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  • il y a 2 mois
"Je ne voterai pas ces résolutions", c'est sur ces mots qu'Ary Chalus quitte le Congrès des élus estimant qu'il y a beaucoup trop d'élus absents pour espérer un débat fructueux.

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Transcription
00:00On a entendu que le monde économique n'était pas d'accord.
00:02Ils nous disent qu'ils n'ont pas été vraiment convenablement consultés.
00:06Nous sommes d'accord, nous l'avons entendu.
00:07Tous les congrès que nous avons eus ont été le plus souvent votés à l'unanimité par un processus.
00:13Je suis comme je le dis, pour ce travail, qu'on poursuive le travail,
00:16mais il faut qu'on puisse ramener les autres.
00:18Il n'y a pas de date d'admédiaire, on est dans une certitude politique où les choses sont très difficiles.
00:23L'an dernier c'était 2 milliards que l'Etat a retenu sur les collectivités,
00:27et l'an dernier c'est 8 milliards, il faut qu'on fasse très attention.
00:30On peut encore prendre quelques temps, quelques temps, il n'y a pas de date d'admédiaire,
00:35pour pouvoir rencontrer ces personnes.
00:37Et là demain, s'ils ne sont pas d'accord, la population le sauve.
00:40Je vais organiser un forum à la région où toutes ces personnes seront invitées à s'exprimer
00:45et par la suite, il faut savoir quoi faire.
00:47On ne peut pas dans un congrès si important, avoir un peu de 40 absents,
00:52même si c'est représenté, c'est l'avenir de la relupe qui est en jeu.
00:57Donc il faut que tout le monde soit là.
00:58Il faut les écouter, les réécouter, les ramener,
01:01et en fonction de ça, on les mettra devant le fait à côté, devant la population,
01:05par une conférence de l'office sur deux jours, et après les décisions de l'office.

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