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  • il y a 6 semaines
Sébastien Chenu, vice-président du RN : «François Bayrou, c'est l'immobilisme satisfait».

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00:00Mais nous avons fait des propositions. Marine Le Pen a écrit fin juillet,
00:04fin juin, pardon, mi-juillet, mi-juillet à François Béroud avec des propositions.
00:10En lui disant, Monsieur le Premier ministre, nous sommes une opposition responsable et constructive.
00:15Nous considérons qu'il y a des chemins si, par exemple, vous vous attaquez à la contribution de l'Union Européenne.
00:20Celle-ci a baissé. C'était donc possible.
00:23Ça veut donc dire que ce que nous proposons était possible.
00:25Nous disons, allez plus loin, attaquez-vous au tabou de l'immigration.
00:28Attaquez-vous aux dépenses toxiques de l'État.
00:32Même pas une réponse.
00:34Pourtant, il y a une sorte de ligne directe entre Marine Le Pen et François Béroud.
00:37Vous confirmez que les relations sont plutôt cordiales entre les deux ?
00:40Marine Le Pen connaît François Béroud depuis toujours.
00:43C'est un homme politique qui est dans le paysage depuis 50 ou 60 ans.
00:46Il est comme un meuble dans le paysage.
00:48D'ailleurs, son but était de demeurer.
00:50Ça peut s'appeler l'expérience, sinon.
00:52Oui, enfin là, ça s'appelle une sorte d'immobilisme.
00:54D'ailleurs, Jordan Bardella l'a très bien dit.
00:56C'est une sorte d'immobilisme satisfait.
00:59François Béroud, c'est l'ibobilisme satisfait.
01:01Il est content, il a toujours voulu durer.
01:03Et je vous le dis, c'était une ultime manœuvre pour pouvoir gagner du temps duré
01:07qui rencontrera un ultime échec comme l'échec de leur politique.
01:11Il a dit l'inverse.
01:12Il a dit l'inverse.
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