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Censure d’une partie loi Duplomb : le Conseil constitutionnel trop politisé ?
Europe 1
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00:00
13h-14h, Europe 1 13h.
00:03
Merci d'être avec nous, Mickaël Dorian vous accompagne jusqu'à 14h pour décrypter et éclairer l'actualité
00:08
et nous accueillons tout de suite nos deux débatteurs, Vincent Roy, journaliste et essayiste,
00:13
et Gilles Boutin, journaliste au Figaro Économie.
00:16
Bonjour à tous les deux.
00:17
Bonjour.
00:18
Le Conseil constitutionnel a rendu plusieurs décisions très attendues et hier, il a aussi censuré deux mesures,
00:23
pourtant votées par le Parlement, l'une sur la rétention des étrangers dangereux et l'autre sur la réintroduction d'un pesticide, l'acétamipride.
00:34
On va d'abord en parler, d'ailleurs on va parler de la première mesure qui a été retoquée par le Conseil constitutionnel.
00:41
Le gouvernement soutenait que le recours de l'acétamipride serait minime et très contrôlé, pas assez visiblement pour les sages, Vincent Roy.
00:50
Qu'est-ce qu'on veut faire ? La question qui est posée, c'est qu'est-ce qu'on veut faire de notre agriculture en réalité ?
00:56
Voilà, est-ce qu'on veut une souveraineté agricole ? En fait, il faut savoir ce qu'on veut.
01:02
Bon, pour l'instant on n'a pas l'air de trop savoir ce qu'on veut.
01:04
Ou alors, si, on veut une chose, on veut que les écologistes mènent le jeu,
01:10
c'est-à-dire qu'ils évoient au chapitre quant à notre politique agricole.
01:15
Bon, c'est quand même un peu curieux comme phénomène, c'est-à-dire qu'à mon sens, ce serait bien que les paysans aient leur mot à dire.
01:24
Manifestement, on veut leur taper dessus.
01:27
On avait voulu simplifier, on avait voulu leur rendre, c'était le but de la loi au départ,
01:31
la vie plus facile et puis surtout que tout le monde soit sur le même plan.
01:35
C'est-à-dire quoi ? Parce que pour l'instant, on est en train d'importer...
01:38
Oui, c'est ça, c'est-à-dire que le Conseil constitutionnel interdit effectivement l'utilisation de ce pesticide.
01:44
En tous les cas, il n'autorise pas la réintroduction de ce pesticide interdit depuis 2018.
01:49
En revanche, on peut continuer d'importer des produits, notamment des betteraves cultivées avec l'acétamipride,
01:55
ce qui n'a en gros pas de sens, Gilles Boutin.
01:58
Ça n'a pas de sens. Le problème, c'est que là, on a un débat qui porte sur des notions économiques, environnementales,
02:04
des choses que le Conseil constitutionnel ne connaît que partiellement.
02:08
C'est-à-dire que les questions économiques, il s'en contrefiche, le Conseil constitutionnel.
02:12
Il est supposé statuer sur des questions de droit, sur la constitutionnalité de ce qui est voté au Parlement.
02:18
Et c'est là que réside le cœur du problème, finalement.
02:20
C'est qu'on a donné une possibilité trop vaste au Conseil constitutionnel pour estimer ce qui relève de la constitution ou non.
02:31
Or, il a élargi son champ d'intervention, avec notamment cette charte de l'environnement.
02:38
Je ne la critique pas en soi, mais il y a dedans, par exemple, le principe de précaution,
02:42
qui a parfois prouvé son utilité, mais qui peut être interprété d'une façon extrêmement extensive.
02:47
Et c'est à ce titre que le Conseil constitutionnel donne le sentiment de sortir de son rôle.
02:53
Parce qu'il en fait une interprétation, mais qui est très discutable,
02:56
et qui aurait pu être autre à un autre moment avec d'autres personnes.
03:00
On n'est pas sur une décision intangible et qui ne souffre aucune contradiction.
03:04
On peut largement la discuter.
03:06
Et de ce fait, c'est ce qui vient entacher la légitimité au niveau populaire, j'entends aux yeux des agriculteurs.
03:13
Ça ne calme absolument pas le débat,
03:14
parce qu'on voit bien que cette décision est fondée sur quelque chose qui est très libre d'interprétation.
03:20
Et ça, c'est un problème qu'on retrouve dans d'autres aspects.
03:22
On pourra en parler sur les centres de rétention administratives.
03:24
Mais c'est fondé sur des textes qui donnent cette même liberté.
03:31
Et donc, le Conseil constitutionnel a aujourd'hui un pouvoir qui excède largement
03:36
ce pour quoi il a été créé initialement, qui était d'être une sorte de chien de garde face aux excès du Parlement.
03:44
C'était le général de Gaulle qui voulait en finir avec le parlementarisme.
03:47
Et donc, le Conseil constitutionnel servait simplement à ça,
03:50
et à faire en sorte que les parlementaires cessent d'empêcher le gouvernement d'agir,
03:54
notamment via des règlements, d'avoir une capacité d'action.
03:58
On voit bien que tout a changé depuis.
03:59
Et aujourd'hui, il rend des décisions politiques.
04:01
Oui, c'est ça, des décisions politiques.
04:02
Parce qu'en fait, ce qui se passe, c'est que le Parlement vote la réintroduction de ce produit.
04:08
Le gouvernement, de l'autre côté, émet des garanties, finalement,
04:13
en disant qu'il y aura des contrôles.
04:15
Mais pour le Conseil constitutionnel, ça ne suffit pas.
04:18
Oui, alors même que sur cette question, les scientifiques sont divisés.
04:23
Bien sûr.
04:23
Puisque jusqu'à plus ample informé, le produit n'est pas déclaré comme,
04:29
cancérigène, dangereux, etc.
04:32
Donc, on n'a pas, là-dessus, il n'y a pas consensus du scientifique.
04:37
Il aurait fallu qu'il y ait un débat, justement, scientifique sur la question.
04:40
Et c'est d'ailleurs ce que souhaitait le Premier ministre.
04:41
Ben oui, mais c'est là où on peut s'interroger.
04:45
Enfin, je pense qu'on va parler de la deuxième mesure aussi.
04:48
Parce qu'on peut s'interroger sur le rôle du Conseil constitutionnel.
04:51
Alors, avant de passer à la deuxième mesure, Vincent Roy,
04:54
moi, je voudrais aussi qu'on parle aux grands oubliés, finalement, de cette décision.
04:59
Ce sont les agriculteurs.
05:00
Oui, parce qu'on a un peu l'impression qu'on se moque d'eux depuis le début.
05:04
Parce qu'on leur dit un truc.
05:05
Au final, c'est tout l'inverse qui est en train de se passer.
05:09
Écoutez, justement, Laurent Duplomb,
05:12
le sénateur Laurent Duplomb, qui est à l'origine de la loi, bien sûr,
05:16
et qui estime que cela va entraîner une concurrence déloyale.
05:19
Écoutez, il était interrogé sur CNews ce matin.
05:22
Le fait de censurer cela va entraîner une concurrence déloyale
05:27
qui va être faite pour les producteurs français par rapport aux producteurs
05:31
pas à l'autre bout de la planète, mais simplement de l'autre côté de la frontière.
05:36
La réalité de tout cela, c'est que nous sommes dans une forme de naïveté coupable
05:40
et dans une hypocrisie phénoménale,
05:42
où en fait, on fait port aux gens, on fait port à la population française.
05:46
D'ailleurs, des cancérologues, comme le professeur Jacques Robert,
05:49
disent que les trois quarts de ceux qui ont signé la pétition ont été trompés,
05:54
parce que tout simplement, on s'interdit d'utiliser une molécule
05:57
qui est autorisée partout en Europe,
05:59
par l'EFSA, qui, je vous le rappelle, est la seule agence
06:02
habilité à valider les molécules au niveau européen.
06:07
Et donc, par définition, nous nous mettons dans le corner.
06:10
Voilà, le sénateur Laurent Duplomb, à l'origine de la loi,
06:14
qui porte son nom d'ailleurs, et qui était interrogée ce matin sur CNews.
06:18
Vincent Roy, cette concurrence déloyale, bien sûr qu'elle pose problème,
06:21
et on peut aussi, nous maintenant, craindre une reprise des mouvements,
06:25
une reprise des manifestations et des blocages
06:28
qui avaient été, on se souvient bien sûr, l'année dernière, menés par les agriculteurs.
06:33
Ben oui, évidemment, évidemment.
06:35
Mais attendez, on n'arrête pas de se moquer d'eux.
06:36
Là, vous avez une filière, je pense notamment à la Bétrave,
06:39
vous avez une filière qui va être littéralement dans la panade.
06:43
Et qui est dans la souffrance depuis des années.
06:45
Et qui est dans la souffrance depuis des années.
06:46
Et on va se retrouver à importer ce qu'on ne veut pas produire nous-mêmes,
06:52
au nom d'une espèce de morale...
06:54
On les importe déjà d'ailleurs.
06:56
On les importe déjà.
06:56
Et c'est ce que les agriculteurs dénoncent.
06:58
Au nom d'une sorte de morale écologique.
07:00
Bon, moi je veux bien, mais il faut quand même, à un moment ou à un autre,
07:04
que l'écologie politique, qui est déjà, à mon sens, largement une imposture,
07:08
on en termine avec l'écologie politique, quoi.
07:10
Parce que là, ça finit par devenir...
07:12
Mais j'ai une idée là-dessus, hein.
07:14
Ah, dites-nous.
07:15
Mais non, mais...
07:16
Vous faites peur quand vous dites ça, Vincent Rache.
07:18
Il y a un moment, on se dit, et on va parler de la deuxième censure du...
07:23
Mais on se dit, pourquoi à toute force censurer ?
07:29
Pourquoi remettre en cause ?
07:30
Parce qu'un problème démocratique se pose.
07:32
Vous avez une souveraineté nationale, et vous avez une souveraineté populaire.
07:39
Au mépris, au mépris de ce que pensent les Français,
07:43
je pense notamment aux EQTF,
07:45
vous avez un Conseil constitutionnel qui censure.
07:48
Et qui, par conséquent, tape, à bras raccourcis, si j'ose dire avec mes guillemets,
07:52
sur Bruno Retailleau.
07:53
Là, vous êtes passé sur l'autre mesure.
07:54
Non, mais attendez, attendez.
07:54
J'essaie de vous suivre.
07:55
Pour les deux mesures, on se dit, on se dit quand même,
07:58
est-ce que M. Ferrand ne serait pas, président du Conseil constitutionnel récemment,
08:02
nommé, ne serait pas télécommandé, téléguidé, téléguidé par M. Macron
08:09
pour siphonner tout à la fois M. Bayrou et M. Retailleau ?
08:14
Vous allez loin, là, peut-être.
08:15
Non, mais attendez...
08:16
Mais c'est la question que vous vous posez.
08:18
Pardonnez-moi, on est en train de parler de politique.
08:21
Oui.
08:21
Je vous ai dit préalablement qu'il s'agissait, là, pour moi, de deux décisions politiques,
08:26
et donc, j'assume le fait de dire que, comme Emmanuel Macron fait aussi de la politique,
08:32
M. Ferrand est tout à fait habilité, si vous voulez, à mener la politique de M. Macron
08:41
et, par conséquent, à aller toucher qui ? M. Bayrou, qui ? M. Retailleau.
08:46
C'est une hypothèse, j'ouvre l'hypothèse.
08:50
Alors, concernant la deuxième mesure dont vous faites allusion,
08:52
Vincent Roy, le Conseil constitutionnel, a censuré hier la loi visant à élargir aux étrangers
08:56
condamnés pour des faits d'une particulière gravité
08:59
et présentant de forts risques de récidive
09:01
à l'allongement de la durée, donc, de maintien
09:04
en centre de rétention administrative à 210 jours.
09:08
Les sages, donc, ont décidé d'annuler, donc, cette décision.
09:12
Le Conseil rappelle que le placement en rétention d'un étranger
09:15
qui ne peut quitter immédiatement le territoire doit respecter le principe
09:18
selon lequel la liberté individuelle ne saurait être entravée
09:22
par une rigueur qui ne soit pas nécessaire.
09:24
Gilles Boutin, on est en train de se tirer une balle dans le pied, là.
09:27
Le Conseil constitutionnel se positionne en surplomb du bon sens.
09:30
C'est-à-dire que qui peut décréter ce qui est nécessaire ou non
09:35
quand il s'agit de maintenir la rétention d'une personne ?
09:40
C'est-à-dire que c'est livré à une appréciation éminemment politique, précisément.
09:45
Et ajoutons à ça que cette question du prolongement
09:48
n'intervient pas après n'importe quoi.
09:51
C'était à la suite de la mort de la jeune Philippine
09:53
qui a été tuée par un ressortissant marocain
09:56
qui devait être expulsé.
09:57
Et la famille de Philippines va apprécier d'ailleurs
09:59
cette décision du Conseil constitutionnel.
10:01
Absolument, et qui n'avait pas été expulsée
10:03
parce que le Maroc n'avait pas facilité les choses
10:06
en invoquant des documents qui n'étaient pas les bons,
10:09
ou en tout cas ce n'étaient pas les bonnes administrations
10:10
qui avaient sollicité le retour de cet homme au Maroc.
10:15
Et donc on comprend que la durée, parce que cette durée...
10:17
Et rappelons une fois de plus quand même
10:20
que si effectivement les choses avaient été faites correctement,
10:23
si le meurtrier de Philippines avait été renvoyé
10:28
en temps et en heure vers le Maroc,
10:30
Philippines serait encore là.
10:31
Bien sûr.
10:31
Et au-delà du cas de Philippines,
10:34
il faut bien comprendre que ce délai existait précisément
10:37
pour encaisser en quelque sorte les difficultés administratives
10:40
qui vont toujours avec ces procédures d'expulsion.
10:43
Mais on constate que face au blocage,
10:45
en l'occurrence le Maroc,
10:46
mais actuellement avec l'Algérie,
10:48
voilà c'est totalement bloqué,
10:49
mais on est dans un contexte géopolitique
10:51
qui justifie de trouver des solutions,
10:55
pas parfaites,
10:56
mais au moins de trouver un palliatif temporaire
10:58
pour maintenir des personnes qui sont censées quitter le territoire,
11:01
au moins en rétention,
11:02
parce qu'il n'y a pas de...
11:05
Au nom du bon sens,
11:06
on peut comprendre qu'une personne
11:07
qui a été expulsée par décision judiciaire
11:12
ne reste pas.
11:15
Par décision administrative ?
11:16
Oui, pardon, administrative.
11:18
Parce que l'idée effectivement,
11:20
c'est que les 90 jours,
11:21
il suffirait parfaitement
11:22
si par exemple,
11:23
on pouvait dès la fin des 90 jours,
11:26
expulser.
11:27
Le problème,
11:28
c'est qu'on ne peut pas.
11:30
Et donc,
11:30
on est obligé,
11:32
si l'on suit la décision du Conseil constitutionnel,
11:35
de remettre sur la voie publique
11:36
des individus
11:37
qui sont extrêmement dangereux.
11:40
Si on pouvait les expulser,
11:41
90 jours,
11:42
ça suffirait comme délai finalement.
11:43
Oui, mais c'est malheureusement ce qui se passe souvent.
11:44
Quand on voit le taux d'application des OQTF,
11:47
c'est malheureusement ce qui se passe assez régulièrement.
11:49
C'est ce qui est perturbant.
11:50
C'est-à-dire que le Conseil constitutionnel,
11:51
en invoquant des principes,
11:53
qui sont encore une fois
11:54
très librement interprétables,
11:55
fait fi d'une réalité.
11:57
La réalité,
11:58
c'est qu'on est face à des gouvernements,
12:00
là,
12:00
précisément l'Algérie,
12:01
mais les autres ne facilitent pas les choses.
12:03
Le Maroc est unisé.
12:05
Mais en l'occurrence,
12:05
dans ce contexte,
12:06
on ne peut que comprendre
12:07
qu'il y ait une recherche de solutions.
12:09
Or,
12:09
le Conseil constitutionnel
12:10
empêche le politique
12:11
d'agir
12:12
et de trouver
12:12
un semblant de solution
12:14
à une situation extrêmement complexe.
12:16
Vous parliez de l'Algérie tout à l'heure
12:17
qui bloque effectivement
12:19
les laissés passés consulaires.
12:21
L'Algérie qui accuse la France
12:22
d'être responsable
12:23
de la crise bilatérale
12:24
et de l'aggraver,
12:25
les autorités algériennes
12:26
ont répondu
12:27
au changement de ton
12:28
d'Emmanuel Macron.
12:29
Vous savez,
12:29
on en avait parlé hier
12:30
dans cette lettre
12:31
adressée à son Premier ministre,
12:33
Emmanuel Macron,
12:34
qui prône plus de fermeté
12:36
vis-à-vis d'Algérie.
12:37
On va en parler
12:37
avec mes invités.
12:38
La suite de ce débat,
12:40
c'est dans un instant
12:40
avec vous,
12:41
Mickaël Dorian
12:41
et vos invités.
12:42
A tout de suite.
12:43
A tout de suite.
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