- il y a 6 semaines
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 07/09/2025.
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SportTranscription
00:00Musique
00:00Bonsoir à toutes et tous, ravis de vous retrouver.
00:17C'est dimanche soir, c'est l'équipe du soir.
00:18Vous avez choisi de regarder l'équipe du soir à dimanche soir, c'est pas un choix anodin.
00:21C'est que vous voulez passer une grande soirée.
00:23Regardez le casting ce soir en président pour vous.
00:26Vincent Dudu qui est avec nous.
00:27Bonsoir mon cher président Vincent.
00:30Regardez un petit peu qui vous entoure.
00:31On a du Régis Broard qui a retrouvé le sourire.
00:35On a du Fred Piquion également qui est prêt à nous parler basket.
00:38On a Arnaud Hermand qui regarde le tennis.
00:41On se regarde.
00:41Et on a David Aiello qui a tout regardé.
00:44Très bien.
00:46Je vous présente également celle qui a certainement encouragé Manfis Depay pour ses buts.
00:51Évidemment, oui, toute d'orange vêtue.
00:52Camille Macailly, bonsoir Camille.
00:54Bonsoir, bonsoir à tous.
00:55Je suis dans le thème de la soirée parce qu'on va parler des oranges exactement.
00:58Très bien.
00:58Les Pays-Bas, tout à l'heure, les images, bien sûr, on aura l'occasion d'en reparler.
01:02Ça a été un des événements de la soirée.
01:03On a beaucoup de choses à voir.
01:04Je rappelle quand même dans l'équipe du soir la petite nouveauté parce que certains n'étaient pas encore là.
01:08La fameuse carte joker.
01:10Voilà que chaque chroniqueur a une carte joker.
01:12Attention, chacun a un joker différent ici.
01:14On ne sait pas qui a quoi.
01:16Mais tout le monde peut activer sa carte joker à n'importe quel moment de l'émission.
01:20L'émission a rebondissement, bien entendu.
01:22C'est bon, Président, pour vous ?
01:23Parfait.
01:24Alors, débutons les ostinités puisque après la victoire face à l'Ukraine, la polémique ne cesse d'enfler entre le Paris Saint-Germain et Didier Deschamps.
01:31Hier soir, l'équipe nous révélait donc la lettre envoyée du PSG à la Fédération française de football.
01:36Nous devons aujourd'hui vous faire part de notre profonde inquiétude, de notre mécontentement quant à la préservation de la santé de nos joueurs internationaux.
01:43Le maintien dans le groupe de joueurs actuellement blessés constitue à nos yeux une prise de risque injustifiée tant sur le plan physique que juridique.
01:52Voilà ce que disait le PSG.
01:54Aujourd'hui, Didier Deschamps a voulu répondre évidemment au Paris Saint-Germain.
02:00Il a réagi dans Téléfoot et il dit qu'on a toujours fait les choses avec sérieux et professionnalisme, mais je comprends.
02:05À leur place, si j'étais un club, j'aurais eu le même ressenti.
02:08Je ne suis pas là pour prendre des risques, mais évidemment qu'avec Ousmane des Bélés, si vous laissez des joueurs sur le banc, vous ne prenez jamais de risque.
02:16À partir du moment où il y a des joueurs sur le terrain, le risque zéro n'existe pas.
02:20Le protocole prévoit qu'ils doivent venir acter leurs blessures le lundi matin.
02:24On constate, on voit comment ça évolue.
02:27Dans la semaine qui a précédé, on a fait ça avec sérieux en demandant le ressenti du joueur avant chaque séance.
02:34Voilà pour les justifications de Didier Deschamps.
02:36Est-ce que ça ne serait pas déjà un début de mea culpa ?
02:40A-t-il fait son mea culpa pour vous, Didier Deschamps, avec cette déclaration ?
02:43Président, on va dans le vif du sujet avec un super duel.
02:46Non, pas vraiment.
02:47Vous ne voulez pas un super duel ?
02:49Mais si, c'est bien.
02:50J'ai eu peur, Président.
02:52Envoyez-moi le jingle, s'il vous plaît.
02:59Merde.
03:00Oui, en effet, on peut le dire.
03:01On avait une super production et puis ça commence à décliner.
03:04Alors attention, on a d'un côté ceux qui nous disent non, ça ne semble pas un mea culpa.
03:09C'est David qui est avec Fred.
03:11Voilà.
03:12Ceux qui y voient un mea culpa, c'est Régis et Arnaud qui vont parler.
03:17Oui, Régis, c'est convaincu.
03:17Qui prend la main de chaque côté ?
03:19Vous commencez, Régis, dans votre côté ?
03:22Oui, vous commencez.
03:22Et David attaquera.
03:24Allez, on y va, l'habillage est prêt.
03:26Allez-y, Régis.
03:27Quand vous avez un sélectionneur qui a connu les deux postes entre entraîneur dans un club et sélectionneur d'une équipe nationale aujourd'hui,
03:32que vous connaissez la situation, la relation avec les joueurs et le corps médical des clubs,
03:36de reconnaître en grande partie ce qui s'est passé,
03:38mais qu'il explique en partie les raisons pour lesquelles il s'est passé comme ça,
03:42avec une discussion avec les joueurs,
03:44pour moi, le mea culpa, il est évident.
03:46Thierry, il ne justifie pas, il explique tout simplement.
03:50Top ! David ?
03:51Expliquer, ce n'est pas un mea culpa.
03:53Pour moi, un mea culpa, ça aurait été reconnaître l'erreur qui aurait été commise
03:57de l'avoir fait entrer en jeu à ce moment-là.
04:00Et ce n'est pas du tout ce qui a été fait.
04:02Pour moi, c'est un rappel des faits,
04:04avec à la limite une empathie pour le Paris Saint-Germain en disant « je comprends leurs réactions »,
04:09mais ce n'est pas du tout les formes d'un mea culpa.
04:12À aucun moment, il y a des regrets ou des excuses qui sont formulées.
04:16Donc, ce n'est pas du tout un mea culpa.
04:17Top ! Arnaud, c'est à vous.
04:19Et c'en est un, bien sûr, il faut lire entre les lignes, il faut décrypter.
04:22On ne sait pas que Didier Deschamps, il va dire « excusez-moi le Paris Saint-Germain,
04:25excusez-moi Louis-Sénriquet, je me suis trompé, j'ai fait une énorme bourde ».
04:28Franchement, ça ne se reproduira plus.
04:30Non, en disant « je comprends leurs ressentis, j'aurais été à leur place, j'aurais ressenti la même chose »,
04:35c'est un mea culpa.
04:36Ça veut dire que lui, comme le dit Régis, il a été dans les deux cas.
04:39Mais un sélectionneur, à ce moment-là, si on va au bout de la logique,
04:43les clubs n'envoient plus de joueurs.
04:46Dès qu'il y a un petit pépin, ils vont nous dire « ah ben non, il est malade, il est blessé ».
04:49Et donc, le sélectionneur ne peut plus prendre de joueurs.
04:51Donc, à un moment ou à un autre, évidemment qu'avec la déclaration qu'il fait là,
04:55il fait un mea culpa, c'est une évidence.
04:57« Top, vous n'avez plus de temps, c'est Fred qui va conclure ce débat ».
05:00Pas du tout d'accord, pas du tout d'accord.
05:01Ce n'est pas du tout un mea culpa.
05:03Il est juste en train de justifier les faits qui se sont passés.
05:07C'est-à-dire un joueur qui arrive en sélection, qui fait constater sa blessure,
05:14malheureusement pour lui, il se blesse sur l'autre jambe.
05:18Mais il n'y a pas de risque de toute façon.
05:20La faute à qui ?
05:22Moi, je trouve qu'on est en train de jeter en pâture Didier
05:26ou Ousmane, alors que c'est la faute à pas de chance, tout simplement.
05:31« Top, il vous reste 4 secondes. Est-ce que vous voulez terminer, David ? »
05:34« La faute à pas de chance, je ne sais pas. Il y a le calendrier qui vient s'ajouter à tout ça. »
05:38Vous êtes rentré dans la même équipe, vous avez réussi à vous rentrer pour finir.
05:44Ça allait être un massacre.
05:45Non, non, mais c'est très intéressant parce que dans votre équipe, il y avait deux lectures sur…
05:50Complémentaire.
05:51Pas évident, pas évident, arbitré également.
05:55Vous allez l'arbitrer ce duel, vous allez sur l'équipe Connect et vous allez voter.
06:01Qui vous a convaincu ? Donc le camp du oui, Régis Arnaud, le camp du non, David et Fred.
06:06Président, pas évident, arbitré, on le disait, ce duel. Est-ce que vous êtes en capacité, vous, de trancher ?
06:12C'est vrai que ça ne ressemble pas complètement à Mea Kulpa.
06:14A Mea Kulpa, c'est de dire, bon, on avait décidé qu'au sommet des Bélés, il pouvait jouer 20 minutes
06:19et moi, j'ai décidé qu'il allait jouer une mi-temps et peut-être que j'ai un peu poussé.
06:23S'il avait été complètement remis, évidemment qu'il aurait été titulaire.
06:26Donc le fait que je ne fasse pas titulaire, ça veut dire qu'il n'était pas à 100%.
06:29Ce qui pourrait vraiment dire ça.
06:30Donc dans tous les cas, j'ai fait jouer un joueur qui n'était pas à 100%.
06:32Ça, ça aurait été un Mea Kulpa.
06:34Mais au-delà de ça, il est victime de sa fonction.
06:37Il est victime du fait d'avoir encore une fois trois semaines de boulot de juin à mars.
06:42Et pendant ces trois semaines, qui sont les seules pendant lesquelles il peut travailler,
06:46forcément, parfois, il fait jouer des gars qui sont un peu fatigués par leur club
06:50ou qui ne sont pas au top.
06:52Il n'a pas vraiment le choix.
06:54Mais c'est plus une déclaration politique pour essayer de calmer un peu le PSG
06:59qu'une reconnaissance publique de ses éventuelles erreurs.
07:06Mais pour Fred, vous, il n'y a pas d'erreur.
07:08Voilà, c'est ça.
07:09Fred, vous dites...
07:10Sur Dembélé, sur Dembélé.
07:11Non, pour moi, il n'y a pas d'erreur.
07:12Sur Doué, il n'y peut rien, mais sur Dembélé.
07:13Vincent, tu connais le foot.
07:15Tu étais bien avant moi dans le truc.
07:17Tu sais comment ça se passe.
07:19Tu viens...
07:19Moi, je suis Dembélé.
07:20Qu'est-ce que je fais quand j'arrive à Clairefontaine ?
07:23Je sais déjà que j'ai une blessure.
07:25Je dis, Doc, t'as vu ?
07:27Coach, moi, j'ai déjà une blessure.
07:29Contre l'Ukraine, vous pouvez vous passer de moi ?
07:31Peut-être que l'Islande...
07:33Est-ce que, vraiment, vous avez besoin de moi dans le groupe
07:35pour que je puisse rester ?
07:37Mais sinon, laissez-moi reprendre et je rentre chez moi.
07:39Et aujourd'hui, on n'a pas cette polémique.
07:41On n'a pas cette polémique.
07:42C'est la faute de Dembélé, pour vous, qui aurait dû...
07:44Ce n'est pas vraiment une faute, parce que...
07:45Mais il a dû dire qu'il était...
07:46C'est un joueur.
07:47Et lui, quand il a la discussion avec Didier, il dit...
07:51Non, mais c'est quand même trop facile de dire
07:54que le sélectionneur n'y est pour rien.
07:55Et Dieu sait que moi, je l'exonère de beaucoup de choses
07:57dans cette double affaire.
07:58Parce qu'effectivement, il est d'abord victime du calendrier.
08:01Voilà, de tas de choses.
08:03Mais sur Dembélé, en fait, on était au match.
08:07Mais je pense qu'à la télé, on a eu le même sentiment.
08:08Quand on a vu Dembélé rentrer à la mi-temps,
08:10on s'est dit...
08:10C'est pas une bonne idée.
08:12Franchement, on s'est dit...
08:13Mais non, mais tu parles d'expérience.
08:14Je dis franchement, au bout de 40 ans dans le foot,
08:16quand tu vois un mec comme ça qui est blessé,
08:18qui a un historique, qui a eu un truc musculaire,
08:21qui revient aussi vite, on s'est dit...
08:23Ouh, c'est pas une bonne idée.
08:24Il s'est dit qu'il a envie de jouer tout le temps.
08:24Et il ne fait même pas la mi-temps.
08:25Je rappelle juste, avant le contexte,
08:27il le fait rentrer à la mi-temps.
08:29La France a dominé cette première période,
08:31mais ne mène qu'un but à zéro.
08:32Mais elle mène à zéro.
08:33Oui, mais elle ne mène qu'un but à zéro.
08:35Et oui, mais on a vu que ça pouvait même mal tourner.
08:37Si, admettons, ça tourne mal,
08:39il ne fait pas rentrer Dembélé, par exemple.
08:40Il le sait que Didier Deschamps...
08:42Non, mais qu'il fasse rentrer Dembélé
08:45quand il en a besoin, quand il est à la rue,
08:46je peux le comprendre.
08:47Mais là, il mène à zéro.
08:48Il a tout maîtrisé en première mi-temps.
08:49Ça se justifie encore plus.
08:49C'est un match important.
08:50Oui, mais il a tout maîtrisé.
08:51Il remplace un joueur blessé aussi.
08:53Oui, j'assure.
08:54Donc, c'est un cas un peu de force majeure.
08:56Alors après, vous allez me dire,
08:57il aurait pu mettre un autre joueur que Dembélé.
08:59Moi, je pense qu'il y aurait vraiment faute de Deschamps
09:01s'il s'était blessé au même endroit.
09:03Le fait qu'il ne se blesse pas au même endroit.
09:04C'est quand même plus compliqué que ça,
09:05parce qu'on sait très bien que ça compense
09:07quand tu es blessé aux adducteurs.
09:09Mais ça veut dire que la blessure a été guérie.
09:10On peut dire qu'en effet,
09:11la blessure a été constatée comme étant guérie.
09:12Non, ce n'est pas aussi simple que ça.
09:14Mais à ce moment-là, il ne joue jamais
09:15puisque c'est un garçon qui a un passif médical
09:17long comme un code Vidal, un livre Vidal.
09:21Donc, à ce moment-là, il ne joue jamais.
09:22On voit bien que depuis plusieurs mois,
09:24il a depuis plusieurs années,
09:26il est bien meilleur.
09:27C'est juste que vu le contexte actuel,
09:29c'était effectivement un principe de précaution à appliquer
09:31que de se dire, voilà, je ne le fais pas rentrer là
09:34ou en tout cas pas aussitôt.
09:35On a un entraîneur de club avec nous.
09:38Vous êtes plus émeriqué, Régis.
09:40Non, mais un petit peu.
09:42Non, mais quand vous voyez Dembélé rentrer,
09:44par exemple, vous êtes comme Vincent,
09:46par exemple, vous vous dites
09:46« Ouh là là, ça ne sent pas bon ».
09:48Vous êtes ancien joueur, vous aussi, vous savez.
09:50J'ai fait la même grimace que Deschamps
09:52quand il s'est blessé à l'écran.
09:53On a vu qu'il y a eu quelque chose qui s'est passé
09:55et qu'il a dû ressasser la semaine
09:58et les discussions qu'il a dû avoir avec Dembélé.
10:01Non, Vincent a soulevé, pour moi, un truc important.
10:04Pour vous, il commet une erreur ou pas,
10:06Didier Deschamps en faisant rentrer…
10:07Il allait dire un truc sympa pour moi.
10:09Je voudrais qu'il nous donne son avis.
10:12En fait, c'est par rapport à la fonction.
10:15Maintenant, la question de s'arrêter
10:15à un match amical d'Embélé ne serait pas rentré.
10:18C'est une évidence.
10:19C'est une certitude.
10:20Donc, il est pas intéressant.
10:21La fonction du sélectionneur aujourd'hui,
10:22dans un match officiel,
10:24qualification pour la Coupe du Monde,
10:27en fait, vous êtes sélectionneur,
10:28vous voulez mettre les meilleurs joueurs sur le terrain.
10:30Je dis à un moment,
10:32les accords, les discussions,
10:33ne sauraient jamais ce qui s'est passé.
10:35En fait, la difficulté,
10:37parce que vous avez une discussion
10:38avec le corps médical au quotidien
10:40pour voir l'évolution d'une blessure.
10:41Alors, c'était l'eau de cuisse.
10:42Effectivement, le problème de la compensation,
10:45il existe.
10:46Vincent a dit tout à l'heure
10:48que ce joueur a souvent eu des problèmes musculaires
10:50son passage à Barcelone.
10:52Mais aux ischios,
10:53même plus récemment avec Paris,
10:55au mois de juin notamment.
10:55Aux ischios.
10:56En sélection.
10:58Il y a un élément aussi important,
10:59il n'a pas fait de préparation.
11:00Paris ne fait pas de préparation aujourd'hui,
11:02après la saison qu'ils ont effectuée.
11:06Donc, dire nous,
11:08souvent le corps médical,
11:09moi ça m'a toujours fait sourire,
11:11le corps médical me dit,
11:12on pose la question,
11:13il peut jouer 20 minutes.
11:15S'il peut jouer 20 minutes,
11:16il peut jouer 20 minutes.
11:17Alors, moi je dis,
11:18mais en fait,
11:19ce n'est pas clair ce que vous me dites.
11:20Il peut ou il ne peut pas.
11:22Ça veut dire quoi jouer 20 minutes ?
11:23Ça ne veut rien dire en fait.
11:25Oui, mais si vous en avez besoin,
11:28on en a besoin dès le départ en fait.
11:30Mais si il avait joué 20 minutes,
11:31il ne serait pas blessé
11:31parce qu'il s'est blessé au bout de 40,
11:33pas au bout de 35.
11:35D'ailleurs, il a dit que ce n'était pas prévu
11:37qu'il joue 45 minutes à la base.
11:38Après, vous connaissez mieux
11:39qu'au mois d'Iderchamps,
11:40il est dans la compète,
11:41lui la gagne pour lui.
11:42Il se dit d'embeler,
11:43même s'il maîtrise totalement
11:44la première mi-temps.
11:46Vincent, on a bien vu
11:47que le premier quart d'heure,
11:48ils ont été mis en difficulté
11:49s'ils sont égalisés
11:50parce qu'ils ne sont pas très bien
11:51en deuxième mi-temps.
11:52Donc, lui, en fait,
11:56je pense que c'est...
11:57Il est dans la compète.
12:00En fait, il se dit
12:01d'embeler, il remplace un joueur blessé,
12:03important, doué.
12:05Et en fait, lui,
12:07sa réflexion s'arrête
12:09qu'à la compète en fait.
12:11Et il y a un élément,
12:12je pense, qui est un peu aussi perverse.
12:13C'est le fait que le PSG
12:14a envoyé un courrier avant.
12:16Oui, qu'on a appris.
12:17Est-ce que ça se fait souvent ?
12:18Moi, je ne sais pas comment ça fonctionne.
12:20Est-ce que régulièrement,
12:21il y a des échanges
12:21entre les staffs médicaux
12:23ou entre la sélection ?
12:24Pas trop d'échanges.
12:26C'est sûr que le PSG,
12:27ils ont envoyé le rapport médical
12:28d'Ousmane Dembélé
12:29avant la sélection.
12:32Ça, c'est sûr.
12:32Et il n'y a pas beaucoup
12:33d'autres clubs français fournisseurs ?
12:35Il faut quand même dire...
12:36Oui.
12:36Ça veut dire
12:37de certificats ou de...
12:40Non, ça veut dire ça.
12:40C'est aussi la problématique.
12:43À ce moment-là,
12:43est-ce qu'à partir de ce principe-là,
12:45sous prétexte que vous recevez
12:46un courrier d'un club,
12:48vous ne prenez plus ces joueurs ?
12:50C'est un peu ça
12:51que sous-entend le Paris Saint-Germain.
12:52Maintenant,
12:53ils proposent la révision...
12:54Un nouveau protocole.
12:55Qu'est-ce qu'il y a
12:56derrière ce nouveau protocole ?
12:57Si on va,
12:58moi,
12:58je les connais un petit peu
13:00depuis longtemps,
13:00même si j'ai arrêté de les suivre.
13:02Donc, ça veut dire
13:02qu'à terme,
13:03c'est eux qui vont décider.
13:04Quand le PSG propose quelque chose,
13:05c'est pour décider.
13:06Donc, ils diront
13:07« Nous, on a jugé
13:08qu'ils ne pouvaient pas jouer,
13:09donc on n'en voit plus nos joueurs. »
13:10C'est comme ça que ça se fait.
13:11Ils ne peuvent pas le faire
13:13parce que c'est des dates FIFA.
13:15Et c'est les mêmes
13:16qui, au moment de la Coupe du Monde des Clubs,
13:18disaient « Attention,
13:18on va prendre nos joueurs
13:19parce que ce sont des dates FIFA aussi. »
13:21Donc, les dates FIFA,
13:22c'est quand ça les arrange.
13:23Là, c'est quasi inextricable.
13:24C'est un peu la faute à pas de chance.
13:25Malheureusement,
13:26ça tombe sur le Mbélé,
13:26ça tombe sur le Paris Saint-Germain.
13:28Donc, c'est sûr
13:28que la caisse de résonance est énorme.
13:30Je trouve qu'il y a un élément
13:30aussi dans le dossier
13:31qu'on n'a pas évoqué
13:32qui est mis en avant
13:32par Didier Leschamps,
13:33et on a consulté le joueur.
13:34Mais Fred,
13:35tu l'as un peu évoqué tout à l'heure.
13:36Mais le joueur,
13:36il a toujours joué.
13:37Donc, c'est pour ça
13:38que l'argument de dire
13:39« Oui, il n'y a jamais un joueur
13:41qui va te dire,
13:42surtout dans cette période. »
13:43Si il se sent bien
13:44et que le staff médical a dit
13:46« C'est bon,
13:47il a le feu vert. »
13:48Oui, oui.
13:48Mais c'est pour ça qu'on m'a...
13:49Même démarrer le match,
13:50on aurait été surpris.
13:52Il y aurait eu un risque,
13:53bien évidemment.
13:54Mais que tu...
13:55Et Régis,
13:56il le connaît très bien.
13:57Il connaît les mecs
13:58qui vont s'échauffer
13:59à la mi-temps.
14:01Et moi,
14:02ça m'est déjà arrivé aussi.
14:03Va t'échauffer à la mi-temps.
14:04Ok, d'accord.
14:05T'as avec ton préparateur physique,
14:06tu fais deux, trois...
14:07Après, va voir le coach
14:08parce qu'il a des consignes
14:10à te donner.
14:12Tu t'échauffes pas.
14:13Et donc, finalement...
14:14Il se serait peut-être
14:15été mieux qu'il commence.
14:17En effet, un vrai changement.
14:18Il s'est blessé
14:18une demi-heure.
14:19Il ne s'est pas blessé
14:19au bout de cinq minutes.
14:20Il était chaud quand il se plaît.
14:22Non, non.
14:22Il était chaud.
14:23Il était chaud.
14:23Mais vous savez,
14:24sur la nature des blessures,
14:26aujourd'hui,
14:27pendant les matchs,
14:28on nous donne des stats.
14:31Éventuellement,
14:32par exemple,
14:33au moment où ce m'est arrivé,
14:34le préparateur physique
14:35avertit mon adjoint
14:36pour dire
14:37à la 70e
14:38ou à la 75e
14:39ou à la 80e,
14:40il y a un risque de blessure
14:41pour tel joueur
14:42par rapport à des données,
14:44le nombre de sprints,
14:45des accélérations,
14:46des accélérations,
14:47tout ça par rapport
14:48à son poste
14:49et par rapport
14:50à les efforts
14:50qu'il peut effectuer.
14:52Après, nous,
14:52on prend la décision
14:53de le continuer
14:53parce qu'on en a besoin.
14:55Mais on nous avertit
14:56parfois,
14:57il y a un risque.
14:59Est-ce que le tripartie,
15:01le corps médical,
15:03le sélectionnaire
15:03et le joueur
15:04ont une discussion ?
15:05Bien souvent,
15:05elles existent,
15:06ces discussions
15:07et le docteur
15:08doit expliquer.
15:09Après,
15:10Didier Deschamps
15:10a suffisamment d'expérience
15:11pour savoir
15:12que ces types de blessures
15:13aussi,
15:14je pense qu'il en a connu
15:15quelques-unes
15:15dans sa carrière de joueur.
15:17Il y a un temps
15:18résolu à ça.
15:20Mais ça reste,
15:21même si tu as
15:22toutes ces données,
15:22ce n'est pas une science exacte.
15:24Non.
15:24J'en reviens.
15:27On parlait de
15:27« met un coup le pas »
15:28ou « pas »
15:28pour Didier Deschamps.
15:29La relation,
15:30aujourd'hui,
15:31avec le Paris Saint-Germain,
15:33elle va être comment ?
15:33Est-ce que ça va compliquer
15:34justement les affaires
15:35de Didier Deschamps
15:36dans cette année cruciale
15:37pour se qualifier
15:37pour la Coupe du Monde ?
15:39Ou est-ce que
15:40c'est un coup d'épée dans l'eau
15:41ces lettres
15:42et ces recommandations ?
15:42Non, Fred,
15:43pour vous,
15:43ça ne changera rien.
15:44C'est un coup d'épée dans l'eau.
15:44De toute façon,
15:45les joueurs qui vont être
15:46convoqués par Didier Deschamps,
15:47s'ils sont blessés,
15:48ils vont se faire constater
15:50comme tous les matins,
15:51comme tous les lundis matins.
15:53Et s'ils sont vraiment blessés,
15:54ils vont rentrer.
15:55S'il y a un risque
15:56ou s'il y a une petite fenêtre
15:59pour que le joueur puisse jouer
16:00parce que Didier,
16:01il en a vraiment envie,
16:03il joue.
16:03Moi, je pense à Dembélé,
16:04je pense à Desiré Douai.
16:06Si c'était Orlandez,
16:07peut-être qu'il le renvoie chez lui.
16:08De toute façon,
16:09réglementairement,
16:10ça reste le pouvoir
16:12de la fédération
16:13et du sélectionneur
16:14de sélectionner les joueurs
16:17et les clubs
16:17n'ont rien à dire en fait.
16:19À partir du moment
16:19où c'est la date FIFA,
16:21les joueurs n'ont pas le droit
16:23de refuser la sélection.
16:23Oui, mais Vincent,
16:24tu sais très bien
16:24que ce n'est jamais bon
16:25d'avoir le PSG sur le dos
16:26sur un dossier.
16:27Ce n'est pas bon,
16:27mais on va dire que
16:28dans l'histoire de l'équipe de France,
16:29c'est qu'il y a toujours arrivé
16:29à Raymond de Menech
16:31avec Arsenal,
16:32à chaque fois avec un fournisseur,
16:34ça arrive toujours avec un fournisseur,
16:35c'est arrivé à Gérard Rouillet,
16:37non pas à Gérard Rouillet.
16:38Vous avez appelé les clubs
16:38les fournisseurs,
16:39j'explique aux téléspectateurs,
16:40donc le fournisseur,
16:41c'est le club.
16:42C'est une façon de parler.
16:43C'est arrivé aussi avec Lyon
16:44à la fin des années 2000.
16:46Je rappelle Gérard Rouillet
16:47et Raymond de Menech
16:48qui s'étaient frités.
16:49Il n'y a pas très longtemps
16:51le PSG déjà au sujet d'Mbappé.
16:53Oui, c'est vrai,
16:54il y avait eu déjà
16:55un petit précédent pareil.
16:57C'est arrivé avec le Real Madrid,
16:58avec Mbappé,
16:59on peut quand même rappeler
17:00ce précédent.
17:02Sauf qu'il y a eu
17:02une discussion
17:03entre Didier et Kylian.
17:05Il me semble.
17:06Comme là,
17:06il y a eu une discussion.
17:07Mais ce n'était pas très clair non plus.
17:09Ce n'était pas très clair,
17:09je suis d'accord avec toi.
17:10Il y a une discussion
17:11et il ne l'a pas convoqué.
17:13Dans le choix,
17:14Didier et Kylian,
17:14on l'a évoqué tout à l'heure,
17:15Régis,
17:16est-ce qu'il fallait
17:18plutôt le mettre titulaire
17:19du coup s'il est apte à jouer ?
17:20Non, mais comme vous dites.
17:22Vous assistez.
17:23Non, mais je me pose la question.
17:25Quand on a le choix,
17:27est-ce qu'en le mettant en remplaçant,
17:29ce n'était pas déjà une indication
17:30que...
17:31Oui, voilà.
17:32C'est la vérité, oui.
17:33Oui, c'est une indication.
17:34Normalement,
17:34un joueur sur un banc est apte.
17:37Oui, mais...
17:38Un joueur comme ça,
17:39Dembélé,
17:40qui est le titulaire au poste,
17:42le titulaire au poste,
17:43il débute.
17:44Il débute,
17:45il est évident.
17:45C'est un match officiel,
17:47il débute.
17:49Ça, c'est une vérité.
17:50Dire qu'il n'y avait pas eu
17:52d'interrogation,
17:53il aurait débuté.
17:54C'est une évidence.
17:56C'est quand même compliqué
17:58de dire qu'il y a eu
17:58de la prudence,
18:00mais qu'il n'y avait pas de risque.
18:01S'il y a de la prudence,
18:02c'est qu'il y avait un risque, en fait.
18:03Non, parce que Didier Deschamps
18:04le dit dans sa déclaration,
18:05il nous dit
18:05le risque zéro n'existe pas.
18:07Oui, mais bien sûr.
18:09Il existe moins encore
18:12avec un joueur
18:13dont on n'ose pas
18:13le mettre d'entrée.
18:14C'est sûr.
18:16Qui plus est,
18:16qui s'appelle Dembélé.
18:18Fred,
18:18on parlait tout à l'heure
18:19de malchance.
18:20Certains ont dit
18:20que c'est aussi peut-être
18:21la faute à pas de chance.
18:22C'est moi qui l'ai dit.
18:23Oui, c'est vous
18:24qui l'avez dit,
18:24la faute à pas de chance.
18:25Mais il y a aussi autre chose
18:26dont on parle beaucoup.
18:27C'est que les Parisiens,
18:29ça a été évoqué,
18:30n'ont pas eu de préparation
18:31et sont dans un état physique
18:33qui engendre
18:35ce genre de blessure,
18:36non ?
18:36Aujourd'hui,
18:37après tout ce qu'ils ont vécu
18:38la saison dernière.
18:39Oui, bien sûr.
18:39De toute façon,
18:40il y a un risque
18:40avec tous les joueurs
18:41et dans toutes les équipes
18:44qui ont joué
18:44plus de 60 matchs
18:46dans la saison,
18:46qui ont été très loin
18:47aussi dans cette Coupe du Monde
18:48des clubs.
18:50Jusqu'à novembre,
18:52décembre,
18:53il y aura de temps en temps
18:54aussi quelques joueurs
18:55et comme par hasard,
18:56on va s'apercevoir
18:57que ce sont des joueurs
18:57qui étaient dans les équipes
18:58qui ont fait cette Coupe du Monde
19:00des clubs.
19:01Moi,
19:02ça ne me surprend pas
19:03tout ça,
19:04toutes ces blessures musculaires
19:05parce que c'est énorme
19:08pour eux.
19:09On dit,
19:09même les jeunes joueurs,
19:11ils n'ont pas de blessures.
19:12Ben si,
19:13nerveusement,
19:14mentalement,
19:15c'est compliqué.
19:15Mais c'est pour ça
19:15que cet argument,
19:17quand tu le renvoies
19:17à la décision d'Idee Deschamps,
19:19il connaît ce contexte-là.
19:20Il sait que
19:21Nabil Belé a joué 53 matchs
19:22la saison dernière.
19:23Non, mais tout le paradoxe,
19:24c'est que le PSG
19:25qui a été pour le coup
19:27un des clubs
19:27les plus favorables
19:29à la Coupe du Monde
19:29des clubs,
19:30notamment son président,
19:32pour une simple et bonne raison,
19:33parce que ça lui offrait
19:34une exposition
19:34où il y avait beaucoup
19:35d'argent à récupérer.
19:36C'est quasiment 100 millions,
19:37voire un peu plus
19:37qu'ils ont récupéré
19:38pour être allé en finale.
19:39Et aujourd'hui,
19:40ils se plaignent
19:41presque que leurs joueurs
19:42jouent trop.
19:42C'est ça.
19:43C'est tout un paradoxe.
19:45Mais la réalité,
19:46c'est que le PSG,
19:46comme le Real,
19:47au départ,
19:48quand la Coupe du Monde
19:48des clubs est annoncée,
19:50les entraîneurs
19:51des deux clubs,
19:51la première réaction,
19:52c'est n'importe quoi,
19:53ce calendrier,
19:54etc.
19:54Le président revient
19:55et le lendemain,
19:56c'est...
19:57Ah non,
19:57vraiment,
19:57c'est un super truc.
19:58Franchement,
19:59François,
19:59c'est génial.
20:00Donc,
20:00ils sont très ambigus aussi.
20:02Camille,
20:02on regarde aussi
20:03le communiqué
20:04de l'UNFP
20:05qui a pris position.
20:06Le syndicat des joueurs
20:07français publie
20:08ce dimanche
20:09un communiqué
20:10à la suite
20:10des nombreuses blessures
20:11dont vous avez parlé
20:12avec un titre
20:13qui en dit long.
20:14Nous,
20:15y voilà
20:15et ils attaquent
20:16ce fameux
20:17calendrier international.
20:19Un calendrier
20:19irrespectueux,
20:20dangereux,
20:21tant pour la santé physique
20:22mentale des joueurs
20:23puisque personne
20:24n'ose croire
20:25que la FIFA fera
20:26à court terme
20:27du moins machine arrière.
20:28Il le faudra bien pourtant
20:29et que personne
20:30en dehors des représentants
20:31des joueurs
20:32ne souhaite affronter
20:32la fédération internationale
20:34surtout après l'avoir
20:36laissé agir à sa guise.
20:37Ils en appellent
20:38à l'État français
20:39pour faire respecter
20:40le temps de travail
20:41et le repos nécessaire
20:42pour les joueurs de football.
20:44Voilà,
20:44avoir au moins
20:45ce temps de repos
20:47qui soit légisphéré,
20:49on va dire...
20:50Non,
20:50je vois tous vos têtes,
20:51j'ai l'impression
20:52qu'il n'y a aucun histoire.
20:53Il existe déjà.
20:55Il existe déjà.
20:56Il y a une loi.
20:56C'est une posture syndicaliste
20:57que je comprends
20:58et qui est importante
20:59et qui est sans doute
21:00nécessaire actuellement.
21:02Dans la réalité,
21:03par rapport aux joueurs
21:04qui faisaient 50 ou 60 matchs
21:06par an il y a 30 ans,
21:08d'abord ils sont mieux préparés,
21:09ensuite maintenant
21:09il y a 5 changements
21:10et les temps de jeu
21:12sont inférieurs en fait
21:13et ils sont mieux soignés
21:14et les plus sont meilleurs.
21:16Ah mais ça dépend
21:16qui est encore une fois.
21:17Oui, c'est intense,
21:18oui, c'est plus intense
21:19et oui, cette année
21:20la saison du PSG
21:21a duré quasiment 12 mois
21:22et ça c'est scandaleux
21:24mais globalement
21:25ça concerne
21:26peut-être 3%
21:27des joueurs professionnels,
21:28c'est tout.
21:29Le profil de la blessure,
21:31bizarrement,
21:32c'est quand même
21:32deux joueurs
21:32dans le même profil
21:33de joueur et de jeu.
21:35C'est des joueurs
21:35d'accélération
21:36qui n'arrêtent pas
21:36de s'arrêter,
21:37d'accélérer,
21:37d'accélérer.
21:40Musculairement,
21:40il faut que ce soit prêt
21:41donc on voit que Paris
21:42n'est pas dans le travail
21:43aujourd'hui
21:43parce que ces types de joueurs
21:45ne font que des différences.
21:46c'est des joueurs d'à-coups
21:47qui font des différences
21:48sur des situations de jeu
21:50donc musculairement
21:51vous êtes hyper sollicité
21:53donc Douai,
21:54on est loin d'imaginer
21:55qu'il va se claquer
21:56le mollet
21:57mais quand vous le regardez jouer
21:58il n'arrête pas
21:59de changer de direction
22:00il a des appuis terribles
22:01donc c'est là
22:03qu'on s'en rend compte
22:03que la préparation
22:04sert quelque chose
22:05qu'il faut le préparer.
22:07Et vous Régis
22:08vous étiez préservé ça
22:09par rapport à ça
22:09aux accélérations
22:10c'était plus tranquille.
22:13Pour les débats d'ailleurs.
22:14On va regarder le débat
22:16un petit peu
22:16Fred
22:17c'est gagné
22:19avec David
22:20c'est normal
22:21non ce n'est pas
22:22un mec culpa
22:23pour Didier Deschamps
22:24donc on verra
22:24les relations
22:25entre le Paris Saint-Germain
22:26et Didier Deschamps
22:26prochainement
22:27évidemment on aura l'occasion
22:28d'en reparler
22:28dans l'équipe du soir
22:29on va faire un petit tour
22:31du côté d'Austin
22:32aux Etats-Unis
22:32ça nous passionne
22:34le WEC
22:34les 6h d'Austin
22:35ça y est c'est parti
22:36déjà depuis un petit moment
22:37depuis 20h
22:38avec des conditions
22:41météo
22:41j'allais dire
22:43dantesques
22:44pour ressembler
22:44à Messiaud Ben Tarki
22:45mais en tout cas compliqué
22:46Paul Petit
22:47Marc Minary
22:47que se passe-t-il en ce moment ?
22:50Ben oui
22:50c'est dantesque
22:51absolument Benoît
22:52bonsoir à tous
22:53il reste 2h11
22:55de course
22:56sur ces 6h
22:56ici à Austin
22:57on roule
22:58on roule
22:59parce que ça a été
22:59mouvementé au début
23:00avec les conditions
23:02de course
23:03la course a été lancée
23:05sous voiture de sécurité
23:07on est resté
23:07très longtemps
23:08sous voiture de sécurité
23:09et puis il y a eu
23:10des sorties
23:10il y a eu un drapeau rouge
23:11parce qu'il y a eu
23:12une grosse confusion
23:13derrière la voiture de sécurité
23:15donc on a remis
23:16les voitures dans le bon ordre
23:17une nouvelle interruption
23:18bref
23:19maintenant nous roulons
23:20nous roulons toujours
23:21sous la pluie
23:22qui n'a pas cessé
23:23depuis le début de course
23:24et la pluie
23:25pourrait s'arrêter
23:26dans la demi-heure
23:26qui vient
23:27ce qui nous ferait
23:27une fin de course
23:28sur le sec
23:29peut-être
23:29ça c'est à voir
23:30on est ici
23:31avec Sébastien Bourdet
23:32à bord de sa Cadillac
23:33Cadillac
23:34pour l'instant
23:34n'occupe que les 7ème
23:36et 14ème position
23:38de la course
23:39la course est menée
23:39par la Ferrari numéro 51
23:41voici Bourdet
23:42qui se détache ici
23:43de la BMW numéro 15
23:45devant on a donc
23:46la Ferrari 51
23:484 secondes 8
23:49devant la Porsche
23:50numéro 6
23:51celle que pilote
23:52notamment Kevin Estre
23:53une Ferrari
23:54la 50 à la 3ème position
23:55une autre Porsche
23:56et une autre Ferrari
23:57devant la première Peugeot
23:59qui occupe la 6ème position
24:00pour le petit
24:01c'est vraiment des conditions
24:02oui dantesques
24:03et voilà
24:03ce à quoi on a
24:04beaucoup beaucoup
24:05assisté sur cette piste
24:06et là il s'en sort bien
24:07le pilote de la BMW
24:08en faisant la 360
24:09on a vu des frayeurs
24:11pour beaucoup de monde
24:12oui des frayeurs
24:13et puis c'est surtout
24:13des conditions
24:14où quand on est pilote
24:15on peut faire des différences
24:16mais attention
24:17de ne pas partir à la faute
24:18le jeu est quand même risqué
24:20mais c'est là où
24:22on voit également
24:23à l'image
24:23que le vainqueur
24:24des 24 heures du monde
24:25se fait piéger également
24:25donc ça va être
24:26vraiment intéressant
24:27de suivre ces deux dernières heures
24:28parce que là
24:28il va se passer encore
24:29beaucoup de choses
24:29oui là au volant
24:30de la Ferrari jaune
24:31la numéro 83
24:32c'est Yifeye
24:33le chinois
24:34qui a relayé
24:35Phil Hansen
24:36le jeune britannique
24:36qui était en pole position
24:37qui est parti devant
24:38qui a mené la course
24:39une fois que celle-ci
24:41a été lancée
24:42que le safety car
24:43la voiture de sécurité
24:44s'est effacée
24:45et puis il a dû
24:46s'incliner
24:47devant Antonio Giovinazzi
24:49le pilote de la 51
24:50ça bagarre vraiment
24:52à tous les niveaux
24:53ici dans la catégorie
24:54LMGT3
24:55la deuxième catégorie
24:56de ce championnat
24:57du monde d'endurance
24:57on a une Ford
24:58la 77
24:59vous le voyez sur la gauche
25:00de votre écran
25:01qui mène à domicile
25:02aux Etats-Unis
25:03devant deux McLaren
25:05une Porsche
25:06une Mercedes
25:07et à la 6ème position
25:08la Porsche numéro 85
25:09pilotée par la Suisse
25:11Israël Frais
25:11c'est celle des Iron Dams
25:12l'équipage 100% féminin
25:15parfait Marc
25:15de cette catégorie
25:16du WEC
25:16Benoît
25:17merci beaucoup
25:18évidemment vous intervenez
25:19s'il se passe quelque chose
25:20de spectaculaire
25:21et puis on retrouvera
25:22la fin de la course
25:22tout à l'heure
25:23et si vous voulez vivre
25:23l'intégralité de la course
25:24vous allez sur l'équipe live
25:26j'ai cru entendre
25:26un alerte générale
25:27c'est bien ça ?
25:28alerte générale
25:29je me tourne vers Camille
25:29que vient-il de se passer
25:31dans le monde du sport Camille ?
25:32énorme information
25:33Carlos Alcaraz
25:34remporte son 6ème
25:36grand chelem
25:37à seulement 22 ans
25:38il a surclassé
25:39Yannick Siner
25:40en 4-7
25:41on en parle évidemment
25:42dans le milieu info
25:42avec les images bien sûr
25:44pas de Dembélé
25:45pas de doué pour jouer
25:46face à l'Islande
25:47au Parc des Princes
25:48mardi
25:48mais alors qui ont fait jouer ?
25:49et bien on va se poser
25:49les questions
25:50vous avez des noms à me donner
25:51on fait un tour de table
25:52dans quelques minutes
25:53et puis on va également
25:54vous faire jouer
25:55à tout de suite
25:55c'est l'équipe du soir
26:05du dimanche soir
26:06avec cette musique
26:07très inquiétante
26:08et envoûtante
26:08Vincent Duluc
26:09est le président
26:10il est entouré
26:10de Régis Brouard
26:11David Aiello
26:12Fred Piquion
26:13Arnaud Hermand
26:14le show Camille Macali
26:15se prépare dans quelques instants
26:17parce qu'il y avait
26:17beaucoup d'infos
26:18Camille
26:18et des grosses infos
26:19on aura l'occasion
26:20d'en parler
26:20on parlera de basket français
26:21parce que Fred Piquion
26:22va à tout prix parler basket
26:23ce soir on parlera aussi
26:25de tennis bien sûr
26:25avec la victoire de l'Alcaraz
26:26voilà
26:27il y a gros JT
26:29attention
26:31avant d'ouvrir le débat
26:32pour savoir
26:33qui va remplacer
26:33Dembélé Doué
26:34sur le terrain
26:35qui voulait voir
26:35sur le terrain
26:36mardi soir
26:36je vous rappelle
26:37que le ballon d'or
26:38ça sera évidemment
26:38sur la chaîne
26:39l'équipe
26:39que la cérémonie
26:40s'approche
26:40parce que ça sera
26:41le lundi 22 septembre
26:42et oui
26:43et qu'en plus
26:44on a un nouveau trophée
26:45au ballon d'or
26:46ça sera l'action en or
26:48il s'agit de la plus belle
26:49action collective
26:49de la saison
26:50qui a amené un but
26:51alors la sélection
26:52a été faite
26:53par la rédaction
26:54de France Football
26:54mais le choix
26:56c'est vous qui allez le faire
26:57les téléspectateurs
26:58les fans du foot
26:59du monde entier
27:00donc par un système
27:00de vote international
27:02pour ça il suffit
27:03d'envoyer
27:04donc 1, 2, 3, 4 ou 5
27:06voilà il y a 5 actions
27:07vous les envoyez par SMS
27:09au
27:10notez bien 71-0-21
27:12voilà je vous laisse
27:13regarder les 5 actions
27:14et puis vous votez
27:15au 71-0-21
27:16regardez
27:17c'est parti
27:21c'est parti
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