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  • 05/07/2025
Le PSG a battu le Bayern ce samedi en quart de finale de la Coupe du monde des clubs (2-0) grâce à des buts de Désiré Doué et d’Ousmane Dembélé. Revivez le débrief complet de L'After.

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Transcription
00:00Aurélien, raconte-nous comment les joueurs et le coach Luis Enrique ont vécu cette victoire.
00:07On a vu sur le terrain, après le but de Dembélé, des scènes de joie incroyables,
00:12comme un soulagement, comme une fierté d'avoir résisté à peu près à tout.
00:17Les Parisiens, ils assument leurs ambitions.
00:18Ils veulent gagner la compétition, ils le disent depuis le début.
00:20Il y avait un sentiment de revanche contre le Bayern Munich.
00:23Et puis avec les événements, ces deux expulsions en fin de match, Pacho et Hernandez,
00:26c'était vraiment un sentiment de fierté extraordinaire.
00:30Et c'est le capitaine Marquinhos qui l'explique le mieux.
00:32Lui, il a été émerveillé par la solidarité de ses équipiers.
00:35Mais au moment des cartons rouges, je regarde mes coéquipiers
00:38et je vois comme tout le monde était vraiment excité pour défendre tous ensemble.
00:42Ce match, c'est à nous, on va tout défendre vraiment fort jusqu'au bout.
00:46On est vraiment prêts pour affronter toutes les difficultés dans un match.
00:51Un état d'esprit exceptionnel insufflé par le coach Luis Enrique.
00:53Ça, tous les joueurs nous le répètent.
00:55Et l'entraîneur espagnol est revenu sur ce match difficile.
00:59On a souffert beaucoup.
01:00Je pense que c'est une équipe qui a de la résilience.
01:04Nous sommes une équipe qui est prête pour faire la compétition à tout moment.
01:10Et n'importe quel que soit le résultat.
01:12C'est le genre de scénario que Luis Enrique travaille même à l'entraînement.
01:16En sifflant des fautes pas méritées pour les défenseurs,
01:19pour apprendre à gérer la frustration.
01:20Il y a eu beaucoup de fatigue aussi dans ce match-là.
01:2363e match de cette saison 2024-2025.
01:27Mais l'objectif, je le disais, c'est de gagner la compétition.
01:29Et donc, ça ne bouge pas pour Désir Edoué,
01:30qui a encore été élu homme du match et buteur face au Bayern.
01:33On a confiance en nous, confiance en notre plan de jeu,
01:35confiance en le coach aussi.
01:37Donc voilà, on essaye de faire en sorte que tout se passe bien sur le terrain.
01:39On sera prêts pour la demi-finale et on va aller remporter ce match.
01:42Bon, mais ça sent bon pour une demi-finale contre le Real Madrid en plus.
01:46Contre le meilleur buteur de l'histoire du Paris Saint-Germain,
01:48qui l'a ne bappé s'il joue, s'il joue.
01:49Parce que si je comprends bien, il y a un autre attaquant qui marche pas mal au Real.
01:52Mais voilà, tout sent bon pour le Paris Saint-Germain,
01:55qui aura un entraînement d'écrassage demain matin à Atlanta,
01:58qui décollera pour New York dans l'après-midi.
02:00Jour off, certainement pour se balader à Manhattan lundi.
02:03Et puis on rattaque l'entraînement gentiment mardi.
02:05Merci Aurélien, tu restes avec nous pendant qu'on parle de ce Paris Saint-Germain-là.
02:09Effectivement, qu'il s'oriente vers une demi-finale face au Real Madrid.
02:14On l'a entendu, le mot de Luis Enrique, résilience, ce caractère-là du Paris Saint-Germain.
02:21Est-ce que c'est dû justement à ce nouveau statut, peut-être ?
02:24Que désormais, ce PSG-là est insubmersible, quoi qu'il arrive, ce statut de champion d'Europe.
02:31Non, je pense vraiment que ça aide.
02:34Et il y a eu une réelle prise de conscience après cette victoire en Ligue des Champions.
02:38Donc à partir de là, ils se disent qu'ils sont capables de battre n'importe qui.
02:42Et ça, c'est très important.
02:44Quand tu as ce sentiment-là au sein d'un groupe,
02:48franchement, tu peux faire ce que tu veux.
02:51Et selon les situations ou les scénarii que tu peux retrouver selon les matchs,
02:55tu peux inverser la tendance ou être capable de conserver un résultat comme ils l'ont fait face au Bayern.
03:00Il y a la force collective née des souvenirs de l'aventure commune, en effet.
03:04Même si je pense que la dramaturgie, le stress, l'angoisse dans les têtes,
03:10était, je le maintiens, à mon sens moins fort qu'à un certain moment en Ligue des Champions.
03:15Mais en revanche, ce qui est vrai, c'est que depuis quand on n'avait pas vu le PSG souffrir comme ça,
03:19prendre la grêle, comme on dit vulgairement, comme ça...
03:22– Notamment en première période ?
03:23– En première période, c'est quand même ahurissant.
03:26Ils ne voient pas le jour et c'est le Bayern qui joue chez eux.
03:29Donc je pense que ça a dû les piquer un petit peu, la fierté, l'orgueil,
03:34se dire que ça fait longtemps qu'on ne s'est pas fait piétiner comme ça.
03:37Et puis, en effet, faire ressortir des qualités qui, je pense,
03:42se sont construites avec leur aventure commune, notamment en Ligue des Champions.
03:47Donc oui, la résilience.
03:49Et puis, je pense que l'effet de match en fin de...
03:52Enfin, je veux dire, les deux rouges, dont celui que Luis Enrique considère comme absolument injuste,
03:58je pense que ça, ça va les aider aussi pour se focaliser sur l'objectif.
04:03Maintenant, en effet, que tu es en demi contre le Real, tu retrouves Bappé,
04:05bon, c'est moins compliqué de se motiver.
04:08Là, je parle pour moi, puisque je prétends qu'ils étaient en tournée triomphale post-saison.
04:14Donc voilà, ça va les souder et leur donner un petit supplément d'âme, comme on dit.
04:19Après, je crois que Marquinhos, alors je parle peut-être sous le contrôle d'Aurélien,
04:23je ne sais pas s'il a entendu ses propos, mais a parlé du Bayern en disant
04:26qu'on est content quand même de régler quelque chose avec le Bayern,
04:30quand on avait un petit...
04:30Ah bah oui, ça, François, c'est ce qui...
04:33C'était assez étonnant d'ailleurs de voir les joueurs parisiens être assez libres de parler là-dessus.
04:38D'habitude, il y a toujours une langue de bois de dingue.
04:40Et là, c'était non, on a un sentiment de revanche contre le Bayern.
04:43Il y a évidemment la finale 2020 des champions, mais le 1-0, cette saison en phase de groupe,
04:47il était compliqué à digérer.
04:48Ça faisait quatre matchs que Paris n'avait pas marqué contre le Bayern.
04:51Six défaites sur les sept derniers matchs.
04:53La confiance, elle était plutôt du côté allemand,
04:55malgré le titre de champion d'Europe du Paris Saint-Germain.
04:58Donc voilà, il y avait ce petit compte à régler.
05:01Ils s'en sont servis aussi.
05:02Ils se servent de tout, en fait, le Paris Saint-Germain.
05:05Et puisque tu es avec nous, Aurélien, ce qui est intéressant aussi,
05:07c'est le côté psychologique et ce n'est pas anodin.
05:11On a vu une scène très forte au moment où Moussiala se blesse,
05:15Didio Donnarumma qui se prend la tête à deux mains,
05:17qui se dit « qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce qui s'est passé ? »
05:20Et je crois Aurélien que c'est le psychologue du club qui vient le soutenir.
05:25Oui, tout de suite, beaucoup de joueurs aussi du Paris Saint-Germain,
05:28même Joshua Kimmich qui est venu parler avec Donnarumma.
05:31Mais le psychologue du Paris Saint-Germain accompagne Donnarumma
05:34qui voulait aller parler à Moussiala.
05:35Bon, finalement, il comprend que ce n'est peut-être pas le moment.
05:37Monsieur Taylor qui siffle la pause, il attend un petit peu,
05:40il rentre au vestiaire.
05:41Et là, après même le match, il a voulu retourner voir Moussiala
05:44et il était déjà parti faire des examens.
05:46Donc, il lui a envoyé un petit message sur son téléphone.
05:50Mais l'Italien, il a aussi de la chance que la mi-temps soit sifflée,
05:53la pause soit sifflée juste après la...
05:56Bon, ce n'est pas une faute du coup, sa prise de balle
05:59et en blessant gravement Moussiala.
06:00Mais il était vraiment très, très marqué.
06:01Et je pense qu'il va falloir discuter parce qu'on en parlait avec Seb Piocell
06:04pendant le direct.
06:05C'est jamais facile.
06:06Évidemment, c'est moins facile d'être celui qui est blessé.
06:08Mais ce n'est pas facile non plus de blesser gravement
06:11par un écart un coéquipier, mais un adversaire qu'on apprécie du moins.
06:15Oui, exactement.
06:16Donc ça, c'est vrai que cette intervention du psychologue est intéressante.
06:20Il faudra voir comment ça se passe.
06:21Après, il y a sur cette histoire-là,
06:24une voix un peu dissonante.
06:25C'est Neuer qui dit qu'il n'avait pas à sortir comme ça.
06:28Il explique que c'est une situation où il n'était pas nécessaire d'intervenir comme ça.
06:32En parlant de Donnarumma, c'est une prise de risque.
06:34Il était prêt à accepter le risque de blesser son adversaire.
06:39Elle n'était pas maîtrisée.
06:40Pour moi, en direct, elle n'est pas totalement maîtrisée.
06:42Heureusement, il prend le ballon avant, mais il arrache tout.
06:44Et on l'a vu sur deux, trois sorties aériennes.
06:46Il fait des parades magnifiques sur sa ligne, ça, on a l'habitude.
06:48Mais il y a deux, trois sorties où on voit qu'il n'était pas très, très clair.
06:52Donnarumma cet après-midi contre le Bayern.
06:53Est-ce que vous pensez de cette histoire-là avec Donnarumma ?
06:57Il aurait peut-être dû prendre un rouge, effectivement, à ce moment-là.
07:01Pas spécialiste du poste.
07:02Maintenant, quand tu vois son intervention, il est obnubilé par le ballon.
07:07Et dès qu'il prend la décision d'y aller, il y a engagement total.
07:12Après, c'est vraiment très, très malheureux pour Moussiala.
07:16Maintenant, ce sont des faits de jeu comme il y en a déjà eu et comme il y en aura encore.
07:20Donc, il ne sort pas avec les deux pieds, il ne met pas attaque par derrière.
07:25Il va jouer le ballon et avec tout son corps, en plus, il fait deux mètres, il a tout embarqué.
07:29Maintenant, il y a eu un manque de maîtrise, ça, c'est sûr.
07:30Ah, il y a un petit peu d'engagement.
07:32Et puis, c'est Moussiala, c'est un des meilleurs joueurs du monde.
07:34C'est le Donnarumma qui représente.
07:35Il va peut-être un peu plus fort.
07:38Mais en effet, je crois qu'Akimi s'est exprimé après la rencontre aussi pour afficher son soutien.
07:44Je pense que tous les Parisiens sont catastrophés.
07:45Je ne suis même pas sûr, que ce soit Moussiala ou un autre, je ne suis même pas sûr qu'il aurait changé son fusil d'épaule.
07:50Il avait l'intention d'y aller fortement, il y est allé.
07:52Oui, il n'y a pas de chaud qui ralentit un petit peu, qui l'incite à y aller aussi.
07:56Et forcément, il y va comme un gardien.
07:58Et puis Moussiala, il ne s'y attend pas.
07:59C'est dans son dos, Donnarumma.
08:01C'est tout un contexte qui fait que…
08:03Il parle en tant que coéquipier de Moussiala.
08:05Oui, il vient de perdre son meilleur genre pour toute la saison prochaine.
08:08On peut comprendre qu'il a un peu les boules.
08:09Ça peut se comprendre.
08:11Thibaut est avec nous.
08:12Salut Thibaut !
08:14Bonsoir, bonsoir François.
08:15Bonsoir à tous.
08:16Salut Thibaut.
08:16Thibaut, je me souviens de toi, lors du tour précédent.
08:19Tu étais déjà à Atlanta.
08:21Tu as déjà vécu la qualification du PSG.
08:24Tu es le porte-bonheur en fait.
08:25Maintenant, tu vas assister à tous les matchs du PSG.
08:28Exact.
08:28On verra.
08:29Mais en tout cas, je te rappelle que la semaine dernière,
08:32j'ai hésité à revenir pour ce quart de finale.
08:35Au final, on a décidé de y retourner.
08:37Et bien, nous en avons pris.
08:39Parce que c'était vraiment un match super.
08:41Beaucoup mieux que contre Miami.
08:43J'imagine que le fait qu'il n'y ait pas 4-0 à la mi-temps,
08:46déjà, ça a aidé un peu au niveau de l'ambiance.
08:48En plus, il y avait un groupe de supporters de Bayern
08:52qui avait fait le déplacement.
08:54Donc, ils ont mis l'ambiance.
08:55Et il y avait aussi quelques supporters,
08:56un groupe de supporters de Paris aussi,
08:58qui était de l'autre côté.
08:59Et ce n'était pas beaucoup,
09:00mais on les entendait un peu quand même.
09:02Et du coup, voilà, grosse ambiance dans le stade.
09:04Alors, justement, puisque tu parles de l'ambiance,
09:06quand même, Thibaut, on en parlait juste avant la pause
09:08de ce qui s'était passé pour Donnarumma,
09:10qui avait blessé Moussiala.
09:13D'ailleurs, on a des informations à donner sur Moussiala,
09:17qui est fracture du père au nez.
09:20Voilà.
09:20Et plusieurs ligaments ont été endommagés.
09:22Le joueur qui pourrait être absent entre 4 et 5 mois
09:24en fonction de sa récupération.
09:25Voilà, c'est les dernières informations du quotidien du journal Build.
09:31Oui, quand il y a eu cette blessure,
09:33à la reprise du match,
09:35Donnarumma a été sifflé par le stade.
09:38Tu as sorti ça aussi ?
09:40Oui, exactement.
09:40Alors, c'était un peu bizarre.
09:42Moi, j'ai vraiment senti un changement d'ambiance
09:44entre la première et la deuxième période,
09:46où la première, ça restait quand même bon enfant.
09:48Chacun a chanté pour son équipe, etc.
09:51La deuxième, c'était un peu bizarre.
09:53Alors, déjà, moi, j'étais de l'autre côté, en fait.
09:55Donc, je n'ai pas trop vu ce qui s'est passé.
09:56En plus, j'ai envie de me plaindre de faire.
09:58Parce que nous, on n'a pas de ralenti dans le stade.
10:00C'est assez frustrant par rapport à la MLS,
10:03où tu vois vraiment tout, même la VAR, etc.
10:05Ils te montrent tout.
10:06Alors, juste, Thibaut, sur ce ralenti-là,
10:09spécifiquement, la blessure de Moussiala,
10:11on ne l'a pas eu non plus à la télé.
10:13Parce que comme la blessure est vilaine,
10:17ils n'ont pas voulu repasser les images.
10:18Et du coup, ouais, c'était un peu bizarre.
10:21Parce que c'était la mi-temps.
10:23On ne savait pas trop.
10:23Il y avait quand même 3-4 joueurs du PSG
10:25qui restaient à côté de lui.
10:26Mais les autres étaient rentrés au vestiaire.
10:27Enfin, ça a duré un petit moment.
10:29Donc, ça a acheté un petit peu à froid.
10:31Et c'est vrai que Donnarumma se faisait siffler au retour.
10:33Alors, moi, au début, je ne comprenais pas trop.
10:36Parce que pour moi, s'il n'y a pas faute,
10:37de toute façon, comme c'était une situation de pénalty,
10:40il y aurait eu la VAR et ils auraient sifflé faute
10:42s'il avait vraiment fait quelque chose de mal.
10:44Donc là, ce n'était pas le cas.
10:45Donc, je ne comprenais pas trop.
10:46Et c'est vrai que du coup, on essayait de...
10:48En plus, il était, pour le coup, en deuxième période
10:50du côté des supporters du Bayern.
10:52Donc, moi, j'essayais de claper des mains,
10:55d'applaudir pour essayer de l'encourager.
10:57Parce que bon, je trouvais que ça n'a pas forcément justifié.
10:59Mais bon, après, ça fait partie du jeu
11:01d'essayer de perturber, quoi.
11:04Donc, ça, c'était pour l'ambiance, pour le match.
11:06Quand même, il s'est passé énormément de choses.
11:08J'imagine que quand même, tu t'es régalé
11:10en tant que spectateur et supporter du PSG
11:13à assister à cette rencontre.
11:14Exactement.
11:16Alors, en fait, ce qui était intéressant pour nous,
11:20c'est que c'est vraiment génial
11:21de pouvoir vivre un match comme ça aux Etats-Unis.
11:24Enfin, un match...
11:24Franchement, j'avais l'impression
11:26que c'était la Champions League.
11:27Il manquait forcément au niveau des ultras, etc.
11:30Ça manquait un peu.
11:31Il n'y avait pas de tifo, etc.
11:32Mais sinon, l'ambiance était folle.
11:34Et en fait, nous, on a l'habitude
11:35d'avoir des matchs comme ça à l'été,
11:36des matchs amicaux où il n'y a pas vraiment d'enjeux.
11:38Donc, c'est beaucoup moins intéressant.
11:40Là, c'était vraiment un match de fou,
11:42en plus avec un finish incroyable.
11:44L'arbitre qui s'est forcément fait assulter sur la fin,
11:47parce qu'on ne comprenait plus rien,
11:49notamment sur les deux cartons rouges.
11:50Après, le péno, en plus,
11:51à la 93e pour le Bayern,
11:53enfin, clairement, il n'y avait pas faute.
11:55Donc, ouais, on retrouvait vraiment
11:58les ambiances européennes
11:59que j'avais un peu plus l'habitude.
12:01Donc, ça, c'était vraiment génial
12:02de pouvoir vivre ça
12:04pas loin de chez soi aux Etats-Unis.
12:06C'est intéressant ce que dit Thibaut,
12:07parce que j'ai l'impression quand même
12:08que ce genre de rencontre,
12:09ça va rehausser
12:11la crédibilité
12:13de cette compétition,
12:15la Coupe du Monde des Clubs,
12:16qui a été quand même
12:16très régulièrement critiquée,
12:19ici aussi,
12:20sur RMC.
12:22Là, ce genre de match,
12:23quand même,
12:23est-ce que ce n'est pas
12:24la meilleure publicité possible ?
12:26Bah, si, clairement.
12:27Bah, si, totalement.
12:28Bah, après...
12:28Ouais, pardon, je ne suis pas
12:30le droit de parler.
12:30Non, non, on t'écoute, Thibaut.
12:31Toi, t'es à Atlanta,
12:32t'as le droit de parler.
12:33Vas-y, on t'écoute,
12:33et puis après, Greg,
12:34il prendra le ralais.
12:38Ouais, non, non,
12:38c'est totalement ça.
12:39Et en plus, après,
12:40on a mis à râler en France,
12:41par exemple, pour les JO.
12:42Avant les JO de Paris,
12:43il va tout le monde râler
12:43en disant que ça n'avait pas été.
12:44Bon, au final, c'était génial.
12:46Ici, c'est pareil.
12:48En plus, ça permet à d'autres gens
12:50aussi de voir ce genre d'événement.
12:53Et non, non,
12:53c'est totalement génial.
12:54Après, de toute façon,
12:55les Coupes du Monde,
12:55ça démarre souvent
12:56aux matchs à élimination direct,
12:59huitième, voire quart de finale.
13:01Tu vois, quand on pense à 2018,
13:02bon, le match contre l'Australie,
13:04ça n'a pas forcément marqué
13:05les mémoires en face de tout.
13:06Donc, c'est vraiment
13:07sur la fin
13:08que ça s'intensifie.
13:10Et là, on voit vraiment...
13:11En toute façon,
13:11dès qu'il y a un enjeu,
13:12ça devient beaucoup plus intéressant,
13:13forcément.
13:14Convaincu, donc, Greg ?
13:16Convaincu, dans la mesure
13:18où...
13:20Moi, j'émettais juste des doutes
13:22par rapport à la condition physique
13:23des joueurs.
13:24Après une aussi longue saison...
13:25Mais ça, on n'a pas la réponse.
13:26On verra d'ailleurs
13:27en début de saison prochaine.
13:28Oui, mais là,
13:28au midi, quand même,
13:29ça ressemblait à un match
13:30à la haute intensité.
13:31Ça ressemblait à de la Ligue des Champions,
13:32un petit peu ça.
13:33Oui.
13:33Le pressing contre pressing...
13:35Moi, ce que je veux dire
13:35dans la condition physique
13:36des joueurs,
13:37c'est les conséquences plus tard
13:38dont on n'a pas la réponse.
13:40Moi, je...
13:40Oui.
13:41Là, j'aurais du mal
13:42à me prononcer
13:43par rapport à ce qui va se passer
13:44dans six mois.
13:45Sinon, c'est vrai que tu as raison.
13:46Là, c'était un match
13:47de haut niveau.
13:48Oui.
13:48Donc, c'était le but.
13:50Et pour un sens,
13:51ça a l'air de fonctionner.
13:51Mais il est vrai que l'intérêt
13:52vient à partir de maintenant.
13:55Des quarts de finale,
13:56demi,
13:56et là, tout le monde
13:56va commencer à regarder.
13:58Surtout qu'il y a des clubs
13:59d'haut niveau.
14:00C'est le jeu.
14:01On vaut la chandelle.
14:02Mais heureusement
14:03qu'en fin du foot,
14:05à partir des quarts de finale,
14:06quand il y a des affiches
14:06comme celle-ci,
14:08Dieu merci,
14:09parce qu'avec le cirque
14:10du premier tour
14:11et les facteurs de Auckland
14:13qui en prennent 10
14:14contre Bayer.
14:14Oui, mais ça, c'était
14:15un club
14:16où tu prends le cas.
14:18Oui, oui, mais il y a eu
14:19d'autres matchs.
14:19Il y a eu d'autres matchs.
14:21Il y a eu d'autres matchs.
14:22Je suis très surpris.
14:22On a vu des clubs brésiliens
14:23très bien débrouillés.
14:24Je suis très surpris
14:24de retrouver, justement,
14:25Chelsea en demi-finale.
14:28Lorsque tu vois
14:30le match grotesque
14:31qu'ils ont fait
14:31contre Flamengo,
14:32qui, lui,
14:33avait fait un très gros match
14:34contre Chelsea.
14:35Bon, voilà.
14:36Après, il y a des différences
14:37de préparation.
14:38Ils sont quand même
14:38au moment de leur saison.
14:40Et puis, il y a
14:40le haut du tableau,
14:43le bas du tableau.
14:44Bon, il y a quand même
14:45des choses.
14:46Il faudra régler des choses.
14:47Mais oui, on a enfin
14:48eu droit au match
14:49qu'on espérait
14:51cet après-midi
14:52entre un très bon Bayern,
14:53je pense,
14:54et un pari résilient
14:56et qui a su se montrer
14:57à la hauteur.
14:58Je ne sais pas si on aura
14:59l'occasion de parler
15:00des performances individuelles.
15:01On va faire l'évaluation
15:02dans un instant, d'ailleurs,
15:03avec Samy qui est avec nous
15:03et qui nous attend
15:04au 32-16.
15:05J'avais quelque chose
15:06à dire sur ce sujet.
15:08Je pense que la compétition
15:11en soi, ce n'est pas un souci.
15:12Après, c'est toute
15:13la gestion des calendriers.
15:14Parce que là, par exemple,
15:15aujourd'hui, on partage
15:16l'antenne avec le road food
15:17féminin parce que c'est
15:18en même temps.
15:19Moi, j'ai ma femme
15:19qui est au match de Charlotte
15:20de MLS parce que c'est
15:21en même temps.
15:22Ce soir aussi, il y a
15:23la finale de la Gold Cup
15:24entre les US et le Mexique
15:26parce que c'est en même temps.
15:28Il y a quand même
15:28beaucoup de foot en même temps.
15:29En fait, on a l'impression
15:30que ce n'est pas très bien
15:31planifié.
15:32Et l'image de ça aussi,
15:33c'est qu'en sortant
15:33du Stade à Atlanta,
15:34le métro est en travaux
15:36pour la Coupe du Monde
15:37de l'année prochaine.
15:38Et du coup, le métro
15:40aujourd'hui pour cette
15:41Coupe du Monde-là
15:42n'est pas prêt non plus.
15:43Donc je pense que c'est
15:44plus un projet de planification
15:46et de gérer les calendriers
15:47que l'existence de cette
15:49Coupe du Monde en elle-même.
15:50Et au début de la Coupe
15:51du Monde des clubs,
15:52il y avait l'Euro Espoir
15:54en même temps.
15:54Il y avait des matchs
15:55en même temps.
15:56Et il n'y avait pas photo
15:57sur la qualité des matchs.
16:00Tout le monde ici
16:01préférait regarder l'Euro Espoir
16:02que les matchs de poules
16:03de la Coupe du Monde des clubs.
16:04Après, il y a eu aussi
16:05la chaleur qui a joué
16:06dans beaucoup de stades.
16:07Là, le stade d'Atlanta
16:08est climatisé.
16:09Donc forcément,
16:10le spectacle est meilleur.
16:12Même si, quand même,
16:13un bémol sur la pelouse.
16:14Elle n'était vraiment pas bonne.
16:17Il y avait beaucoup
16:18de glissables, je trouve.
16:19Oui, ça glissait.
16:20Oui, oui.
16:21Ça glissait beaucoup.
16:23Surtout en première période.
16:24Alors je ne sais pas
16:24s'ils ont changé les crampons
16:25les joueurs en deuxième période.
16:27Mais oui, ça glissait énormément.
16:30Après, je n'ai pas l'impression
16:30qu'il y ait beaucoup non plus
16:31de mode de terre, etc.,
16:33qu'il fasse que le ballon
16:34rebondisse énormément.
16:35Je n'avais pas trop vu ça
16:35de la tribune.
16:36Mais en tout cas,
16:38les joueurs étaient
16:38beaucoup à terre.
16:39Alors merci Thibaut.
16:40Merci beaucoup.
16:41Je ne sais pas si on te retrouvera
16:42mercredi dans l'after,
16:44si tu vas faire le voyage.
16:46Parce que toi,
16:46tu es de Charlotte
16:47pour aller jusque
16:48dans la banlieue de New York.
16:49Je ne sais pas.
16:51Mais je voulais faire
16:51un coucou
16:52au pote de New York,
16:53justement Benji
16:54qui voulait une dédicace
16:54à ma famille du Nord
16:57et à ma maman aussi.
16:59Et aussi, du coup,
17:00Charles, mon pote
17:00avec qui j'étais là
17:01à Atlanta
17:02sur les deux derniers matchs,
17:03il sera à New York
17:03mercredi.
17:05Eh bien, on l'appellera.
17:06Pour le boulot.
17:07Enfin, qu'il nous appelle.
17:08Non, mais il sera
17:08pour le boulot.
17:09Donc, il faut le chauffer
17:09pour qu'il aille au stade.
17:12Je compte sur les potes
17:14de New York
17:14pour faire quelque chose.
17:16S'il nous écoute,
17:17il va se chauffer.
17:17Oui, c'est bon ?
17:18Non, je conseille à Thibaut
17:19de déposer son
17:20« Ici, c'est pareil ».
17:21Parce qu'on a coutume
17:22de dire « Ici, c'est Paris ».
17:24Il nous a enchaînés
17:25avec un « Ici, c'est pareil ».
17:26Je trouve ça pas mal.
17:27Merci beaucoup, Thibaut.
17:28Tu reviens quand tu veux,
17:29bien sûr.
17:29Merci, les gars.
17:30Et profite bien.
17:31Merci de nous avoir fait vivre
17:32de l'intérieur
17:33cette ambiance
17:34dans ce stade à Atlanta
17:36que les Parisiens vont quitter
17:38pour rejoindre le New Jersey
17:39et affronter sans doute
17:41le Real Madrid
17:42qui mène toujours
17:43face au Borussia Dortmund
17:44de but à zéro.
17:45On retourne voir Edgar Groulot
17:46dans un instant.
17:47Mais d'abord,
17:47Samy est avec nous
17:48dans l'after.
17:49Salut, Samy.
17:50Salut, vous allez bien ?
17:51Salut, Samy.
17:51Très bien.
17:52Et toi ?
17:53J'aimerais faire avec toi.
17:54C'est ma première
17:55dans l'after.
17:56Ah, super, Samy.
17:57Écoute, bienvenue.
17:59En général,
17:59ça se passe bien.
18:00En plus,
18:01tu es bien entouré
18:01avec Greg Kessler,
18:02Simon Dutin,
18:03tout va bien.
18:04Justement,
18:05on voulait faire
18:05une évaluation
18:05avec toi du match.
18:08Je crois que tu voulais
18:09revenir sur le collectif
18:10avant tout.
18:11Et après,
18:11on pourra parler
18:11peut-être des individualités
18:13aussi avec toi.
18:14Exactement.
18:14Moi, je voulais parler
18:15du collectif.
18:16Moi, j'ai rarement vu
18:18une équipe
18:18avec autant d'assurance.
18:20Franchement,
18:21ils sont forts
18:21en phase de gestion.
18:23Quand ils ont le ballon,
18:24ils sont forts
18:24en contre-attaque
18:25franchement,
18:27ils m'ont impressionné
18:28ce soir, Paris.
18:29Il n'y a rien à dire.
18:31Même en 9 contre 11,
18:32ils te plantent
18:33le deuxième but.
18:35Franchement,
18:35ils m'ont impressionné
18:37physiquement,
18:38tactiquement.
18:39Ils ont été
18:40au niveau.
18:43Vraiment,
18:43maintenant,
18:44on a un très bon gardien.
18:45Je pense que c'est
18:46maintenant l'un des
18:47meilleurs au monde,
18:48Donnarumma.
18:49Là, on a retrouvé
18:49vraiment le Donnarumma
18:52de l'euro.
18:54Même si sur certaines
18:55sorties...
18:56Oui,
18:56voilà.
18:57Il y a toujours des fois
18:58un peu limite.
18:59Je voulais juste aussi
19:01souligner qu'il y a eu
19:03PSG Inter 5-0,
19:04PSG Atletico 4-0,
19:06PSG Inter Miami 4-0,
19:08PSG Bayern 2-0.
19:10C'est une équipe
19:10qui ne prend pas de buts
19:11et qui en marque beaucoup.
19:13Et ça,
19:14c'est un notier
19:15qui prenne même teneur
19:17pas beaucoup de buts.
19:19T'as raison.
19:20C'est grâce à Donnarumma,
19:21certainement.
19:21Grâce à Pacho aussi
19:22que j'ai trouvé
19:23plutôt bon.
19:24Jusqu'à son carton rouge,
19:25bien évidemment.
19:26Il va manquer.
19:26Surtout, jusqu'ici,
19:27les attaquants parisiens
19:29avaient très peu marqué.
19:30Vitigny avait marqué,
19:32Hakimi avait marqué,
19:34Neves avait marqué,
19:37mais ça manquait
19:38d'efficacité.
19:39On n'était pas vraiment
19:40inquiets,
19:41mais je veux dire,
19:41c'est quand même
19:42aussi un signe positif.
19:43Je trouve que
19:44Doué et Dembélé...
19:45Et toi, justement,
19:46sur Doué,
19:47toi, s'il y a un joueur
19:47à sortir,
19:48tu nous disais
19:48dans les trois points,
19:49c'est désiré Doué ?
19:50Parce que Doué
19:50prend la lumière.
19:51Ce qu'il a accompli
19:52en Ligue des Champions,
19:53c'est un jeune homme
19:54qui brille dans les grands matchs.
19:57Il faut quand même
19:59regarder...
19:59Surtout, le match
20:00a été le plus performant.
20:01Il a beaucoup mieux fait,
20:02mais il était décisif.
20:03Non, mais moi,
20:04ce que j'ai apprécié,
20:05c'est que
20:06Quentin Aguara,
20:08qui a collé, lui,
20:08la ligne de ce comté gauche,
20:12ce qu'on est habitué
20:12à le voir faire,
20:14il y a eu énormément
20:15de permutations.
20:16Donc, on rappelle
20:16que Dembélé était sur le banc.
20:17Et on ne savait pas bien
20:18qui était vraiment
20:20le fameux faux neuf
20:21dans cette équipe
20:21parce que Barcola et Doué
20:22n'ont pas arrêté
20:23de permuter.
20:25Et je les ai trouvés,
20:26tous les deux,
20:27très intéressants
20:27dans la façon
20:29dont ils sont venus
20:30demander le ballon
20:31et dans l'utilisation
20:32qu'ils en ont faite,
20:33soit à une touche,
20:34soit dans les combinaisons
20:35pour faire remonter l'équipe
20:37et permettre à des Hakimi,
20:39à des Guevara
20:39de prendre la profondeur.
20:40– Je me suis persuadé
20:40que c'était un plan de jeu
20:41de Louis-Saint-Riquet.
20:42– C'est certain, c'est certain.
20:42– Demander à Guevara
20:43de peut-être moins permuter
20:44avec les deux autres.
20:45– Ce que je veux dire,
20:45c'est que Doué et Barcola
20:47l'ont très bien fait
20:47avec des contrôles orientés
20:48exceptionnels
20:49pour se mettre
20:50dans le sens du but.
20:51Des combinaisons
20:52dépassant une touche.
20:53Là, Guevara lui est resté
20:54quand même très traditionnel
20:55sur son algoge.
20:57Moi, j'ai aimé en fait
20:58la façon qu'ils ont,
20:59que ces jeunes gens
21:00ont de se réinventer
21:02à la demande de Louis-Saint-Riquet.
21:02– Je suis assez d'accord avec Grégory,
21:03sur le match de Doué
21:04en lui-même,
21:05au moment où il marque son but,
21:06on se dit que ce n'est pas
21:07le meilleur,
21:08avant qu'il marque son but,
21:09on se dit que ce n'est pas
21:09le meilleur des trois,
21:10par exemple.
21:11Ce n'est pas le meilleur match
21:12qu'il ait pu faire.
21:13– Peut-être, peut-être,
21:13mais c'est lui qui marque.
21:15– Mais c'est lui qui marque,
21:15bien sûr, t'as raison.
21:16– C'est lui qui débloque
21:17la rencontre.
21:17– Bien sûr, bien sûr.
21:17– Et si tu regardes
21:19tous les derniers matchs,
21:21depuis Aston Villa,
21:23c'est quand même exceptionnel.
21:25Il est là dans tous
21:26les grands matchs.
21:26Et voilà,
21:27à ces altitudes-là,
21:29quand tu es décisif,
21:30tu laisses ton nom.
21:32– Et même s'il est
21:32un peu moins bien offensivement,
21:33il fait ses efforts défensifs
21:34pour le collectif,
21:35et ça, c'est remarquable.
21:36– Samy ?
21:37– Et juste,
21:38je voulais dire une chose aussi,
21:40le but de Dembélé,
21:41il m'a fait penser
21:42au raté de Mbappé
21:43contre le Bayern
21:44en finale de Ligue des Champions.
21:47– Il est encore plus près,
21:48Mbappé.
21:48– Et aussi,
21:51aujourd'hui,
21:52ça a été le dernier match
21:53de Müller,
21:54et j'espère que ça sera
21:55le dernier match de Modric.
21:56– Dis pas ça à François,
21:57Samy, dis pas ça à François.
21:58– J'aimerais bien
21:59que ça soit le dernier match
22:00de Modric aussi
22:01avec le Real
22:02contre Paris.
22:03– Ah bah oui,
22:04forcément,
22:05c'est le moment des adieux.
22:06Thomas Müller,
22:07tu as raison,
22:08il a joué son dernier match
22:10avec le Bayern Munich.
22:11D'ailleurs,
22:11on parle de lui en MLS,
22:12pourquoi pas pour rester
22:13aux Etats-Unis
22:14après cette Coupe du Monde
22:15des Clubs.
22:17Le PSG-Bayern,
22:18puisque tu en parles,
22:19le PSG-Réal,
22:20pardon,
22:20puisque tu en parles,
22:21ça sera mercredi prochain
22:22a priori.
22:24Voilà,
22:24ça va encore être
22:26avec un certain
22:28Kylian Mbappé
22:28au-dessus,
22:30qui va planer
22:30au-dessus de cette rencontre,
22:31Samy,
22:32forcément,
22:32les retrouvailles.
22:33– Forcément,
22:34les retrouvailles,
22:35après,
22:35je ne sais pas
22:36s'il va commencer titulaire,
22:37parce qu'il y a
22:38le petit jeune là devant,
22:40il marque but sur but,
22:42il fait des efforts défensifs,
22:44et il est très très bon
22:44depuis le début
22:45de la compétition,
22:46donc on va voir
22:47s'il va être titulaire
22:48lors du prochain match,
22:50et aussi,
22:50moi,
22:50j'aurai une inquiétude,
22:52parce que
22:52Patio,
22:53il va manquer.
22:55– Béraldo,
22:56sans doute en défense
22:57à côté de Marquinhos.
22:58– C'est pas Béraldo.
23:00– Et là,
23:01il suffit qu'un des défenseurs
23:03se blesse
23:03ou ait un carton.
23:04– Ah oui, bien sûr.
23:05– Là,
23:06il n'y a pas Lucas Hernandez
23:07aussi ?
23:08– Ben oui.
23:09– Ben non,
23:09non, oui.
23:09– Et ils pourront jouer
23:11la finale,
23:11ou pas ?
23:13Si jamais
23:13Patio se qualifie ?
23:14– Oui,
23:14logiquement oui,
23:15c'est un match de suspension,
23:16je pense.
23:17C'est pas assez rouge direct,
23:18et c'est assez agressif,
23:19peut-être qu'ils ont entendu
23:20des règles.
23:21– Non,
23:21c'est une bonne question,
23:22c'est une bonne question,
23:23mais ils peuvent avoir
23:25un seul match,
23:26mais peut-être que
23:27la décision peut être prise
23:29pour deux matchs,
23:29ils estiment que
23:30– S'il y a une commission,
23:31peut-être qu'ils peuvent
23:31prendre deux avec
23:32la compétition de Marquinhos.
23:33– Mais bon,
23:35quoi qu'il arrive,
23:35ils ne seront pas là
23:36contre le Real,
23:36parce que ça y est,
23:37toi tu te projettes
23:37pour la finale,
23:38Samy,
23:39t'es complètement
23:39emballé par cette
23:41Coupe du Monde des Clubs,
23:42tu veux aller au bout ?
23:42– Moi,
23:43au début,
23:43j'étais un peu pessimiste,
23:45mais là,
23:45je suis vraiment emballé,
23:46et on assiste quand même
23:48à des bons matchs,
23:49malgré que les joueurs
23:50aient joué 70 matchs
23:52dans la saison,
23:53mais là,
23:54on voit que quand même
23:57il y a toujours du niveau,
23:58il y a toujours de l'intensité,
23:59et que moi je me régale
24:01devant les matchs.

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