Passer au playerPasser au contenu principal
[#Journal] Le 19H30 du 2 septembre 2025

📱066441717 📞 011775663

̂ :

🔗 https://lc.cx/9dgPhl

#GMTTv
#GMT
#Gabon

Catégorie

📺
TV
Transcription
00:00...
00:00Mardi 2 septembre 2025, soyez les bienvenus sur GMT TV pour la principale édition du soir.
00:24Au sommaire de ce journal, en marge de la rentrée scolaire,
00:26c'est le moment de revenir sur le rôle et l'importance, souvent oublié,
00:31des associations des parents d'élèves au sein des établissements.
00:35Mesdames et mesdemoiselles et messieurs, bonsoir.
00:38Première information de ce journal, maître Sarah Onyan,
00:41candidat à l'élection législative dans le sixième arrondissement de Libreville,
00:45a livré un discours emprunt d'engagement et de détermination aux populations de dragage le 28 août dernier.
00:52José Biloguet nous en dit plus.
00:54Candidat de l'Union nationale au deuxième siège du sixième arrondissement de Libreville,
00:58maître Sarah Onyan a animé ce jeudi 28 août deux causeries politiques dans le grand dragage.
01:04L'avocat au barreau du Gabon a saisi cette tribune pour appeler à l'élection de Gabonais neuf,
01:08démocrate et patriote,
01:10afin d'accompagner le président brisque terre Oligin Gema dans l'édification de la 5e République.
01:15Devant les habitants des quartiers Aubannes et dragage à droite,
01:18maître Sarah Onyan a tenu un discours sans détour sur l'avenir politique du pays.
01:22Pour le candidat de l'Union nationale, la prochaine échéance du 27 septembre doit être l'occasion de parachever
01:28l'effacement de l'ancien régime entamé le 30 août 2023 par le président de la République.
01:33La 5e République doit être dirigée par des Gabonais neufs,
01:37porteurs d'une vision démocratique authentique qui aime véritablement le Gabon et son peuple.
01:42Elle ne saurait être confisquée par les mêmes pédégystes d'hier,
01:45responsables d'un système que le peuple a rejeté,
01:47a-t-il martelé, insistant sur la nécessité d'un véritable renouvellement de la classe politique.
01:53Maître Sarah Onyan a rappelé que l'élection des députés, des conseillers municipaux et des sénateurs
01:57doit permettre d'accompagner le chef de l'État dans sa volonté de refonder les institutions.
02:03L'élection des députés, des conseillers municipaux et des sénateurs du 27 septembre 2025
02:06doit permettre au peuple gabonais de parachever l'effacement de l'ancien régime entamé le 30 août 2023
02:13par le président briscoteur Oligu Nguema, a-t-il souligné.
02:17Porté par un discours centré sur la proximité et la rupture avec les pratiques anciennes,
02:22le candidat a exhorté la population du 6e arrondissement à s'impliquer activement dans ce processus.
02:27Pour lui, l'avenir du Gabon dépend désormais de la capacité du peuple
02:31à choisir des représentants véritablement engagés pour le bien commun.
02:35On passe en économie où le solde budgétaire du Gabon a connu un déficit de 1% en 2024
02:41suivant le rapport de la Banque des États de l'Afrique centrale.
02:46Le rapport 2024 de la Banque des États de l'Afrique centrale, BEAC,
02:50révèle une détérioration notable des finances publiques dans la zone CEMAC,
02:54conséquence de la baisse des cours de plusieurs produits d'exportation
02:57tels que le gaz naturel, le bois et le coton.
03:00Dans ce contexte, le Gabon a vu son solde budgétaire, base, engagement et dons compris basculer dans le rouge.
03:08Après un excédent de 0,7% de PIB en 2023, il affiche un déficit de 1% en 2024.
03:15Cette contre-performance s'inscrit dans une tendance régionale
03:18où seul le Congo parvient encore à maintenir un excédent budgétaire, plus 4,8% du PIB.
03:25Cette dégradation résulte principalement du recul des recettes pétrolières,
03:29moins 1,5% du PIB et de l'augmentation des dépenses publiques, plus 1,1%.
03:36Ces évolutions ont été partiellement compensées par la hausse des recettes non pétrolières,
03:41plus 1,9% liées aux efforts de mobilisation fiscale.
03:46Au niveau régional, le solde global de la CEMAC est passé d'un excédent de 499,4 milliards de francs CFA en 2023
03:53à un déficit de 358,5 milliards en 2024,
03:58entraînant un besoin de financement estimé à 32,5 milliards.
04:02Pour couvrir ces déséquilibres, les États ont mobilisé divers leviers,
04:07notamment des tirages extérieurs pour 1 866,5 milliards de francs CFA,
04:12des emprunts auprès des systèmes non bancaires régionales 45,7 milliards
04:17et des allègements de dettes extérieures à hauteur de 103,5 milliards de francs CFA.
04:24Ces ressources ont permis non seulement de combler une partie des besoins budgétaires,
04:27mais aussi d'amortir la dette extérieure à hauteur de 2 319,1 milliards
04:33et de réduire l'endettement bancaire de 87,3 milliards.
04:36Malgré cela, la région reste exposée à la volatilité des cours mondiaux,
04:42en particulier du pétrole dont dépend encore fortement le Gabon.
04:45La BEAC estime toutefois que la politique budgétaire menée en 2024
04:49a été à la fois contracyclique et restrictive,
04:52combinant rigueur et mobilisation accrue des recettes fiscales.
04:56Le solde budgétaire de référence de la zone s'est établi à moins 0,3% du PIB,
05:02un niveau meilleur que la norme communautaire fixée à moins 1,5%.
05:06Pour le Gabon, le défi reste de diversifier davantage ses ressources de revenus
05:11afin de stabiliser ses équilibres budgétaires
05:14et réduire sa vulnérabilité aux chocs extérieurs.
05:18Dans le cadre du projet de centrale thermique à gaz de Mayumba,
05:22dans la Basse-Bagno, l'entreprise Perenco se place en chef de file
05:27dans l'exécution des travaux.
05:29Les détails dans cet élément.
05:30Le 28 août 2025, le ministre de l'accès universel à l'eau et à l'énergie,
05:38Philippe Tonangoy, a visité le chantier de la centrale thermique à gaz de Mayumba,
05:42porté par Perenco et Gabon Power Company,
05:45avec l'appui du F6, de la GOC, de la SEG et de la CETEG.
05:49Cette infrastructure de 8,5 MW marque un tournant stratégique
05:53pour l'autonomie énergétique et le développement économique du sud du Gabon.
05:57Installée au cœur du département de la Basse-Bagno,
06:00la centrale thermique à gaz IPP Mayumba
06:02incarne la volonté du gouvernement de valoriser les ressources nationales
06:05en s'appuyant sur l'expertise de Perenco,
06:08premier opérateur pétrolier et gazier du pays.
06:11Fournisseur exclusif du gaz qui alimentera les turbines,
06:14Perenco se positionne comme le maillon central de ce projet structurant.
06:19Nous espérons qu'à la fin de l'année ou au plus tard début 2026,
06:23cette centrale commencera à produire de l'électricité grâce au gaz de Perenco.
06:27Avec ce projet, nous électrifions tout le sud,
06:30de la Nianga à Langounier, voire jusqu'à Lombareny,
06:34a expliqué Philippe Osouka, directeur général de GPC.
06:37Sur le terrain, Philippe Tonangoy a constaté un avancement notable du chantier.
06:41Des deux turbines Taurus 60 d'une capacité totale de 8,5 MW sont en cours d'assemblage,
06:47tandis que le ski de gaz et le shelter électrique sont déjà opérationnels.
06:51Le pipeline reliant les champs offshore à la centrale progresse
06:54et la ligne électrique vers Chibanga est en grande partie matérialisée.
06:58Les travaux ont bien progressé tant sur le plan du génie civil que sur celui des équipements.
07:03Nous enregistrons plus de 70% d'avancement.
07:06Nous avons l'obligation d'injecter les 8,5 MW prévus sur les réseaux,
07:10dans les délais impartis, a assuré le ministre,
07:13annonçant une mise en service entre fin 2025 et début 2026.
07:17La future centrale devrait alimenter plus d'une vingtaine de villages et sécuriser
07:20l'approvisionnement en électricité de Mayumba et Chibanga,
07:24tout en soutenant les grands projets structurants annoncés pour la région,
07:28l'usine de barbre, zone industrielle de transformation locale,
07:31chemin de fer et port en eau profonde.
07:34L'énergie produite par IPP Mayumba viendra dynamiser l'économie régionale
07:37au regard des sollicitations existantes et à venir.
07:40Cette centrale permettra de stabiliser le réseau sud
07:43et de réduire fortement les délestages, a ajouté Philippe Osouka.
07:48Au-delà des chiffres, IPP Mayumba traduit une vision,
07:50transformer localement les ressources pour en faire un moteur de croissance inclusive,
07:55avec Perrinco comme pivot technique et industriel.
07:58Ce projet illustre le rôle stratégique des partenariats publics privés
08:01dans la sécurisation énergétique du Gabon
08:03et dans l'amélioration des conditions de vie des populations.
08:06La centrale de Mayumba n'est donc pas seulement une infrastructure électrique,
08:11elle symbolise une étape décisive vers la souveraineté énergétique nationale.
08:17Direction la province de Langounier sur l'axe Les Bambambigou
08:20où les travaux routiers entamés au mois de mars dernier
08:24vont bon train au grand bonheur des populations.
08:27Iris Obanga.
08:30Lancé par le président de la République le 21 mars dernier,
08:33le chantier de l'axe routier Les Bambambingou-Malinga-Molo
08:37connaît une avancée notable, notamment sur le tronçon Les Bambambingou.
08:42Cette route stratégique de 208 kilomètres confiée à l'entreprise Ebo-Maf Togo
08:45suscite un immense espoir parmi les populations locales,
08:49longtemps victime d'un enclavement persistant.
08:52Depuis sa visite de terrain en mars 2025,
08:54le chef de l'État, Brice Clotaire, Oligi Ngema,
08:57a fait de ce projet une priorité nationale.
08:59À travers cette route reliant trois départements de Langounier,
09:02la Luéti-Wano, la Bumiluéti et la Luéti-Bibaka,
09:06avant de rejoindre Molo, la localité frontière du Congo,
09:08le gouvernement l'entend rempre avec des décennies de promesses non tenues.
09:12Pour les habitants, voire enfin les engins de travailler sur la portion,
09:15Les Bambambingou est le signe concret d'un changement attendu.
09:18Le tronçon Les Bambambingou, long d'environ 86 kilomètres,
09:22concentre les attentes.
09:23Jalonné de 18 villages, il constitue un axe de survie
09:25pour les échanges agricoles, notamment la culture du café et du cacao.
09:30Jusqu'ici, il avait testé des infrastructures dont 17 ponts en bois sur 20,
09:34considérés comme de véritables pièges mortels,
09:37freinaient toute perspective de développement.
09:38Dangas, l'un des ponts qui était sur le point de s'effondrer,
09:41a été remplacé par une buse en béton.
09:43Raconte Junior, un habitant témoin d'un accident évité de justesse
09:46à l'époque où le pont était en bois.
09:48Ces dangers permanents rendaient chaque trajet périlleux,
09:51notamment de nuit, et pénalisaient lourdement les producteurs et les commerçants.
09:54La modernisation en cours avec la mise en place d'ouvrages hydrauliques durables
09:58et de chaussées renforcés représente donc un véritable souffle d'espoir
10:01pour les populations de la Bominouéti et de la Lwéti-Ouano.
10:05Au-delà du lancement officiel, le suivi personnel du président de la République
10:08a renforcé la confiance des habitants.
10:11La route du développement passe par le développement de la route,
10:14aime-t-il rappeler, soulignant que cette infrastructure n'est pas seulement
10:17un chantier de bitume, mais un projet de transformation économique et sociale.
10:21Avec l'appui du gouvernement Oliguiema et du ministère des Travaux publics,
10:25le projet vise à offrir une route, deux fois une voie moderne,
10:28substituant aux ouvrages précaires des infrastructures définitives.
10:31Ce geste présidentiel est perçu comme un signe fort de rupture,
10:34avec l'inaction passée et comme une main tendue vers les localités longtemps marginalisées.
10:39Les populations de Mbingou et Malinga, longtemps isolées,
10:42attendent désormais des retombées concrètes,
10:44baissent les coûts de transport, relance de l'activité agricole,
10:47accès facilité au marché et des enclavements durables.
10:49Dans une gougnée sud marquée par le chômage et l'exode rural,
10:53cette route apparaît comme une bouée de sauvetage.
10:56Pour les habitants, la détermination affichée par le président Oliguiema
10:59doit se traduire par un respect strict des délais de livraison.
11:02Car derrière chaque kilomètre bitumé, c'est la promesse d'un mieux-vivre,
11:06d'une économie revigorée et d'une province enfin reliée
11:08au reste du pays et aux congous voisins.
11:11Revenons à Libreville, quel est le rôle et l'importance des associations
11:15des parents d'élèves. Dans ce reportage, Mariska Itkapi et Serge Kofi
11:20nous donnent plus de détails.
11:21Au lycée André-Gustave-Anguilet à Ovando,
11:26plus de 3500 élèves reprennent les cours.
11:29Ici, comme dans beaucoup d'établissements publics du Gabon,
11:31la rentrée scolaire se prépare.
11:33Mais derrière les apparences, une organisation discrète
11:36tient l'école à flot, l'Association des parents d'élèves, APE.
11:41Chaque parent est invité à verser 2000 francs CFA par an,
11:44une somme modeste mais qui change tout.
11:46Grâce à ces cotisations, l'APE recrute et paie 7 enseignants vacataires.
11:52Sans eux, des dizaines de classes resteraient vides.
11:55L'association a rénové des toilettes abandonnées,
11:58payé une employée pour les entretenir chaque jour
12:00et construit un gymnase.
12:02Des réalisations concrètes, financées directement par les familles.
12:05Nous avons à peu près 3500 élèves.
12:07Dans les 3500, nous n'avons jamais dépassé 1000 qui cotisent.
12:11Donc, on s'arrête toujours à peu près 1000.
12:13Et quand vous voyez 1000 fois 2000, ça fait pratiquement 2 millions.
12:17Sur 2 millions, nous avons à peu près 7 vacataires.
12:20Et lorsqu'on prend par exemple un vacataire qui est payé en moyenne 100 000 par mois,
12:23vous voyez que chaque vacataire devrait au moins avoir au moins 800 000 au mois.
12:26Vous voyez ce que ça donne.
12:27Vous voyez que ce qu'on arrive à avoir comme entrée
12:30ne nous permet pas de satisfaire tous ces besoins-là.
12:32Or, si les 3500 élèves par an que nous avons cotisent,
12:37on devait se retrouver à peu près avec 7 millions.
12:39Les 7 millions nous permettent de pouvoir vraiment gérer un bon nombre de choses.
12:43Dans cet établissement, seuls 1000 parents participent sur les 3500 élèves inscrits.
12:48C'est un constat général.
12:50Partout au Gabon, de nombreux parents refusent de cotiser.
12:53Pourtant, leurs enfants bénéficient des activités financées par l'association.
12:57Résultat, 2 millions de francs CFA récoltés au lieu des 7 millions nécessaires.
13:02Une insuffisance criante alors que le manque d'enseignants est généralisé
13:05et que les budgets de l'État arrivent souvent en retard.
13:09Dans ce lycée comme ailleurs, le rôle de l'APE est pourtant vital.
13:13C'est elle qui comble parfois les failles du système éducatif.
13:16Mais son action reste souvent invisible,
13:19ignorée par beaucoup de familles et peu soutenue par les autorités.
13:22L'État ne met pas en place une décision officielle permettant à chaque parent de pouvoir donner les 2000 francs à l'inscription.
13:31Parce que jusqu'à aujourd'hui, l'APE n'est pas obligatoire.
13:33Donc du coup, vous avez des parents qui disent, moi je ne trouve pas la nécessité de payer, parce que ce n'est pas obligatoire.
13:36Bien que son enfant est dans une classe où les vacataires interviennent,
13:40qui sont payés d'ailleurs par d'autres parents,
13:42bien que son enfant utilise des toilettes qui sont entretenues par d'autres parents,
13:46mais ce parent-là, il décide de ne pas payer.
13:48Donc nous souhaiterons vraiment que l'État nous accompagne,
13:52nous parents d'élèves, dans ces décisions,
13:54pour faire en sorte que l'APE soit obligatoire pour tous les parents.
13:57Puisqu'aujourd'hui, on ne peut plus nier le rôle joué par l'APE au Gabon.
14:00Nous savons que l'éducation au Gabon connaît une crise,
14:03on peut dire une crise financière,
14:05notamment les budgets qui viennent en retard,
14:06les établissements qui sont vétustes, etc.
14:08Et donc c'est l'APE qui joue un peu partout,
14:11le rôle pour pousser des paliers à ces manques malades.
14:13Donc l'idéal pour qu'on puisse être optimale dans nos actions,
14:18c'est de faire en sorte que tous les parents puissent cotiser.
14:21Cette association, comme toutes les APE de lycées et collèges du Gabon,
14:24agit à son niveau pour combler les manques.
14:27Elle paie des enseignants vacataires,
14:29repeint les murs des bâtiments
14:30et organise l'entretien des toilettes.
14:33C'est une contribution décisive à l'effort national pour l'éducation.
14:37En cette rentrée scolaire, le message est clair.
14:40Chaque parent doit participer,
14:41car derrière chaque cotisation,
14:44il y a une classe qui s'ouvre,
14:45un enseignant devant les élèves,
14:47des infrastructures fonctionnelles.
14:50Dans un contexte de forte tension budgétaire,
14:52l'APE est un pilier discret mais essentiel de l'école publique.
14:56Une réalité qui rappelle que l'éducation
14:58ne repose pas uniquement sur l'État,
15:00elle est l'affaire de tous.
15:01Le chiffre 51%,
15:04c'est le taux de citoyens
15:05qui ont affirmé avoir dû payer des pots de vin
15:08pour obtenir de l'aide de la police.
15:10La source n'est autre qu'afro-barométeur
15:12en date du 28 huitième mois 2025.
15:16Le verbatim.
15:17À Bongoville, au vent Mekambo,
15:19les candidatures Ensemble pour le Gabon
15:21ont mystérieusement disparu
15:23alors qu'elles étaient complètes
15:24et déposées à temps.
15:26À Kieny,
15:27la candidature EPG
15:28s'est retrouvée sur la liste des indépendants.
15:31Au premier siège
15:32du premier arrondissement
15:33de la ville de Makoku,
15:35un candidat a reçu une nomination
15:37afin de fragiliser notre candidature législative
15:40et donc de nous éliminer au local.
15:42Ces propos sont de Désiré Mounanga,
15:45porte-parole de Ensemble pour le Gabon
15:47qui a tenu un point de presse
15:49ce jour à Libreville.
15:52Voilà qui met un terme à ce journal.
15:54Bonne suite des programmes sur GMT TV.
15:57Quant à moi,
15:57je vous dis à demain, 19h30.
16:00Bonne soirée chez vous.
16:04Retrouvez GMT TV
16:06sur vos différents réseaux sociaux.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations

12:34
À suivre