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MEDI1TV Afrique : LE GRAND JOURNAL MIDI - 18/06/2025
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03:00Pas de répit entre l'Iran et Israël pour la sixième nuit consécutive.
03:05Les deux belligérants continuent de se bombarder.
03:08Selon Tel Aviv, plus de 50 avions israéliens ont visé une installation de production de centrifugeuses à Téhéran,
03:15ainsi que plusieurs usines liées à la fabrication de missiles.
03:18Une opération d'envergure que l'armée israélienne justifie par la nécessité d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire.
03:26Le Premier ministre Benyamin Netanyahou, qui attend l'engagement des États-Unis, dit que son armée poursuit ses objectifs de guerre.
03:33Nous avons frappé l'installation nucléaire.
03:40Le principal centre d'enrichissement de l'Iran a subi un coup très dur.
03:44Nous avons agi et continuons d'agir contre les industries de production de centrifugeuses.
03:48Nous avons simplement ciblé les installations d'enrichissement de l'uranium, qui sont essentielles à la mise au point d'armes nucléaires.
03:55Nous les avons également frappés et nous ne nous arrêtons pas là.
03:58Nous continuons à détruire systématiquement les cibles nucléaires.
04:04La riposte du côté iranien se poursuit également.
04:08Dans la nuit, de nouvelles salves de missiles ont été tirées depuis l'Iran.
04:12Parmi eux, des Fata'in, des missiles hypersoniques de portée intermédiaire, selon les gardiens de la révolution.
04:18La plupart ont été interceptées, mais les autorités iraniennes appellent désormais les civils israéliens à évacuer Haïfa et Tel Aviv, évoquant des attaques punitives imminentes.
04:35Les opérations menées jusqu'à présent n'étaient qu'un avertissement et une dissuasion.
04:40Une opération punitive sera bientôt mise en œuvre.
04:42Par conséquent, les habitants de Tel Aviv et de Haïfa sont fermement invités à quitter ces zones pour leur propre sécurité.
04:49Ne soyez pas victime des désirs bestiaux du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
04:58Dans cette escalade, les Etats-Unis sont de plus en plus présents.
05:01Donald Trump, qui a réactivé en avril les discussions nucléaires avec Téhéran avant de durcir le ton,
05:07appelle désormais à une capitulation sans condition de l'Iran.
05:11Il affirme que les Etats-Unis savent exactement où se cache l'Ayatollah Khamenei,
05:15mais qu'il ne prévoit pas de l'éliminer, du moins pour le moment.
05:19Sa décision sur l'implication officielle ou non des Etats-Unis tient le monde en haleine.
05:26Pendant ce temps, le président américain a appelé hier à la réduction de l'Iran
05:30et assuré que les Etats-Unis pouvaient aisément tuer le guide suprême iranien.
05:35Donald Trump a réuni son conseil de sécurité au moment où les spéculations s'intensifient
05:40sur une éventuelle participation directe.
05:43Les Etats-Unis au conflit, malgré le fait qu'il ait dit privilégié une solution diplomatique,
05:48cette réunion qui a eu lieu dans la salle de crise de la Maison-Blanche
05:52a duré environ une heure et vingt minutes,
05:55selon un responsable de la Maison-Blanche qui a requis l'anonymat.
05:58Pendant ce temps, la défense civile de Gaza a indiqué que 30 personnes,
06:19dont 11 venus chercher de l'aide, avaient été tuées par l'armée israélienne.
06:24Ce mécrédit dans le territoire palestinien, ravagé par plus de 20 mois de guerre
06:29et menacé de famine, selon l'ONU.
06:31Le porte-parole de la défense civile, Mahmoud Bassal, a indiqué à l'AFP
06:35que 11 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées
06:38après que les forces d'occupation ont ouvert le feu
06:41et tiré plusieurs obus entre 2h30 et 6h du matin
06:45sur des milliers de citoyens rassemblés dans le centre de la bande de Gaza
06:50pour attendre l'ouverture de centres de distribution d'aide.
06:53Interrogé, l'armée israélienne avait parfois expliqué que les soldats ouvraient le feu
06:58car des personnes avançaient malgré leurs tirs de sommation
07:01dans une zone qu'elles affirment avoir déclaré zone de combat.
07:06Autre conflit cette fois-ci.
07:08Les États-Unis de Donald Trump se sont opposés à une déclaration forte sur l'Ukraine
07:13qui condamnerait la Russie lors du sommet du G7 au Canada.
07:17Les six autres membres du G7 s'étaient mis d'accord sur un langage fort
07:21mais une déclaration conjointe aurait nécessité l'accord des États-Unis
07:26selon une source gouvernementale canadienne.
07:29Ces derniers ont targué qu'ils voulaient préserver leur capacité à négocier avec la Russie
07:34à ajouter cette source.
07:36Le conflit en Ukraine était l'un des axes majeurs de ce sommet
07:39dans les rocheuses canadiennes auxquelles participait le président ukrainien
07:44venu pour plaider sa cause, notamment auprès de Donald Trump.
07:52Pour sa part, la Russie a affirmé aujourd'hui s'être emparée d'un nouveau village
07:56dans la région de Soumy, dans le nord-est de l'Ukraine,
07:59où ses troupes grignotent du terrain depuis des semaines
08:03et attendent instaurer une zone tampon pour prévenir les incursions de Kiev.
08:08Le Kremlin affirme vouloir y constituer une zone tampon
08:12afin d'empêcher les forces ukrainiennes de mener de nouvelles offensives en Russie
08:17comme celle dans la région russe de Kursk, frontalière de celle de Soumy.
08:22Sur le plan diplomatique, les pourparlers sont dans l'impasse.
08:26Moscou exige notamment que Kiev lui cède quatre régions entières
08:30en plus de la Crimée annexée, des demandes inacceptables pour l'Ukraine.
08:35Après le dialogue national initié par le chef de l'État sénégalais,
08:43Bassir Odiomaïfaï, l'heure est désormais à la restitution des conclusions.
08:48Un rapport provisoire a été présenté, faisant état de plusieurs points de consensus.
08:54Marema Diop et Moussadir nous en disent plus.
08:56Après une semaine de conclave consacrée à la refondation du système politique sénégalais,
09:03les acteurs en sont sortis avec un socle de consensus solide.
09:07L'objectif est de renforcer durablement les institutions du pays.
09:12Il est désormais admis de manière consensuelle que le président de la République
09:17ne sera plus chef de parti.
09:19Et cet accord-là, avec ses incidences, va être très important.
09:28Il y a également le fait que la rationalisation des partis politiques,
09:34qui a été un point essentiel en termes de conflits.
09:39Une commission électorale indépendante va remplacer la commission qui est actuellement autonome
09:43pour gérer les élections en organe qui est autonome.
09:47Parce qu'une partie de la gestion dépendait du ministère de l'Intérêt,
09:50mais maintenant on va confier ça à un organe autonome.
09:53Et aujourd'hui on a un conseil constitutionnel, on va aller vers une cour constitutionnelle.
09:59Ce qui est du régulateur, le CNRA, va laisser la place à un nouveau régulateur
10:03qui a la compétence plus large jusqu'aux réseaux sociaux.
10:07D'ailleurs, ces réformes sont entérinées par l'Assemblée nationale,
10:11ce après la mise en place d'une commission ad hoc par le chef de l'État sénégalais.
10:16Par la suite, sortir un rapport définitif qui va être mis au président de la République.
10:20Et c'est à partir de là que le président de la République pourra mettre en place la commission ad hoc
10:25qui travaillera à réaliser des projets de loi
10:29et également permettre à l'Assemblée nationale d'acter justement les réformes majeures
10:35qui, additionnées aux réformes prévues après les assises de la justice
10:42qui se sont déroulées l'année dernière,
10:44vont vraiment permettre à notre pays de passer un cap en termes de refondation de notre système politique.
10:50À l'issue de la rencontre, quelques points ont fait l'objet de discorde,
10:54d'où la paix lancée par cet analyste politique.
10:57On peut parler du statut de l'opposition où les gens ne sont pas entendus.
11:02On peut parler un peu des questions de liberté,
11:05notamment le fameux article 80 pour troupes à l'ordre public
11:09ou offences au chef de l'État, l'article 254.
11:12Les gens ne se sont pas accordés pour enlever ça du code pénal.
11:16Et c'est autant de questions aussi qui intéressent les gens
11:18parce que la démocratie sénégalaise doit aller de l'avant,
11:22surtout après trois alternances.
11:24Les hommes politiques, les acteurs de la société civile et les forces vives de la nation
11:29ont pris part au dialogue national sur le système politique sénégalais.
11:33Les conclusions ont permis de dégager des solutions qui, selon les participants,
11:38devraient mettre fin aux crises préélectorales et postélectorales
11:42dans le but de renforcer la démocratie dans le pays.
11:48C'est une bonne nouvelle pour le secteur de l'emploi et du numérique au Maroc.
11:52Le chef du gouvernement, Aziza Hanouch, et la ministre de la Transition numérique,
11:57Amal Segochny, ont inauguré le Centre de Recherche et de Développement d'Oracle,
12:02situé à Kazanuchor, par que ce centre ambitionne d'accueillir jusqu'à 1000 talents marocains
12:08spécialisés dans les technologies de l'information.
12:11Immersion avec Younes Mazzi et Dina Brini.
12:14Oracle parie sur les talents marocains pour façonner le numérique de demain.
12:20Le géant américain renforce sa présence au Maroc avec l'ouverture d'un centre de recherche
12:25et de développement de nouvelles générations à Casablanca.
12:29Conçu pour accélérer l'innovation autour du cloud et de l'intelligence artificielle,
12:34ce site a vocation de devenir un pôle technologique de référence.
12:38Ce nouveau centre emploiera 300 ingénieurs marocains
12:46et ambitionne d'accueillir jusqu'à 1000 talents marocains à l'horizon 2026
12:50avec 40% des effectifs basés hors de l'axe Casablanca-Rabat.
12:55Oracle prévoit également la formation et la certification
12:58de plus de 20 000 étudiants marocains à travers des programmes intégrés
13:02conçus en collaboration avec les universités nationales.
13:11Ce centre de recherche, installé sur 7 niveaux, doté d'infrastructures modernes,
13:16s'insère dans le partenariat établi entre Oracle et le ministère marocain de la transition numérique.
13:22Objectif ? Renforcer durablement les capacités nationales en matière de recherche et développement.
13:27Sur place, les ingénieurs et chercheurs exploitent l'infrastructure cloud d'Oracle
13:32et l'intelligence artificielle pour développer des solutions innovantes
13:36à fort impact sur les entreprises.
13:46Beaucoup de jeunes marocains ayant fait leurs études à l'étranger
13:49préfèrent entrer au Maroc et intégrer des firmes multinationales.
13:53Comme vous le savez, Oracle est une grande entreprise américaine.
13:56Elle est destinée à concevoir des solutions innovantes dans les domaines du cloud.
14:01Elle vise également à travailler avec des entreprises marocaines ainsi que des universités.
14:11Pour nous, c'est un jour très important.
14:14Comme je l'ai dit, on a démarré il y a quelques années avec deux personnes.
14:22Et aujourd'hui, on va être bientôt à 600 personnes.
14:26Et donc, c'est une croissance exceptionnelle qui, notamment, nous a été permis grâce à la qualité des ingénieurs qu'on trouve ici au Maroc,
14:37qui sont des jeunes compétents, très motivés et qui sont demandeurs de pouvoir travailler dans des sociétés ici au Maroc,
14:51dans des domaines avancés, sans avoir à s'expatrier.
14:54La création prochaine de deux régions cloud à Casablanca et Astat
14:58illustre l'engagement profond d'Oracle en faveur du continent africain.
15:03Elle contribuera de manière décisive à la transformation numérique des entreprises,
15:07des start-up, des universités et des investisseurs,
15:11tant au Maroc que dans l'ensemble de la région.
15:13Et c'est l'heure de l'invité de la rédaction.
15:25Mesdames et messieurs, aujourd'hui, nous reparlons de l'escalade militaire dangereuse entre l'Iran et Israël.
15:31Le président américain Donald Trump a exigé hier la reddition sans condition de l'Iran
15:36et renforcer la présence militaire des États-Unis au Moyen-Orient.
15:40Beaucoup y voient le signe d'une possible entrée en guerre des Américains.
15:45Quel scénario possible ?
15:46Pour en parler, nous retrouvons en direct de Casablanca,
15:49Ali Lahréchi, doyen de l'Institut de sciences politiques Mundiapolis.
15:55Bonjour et merci de répondre à cette invitation.
15:59Bonjour, avec plaisir.
16:01De retour du G7, Donald Trump a tenu une réunion avec son équipe de sécurité nationale.
16:07Selon la presse américaine, il serait favorable à l'idée d'attaque américaine contre des sites nucléaires iraniens.
16:14Est-ce un changement significatif dans la position du président américain,
16:18sachant qu'il y a deux semaines, il était confiant en la signature d'un accord sur le nucléaire avec l'Iran ?
16:25Oui, tout à fait.
16:28Comme vous voulez le citer, le président américain, déjà depuis deux mois,
16:33il parlait d'un accord qui allait être signé entre les Américains et les Iraniens
16:37par rapport au nucléaire ou à l'accord nucléaire concernant l'Iran.
16:44Il y a deux semaines, on parlait encore, c'est-à-dire les États-Unis parlaient,
16:49l'administration américaine, encore de cet accord, c'est-à-dire de la voie diplomatique
16:53par rapport à cet accord nucléaire pour l'Iran.
16:57Aujourd'hui, c'est-à-dire la déclaration faite hier qui parle d'une reddition sans condition de l'Iran,
17:05sinon il y aura une possible intervention militaire américaine,
17:10est un changement de cap.
17:12Effectivement, il y a un changement de position, certes, nous ne savons pas encore
17:19quelle est la nature de cette intervention américaine,
17:23puisque après la réunion du Conseil de sécurité américaine,
17:26la décision n'a pas encore été donnée.
17:32Comment les États-Unis vont intervenir ?
17:35Est-ce qu'ils vont intervenir militairement ?
17:37Ou c'est une pression qui va être faite sur l'Iran, peut-être pour revenir vers la voie diplomatique,
17:43étant donné que pendant deux mois, cet accord, il n'y avait pas eu de réponse
17:47selon l'administration américaine de l'Iran par rapport à cet accord nucléaire ?
17:53Peut-on affirmer que les signaux indiquant une entrée en guerre imminente des États-Unis
17:58aux côtés d'Israël se multiplient notamment avec la déclaration de Donald Trump hier
18:03et les déploiements d'une force aéronavale plus tôt dans le golfe Persica ?
18:10Oui, c'est vrai.
18:11Aujourd'hui, nous regardons qu'il y a eu ce déploiement des forces aéronavales,
18:17de deux porte-avions, deux grands porte-avions,
18:20qui ont la latitude de permettre aux Américains de détruire ce qu'on appelle
18:26les anti-banqueurs nucléaires et qui se déplacent vers la région.
18:30Comme j'ai dit tout à l'heure, est-ce qu'ils vont être utilisés
18:33ou est-ce que c'est un moyen de pression, comme on l'appelle dans les relations internationales,
18:38c'est-à-dire faire la pression maximale sur le pays, sur l'adversaire,
18:47pour qu'ils puissent prendre des considérations.
18:50Donc, il y a deux options.
18:51Effectivement, le déploiement de ces porte-avions montre qu'il y a peut-être
18:58ou certainement une action américaine militaire, mais en même temps.
19:03Et la déclaration qui parle de reddition sans condition va dans ce sens-là,
19:09mais ne serait-il pas peut-être cette pression maximale avec la présence
19:14de ces destroyers américains, de ces porte-avions qui vont peut-être pousser vers l'accord nucléaire
19:27entre l'Iran et les États-Unis.
19:31Mais la possibilité, effectivement, de la guerre, elle est possible,
19:34étant donné que nous parlons de porte-avions, le Nimitz et le Carl Vinson,
19:40qui sont deux grands porte-avions et qui ont du matériel militaire et des avions
19:46qui peuvent détruire les anti-bankers, surtout quand on parle du nucléaire iranien,
19:52les seuls qui peuvent le détruire, ou là où il y a les usines de développement
19:58ou d'enrichissement d'uranien, ce sont ces armes américaines.
20:03Dans cette éventualité, quelles seraient les intentions de Washington
20:06et les récentes déclarations américaines ?
20:09Peuvent-elles être interprétées comme un soutien à Israël dans le conflit avec l'Iran
20:13ou vise-t-elle un objectif plus large dans la région ?
20:19Oui, d'abord c'est un soutien avec Israël, certainement,
20:22puisque les Américains, c'est-à-dire qu'ils s'adressent à l'Iran
20:27quand ils disent que c'est l'Iran qui doit faire la reddition sans condition,
20:32c'est que les Américains peuvent frapper, c'est-à-dire peuvent frapper l'Iran
20:38et s'additionner à additionner leurs forces militaires à celles d'Israël.
20:43Mais il y a, par rapport à la région, mais aussi par rapport,
20:47je dis toujours par rapport à l'accord,
20:51il faut dire que la position américaine avec la région,
20:53il y a eu la visite d'un camp du président américain dans la région,
20:57donc chez plusieurs pays arabes, il y a eu beaucoup d'accords,
21:01c'est-à-dire de projets en perspective d'avenir avec ces pays-là.
21:07Certainement, s'il y a l'utilisation des armes américaines avec l'Iran,
21:15il va y avoir un bouleversement.
21:16On sait que, dans un sens, l'Iran travaillait avec des proxys,
21:22il y avait le Hezbollah, il y avait le Hamas, d'autres au niveau du Yémen.
21:27Donc, au niveau déjà, ces proxys ont été affaiblis il y a deux ou trois mois,
21:32donc avec des frappes qui se sont passées avec Israël.
21:35Maintenant, s'il y a des frappes, sincèrement, aucun géopolitologue aujourd'hui
21:44ne peut calculer la portée des frappes américaines.
21:50Est-ce que ça va être la fin d'un régime, c'est-à-dire la fin du régime iranien ?
21:54Est-ce que ça va être effectivement la fin de l'enrichissement de l'uranium ?
21:59Ou bien seulement arriver avec une pression maximale pour arriver à un accord sur le nucléaire iranien ?
22:09Les Américains doivent savoir que toute intervention militaire de leur part
22:14entraînera assurément des dégâts irréparables.
22:17Déclaration à l'instant du guide suprême iranien, l'Ayatollah Ali Khamné,
22:21qui fustige les propos inacceptables de Donald Trump.
22:25Un commentaire sur cette réaction iranienne ?
22:27C'est normal, quand vous vous adressez à un pays, vous dites que vous allez l'attaquer
22:34ou qu'il y aura, c'est-à-dire que vous demandez la rendition sans condition,
22:39que de l'autre côté, il va y avoir une réponse.
22:42Une réponse, aujourd'hui, c'est quelle sera la réponse ?
22:46Est-ce qu'elle sera militaire ?
22:48Est-ce que, parce qu'on sait que dans cette zone-là, au niveau de ce détroit-là,
22:51il y a beaucoup de bases américaines, il y a les intérêts, il y a le commerce international,
22:5620% du pétrole du gaz mondial passe par ce golfe-là.
23:03Il y a aussi, quand on parle du détroit d'Hormuz,
23:08donc il peut y avoir une action, effectivement, iranienne,
23:11sur les intérêts des Américains dans la région,
23:15et qui sont très importantes, et non pas seulement sur les intérêts des Américains,
23:18parce que le commerce international est ouvert sur tout le monde,
23:22le pétrole ou le gaz qui passe, il va aussi vers d'autres pays.
23:26Je voulais tout à l'heure, par rapport aux Américains,
23:29il y a aussi une action au niveau de l'intérieur qui ne soutient pas cette action militaire,
23:33il soutient plus l'action diplomatique, c'est le « make America great again »,
23:39c'est-à-dire s'intéresser aux problématiques des États-Unis,
23:44et non pas soutenir un autre État,
23:47et être interventionniste dans un autre État,
23:50ou dans un autre conflit, à l'extérieur des États-Unis.
23:54Que peut changer une entrée en guerre des États-Unis,
23:57justement, dans le rapport de force Iran-Israël,
24:00et quels seraient les effets immédiats sur l'équilibre régional au Moyen-Orient ?
24:06Si les États-Unis interviennent militairement,
24:10avec toute l'artillerie qui est là,
24:12c'est une puissance, c'est la première puissance militaire,
24:16ça va faire, je dirais, beaucoup de mal à l'Iran.
24:21Sur le plan régional, il faut dire que l'Iran est un État
24:26qui s'est toujours opposé à Israël,
24:29et avec, je dirais, à la présence même d'Israël,
24:32mais avec d'autres proxys que j'ai cités tout à l'heure.
24:37Donc, s'il y a une intervention qui va être assez, je dirais, pointue,
24:41assez forte, et qui va peut-être permettre une nouvelle carte géopolitique
24:48dans la région du Moyen-Orient-Proche-Orient.
24:53Une escalade militaire entre États-Unis, Israël et Iran,
24:56peut-elle encore être contenue, ou risquons-nous,
25:00une généralisation du conflit à d'autres théâtres d'affrontements indirects ?
25:03Maintenant, ça dépendra des Américains.
25:07Est-ce qu'ils vont intervenir militairement,
25:10ou bien il y aura une pression intérieure ?
25:11Parce que le mouvement « Make America Great Again »
25:16ne veut pas d'intervention à l'extérieur,
25:18parce que, d'abord, Trump est arrivé pour dire
25:22« Je vais faire régner la plaie dans le monde, je vais éviter les guerres »,
25:26mais aussi s'intéresser aux « American first »,
25:29c'est-à-dire aux problèmes des États-Unis à l'intérieur.
25:33Maintenant, s'il y a une guerre réellement,
25:36une intervention des États-Unis,
25:40c'est-à-dire contre l'Iran,
25:42c'est-à-dire une intervention militaire,
25:44certainement, il va y avoir une nouvelle redéfinition de la région.
25:54Bon, il y a des exemples qui se sont passés auparavant.
25:57Bon, il y a eu l'intervention,
25:58peut-être qu'il y a eu des changements,
26:00mais jusqu'à quelle limite les intérêts des Américains ont été préservés
26:05ou les intérêts des pays,
26:07c'est-à-dire qui sont dans la région, ont été préservés.
26:10Donc, personne ne peut sincèrement prédire
26:12quel serait le temps et l'intensité,
26:15même s'il y a une intervention américaine.
26:17Est-ce que ça sera une intervention ciblée pour le nucléaire ?
26:20Peut-être qu'on va passer aux négociations diplomatiques,
26:23comme disait Raymond Aron,
26:24paix et guerre entre les nations.
26:26D'abord, il y a la guerre,
26:27et puis il y a les accords de paix qui viennent après,
26:30selon, bien sûr, la balance du plus fort entre les billigérants.
26:36Soit l'intensité va être très forte,
26:39et là, personne ne pourra prédire ce qu'il adviendra de la région.
26:43Certainement, un nouveau dessin, je dirais,
26:47de la géopolitique régionale, mais aussi mondiale,
26:50parce que cette région-là est une région
26:53qui a des relations avec d'autres puissances,
26:57avec d'autres pays dans le monde.
27:00Et selon vous, l'ONU ou d'autres puissances
27:02pourraient-elles encore jouer un rôle de médiateur crédible
27:05dans une telle escalade ?
27:07Le souhait de tout le monde que les Nations Unies jouent son rôle,
27:13son rôle des Nations Unies, c'est préserver la paix,
27:15la sécurité dans le monde.
27:17Mais aujourd'hui, est-ce que les Nations Unies,
27:20certainement, il y a du travail sur ça,
27:22mais je pense que l'action des Nations Unies,
27:25elle est limitée depuis plusieurs années,
27:27surtout dans des conflits qui opposent les puissances.
27:32Maintenant, est-ce que d'autres puissances peuvent infléchir les États-Unis
27:36à porter, c'est-à-dire à soutenir d'une manière militaire Israël ?
27:44Non, je ne pense pas, mais ils peuvent peut-être orienter
27:47l'intervention américaine, comme j'ai dit,
27:50vers une orientation pointue, c'est-à-dire vers le nucléaire,
27:54je dirais iranien, enfin le nucléaire iranien,
27:59ou les vainqueurs où il y a le nucléaire iranien,
28:02et pour arriver à une solution de paix.
28:04Mais je pense qu'on a entendu les appels de beaucoup de chefs d'État,
28:08c'est-à-dire des puissances occidentales,
28:10qui appellent à la voix de la diplomatie.
28:13Maintenant, on attend, c'est-à-dire tout le monde attend,
28:17quelle a été la décision qui a été prise hier
28:20lors du Conseil de sécurité, ou bien s'il y aura une autre réunion
28:27pour donner le temps à ce qui va arriver dans le futur proche,
28:34c'est-à-dire dans une semaine, dans une semaine, dix jours,
28:38le temps que le destroyer arrive.
28:42En fait, la situation est très ambiguë,
28:45et c'est une poudrière qui peut éclater,
28:50et malheureusement, la région du Proche-Orient
28:52fait toujours ces problèmes qui n'arrivent pas à être résolus
28:58depuis très très longtemps.
29:01Allez, la Russie, merci encore pour ces éclaircissements.
29:04Je rappelle que vous êtes doyen de l'Institut de sciences politiques
29:08Mundiapolis, et vous interveniez en direct de Casablanca
29:11sur cette question entre Israël et l'Iran.
29:14Je vous en prie.
29:19Place à présent à l'actualité sportive dans ce journal,
29:22et c'est tout de suite.
29:31L'actualité sportive avec toujours notre monsieur sport maison.
29:35Bonjour à vous, Anas Bachar.
29:37Bonjour à vous, Anas Bachar.
29:38Alors Anas, première étape de ce tour de l'actualité sportive
29:41à Philadelphie, où le Ouidat de Casablanca s'apprête à disputer
29:45son premier match à la Coupe du Monde des clubs de football
29:48face à un grand d'Europe.
29:49Et c'est un examen en détail qui attend le Ouidat de Casablanca
29:52cet après-midi en Pennsylvanie pour son entrée en lice
29:55en Coupe du Monde des clubs.
29:57Ce sera cet après-midi à 17h, heure marocaine, face à Manchester City.
30:01Les hommes de Mohamed Amin Ben Hashem ont eu droit hier après-midi
30:04à leur dernière séance d'entraînement dans leur campus de la London School
30:08avant de partir à Philadelphie, où ils joueront sur la pelouse du Lincoln Finals
30:12Cette séance a connu la présence d'un groupe quasi au complet,
30:16orphelin seulement, du latéral gauche, Youssef Bouchta blessé
30:20et l'attaquant syrien Omar Al-Soma, qui devrait rejoindre la délégation
30:24Casablancaise dans la soirée.
30:25Et face au Ouidat, une équipe de Manchester City en pleine reconstruction
30:28après une saison blanche, de quoi encore plus donner envie aux citizens
30:32de parfaitement débuter cette compétition.
30:35Je vous laisse écouter les réactions des deux entraîneurs
30:38en conférence de presse hier, Mohamed Amin Ben Hashem et Pep Guardiola.
30:42Il n'y a pas que Erling Haaland, Manchester City compte plusieurs joueurs
30:51qui peuvent créer des difficultés et des problèmes à notre équipe.
30:54Regardez Omar Marmouj, Ilkay Gundogan, un nombre impressionnant de joueurs,
30:59un grand nombre qui peuvent faire la différence et poser des problèmes
31:03à n'importe quel adversaire sur le terrain.
31:06Nous avons travaillé au moins sur tous les circuits que nous avons vu jouer
31:10par Manchester City.
31:11Erling Haaland est l'un des fait nombreux problèmes.
31:14Nous avions un problème en défense, tout le monde l'avait vu,
31:18tous les Marocains l'avaient remarqué et nous avons travaillé pour régler tout cela.
31:22Et je pense que ce match sera le test décisif.
31:25Un énorme examen pour nous, au moins pour nos défenseurs,
31:28pour notre système défensif.
31:30Et nous verrons si nos efforts porteront leurs fruits,
31:33si nos préparatifs seront couronnés de succès.
31:35Mais avec la grâce de Dieu, nous arrêterons le danger que représente Haaland.
31:43Je suis impressionné par leur qualité physique.
31:46Ils peuvent combiner face à une défense haute et dans une structure tactique différente.
31:51Donc oui, j'ai vu quelques détails à leur sujet.
31:53Mais nous avons beaucoup parlé de nous, de ce que nous avons fait au cours du dernier
31:57ou des deux derniers mois de la saison qui vient de s'écouler.
32:01Nous sommes là depuis de nombreuses années pour que les nouveaux joueurs sachent
32:04ce que nous attendons d'eux, ou du moins ce que nous attendons vraiment d'eux.
32:07Je dirais plutôt ce que nous voulons être en tant qu'équipe,
32:10dès que possible sur le terrain.
32:12C'est dans notre dynamique.
32:13Et dans ce match, bien sûr, nous discutons et nous nous entraînons
32:16depuis plusieurs jours sur le plan tactique
32:19et ce qu'il faut faire pour les défendre.
32:21Et eux, quand ils sont capables de jouer,
32:23bien sûr, nous devons essayer de créer des occasions,
32:26de bien jouer et de gagner le match.
32:28Restons toujours sur la pelouse avec une contre-performance des vies champions d'Europe
32:36en titre et une première victoire pour le football africain
32:39dans cette Coupe du monde des clubs.
32:41Et décidément, l'Inter Milan n'y arrive pas.
32:43L'Inter qui a concédé un match nul face au Mexicain de Monterrey,
32:47un but partout hier soir au Rose Bowl de Los Angeles
32:50lors de son premier match dans le groupe E de ce mondial des clubs.
32:53Et sous les ordres de leur nouvel entraîneur, Christiane Kivu,
32:56les Nerazzurri SP se réespéraient se relancer
32:59mais ont été surpris à la 25e minute sur un corner conclu par Sergio Ramos,
33:03l'ancien madrélène toujours aussi décisif à 39 ans,
33:06qui a devancé le vétéran Francesco Acherbi
33:09pour ouvrir le score contre le court du jeu.
33:11L'égalisation est venue peu avant la pause
33:14grâce à Lautaro Martinez, attaquant argentin,
33:16a surgi au premier et au second poteau
33:18pour reprendre un centre tendu de Carlos Augusto,
33:21bien servi sur coup franc par une louche astucieuse de Christiane Aslany,
33:26un résultat insuffisant pour les viches champions d'Europe
33:29afin de prendre la première place du groupe E.
33:34Et la première victoire du football africain dans ce mondial des clubs
33:38nous vient des pieds des Sud-Africains de Mamelody Sundown,
33:41vainqueur des Sud-Coréens de l'Ulsan HD,
33:43score final à 1 but à 0 après un report du coup d'envoi
33:46en raison de conditions météorologiques apricieuses.
33:49Le premier acte a été animé par un homme, Ikram Reinhers.
33:52L'attaquant de 30 ans a d'abord vu son premier but refusé pour une main
33:56après avoir envoyé le ballon dans les buts adverses sur corner.
34:007 minutes plus tard, il réussit son face-à-face
34:02pour enfin débloquer la situation en faveur des Sud-Africains.
34:06Et à 6 minutes de la pause, une position de hors-jeu
34:08oblige Lavar à lui refuser son deuxième but de la première période.
34:13Un succès suffisant néanmoins pour prendre la tête du groupe F,
34:16profitant de la contre-performance du Borussia Dortmund face à Fluminense.
34:23Relançons la balle côté féminin avec la suite de la préparation des Lyon de l'Atlas
34:28pour leur tournoi continental à domicile.
34:31Et un international marocain qui va jouer en botola pour la première fois de sa carrière.
34:35On parle Mercato, une information qui est tout juste tombée cet après-midi.
34:39Le FC Barcelone qui vient d'annoncer avoir payé la clause libératoire de 25 millions d'euros
34:44assortie au contrat du gardien de but de l'Espagnol.
34:47Juan Garcia, le club catalan, ajoute également dans son communiqué
34:51que le joueur de 24 ans signera son nouveau bail ce vendredi.
34:55Un contrat de 6 ans qui expirera en juin 2031.
34:58Véritable révélation de la Liga lors de la saison qui vient de s'écouler.
35:02Juan Garcia quitte le club rival de l'Espagnol
35:07dont il a défendu le maillot à 67 reprises.
35:10Toute compétition confondue pour 21 clean sheets au total.
35:14Médaillé d'or aux derniers jours olympiques de Paris.
35:16Il rejoint le champion d'Espagne en titre pour sûrement occuper le poste de portier titulaire.
35:22Reléguant ainsi le gardien allemand Marc-André Ter Stegen à la troisième place de la hiérarchie
35:27et ce derrière le vétéran Avoichir Czesny dans cette équipe du Mars.
35:32La sélection nationale féminine de football effectuera cet après-midi une séance d'entraînement
35:40ouverte aux médias à la veille de son deuxième match amical de ce rassemblement face au Malawi.
35:45Cette séance d'entraînement aura lieu à 18h au stade municipal de Kenitra
35:48et sera ouverte aux caméras et aux journalistes durant les 20 premières minutes.
35:52La rencontre amicale entre les Lyonnes de l'Atlas et leurs homologues du Malawi
35:55aura lieu quant à elle demain à 20h30 toujours sur la même pelouse de Kenitra.
36:01Et pour rappel la sélection féminine s'était imposée sur le fil face au Cap Vert 1 but à 0
36:06au complexe Mohamed VI de football dans le cadre de sa préparation pour la Coupe d'Afrique des Nations 2024
36:12prévue à domicile et dans laquelle elle compose le groupe A avec la Zambie,
36:15le Sénégal et la République démocratique du Congo.
36:21Quelques semaines après la fin de la saison de la botola prodéen Inouis,
36:25la Esfar s'apprête à accueillir un renfort de poids en la personne de l'international marocain Yunis Abdelhamid.
36:30Selon les informations du journal français L'Equipe, le Lyon de l'Atlas aux 16 sélections
36:34serait arrivé à Rabat hier pour paraffer un contrat de deux ans dont une avec option.
36:40Une première aventure pour le défenseur de 37 ans dans le Royaume
36:43après avoir fait ses gammes en France entre Arles-Arminion, Valenciennes, Dijon, Reims et Saint-Etienne
36:49qu'il quitte à l'issue de son contrat après la relégation d'Evers en deuxième division.
36:54Fort de son expérience dans l'Hexagone avec près de 400 matchs entre la Ligue 1 et la Ligue 2,
36:58Unis Abdelhamid est une recrue de prestige pour le club de la capitale
37:02engagé en Ligue des Champions de la CAF la saison prochaine.
37:06Et puis Anas, nous parlons tennis également avec la préparation des meilleurs joueurs du monde
37:15au troisième tournoi du Grand Cholème Wimbledon qui n'est plus qu'à une dizaine de jours.
37:20A commencer par le numéro 1 mondial, l'Italia Yannick Siner qui a fait son retour sur les cours hier,
37:25cette fois sur le gazon de Halle.
37:27Il s'est imposé face à l'allemand Yannick Hoffmann, 138ème mondial,
37:31pour le compte du premier tour de ce tournoi allemand ATP 500, disputé à l'est du pays.
37:37Le numéro 1 mondial a eu besoin de deux manches accrochées pour écarter le local issu des qualifications.
37:42Score finale 7-5, 6-3 en une heure et demie de jeu.
37:46Et pour une place en quart de finale, l'Italien affrontera le Kazakh Alexander Wublik,
37:51vainqueur du français Alexandre Muller au tour précédent.
37:54Un succès qui ne lui permet de parfaitement lancer sa saison sur gazon
37:58en moins de deux semaines de Wimbledon et de se rassurer quelque peu sur le circuit
38:02et notamment sur les tournois du Grand Cholème,
38:04plus d'une semaine après sa défaite rocambolesque face à Carlos Alcalas en finale de Roland-Garros.
38:16Et Carlos Alcalas justement s'est qualifié de son côté pour les 8ème de finale du Queens.
38:21Après son succès, lui aussi accroché face à l'Australien Adam Walton,
38:24repêché après le forfait de l'Espagnol Alejandro Davidovich Fokina.
38:28Score finale 6-4, 7-6 en une heure et 44 minutes de jeu.
38:32Une reprise plus compliquée que prévue après son sacre finale aux internationaux de France
38:36et pourtant importante pour le numéro 2,
38:39néanmoins qui va arriver à Wimbledon dans une dizaine de jours
38:41avec l'étiquette de double de nom du titre du 3ème tournoi du Grand Cholème.
38:45Au prochain tour de ce rendez-vous britannique,
38:47la tête de série numéro 1 affrontera son compatriote Raoumé Mounar
38:50qui a profité de l'abandon de l'Australien Jordan Thompson en 16ème de Chine.
39:01On termine avec un mot de sport auto.
39:03Le Grand Prix de Formule 1 du Canada a été prolongé jusqu'en 2035
39:07à la suite d'une nouvelle entente avec les promoteurs de l'événement.
39:10C'est ce qu'a annoncé la Formule 1 dans un communiqué publié hier.
39:13De son côté, la maire de Montréal, Valérie Plante, a souligné
39:16lors d'une conférence de presse tenue dans la métropole canadienne
39:19que la prolongation de cette entente témoigne de la capacité de Montréal
39:23à accueillir de grands événements de calibre international.
39:26Selon les organisateurs, un total de 352 000 spectateurs ont assisté
39:30au dernier Grand Prix du Canada.
39:31Septième épreuve de la saison de Formule 1 qui s'est tenue de vendredi à dimanche dernier
39:35sur le circuit Gilles Villeneuve.
39:37Comme vous le voyez sur les images, la course a été remportée
39:40par le pilote britannique de Mercedes, George Russell.
39:42Et ce Grand Prix du Canada, considéré comme l'événement touristique
39:45le plus important de la ville de Montréal,
39:47génère des dépenses touristiques de 162 millions de dollars
39:50selon l'agence Tourisme Montréal.
39:53Voilà, Babacar, c'est la fin de ce tour de la planète sport.
40:12Et nous voici également arrivés à cette ligne concernant l'actualité sportive.
40:17Merci encore, Anas.
40:18Avec grand plaisir.
40:19Merci également à vous.
40:20L'actualité revient sur MediGrain TV.
40:22Sous-titrage Société Radio-Canada
40:25Sous-titrage Société Radio-Canada
40:28Sous-titrage Société Radio-Canada
40:31Sous-titrage Société Radio-Canada
40:35Sous-titrage Société Radio-Canada
40:38Sous-titrage Société Radio-Canada
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