.
00:31:31Enfin, un coach français, ça s'adapte complètement.
00:31:32Les gens lui apprennent l'anglais.
00:31:33Oui.
00:31:34Non, non, mais ce n'est pas juste pour faire un mauvais mot.
00:31:39Parce que c'est incroyable.
00:31:41C'est pas que ça.
00:31:41En tout cas, il y a ça au départ.
00:31:44Moi, ça m'a toujours énormément surpris,
00:31:45mais il y a des entraîneurs étrangers
00:31:46qui viennent en France
00:31:47et qui ne savent pas parler français.
00:31:48Donc, il n'y a pas besoin de parler anglais.
00:31:49Comme un premier ligue,
00:31:50ça me dit pas l'anglais.
00:31:51Non, mais l'anglais.
00:31:52Mais l'anglais, il faut le parler.
00:31:53C'est pas ça qui t'empêche
00:31:54de partir à l'étranger.
00:31:55Les coachs dont on parle,
00:31:56les coachs espagnols dont on parlait,
00:31:57Loïc, les coachs portugais,
00:31:58il y en a partout en Europe et dans le monde,
00:32:00ils parlent tous couramment anglais.
00:32:02C'est quand même la base pour commencer.
00:32:03Oui, mais ce n'est pas le fait
00:32:04qu'ils ne parlent pas l'anglais
00:32:05ou une autre langue
00:32:06et qu'ils ne sont pas pris.
00:32:07C'est plus par rapport
00:32:08à ce qu'ils proposent.
00:32:09Tu sous-entendrais
00:32:09qu'il y aurait même
00:32:10d'autres raisons que ça.
00:32:12Surtout parce qu'ils proposent
00:32:13ce qu'ils proposent.
00:32:14Ça ne suffit pas
00:32:15pour certaines philosophies de jeu,
00:32:18certains pays,
00:32:18certains clubs.
00:32:19Je pense qu'on est plus là-dessus
00:32:21que parce qu'ils ne parlent pas anglais.
00:32:22Je pense que si Mourinho
00:32:23ne parlait pas anglais,
00:32:24il aurait peut-être fait
00:32:25deux, trois trucs.
00:32:26Oui, mais il n'aurait jamais
00:32:27démarré sa carrière
00:32:28comme il l'a fait.
00:32:29Le milieu d'info,
00:32:30Camille Macalli,
00:32:30le coach ce soir
00:32:31pour l'Italie
00:32:32face à Israël.
00:32:34Et neuf buts
00:32:35à vous montrer 5-4.
00:32:37La victoire à l'arraché
00:32:38pour l'Italie.
00:32:39Ne clignez pas des yeux.
00:32:40Il y a beaucoup de choses
00:32:40à voir.
00:32:41Une entame catastrophique
00:32:42d'abord des Italiens.
00:32:4416e minute de jeu.
00:32:45Israël qui prend l'avantage
00:32:46d'Anne Bitton.
00:32:47Centre au premier poteau
00:32:48et provoque la faute
00:32:49de Manuel Locatelli
00:32:50qui trompe Didio Donnarumma.
00:32:5246e minute.
00:32:52L'Italie qui recolle
00:32:54sur une ouverture
00:32:54de Nicolo Barrella.
00:32:55Arrêtez Guissa
00:32:56appuie sur Moïskine
00:32:57qui contrôle
00:32:58et trompe le gardien.
00:33:00Perret s'est battu
00:33:01un partout.
00:33:0252e minute.
00:33:03Israël reprend l'avantage
00:33:05après un relais
00:33:06avec Manor Salomon.
00:33:07Dor Perez conclut.
00:33:09Mais deux minutes plus tard,
00:33:10heureusement pour les Italiens,
00:33:11Moïskine est encore là
00:33:13et signe un doublé.
00:33:14A nouveau bien servi
00:33:14par Rettegui.
00:33:1659e minute.
00:33:17L'Italie passe devant
00:33:18avec une reprise
00:33:19du pied gauche
00:33:20de Matteo Politano.
00:33:213-2.
00:33:2281e minute.
00:33:23Break fait pour les Italiens.
00:33:25Centre de Tonali.
00:33:25Fratégiste à Raspadori
00:33:27qui conclut 4-2.
00:33:31Et l'Italie va encore trembler.
00:33:345 minutes plus tard,
00:33:35Israël qui se relance
00:33:35en erreur d'Alessandro Bastoni.
00:33:384-3.
00:33:39Israël qui ne s'arrête pas là
00:33:41et qui recolle à 4 partout
00:33:42après le doublé
00:33:43de Perret de la tête.
00:33:46Dans le temps additionnel,
00:33:47l'Italie renverse tout
00:33:49encore avec Sandro Tonali.
00:33:52Score finale 5-4,
00:33:53on l'a dit,
00:33:53au classement.
00:33:54L'Italie qui revient,
00:33:55qui recolle un petit peu
00:33:56à la Norvège
00:33:57à 3 points.
00:33:58Des Norvégiens
00:33:59qui n'ont pas encore joué
00:34:00et qui joueront demain soir
00:34:01la Moldavie.
00:34:02Ce sera à suivre
00:34:02sur la chaîne Leky.
00:34:03On a les droits.
00:34:04Qualification pour le mondial.
00:34:06Le Maroc,
00:34:06la Tunisie qualifiée,
00:34:07l'Algérie est en stand-by.
00:34:09Avec un but
00:34:10à la dernière seconde
00:34:11signé Ben Romdan.
00:34:13Les Aigles s'imposent 1-0
00:34:15face à la Guinée équatoriale
00:34:17et s'assure mathématiquement
00:34:19une qualification
00:34:20pour la prochaine coupe du monde.
00:34:22Il décroche
00:34:23le deuxième billet africain
00:34:24après le Maroc.
00:34:26Et justement,
00:34:27le Maroc.
00:34:28Nouvelle victoire
00:34:29face à la Zambie 2-0.
00:34:31Et on vous montre
00:34:32Hamza Aigaman
00:34:32qui fait encore
00:34:33forte impression.
00:34:35Le nouvel attaquant du LOSC
00:34:36s'est amusé
00:34:37avec cette magnifique
00:34:38demi-volée.
00:34:41Mon gardien.
00:34:43Ça n'est pas mal.
00:34:45Pas si mal.
00:34:46Et puis pas de but.
00:34:47Mais une scène insolite
00:34:49lors de Guinée-Algérie.
00:34:50Nous sommes à la 82e minute
00:34:52de jeu.
00:34:53Moussa Kamara,
00:34:55le gardien guinéen,
00:34:56se plaint d'une blessure
00:34:57vouloie et même au sol.
00:34:59Le jeu ne s'arrête pas.
00:35:00Et là,
00:35:01le sélectionneur guinéen,
00:35:02Paulo Duarte,
00:35:04rentre sur le terrain.
00:35:05Alors on n'arrête
00:35:05toujours pas le jeu.
00:35:06Il est quasiment
00:35:07au milieu.
00:35:09Voilà.
00:35:09Et puis,
00:35:10le jeu se poursuit
00:35:11presque tranquillement
00:35:12avant finalement
00:35:14de se faire rattraper
00:35:15par la patrouille.
00:35:16Les arbitres
00:35:17qui vont lui dire
00:35:18écoutez monsieur,
00:35:18il ne faut pas rester là
00:35:19quand même.
00:35:20Il faut sortir.
00:35:21sortir du terrain.
00:35:22Voilà,
00:35:23scène un petit peu lunaire.
00:35:25L'Algérie
00:35:25qui devra remporter
00:35:26un de ses deux prochains matchs
00:35:28pour se qualifier.
00:35:29Duarte,
00:35:30l'ancien interneur du Mans,
00:35:31non ?
00:35:31Oui.
00:35:32Les qualifiés,
00:35:3418 qualifiés sur 48.
00:35:36Et oui,
00:35:36on fait un petit tour rapide.
00:35:37Donc la zone Afrique
00:35:38qui compte déjà
00:35:39deux qualifiés,
00:35:39on l'a dit,
00:35:40Maroc et Tunisie.
00:35:41On rappelle évidemment
00:35:42la présence
00:35:42des trois pays hautes,
00:35:43Etats-Unis,
00:35:44Mexique et Canada.
00:35:45Dans la zone Asie,
00:35:46on notera
00:35:47les premières qualifications
00:35:48pour un mondial
00:35:49de la Jordanie
00:35:50et de l'Ouzbékistan.
00:35:51Amérique du Sud,
00:35:52pas de grande surprise.
00:35:54Les cadors
00:35:55sont au rendez-vous.
00:35:57Et puis la zone Océanie,
00:35:59Nouvelle-Zélande
00:36:00qui a déjà validé
00:36:01son nomier
00:36:02comme la Nouvelle-Calédonie.
00:36:04Il reste 30 places
00:36:05dont 16 en Europe.
00:36:06Nouvelle-Calédonie,
00:36:07je tiens.
00:36:07Ok.
00:36:08Non, pas encore.
00:36:09Ah non,
00:36:09en barrage.
00:36:10En barrage ?
00:36:10En barrage.
00:36:11La tâche continue.
00:36:12D'accord,
00:36:12mais la Nouvelle-Calédonie,
00:36:13on en apprend.
00:36:15Les espoirs,
00:36:16l'équipe de Batik,
00:36:16c'est imposé
00:36:17contre qui ce soir ?
00:36:19La Serbie.
00:36:19Une victoire 3-0.
00:36:21Un but du Nantier
00:36:22Louis Leroux
00:36:23et un doublé
00:36:23de Mathis Tell.
00:36:24Et d'ailleurs,
00:36:25on vous montre
00:36:25le plus beau but.
00:36:27C'est le premier
00:36:27de Mathis Tell
00:36:28avec cette belle frappe
00:36:31de gauche.
00:36:32Un missile énorme !
00:36:34Merci Jean-Charles.
00:36:36On vous le remet,
00:36:37on est généreux.
00:36:38En tout cas,
00:36:39rentrée des classes réussies
00:36:40pour Gérard Batik
00:36:41et ses joueurs.
00:36:43Du calme Jean-Charles.
00:36:45Basket après le fiasco des Bleus,
00:36:46Frédéric Fautou,
00:36:47le sélectionneur,
00:36:47a été confirmé
00:36:48dans ses fonctions.
00:36:49Le président de la Fédération française,
00:36:51Jean-Pierre Hinclair,
00:36:52qui a confirmé son sélectionneur
00:36:54et son staff
00:36:54dans un entretien accordé
00:36:55à l'équipe ce lundi.
00:36:57J'ai confirmé
00:36:58dès dimanche soir,
00:36:59Frédéric Fautou,
00:37:00devant les joueurs
00:37:02et le staff,
00:37:03Frédéric était marqué.
00:37:05Il se pose des questions.
00:37:06C'est quelqu'un
00:37:07de responsable.
00:37:08Il a parlé d'échecs
00:37:09et a dit se mettre
00:37:09à la disposition
00:37:10des éventuelles décisions
00:37:11à prendre.
00:37:12J'ai pris la parole
00:37:12pour dire
00:37:13que l'on était
00:37:14dans un processus
00:37:15qui mène
00:37:15au jeu de 2028.
00:37:17On ne change pas
00:37:18de sélectionneur
00:37:19tous les trois mois
00:37:19parce qu'il a un échec
00:37:20avec des circonstances.
00:37:22J'ai donc renouvelé
00:37:23ma confiance à Frédéric
00:37:24et tout son staff.
00:37:26Frédéric,
00:37:27je vais y arriver,
00:37:28entre Frédéric et Frédéric
00:37:29et Frédéric Fautoux
00:37:29qui retrouvera
00:37:31le costume de sélectionneur
00:37:32fin novembre
00:37:33pour le début des qualifs
00:37:34au Mondial 2027.
00:37:35Ok,
00:37:36un coup d'œil
00:37:36sur le classement ATP.
00:37:38C'est officiel
00:37:38Carlos Alcaraz
00:37:39et donc le nouveau
00:37:40numéro 1 mondial.
00:37:41C'était l'enjeu
00:37:42de cette troisième finale
00:37:44entre les deux cadors
00:37:45de l'US Open hier soir.
00:37:46Alcaraz qui a surclassé
00:37:48Yannick Siner
00:37:48et qui retrouve le siège
00:37:50de numéro 1 mondial
00:37:51qu'il avait laissé
00:37:52en septembre 2023.
00:37:54L'Italien lui était resté
00:37:55le patron
00:37:56durant 65 semaines.
00:37:58A noter que Zverev
00:37:59complète le top 3.
00:38:00On notera la remontée
00:38:00de Djoko de 3 places
00:38:02pour faire partie
00:38:02du top 4
00:38:03après sa demi-finale.
00:38:05Alcaraz et Siner
00:38:06dominent le circuit
00:38:07de la tête et des épaules.
00:38:08Est-ce que c'est une bonne
00:38:09ou une mauvaise nouvelle ?
00:38:10Vous voulez passer président ?
00:38:12Je ne veux pas,
00:38:13je vais passer président
00:38:14parce que le président
00:38:15m'a avoué qu'il ne savait pas
00:38:15qui c'était Yannick Siner.
00:38:19C'est pour que ce ne soit pas gênant.
00:38:22Aïe, aïe, aïe.
00:38:23Yannick Siner,
00:38:23allez-y, installez-vous.
00:38:25Par contre,
00:38:25cette carte,
00:38:25il va falloir changer.
00:38:26J'ai envie de rentrer
00:38:27que les émissions ont bougé.
00:38:28Oui, vous êtes destitué
00:38:30à chaque émission.
00:38:30C'est clair.
00:38:32Attention, président.
00:38:34C'est une bonne
00:38:35ou une mauvaise nouvelle
00:38:36pour le tennis, Thomas ?
00:38:37C'est une bonne nouvelle.
00:38:38Ah oui ?
00:38:38Oui, pour moi,
00:38:39c'est une bonne nouvelle
00:38:39parce que je trouve
00:38:41que le tennis a souvent
00:38:43basé son storytelling
00:38:44sur les rivalités
00:38:46et là,
00:38:46on était plutôt inquiet
00:38:47quand Federer,
00:38:49Nadal,
00:38:50Djokovic
00:38:50étaient un peu sur la fin.
00:38:51Je me suis dit,
00:38:52bon,
00:38:53qui va mener ça ?
00:38:55Et Siner,
00:38:55il arrive au bon moment
00:38:56pour tenir la dragée
00:38:57d'Alcaraz.
00:38:58Quand il commence
00:38:58à gagner ses grands chefs,
00:38:59on se dit,
00:39:00il va être tout seul,
00:39:00il va tout rafler.
00:39:01Bon,
00:39:01Siner,
00:39:02il y en a pris
00:39:02quelques-uns.
00:39:04Donc,
00:39:04je trouve que
00:39:04ce n'est pas forcément
00:39:05une mauvaise nouvelle.
00:39:06Par contre,
00:39:06il faut que ça amène
00:39:08une nouvelle génération
00:39:08comme les Federer,
00:39:10Djokovic,
00:39:10Nadal,
00:39:10ont amené peut-être
00:39:11des Alcaraz
00:39:12et des Siner.
00:39:13Il va falloir
00:39:13que ça suive
00:39:14un petit peu derrière.
00:39:15Au fond,
00:39:15c'est qu'on parle du portugais
00:39:17mais qui est encore
00:39:17un petit peu...
00:39:18Il est un peu loin,
00:39:18lui.
00:39:18Déjà qu'il y en ait
00:39:19deux,
00:39:19c'est bien,
00:39:20non ?
00:39:20Déjà qu'il y en ait
00:39:21au moins deux,
00:39:22c'est bien.
00:39:22Tu vas avoir
00:39:22des histoires
00:39:23à raconter.
00:39:24Tu vas actuellement
00:39:24à la même finale.
00:39:26Les gens vont se lasser
00:39:27au bout d'un moment.
00:39:27C'est pas forcément...
00:39:28Au bout de 3-4 ans...
00:39:30Avec Federer,
00:39:30Nadal,
00:39:31ça marchait aussi,
00:39:31non ?
00:39:31Oui,
00:39:31mais il y a Djokovic
00:39:32qui est arrivé derrière.
00:39:33Murray est arrivé,
00:39:34Vavrinka est arrivé,
00:39:35Del Potro a gagné
00:39:36un grand chelem
00:39:36pendant leur délai.
00:39:37Il a gagné
00:39:38Roland-Garros tous les ans
00:39:39et je n'ai pas l'impression
00:39:40que les gens ont arrêté
00:39:41de regarder Roland-Garros.
00:39:42Lui,
00:39:43il avait une histoire
00:39:43particulière.
00:39:44Ils ont tous
00:39:45une histoire particulière.
00:39:45Là,
00:39:46vous avez un type
00:39:46qui a été dopé
00:39:47et blanchi.
00:39:49Vous avez un autre gars
00:39:50qui est particulier
00:39:52quand même,
00:39:52qui commence déjà
00:39:53à attirer
00:39:54certaines histoires
00:39:56autour de lui,
00:39:57autour de sa capacité
00:39:58à rester au plus haut niveau,
00:40:00à être concentré
00:40:00tout le temps,
00:40:01à trop sortir,
00:40:02etc.
00:40:03Et donc,
00:40:04déjà,
00:40:04ils sont gamins
00:40:05et déjà,
00:40:05il y a des histoires
00:40:07autour d'eux.
00:40:07Donc,
00:40:08en plus de leur niveau
00:40:08de jeu,
00:40:09qui est quand même
00:40:10sensationnel,
00:40:11il y a un story-telling
00:40:13autour d'eux.
00:40:14Donc,
00:40:14je ne vois pas
00:40:14où est le souci.
00:40:15Il va tuer à l'en 3 ans.
00:40:17Etienne,
00:40:17vous avez destitué
00:40:18votre président.
00:40:18Il ne connaît pas Siner.
00:40:20Il connaît Siner,
00:40:21Johan ?
00:40:21Bien sûr.
00:40:22C'est quelqu'un
00:40:23qui traie énormément
00:40:23les émissions.
00:40:24Moi,
00:40:25je vais regarder les finales.
00:40:26Tu vois,
00:40:26Roland-Garros
00:40:26de Wimbledon,
00:40:27celle-là.
00:40:28Vous avez pris le pouvoir
00:40:29pour nous dire quoi ?
00:40:29Vous voulez vous installer ?
00:40:31Prendre un peu de lumière
00:40:32en fond.
00:40:34Je ne fais jamais de mal.
00:40:35Mais vous,
00:40:36vous n'avez pas...
00:40:36Je guettais les bêtises
00:40:37qui pouvaient être dites
00:40:38et finalement,
00:40:38il n'y en a pas eu.
00:40:39C'est normal,
00:40:40Johan n'a pas parlé.
00:40:41C'est ça qu'il voulait dire.
00:40:43On attend ton avis donc.
00:40:44Mon avis,
00:40:45il est celui
00:40:46qui a été dit en plateau.
00:40:47Moi,
00:40:47je pense que c'est une bénédiction
00:40:48et ça a été dit par Thomas
00:40:49parce que franchement,
00:40:50il y avait un vrai doute
00:40:52sur le fait
00:40:53qu'on allait pouvoir
00:40:54continuer à s'intéresser
00:40:55au tennis au plus haut niveau
00:40:56avec des générations
00:40:58de joueurs
00:40:58dont on ne savait pas.
00:40:59Ils venaient,
00:41:00ils s'écroulaient,
00:41:01ils repartaient,
00:41:01etc.
00:41:02derrière.
00:41:02Mais le VNF,
00:41:03s'ils passent et s'ils passent.
00:41:04Et là,
00:41:05pour le coup,
00:41:05ils ont gagné
00:41:06quatre tournois
00:41:08du Grand Chelem
00:41:08l'un et l'autre.
00:41:10Il y a des histoires
00:41:11à raconter.
00:41:12Il y a une vraie rivalité.
00:41:12Je reviens quand même
00:41:13parce que c'est tout frais.
00:41:14Sur les quatre derniers.
00:41:16Et franchement,
00:41:18il y a aussi
00:41:19de l'affection,
00:41:19de l'amitié
00:41:20mais une vraie rivalité
00:41:21des matchs
00:41:22dont tu ne peux pas te dire
00:41:22à chaque fois
00:41:23qu'ils ne peuvent pas
00:41:24être retournés
00:41:24jusqu'à la dernière balle.
00:41:26Donc franchement,
00:41:27il y a de quoi ?
00:41:28Tu peux t'en redire
00:41:28la même chose
00:41:29que pour nous.
00:41:29Le problème,
00:41:30c'est que s'il n'y a pas...
00:41:31Ça peut devenir chiant.
00:41:31Ah ouais, complètement.
00:41:32C'est ça ?
00:41:32Vous vous sentez ça ?
00:41:33Au bout d'un moment,
00:41:34si c'est la même finale
00:41:36pour les quatre Grand Chelem
00:41:37chaque année,
00:41:39au bout d'un moment,
00:41:39ça va devenir chiant.
00:41:40Moi, je ne vais plus rader.
00:41:41Moi, j'aime bien
00:41:41quand je commence un tournoi
00:41:42et je me dis
00:41:43que je ne suis pas sûr
00:41:44qu'à la fin,
00:41:44ce soit le cas.
00:41:44Donc, tu n'as pas regardé
00:41:45Roland-Garros depuis 19 ans ?
00:41:47En face de Nadal,
00:41:48ce n'est pas toujours le même.
00:41:49On est d'accord.
00:41:50Les finales de Grand Chelem
00:41:52avant Alcara-Sinner,
00:41:54vraiment,
00:42:00pur jas,
00:42:01avec les rudes, etc.
00:42:02Hier, c'était génial, pardon.
00:42:03Alors, c'est à De Roland,
00:42:03entre les deux, c'était génial.
00:42:05Excusez-moi,
00:42:06vous étiez quoi ?
00:42:07Fédère, Nadal ou Djokovic ?
00:42:08Vous roulez pour Djokovic ?
00:42:09Ah, Djokovic, c'est à fond.
00:42:10Ah, Djokovic.
00:42:11C'est en deux !
00:42:12Comme jamais.
00:42:13Oui, je t'arrête de parler, toi.
00:42:15Camille, comment ?
00:42:16Comme jamais.
00:42:17Il est décontré les vaccins, je pense.
00:42:19C'est ça qui l'a.
00:42:20En attendant,
00:42:21c'est le numéro un pour l'instant.
00:42:22On a deux incarnations du tennis
00:42:23complètement différentes.
00:42:24On a Alcaraz,
00:42:25qui est vraiment sur le talent
00:42:26et qui nous sort des coups extraordinaires.
00:42:28Ce qu'on a vu hier,
00:42:29on a vu des coups qui...
00:42:30Mais je n'aurais pas ça en cause.
00:42:31Bien sûr.
00:42:31Pas du tout.
00:42:32Les deux incarnations
00:42:33de tennis différentes.
00:42:34C'est ça que je trouve intéressant.
00:42:35Ça peut créer des nouveaux gros joueurs,
00:42:38en fait,
00:42:38d'avoir un mec qui est tombé
00:42:41dans le bénitier.
00:42:42Voilà, c'est Alcaraz.
00:42:44Et Sinner,
00:42:44qui a ce côté un peu plus robot,
00:42:46un peu plus travaillé.
00:42:46Il l'a dit en plus
00:42:47en conférence de presse,
00:42:48il va falloir que je change.
00:42:49Parce que là, franchement,
00:42:49je change parce qu'il y en a un seul
00:42:50que je dois taper, c'est lui.
00:42:51Il n'y a personne
00:42:51qui peut les taper aujourd'hui.
00:42:53Il n'y a personne
00:42:54qui peut gagner aujourd'hui.
00:42:55À l'époque, je te redis,
00:42:56Murray est arrivé.
00:42:57C'était top.
00:42:58Il gagnait des tournois.
00:42:59Murray, on a gagné deux.
00:43:00Del Potro, on a gagné un.
00:43:01Il a gagné deux avec Djokovic,
00:43:02en fait.
00:43:03Il est en bout de piste
00:43:04avec Djokovic.
00:43:05Et puis là, voilà.
00:43:06Ah, mais le pauvre,
00:43:07il n'en gagnera plus,
00:43:07certainement.
00:43:08Il n'en gagnera plus.
00:43:11C'est de moi,
00:43:11j'y s'enfonçais.
00:43:12C'est quand même dommage
00:43:13de sortir de la panade.
00:43:14C'est une fonction sérieuse,
00:43:15les 15 dernières années
00:43:20où il y a eu
00:43:20Federer, Nadal et Djokovic,
00:43:22il vient de nous dire
00:43:22qu'il y en a qui ont gagné
00:43:23un ou deux tournois.
00:43:24Oui, mais sinon,
00:43:25le reste, c'est tous les autres.
00:43:26Tous les autres ont été gagnés
00:43:27par les trois.
00:43:28Etienne a les chiffres.
00:43:30Après l'émission.
00:43:32Etienne, vous regagnez
00:43:33votre place ou pas ?
00:43:34C'était très intéressant
00:43:35ce changement de place.
00:43:36Là aussi, ça a amené un truc.
00:43:37Ça t'a permis de débattre.
00:43:39En fait, il a résumé
00:43:40ce que les autres ont dit.
00:43:41Quand tu es là,
00:43:42tu essaies d'amener
00:43:42quelque chose de plus.
00:43:43Ah oui, comme toi.
00:43:44Camille, on continue le journal.
00:43:46Le tour d'Espagne
00:43:47pourrait se terminer samedi
00:43:48et non dimanche.
00:43:49Un folle équipe.
00:43:50Les nombreux incidents
00:43:51liés aux manifestations
00:43:52pro-palestiniennes
00:43:53peuvent expliquer ce coup de rabot.
00:43:55Les organisateurs
00:43:56qui souhaiteraient voir
00:43:57un retrait de l'équipe
00:43:57Israël Première Tech
00:43:58évoquent aussi en coulisses
00:44:00un tour d'Espagne raccourci.
00:44:01Une arrivée finale le samedi
00:44:03à Bola del Mundo
00:44:04et non le dimanche à Madrid
00:44:06afin d'éviter des débordements
00:44:08encore plus grands.
00:44:09Et autre information,
00:44:10le contrôle à montre
00:44:10autour de Valladolid
00:44:11n'est prévu que jeudi.
00:44:13Mais il occupe déjà
00:44:14beaucoup les discussions
00:44:15sur fonds de tension.
00:44:16Le gouvernement de Valladolid
00:44:18a déjà annoncé
00:44:18des mesures de sécurité
00:44:19très, très renforcées.
00:44:21Une information
00:44:22Mercato Vélo.
00:44:23Bruno Armira
00:44:24il rejoint Vingegaard
00:44:24chez la Visma.
00:44:25A 31 ans, le Français
00:44:28va découvrir sa troisième
00:44:30équipe professionnelle
00:44:31et rejoindre deux autres compatriotes
00:44:33déjà sous contrat.
00:44:34C'est Christophe Laporte
00:44:34et Axel Zinglue.
00:44:36Bruno Armira
00:44:37il appellera donc
00:44:38Jonas Vingegaard
00:44:39et ne cache pas sa joie
00:44:40de changer de dimension.
00:44:42C'est une opportunité unique
00:44:43dans ma carrière
00:44:44de courir pour l'une
00:44:44des meilleures équipes du monde.
00:44:46Je veux me mettre au défi
00:44:47en changeant d'environnement
00:44:49et en courant
00:44:49pour la première fois
00:44:50pour une équipe étrangère.
00:44:51J'ai également hâte
00:44:52de faire partie
00:44:53d'une équipe capable
00:44:53de concourir pour la victoire
00:44:55dans presque toutes les courses.
00:44:56Ok.
00:44:57Campogacar n'est pas là.
00:44:58Merci beaucoup Camille.
00:45:00Exclu Ballon d'Or France Football
00:45:02c'est un découpement
00:45:02du groupe l'équipe
00:45:03que je vous propose
00:45:04de découvrir.
00:45:05Nous sommes le 7 août dernier
00:45:06où vous avez découvert
00:45:07les 30 joueurs nommés
00:45:08pour le Ballon d'Or France Football.
00:45:09Parmi les 30 finalistes
00:45:10il y a 9 joueurs
00:45:11qui appartiennent
00:45:12à la même équipe.
00:45:139 joueurs du PSG
00:45:14un nombre record.
00:45:15Mais pour la petite histoire
00:45:16il y aura pu en avoir
00:45:1711 sur 11
00:45:18les 11 joueurs
00:45:19du Paris Saint-Germain
00:45:20retenu.
00:45:20Extrait du doc
00:45:21que vous allez pouvoir découvrir
00:45:22le 22 septembre prochain
00:45:23sur l'autre antenne
00:45:24le jour du Ballon d'Or.
00:45:25Extrait.
00:45:28Est-ce que la surreprésentativité
00:45:30d'un club est un sujet ?
00:45:31On a cette image
00:45:32du PSG triomphant.
00:45:34Ça ressemble quand même
00:45:34à une équipe
00:45:35où on a envie
00:45:35de mettre tout le monde.
00:45:36Mais est-ce que vraiment
00:45:37ça mérite d'avoir
00:45:38toute l'équipe type ?
00:45:39On ne doit pas s'empêcher
00:45:40de mettre 10 joueurs
00:45:41si on a envie
00:45:42de mettre 10 joueurs
00:45:42d'une équipe
00:45:43qui a été ultra dominante
00:45:44dans la saison.
00:45:45Par exemple je prends
00:45:45le Barça de 2009.
00:45:47Ils font s'extupler.
00:45:48Donc tu vois
00:45:48c'est le début de Guardiola
00:45:50ils ont 6 joueurs
00:45:51sur la liste.
00:45:52Il y avait des individualités
00:45:53qui étaient vraiment
00:45:54dominantes.
00:45:55Le PSG c'est plus dilué.
00:45:56Le Ballon d'Or
00:45:56est une récompense individuelle
00:45:58et si on prend
00:45:58ce joueur du PSG
00:45:59on en fait une récompense collective.
00:46:01C'est pas la charnière
00:46:02qui a éclaboussé.
00:46:03Je pense que ceux
00:46:04qui ont un pas
00:46:05un peu plus lointain
00:46:06c'est moins évident Paco.
00:46:08Moi je trouve
00:46:09que pour lui
00:46:09c'est injuste.
00:46:10Est-ce que c'est pas
00:46:109 ou 11 ?
00:46:11Si on ne met pas
00:46:12si on ne met pas
00:46:13Marquinhos
00:46:13on sera critiqué
00:46:14pour ne pas avoir
00:46:15Marquinhos.
00:46:16Si on ne met pas
00:46:16Paco et Marquinhos
00:46:17on sera de toute façon
00:46:18critiqué
00:46:18parce qu'on n'a pas
00:46:19mis Paco et Marquinhos.
00:46:20Il faut penser aussi
00:46:21à la manière
00:46:21dont la liste
00:46:22va être perçue
00:46:23dans le monde.
00:46:23On doit ça
00:46:24au Ballon d'Or
00:46:24c'est de continuer
00:46:25à être exigeant
00:46:26aussi vis-à-vis de nous-mêmes
00:46:28et vis-à-vis de la liste
00:46:29des 30.
00:46:309 c'est bien.
00:46:309 c'est bien.
00:46:319 c'est bien.
00:46:329 c'est un record
00:46:33donc ça reste correct.
00:46:35Pas de chaud
00:46:37pas dans les 30
00:46:38du Ballon d'Or
00:46:39Pas de chaud
00:46:40pas dans les temps
00:46:40du Ballon d'Or
00:46:41est-ce que c'est injuste
00:46:42à cette question ?
00:46:424 chroniqueurs
00:46:43ne sont pas d'accord.
00:46:44Jingle
00:46:45Superdol
00:46:45dans l'équipe du soir
00:46:46C'est injuste
00:46:50Thomas et Sébastien
00:46:51oui il y a une part
00:46:53d'injustice
00:46:53on refait le débat
00:46:54on refait le comité
00:46:55de sélection ce soir
00:46:56ils disent non
00:46:57Étienne et Loïc
00:46:58qui commence
00:46:59chez les Thomas et Sébastien ?
00:47:01Vas-y Seb
00:47:01Seb prendra la main
00:47:02pour le oui
00:47:03non Étienne et Loïc
00:47:04qui commence ?
00:47:05Vous connaissez quand même
00:47:06ma théorie
00:47:07C'est-à-dire ?
00:47:08Quand on paye quelqu'un
00:47:09des millions
00:47:09comme notre ami Loïc
00:47:11Tenzi
00:47:11parce que le Paris Saint-Germain
00:47:12on va le laisser démarrer
00:47:13J'ai vu votre salaire
00:47:15c'est à peu près kiff
00:47:15qui vous aurait pu démarrer
00:47:16J'espère que je suis là-dessus
00:47:17quand même
00:47:17C'est injuste
00:47:19oui Sébastien
00:47:20une forme d'injustice
00:47:22allez-y
00:47:23La question est pas de savoir
00:47:24si c'est bien
00:47:24si c'est pas bien
00:47:25j'entends tous les arguments
00:47:26l'histoire de
00:47:27on peut pas transformer ça
00:47:29en récompense collective
00:47:30j'entends ces arguments
00:47:31mais si vous regardez
00:47:32factuellement la saison
00:47:33de Pacho
00:47:33et que vous la comparez
00:47:34à celle de Van Dijk
00:47:35par exemple
00:47:36que j'adore par ailleurs
00:47:37c'est totalement injuste
00:47:38évidemment
00:47:38c'est-à-dire que Pacho
00:47:39a réalisé une meilleure saison
00:47:42que Van Dijk
00:47:42point barre
00:47:43j'ai rien d'autre à ajouter
00:47:44terminé
00:47:44après on peut tout à l'heure
00:47:46tout lire
00:47:46Ok
00:47:47Loïc Tanzy
00:47:48notre milliardaire à la parole
00:47:49lui dit non
00:47:50c'est pas injuste
00:47:51quels sont vos arguments ?
00:47:52Les 30 du Ballon d'Or
00:47:53c'est pas simplement
00:47:54ceux qui ont performé
00:47:55en Ligue des Champions
00:47:55c'est aussi
00:47:56ceux qui ont performé
00:47:57dans leur championnat
00:47:57je prends exemple
00:47:58de Van Dijk
00:47:58il s'est fait sortir
00:47:59au tir au but
00:48:00par le Paris Saint-Germain
00:48:02malheureusement pour lui
00:48:03il n'y est pour rien
00:48:04il aurait pu aller plus loin
00:48:05dans cette Ligue des Champions
00:48:06et surtout
00:48:06les 30 du Ballon d'Or
00:48:08ça doit représenter
00:48:08tout le football
00:48:09donc il doit y avoir
00:48:10un peu de Première Ligue
00:48:11un peu de football africain
00:48:12un peu de football italien
00:48:13un peu de football allemand
00:48:14et pas simplement
00:48:15le vainqueur de Ligue des Champions
00:48:16C'est beaucoup de clubs
00:48:17sud-américains
00:48:18Thomas
00:48:19à vous de jouer
00:48:20oui c'est un peu injuste
00:48:21mais Loïc parle
00:48:22de l'argument
00:48:22Ligue des Champions
00:48:23malheureusement
00:48:24tous les ans
00:48:24quand il n'y a pas
00:48:24de compétition internationale
00:48:25c'est Ligue des Champions
00:48:26qui emporte quasiment tout
00:48:27dans l'attribution
00:48:28du Ballon d'Or
00:48:29et moi je vais quand même
00:48:31mettre beaucoup de mérite
00:48:31dans une place
00:48:32au Ballon d'Or
00:48:33il faut la mériter
00:48:34cette place
00:48:35et Pacho
00:48:35il y a la force
00:48:36des images
00:48:37en Ligue des Champions
00:48:38son geste en finale
00:48:40ses interventions
00:48:41contre Villa
00:48:42son match
00:48:42contre Liverpool
00:48:43voilà
00:48:44moi j'étais assez surpris
00:48:46de ne pas l'avoir
00:48:46dans la liste
00:48:47ça a été la vraie révélation
00:48:48du côté du Paris Saint-Germain
00:48:49et surtout
00:48:50il contribue
00:48:50je trouve
00:48:51à la métamorphose
00:48:52de ce Paris Saint-Germain
00:48:53dans tout ce qu'il a pu apporter
00:48:55que ce soit même au pied
00:48:55dans sa dimension physique
00:48:57il a été excellent
00:48:58donc il mérite
00:48:58la métamorphose
00:49:00du Paris Saint-Germain
00:49:01par Pacho Etienne
00:49:02c'est un argument
00:49:02il s'enflammait
00:49:03un tout petit peu
00:49:04sur la fin
00:49:04mais sinon c'était
00:49:05plutôt intéressant
00:49:06ce qu'il commençait à dire
00:49:06mais sincèrement
00:49:089 joueurs du Paris Saint-Germain
00:49:09dans une liste de 30
00:49:10je trouve ça déjà même beaucoup
00:49:13voilà
00:49:13il y a des championnats partout
00:49:16il y a d'autres compétitions
00:49:17il y a d'autres joueurs
00:49:18je pense qu'on peut aller piocher
00:49:20même
00:49:20dans certaines équipes
00:49:22des joueurs
00:49:22qui n'y sont pas du tout
00:49:23et qui auraient aussi mérité
00:49:25d'être dans les 30
00:49:25donc quand on a récompensé
00:49:27une équipe collectivement
00:49:28comme on fait avec le Paris Saint-Germain
00:49:29et qu'on met 9 joueurs
00:49:30on pourrait aussi mettre
00:49:31les remplaçants
00:49:32on pourrait mettre le banc
00:49:32on pourrait aussi mettre
00:49:33ceux qui restent en tribune
00:49:34non il faut être un peu raisonnable
00:49:35quand même
00:49:35ok
00:49:362 secondes
00:49:384 dixièmes
00:49:39Loïc avez-vous quelque chose
00:49:40à ajouter ou personnel merci ?
00:49:42on n'est pas pourquoi
00:49:42non
00:49:43sauf que tu n'as pas été très bon
00:49:44c'est tout
00:49:45ok
00:49:45on refait
00:49:48il t'a pas tombé bon
00:49:49je suis
00:49:50on refait
00:49:51il t'a pas tombé bon
00:49:53le coup de poignard
00:49:55bon mes amis
00:49:56compte Twitter X
00:49:57l'équipe du soir
00:49:58le président a demandé
00:50:00oui ce sont les journalistes
00:50:02qui établissent les 30
00:50:03les 30 derniers
00:50:03les 30 derniers
00:50:05mais il y a également
00:50:06vous allez le voir
00:50:07il y aura un complément
00:50:07d'information
00:50:08Olivier Bossard
00:50:09de France Football
00:50:09à participer à l'équipe de Greg
00:50:10il y aura un petit complément
00:50:11sur comment finalement
00:50:13on prépare
00:50:13la liste des 30
00:50:15moi ce que j'aimerais savoir
00:50:16c'est qui
00:50:16ils ont pris qui
00:50:17dans le défenseur central ?
00:50:20Van Dyck
00:50:20c'est le seul
00:50:21seul
00:50:22c'est pour ça que Sébastien
00:50:24a dit Van Dyck
00:50:24donc il y a un défenseur central
00:50:26voilà
00:50:26donc c'est injuste
00:50:28moi par rapport même
00:50:29tu ne mets que Pacho
00:50:30même par rapport à Marquinhos
00:50:32je trouve qu'ils font
00:50:32les deux une grosse saison
00:50:34ça a fait évoluer aussi
00:50:36leur attitude
00:50:37leur positionnement
00:50:38le jeu du PSG
00:50:39donc
00:50:41vous auriez mis 11 vous ?
00:50:4411 sur 30
00:50:45c'était l'argument
00:50:46après les 11 sur 30
00:50:48ça dépend qui est en face aussi
00:50:49par exemple moi Van Dyck
00:50:51je ne le mets pas non plus
00:50:51sur ce que j'ai vu
00:50:53donc l'un ou l'autre
00:50:55je les mets à la place de Van Dyck
00:50:56donc après
00:50:57les autres joueurs
00:50:59tu regardes
00:51:00sur les saisons
00:51:01sur la saison
00:51:02pardon
00:51:02les différents championnats
00:51:04je pense que les 11
00:51:05ce n'est pas un grand scandale
00:51:06s'ils y sont tous
00:51:06enfin selon moi
00:51:08après latéral droit
00:51:09je n'en vois pas
00:51:09de plus fort
00:51:10à gauche
00:51:11Mendes
00:51:12était énorme
00:51:13les trois au milieu
00:51:14je ne vois pas
00:51:15non mais tu en prends d'autres
00:51:17dans les autres championnats
00:51:18mais
00:51:18ils ont été
00:51:19s'ils y sont
00:51:20ce n'est pas un scandale
00:51:20et puis bon
00:51:21les trois de devant non plus
00:51:23donc
00:51:23ça ne m'aurait pas surpris
00:51:26que les 11 soient
00:51:26dans les trois
00:51:27et Douai il y est
00:51:28oui
00:51:28et par exemple
00:51:29Douai tu peux discuter
00:51:31il fait deux mois
00:51:32trois mois
00:51:33admettons
00:51:34dans la saison
00:51:35là tu peux discuter
00:51:37par exemple
00:51:37c'est la force
00:51:38j'entends
00:51:39si tu vas par là
00:51:40fondamentalement
00:51:41c'est difficile déjà
00:51:43et donc il n'y a rien
00:51:44qui me choque
00:51:44mais
00:51:45Douai il n'aurait pas été
00:51:46ça m'aurait moins
00:51:48dérangé par rapport
00:51:49à votre question
00:51:50que Pacho
00:51:51il y a combien de
00:51:52Barcelonais dans les trois
00:51:53je crois de mémoire
00:51:55c'est cinq
00:51:56alors on va les faire ensemble
00:51:57il y a Yamal
00:51:58il y a Pedri
00:51:59il y a Lewandowski
00:51:59Rafinha
00:52:00Rafinha évidemment
00:52:01et c'est tout
00:52:03quatre
00:52:04Pedri
00:52:06Rafinha
00:52:06Lewandowski
00:52:07et Yamal
00:52:08parce que la saison du Barça
00:52:10pour le coup
00:52:11évidemment
00:52:11il y a
00:52:12la victoire finale
00:52:13du Paris Saint-Germain
00:52:14la saison du Barça
00:52:16c'est une saison exceptionnelle
00:52:17collectivement
00:52:19individuellement
00:52:19pour les joueurs
00:52:20c'était
00:52:21on a vu des choses
00:52:22fantastiques
00:52:24dans la saison du Barça
00:52:25donc moi je trouve
00:52:26que s'il y a neuf Parisiens
00:52:27et qu'il n'y a que
00:52:28quatre Barcelonais
00:52:29je n'ai pas envie
00:52:29qu'il y ait plus de Parisiens
00:52:30encore
00:52:30je suis d'accord
00:52:31ça pose la question
00:52:33aussi du poste
00:52:33et malheureusement
00:52:34dans l'attribution
00:52:35du Ballon d'Or
00:52:35aujourd'hui
00:52:36le côté
00:52:36on privilégie
00:52:38les attaquants
00:52:39par rapport aux défenseurs
00:52:40tu as trouvé ça bon
00:52:41ce que j'ai dit ou pas
00:52:41oui très bon
00:52:42c'est un débat
00:52:43je progresse au fur et à mesure
00:52:45c'est un débat
00:52:46qui revient tous les ans
00:52:47sur le plateau
00:52:47et là par exemple
00:52:48qu'un Bastoni
00:52:48par rapport à la saison
00:52:49qu'il fait également
00:52:50soit pas dans la liste
00:52:51je trouve ça aussi
00:52:51un petit peu injuste
00:52:52j'avais vu le match
00:52:53de ce soir
00:52:53malheureusement
00:52:55lui il paye sa finale
00:52:57pour le coup
00:52:57je voulais juste préciser
00:52:59une chose
00:52:59je crois que
00:53:02Johan Micou
00:53:02président de l'équipe du soir
00:53:03nous a donné le point
00:53:05juste comme ça n'a pas été dit
00:53:06qu'est-ce que j'ai dit
00:53:07je ne sais plus
00:53:08ça semblait un peu injuste
00:53:09les onze
00:53:10ça ne vous aurait pas choqué
00:53:12complément d'informations
00:53:13on sent que tu es bouleversé
00:53:14par cette injustice
00:53:15si tu veux écrire
00:53:17au président de la République
00:53:18complément d'informations
00:53:20il était présent
00:53:21sur ce plateau
00:53:22dans l'équipe de Greg
00:53:23Olivier Bossard
00:53:24membre éminent de ce collège
00:53:26salarié de France Football
00:53:27a donné un complément d'informations
00:53:28ils mangent à des endroits
00:53:29assez sympas quand même
00:53:30ils sont tout le temps
00:53:31comme ça
00:53:31à France Foot
00:53:32avec des tables comme ça
00:53:33quand ils font une conférence
00:53:34de rédaction
00:53:34exactement
00:53:35c'est la base
00:53:37que tu aurais dû te faire engager
00:53:38c'est vrai
00:53:38vous allez écouter
00:53:39Olivier Bossard
00:53:40membre du collège
00:53:41et du membre
00:53:43du comité de sélection
00:53:44des 30 du Ballon d'or
00:53:45écoutez-le
00:53:46il était dans l'équipe de Greg
00:53:48Ripley
00:53:48il était pour
00:53:50certains étaient contre
00:53:51et il y a un comité des listes
00:53:53à France Foot
00:53:54il y a donc la rédaction
00:53:55de France Foot
00:53:55en elle-même
00:53:56et on a 3 personnes extérieures
00:53:59qui sont des ambassadeurs
00:54:00notamment de la FIFA
00:54:01on a Fabio Capello
00:54:02on a Luis Figot
00:54:03et cette année
00:54:04on avait notre correspondant
00:54:06en Islande
00:54:07tous les ans
00:54:07on invite
00:54:08un correspondant de France Foot
00:54:10et un juré de France Foot
00:54:11à participer à ça
00:54:12celui qui avait donné
00:54:13le Ballon d'or dans l'ordre
00:54:14et cette année
00:54:16autant nous
00:54:18on l'avait sous les yeux
00:54:20Pacho
00:54:20on a vu
00:54:21de quoi il était capable
00:54:22autant à l'international
00:54:24il n'a pas autant marqué
00:54:25les esprits
00:54:25ce qui peut paraître bizarre
00:54:26parce que figurez-vous
00:54:27qu'aucun des 3
00:54:28ni Capello
00:54:28ni Figot
00:54:29ni notre juré islandais
00:54:31n'avait mis Pacho
00:54:31dans sa liste
00:54:32alors qu'ils avaient tous
00:54:33mis Marquinhos
00:54:33c'est le ressenti
00:54:35on va dire
00:54:35à l'international
00:54:37et en France
00:54:38la saison de Pacho
00:54:40a plus marqué
00:54:40en tout cas
00:54:41le collège
00:54:41des français
00:54:44qu'à l'international
00:54:45Pacho
00:54:46on est tellement surpris
00:54:47aussi en France
00:54:48de voir arriver un mec
00:54:48qu'on ne connaissait pas beaucoup
00:54:49on avait très peu vu jouer
00:54:51en bout de l'esquiga
00:54:51très peu
00:54:53très haut niveau aussi
00:54:54être aussi fort
00:54:55très vite
00:54:56donc c'est un peu normal
00:54:57qu'à l'international
00:54:57ils aient moins regardé
00:54:58ce joueur-là
00:54:58et puis devant
00:54:59ils ont été tellement bons
00:55:00d'un beli notamment
00:55:00que forcément
00:55:01tu auras des attaquants
00:55:02en sélection autant
00:55:04de joueurs du Paris Saint-Germain
00:55:05c'est leur rendre hommage
00:55:06mais on parle souvent
00:55:08de la dispersion des voix
00:55:09parfois pour expliquer
00:55:10certaines défaites
00:55:11de ballon d'or
00:55:12est-ce que ça
00:55:13c'est quelque chose
00:55:14finalement
00:55:14en voulant rendre hommage
00:55:16au Paris Saint-Germain
00:55:16et bien pas forcément
00:55:18aider les dessins
00:55:19d'un des grands favoris
00:55:20ou le grand favori
00:55:22Ousmane Dembélé
00:55:22je ne pense pas
00:55:23parce que justement
00:55:23Dembélé est
00:55:24pour moi
00:55:25très au-dessus
00:55:26des autres du Paris Saint-Germain
00:55:27Hakimi
00:55:28moi il y a une high
00:55:29pas Hakimi
00:55:30il est au-dessus d'Hakimi
00:55:30mais ça ça me paraît fou
00:55:32c'est le poste
00:55:33qu'on puisse
00:55:34débattre et dire
00:55:36Dembélé au-dessus
00:55:37bon je veux bien
00:55:37mais pour moi par exemple
00:55:39il n'y a pas de match
00:55:40pour moi
00:55:41à l'international
00:55:42il n'y a pas de match
00:55:43entre Hakimi
00:55:43et Dembélé
00:55:45sur la saison
00:55:45mais oui
00:55:48la saison est dingue
00:55:49Dembélé
00:55:50que j'adore
00:55:51vous le savez depuis toujours
00:55:52mais là il y a un moment
00:55:53ça m'agace
00:55:54parce que
00:55:54en fait
00:55:55par exemple
00:55:56les 13 derniers buts
00:55:57du Paris Saint-Germain
00:55:58en Ligue des Champions
00:55:5913 buts
00:55:59première de finale
00:56:00aller-retour
00:56:00demi-finale aller-retour
00:56:01finale
00:56:02Dembélé un but
00:56:04Hakimi
00:56:05il marque à tous les matchs
00:56:07à tous les matchs
00:56:08et en plus de ça
00:56:09on pourrait dire
00:56:10derrière c'est la catastrophe
00:56:11non pas du tout
00:56:12défensivement
00:56:13alors le jeu du Paris Saint-Germain
00:56:14l'a aidé certes
00:56:15mais il n'a pas été
00:56:16en difficulté
00:56:16la saison d'Hakimi
00:56:18est folle
00:56:18pour moi c'est
00:56:19un y a mal
00:56:19deux Hakimi
00:56:20trois Dembélé
00:56:20je comprends qu'on puisse
00:56:21discuter de tout
00:56:22mais je ne comprends pas
00:56:24comment on peut balayer
00:56:24d'un revers de main
00:56:25Sébastien tu sais très bien
00:56:27que c'est l'aspect défensif
00:56:28oui mais il l'a marqué
00:56:30à tous les matchs
00:56:30il n'est pas l'aspect défensif
00:56:31là c'est comme il dit
00:56:32Sébastien
00:56:32il a marqué à tous les matchs
00:56:33il a été influent
00:56:34sur la vie
00:56:35on est d'accord
00:56:36on est d'accord
00:56:37je ne remets pas du tout ça en cause
00:56:38moi je ne suis pas loin
00:56:39de penser un peu comme ça aussi
00:56:41mais en tout cas
00:56:42dans le vote du ballon d'or
00:56:43historiquement
00:56:44favorise les joueurs offensifs
00:56:46et pas forcément
00:56:47les joueurs
00:56:47qui ont été déterminants
00:56:49tout le temps dans la saison
00:56:50mais tout simplement
00:56:51parce que ce sont des joueurs offensifs
00:56:52oui mais après
00:56:53en fin de Dembélé
00:56:53c'est trois mois
00:56:54où ça a été extraordinaire
00:56:56et incroyable
00:56:56ça n'arrêtait pas
00:56:57tous les matchs
00:56:58tous les trois jours
00:56:58ça a enchaîné
00:56:59mais Hakimi
00:57:00ça a commencé toute la saison
00:57:01c'est une saison entière
00:57:02et en plus
00:57:04après cet argument
00:57:06je l'entends moi
00:57:07s'il avait fait cette saison
00:57:08comme ça extraordinaire
00:57:08et tu te dis
00:57:09mais comme dit Sébastien
00:57:11il est décisif
00:57:13à tous les matchs
00:57:14il marque à tous les matchs
00:57:15il y a un critère
00:57:15dans la position du ballon d'or
00:57:16aussi
00:57:17et je parle sous le contrôle de Louis
00:57:18elle change quand
00:57:19la saison du PSG ?
00:57:20Majorie
00:57:21oui
00:57:21il se passe quoi à ce moment-là ?
00:57:23Dembélé passe numéro 9
00:57:24et la saison du Paris Saint-Germain
00:57:26malheureusement
00:57:26pour Hakimi
00:57:27elle bascule à ce moment-là
00:57:28le règlement du ballon d'or
00:57:29j'ai l'impression
00:57:30que tout le monde
00:57:30le règlement du ballon d'or
00:57:33c'est la classe du joueur
00:57:34c'est mon numéro 1
00:57:35la classe du joueur
00:57:36et les performances du joueur
00:57:37donc on peut oublier
00:57:39que le règlement a changé
00:57:40il y a 2-3 ans
00:57:42mais le règlement
00:57:43c'est celui-ci
00:57:43donc à un moment
00:57:44pourquoi on ne reste pas
00:57:45sur le règlement du ballon d'or ?
00:57:47j'espère que les gens qui votent
00:57:48c'est moi ça
00:57:49ils lisent le...
00:57:51ça lui va bien ça
00:57:52c'est quand t'es trop long
00:57:55il t'en voit ça
00:57:55c'est votre jingle
00:57:57c'est une flûte militaire
00:57:59c'est une flûte...
00:58:00Camille vous avez d'autres indiscrétions
00:58:07sur la cérémonie du ballon d'or
00:58:09du 22 septembre prochain
00:58:10allons-y
00:58:11et oui ça intéresse
00:58:12les gens qui sont passionnés de ça
00:58:14évidemment
00:58:14c'est le nouveau duo
00:58:16de présentateurs
00:58:17un ballon d'or
00:58:18présentera la cérémonie
00:58:20pour cette 69ème édition
00:58:21Ruth Gullit
00:58:23le néerlandais
00:58:24qui a remporté le trophée
00:58:25en 1987
00:58:26qui a déjà animé en direct
00:58:27la cérémonie
00:58:28à trois reprises
00:58:29et bien en plus
00:58:30il a été victorieux
00:58:31de l'euro avec les Pays-Bas
00:58:33en 1988
00:58:34il est reconnu
00:58:35pour être un ambassadeur
00:58:36du beau jeu
00:58:37il serait associé
00:58:38à Kate Scott
00:58:39journaliste britannique
00:58:41de renommée internationale
00:58:42figure emblématique
00:58:43de CBS Sport
00:58:44où elle anime notamment
00:58:46les soirées
00:58:46Ligue des Champions
00:58:47aux côtés de Thierry Henry
00:58:48elle aussi
00:58:49a également présenté
00:58:51à deux reprises
00:58:51la cérémonie du ballon d'or
00:58:53en 2014 et 2015
00:58:54et notez bien
00:58:55dans vos agendas
00:58:56rendez-vous le 22 septembre
00:58:58dès 19h30
00:58:59pour suivre le tapis rouge
00:59:01en direct
00:59:01sur la chaîne équipe
00:59:02dans quelques minutes
00:59:04on joue
00:59:04qui va avoir droit
00:59:05au joker
00:59:06mes amis
00:59:07on me dit que c'est
00:59:08John Miku
00:59:09qui a les jokers
00:59:10il a bien arbitré
00:59:18dans quelques minutes
00:59:24on joue
00:59:24allez à tout de suite
00:59:25nous allons jouer
00:59:35mais nous allons tout d'abord
00:59:35découvrir la une
00:59:37de l'équipe
00:59:37avec Kix
00:59:38qui regarde dans le manche
00:59:39je crois
00:59:40il a un drôle de regard
00:59:40le Kix
00:59:41c'est pas ça ?
00:59:43c'est le regard de Kix
00:59:44à l'une de l'équipe
00:59:45je mime la une
00:59:48un petit clin d'oeil
00:59:49à l'actualité
00:59:50de notre pays
00:59:51convaincre après l'Ukraine
00:59:53avec une belle victoire
00:59:54ce mardi soir
00:59:55face à l'Islande
00:59:56information complémentaire
00:59:57à vous donner
00:59:58Benoît Saint-Denis
00:59:59qui a combattu
01:00:00l'UFC Paris
01:00:01victorieux
01:00:02une belle victoire
01:00:023-0 face au Brésil
01:00:03et bien il sera
01:00:04l'invité de l'équipe
01:00:05de choc demain
01:00:06à partir de 16h45
01:00:08super
01:00:08ok
01:00:09aujourd'hui
01:00:10on souhaite un bon anniversaire
01:00:12aujourd'hui
01:00:13on souhaite un bon anniversaire
01:00:14à Jean-Michel Larquet
01:00:1578 ans
01:00:16bon anniversaire à vous
01:00:17Jean-Michel
01:00:18le thème
01:00:19les consultants
01:00:20il vient d'arrêter
01:00:21ses stages pour les enfants
01:00:22les consultants télé
01:00:23les consultants télé
01:00:25les consultants télé
01:00:27allez
01:00:28première à 10
01:00:29mon sport
01:00:30le football
01:00:30Jomiku
01:00:31c'est faux
01:00:32mon média
01:00:34RMC
01:00:34ROTEN
01:00:35c'est faux
01:00:36mon club
01:00:38l'OM
01:00:39Dimeco
01:00:40mon autre passion
01:00:42le rock'n'ball
01:00:43Eric Dimeco
01:00:442 points pour
01:00:45Jean-Michel
01:00:46qui je vous rappelle
01:00:47vous avez les jokers
01:00:48vous pouvez éliminer
01:00:49quelqu'un
01:00:49mais pour l'instant
01:00:50je suis tranquille
01:00:51ah oui pour l'instant
01:00:51vous faites la course en tête
01:00:53en France
01:00:55je suis considéré
01:00:56comme le premier
01:00:57consultant de l'histoire
01:00:58le plus vieux
01:00:59Albalaio
01:00:59Albalaio
01:01:01j'ai commencé
01:01:02à décrocher du coup d'air
01:01:03j'ai continué avec
01:01:03Pierre Salviac
01:01:04mon sommet c'est
01:01:05Balard
01:01:05Pierre Albalaio
01:01:07ça s'appelle la culture
01:01:08le X
01:01:09ça peut venir
01:01:09mais tu vas avoir du mal
01:01:10plus t'en a plus tu l'étales
01:01:12allez on y va
01:01:13je commente
01:01:15souvent la nuit
01:01:16Georges Eddy
01:01:18c'est faux
01:01:19Jacques Monclar
01:01:22il était Jacques Monclar
01:01:24mon son
01:01:25je travaille pour
01:01:26Bénisport
01:01:27c'est Maître Jacques
01:01:28Jacques
01:01:29c'est genre judio
01:01:30c'est bizarre votre quiz
01:01:31je prends ma carte
01:01:32je prends ma carte quiz
01:01:33le quiz au casse
01:01:34allez c'est moi qui joue
01:01:35ah d'accord
01:01:36ah bon
01:01:36moi je l'élimine
01:01:38je l'élimine
01:01:40ah ouais comment il fait
01:01:40et moi je reprends la présidence
01:01:45non non on pouvait pas
01:01:46il a raison
01:01:47il a raison
01:01:48on fait pas de trucs comme ça
01:01:49c'est un jeu collectif
01:01:50nous allons jouer
01:01:50toi tu veux jouer à un jeu
01:01:52individuel
01:01:53nous allons jouer
01:01:54nous allons jouer
01:01:54mais plus rien
01:01:55celle là on joue pour rien
01:01:56moi je peux pas utiliser
01:01:58non je peux pas
01:01:59tu peux jouer non
01:02:00et non moi je suis intouchable
01:02:03donc je suis pas éliminé
01:02:03je suis le seul à jouer
01:02:04ok vous êtes le seul
01:02:05bravo
01:02:06bravo Sébastien
01:02:07Sébastien joue tout seul
01:02:09j'ai été le parrain de l'équipe TV
01:02:14en 1998
01:02:15j'ai été le parrain de l'équipe TV
01:02:19en 1998
01:02:20je travaille à Canal Plus
01:02:22depuis 2013
01:02:23c'est pas possible
01:02:25c'est une honte
01:02:27c'est une honte
01:02:27c'est une honte
01:02:28j'ai été champion du monde
01:02:30de Formule 1
01:02:31en 1997
01:02:32mais quelle honte
01:02:34pardon
01:02:35Sébastien
01:02:38mais si c'est le Canadien
01:02:40il supporte pas la pression
01:02:42je suis Canadien
01:02:46vous marquez 2 points Sébastien
01:02:48vous marquez 2 points
01:02:49il marque 2 points
01:02:51j'étais champion du monde
01:02:51de Formule 1 en 1997
01:02:53c'est le Canadien
01:02:53c'est Jacques Villeneuve
01:02:54bravo Sébastien
01:02:552 points
01:02:56j'avais l'impression
01:02:58on rallume
01:02:59je suis coach
01:03:01en Ligue 1
01:03:02consultant
01:03:04ah oui mais
01:03:05ils sont pas forcément toujours
01:03:06pas toujours
01:03:07Eric Roy
01:03:08Eric Roy
01:03:09c'est une mauvaise réponse
01:03:10mon club est actuellement
01:03:109ème au classement
01:03:12je me suis fait remarquer
01:03:16comme consultant
01:03:173 points
01:03:182 points
01:03:19j'étais le contradicteur
01:03:21de Pierre Moules
01:03:22au CFC
01:03:22Abib Bey
01:03:232 points
01:03:24c'est la dernière
01:03:25oh non
01:03:26et si c'est la dernière
01:03:27il faut déjà conclure
01:03:29j'ai été consultant
01:03:30à Canal Plus
01:03:31entre 1985
01:03:32et 2011
01:03:34c'est une mauvaise réponse
01:03:35et combien ?
01:03:3685 à 2011
01:03:38c'est ni Platini
01:03:40Platini c'est vous
01:03:42qui l'avez dit
01:03:42c'est Johan
01:03:43maintenant c'est Johan
01:03:44moi j'ai l'a dit
01:03:44remettez-moi
01:03:46non vous avez dit
01:03:48c'est Charles Bietry
01:03:53qui est venu me chercher
01:03:54pourquoi j'attends pas
01:03:55moi je le sais
01:03:55Denisot ?
01:03:57voilà on pourrait lui
01:03:59retirer des points
01:04:00ma deuxième maison
01:04:04Las Vegas
01:04:05j'ai commenté
01:04:08des combats légendaires
01:04:09mais c'est
01:04:09Boutier
01:04:10Jean-Claude Boutier
01:04:12c'est possible
01:04:13Sébastien
01:04:15j'ai gagné quand même
01:04:16t'as gagné
01:04:17et moi j'ai fait quoi ?
01:04:18prolongation
01:04:19sur le quiz
01:04:20peut-être on joue
01:04:21que la finale
01:04:22entre Loïc et moi
01:04:22non non
01:04:23pour moi
01:04:23le métier de consultant
01:04:25a été un one shot
01:04:26Platini
01:04:27c'est pas lui
01:04:28non
01:04:28c'était pendant
01:04:29le mondial
01:04:30de 1989
01:04:31Thomas
01:04:31si si
01:04:33c'est bon
01:04:33Thomas
01:04:34c'est bon
01:04:34c'est bon
01:04:37à l'antenne
01:04:38je formais un duo
01:04:39je ne suis pas sûr
01:04:40moi d'abord quoi ?
01:04:42oui c'est bon
01:04:43ça va
01:04:43ça va alors
01:04:46on est très à l'amour
01:04:49je pense qu'on n'est pas loin
01:04:50à demain
01:04:52je vais gagner celui-là encore
01:04:54блок
01:04:56ta
01:04:56c'est bon
01:04:56c'est bon
01:04:57dans les
01:05:00les
01:05:01les
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