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À l'issue de la 6e étape du Tour de France entre Bayeux et Vire, Bruno Vauquelin se dit fier et admiratif de son fils Kévin Vauquelin.

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Transcription
00:00On passe à 500 mètres de la maison, c'est un autre monde, c'est une autre planète, on est tellement fiers, j'aime plus fiers, je suis admiratif.
00:08Et qu'est-ce que vous ressentez-vous en voyant aussi que le public, le grand public, il y a un truc qui se passe aussi avec Kevin Vauclin là cette année ?
00:14Je pense que ses interviews et la façon dont il répond, dont il parle à la télé, fait que nous, les Français, on a besoin d'avoir un sportif comme lui, et il est comme nous, on l'a élevé.
00:27T'es en train de devenir un chouchou du public français ?
00:29Ce sera toujours mon chouchou à moi d'abord.
00:31Et vous l'imaginez aller jusqu'où là quand vous voyez ce début de zone ?
00:34Ça va être dur, ça va être dur, mais il est très en forme, il a un moral d'acier, la montagne va être dure.
00:45Mais bon, comme maintenant il habite sur Nice et qu'il s'entraîne dans la montagne tous les jours, comme je dis, il fait 150 km par jour, il est dans des patates comme ça.
00:51Donc c'est possible qu'il aille assez loin.
00:56Il vous bloque pas vraiment aujourd'hui ?
00:57C'est même plus du bluff, c'est, comment dire, moi, si t'es pas dans le vélo, c'est lui qui m'a mis au vélo, et quand je veux refaire ce qu'il fait, je suis épaté.
01:09Mais c'est dans d'autres domaines, dans les miens professionnels, je lui aurais toujours dit, faites ce que vous voulez comme métier, mais faites-le bien.
01:19Je devine, il me fait très bien.

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