Le discours de rentrée de François Bayrou a été particulièrement phagocyté par l'annonce du vote de confiance à l'Assemblée nationale, le 8 septembre, dont il risque de ne pas ressortir vainqueur. Pour inciter la gauche à ne pas acter sa chute, il a réaffirmé, mardi 26 août, devant la CFDT, qu'il comptait s'attaquer aux hauts revenus et à « ceux qui optimisent leur fiscalité », leur demandant un « effort spécifique ». Pour cela, l'exécutif table sur trois mesures, selon « Le Figaro ».
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