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Yannick Neuder : "La psychiatrie ne doit plus être le parent pauvre de l'hôpital"
France Inter
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il y a 3 mois
Ce matin, Yannick Neuder, Ministre chargé de la Santé et de l'Accès aux soins est l'invité de 7h50. Plus d'info : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-jeudi-12-juin-2025-5675783
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00:00
Sonia De Villers, vous recevez ce matin le ministre chargé de la santé et de l'accès aux soins.
00:05
Bonjour Yannick Noder.
00:07
Bonjour.
00:07
Un plan psychiatrie, enfin !
00:10
Vous êtes, je le précise, le septième ministre de la santé en trois ans.
00:14
Michel Barnier, Premier ministre, avait fait de la santé mentale une cause nationale.
00:18
François Bayrou, son successeur, est censé avoir repris le flambeau.
00:22
Pourtant, vous écrivez, je vous cite Monsieur le Ministre,
00:25
« Ce plan psychiatrie est un plan de sursaut et de refondation.
00:28
Le sursaut, c'est maintenant. »
00:31
Ça veut dire qu'il n'y a rien eu avant ?
00:32
Je crois qu'il y a urgence à renforcer toute la prise en charge de la santé mentale de la population
00:39
et particulièrement des plus jeunes.
00:42
Et je crois que ne rien faire, rester dans la contemplation, serait extrêmement préjudiciable.
00:48
Mais vos prédécesseurs sont restées dans la contemplation ?
00:50
Moi, je ne suis pas là pour commenter.
00:52
Moi, j'ai été le quatrième ministre en 2024.
00:55
Donc, je le dis sur toutes les actions.
00:57
La santé mentale vaut aussi.
00:59
Quand vous restez trois mois à la tête d'un ministère, celui de la santé,
01:03
quand on voit la totalité de l'ampleur, c'est au quotidien la vie des Français,
01:08
le ministère de la Santé.
01:09
Je crois qu'on ne peut pas mettre de plan.
01:11
Donc, moi, je ne jette la pierre à personne.
01:13
L'idée, c'était d'avoir une certaine stabilité.
01:16
Ça fait maintenant près de six mois que je suis à la tête de ce ministère.
01:19
J'ai présenté le plan santé mentale au mois d'avril.
01:22
Nous aurions eu le budget au mois de février.
01:23
J'ai présenté le plan au mois d'avril en Conseil des ministres.
01:26
Et au gré, effectivement, des sujets, nous le déclinons.
01:30
Je l'ai décliné avec la médecine du sport, avec la ministre des sports.
01:33
Je l'ai décliné avec Elisabeth Borne, la ministre de l'éducation,
01:36
lors des journées de santé scolaire.
01:38
On va y venir, vous annoncez une longue liste de mesures.
01:41
Mais quand même, il y a une question que tout le monde se pose.
01:43
Où est l'argent, Yannick Noderre ?
01:45
Aucun budget pour sauver la psychiatrie française.
01:47
Système unanimement qualifié d'about de souffle.
01:51
Est-ce que la santé n'a pas besoin de moyens ?
01:53
La santé mentale n'a pas besoin de moyens en France ?
01:55
Ou est-ce que vous n'en avez pas ?
01:56
Non, c'est plus compliqué que ça.
01:58
En fait, on a surtout besoin de soignants
02:00
pour prendre soin des Françaises, des Français,
02:03
et particulièrement des plus jeunes.
02:05
Donc, il y a des budgets pour la santé mentale.
02:08
Suffisant.
02:09
Alors, suffisant, c'est jamais suffisant.
02:11
Mais il y a, par exemple, dans l'éducation nationale,
02:14
des postes de médecins scolaires, d'infirmières scolaires,
02:17
qui sont budgétés, qui existent, mais qui sont non pourvus,
02:19
parce que nous manquons de soignants.
02:21
Nous avons nombre de lits à l'hôpital qui sont fermés,
02:24
faute de soignants.
02:25
Donc, c'est pour ça que je veux former plus, former mieux,
02:27
former partout, pour prendre en charge la santé des Français,
02:30
et notamment leur santé mentale.
02:32
Oui, alors, 900 médecins scolaires, en effet,
02:34
c'est très, très peu.
02:35
Un infirmier pour 1 600 élèves dans l'éducation nationale,
02:38
un psychologue pour 1 500 élèves dans l'éducation nationale,
02:41
un médecin pour 13 000 élèves.
02:43
Vous allez aller les chercher où ?
02:45
Alors, je crois qu'il faut pour l'instant dépister au mieux,
02:49
et on voit bien les différents, malheureusement,
02:51
faits divers dramatiques.
02:53
Je crois qu'il y a une nécessité de dépistage,
02:55
et je crois que moi, je suis favorable aux mesures
02:59
qu'ont proposé Elisabeth Borne,
03:01
de pouvoir avoir des référents, des repères,
03:03
dans les établissements de premier degré,
03:05
de pouvoir faire 100% du personnel formé de l'éducation nationale.
03:10
Mais avoir un référent, ou deux référents,
03:12
parce qu'elle propose deux référents par lycée,
03:13
c'est absolument formidable.
03:15
Sauf que depuis hier,
03:16
les associations de parents d'élèves alertent sur le fait
03:18
qu'il y a des lycées où il y a un surveillant pour 250 élèves.
03:21
C'est ces gens-là qu'en plus, on va former pour repérer et détecter la maladie mentale ?
03:27
Je pense que tout le monde est concerné par la formation.
03:29
Tout le monde.
03:30
Ça peut être le monde de l'éducation nationale,
03:33
c'est le monde associatif,
03:34
c'est le monde économique dans les entreprises.
03:37
Il faut former pour pouvoir repérer.
03:39
Il y a du secourisme en santé mentale.
03:42
165 000 personnes ont été formées jusque-là.
03:45
Moi, je souhaite que nous ayons 300 000 personnes
03:47
formées au geste de secourisme mental
03:49
pour justement dépister, pour pouvoir repérer.
03:52
Nous avons la réserve sanitaire,
03:54
nous avons 50 000 étudiants en santé
03:57
qui sont tout à fait favorables et mobilisables,
04:00
mobilisés pour pouvoir faire des actions,
04:02
notamment dans les établissements scolaires,
04:03
les écoles primaires, les collèges.
04:05
Ça ne remplace pas ni les infirmiers,
04:07
ni les psychologues, ni les médecins.
04:09
Je n'ai pas compris où vous allez aller les chercher.
04:10
Mais qu'est-ce que vous allez faire, par exemple,
04:12
pour aider, parce que ça, c'est vraiment très, très critique,
04:15
les centres médico-psychologiques,
04:17
qu'on appelle les CMP.
04:18
Ce sont vraiment des structures publiques, gratuites.
04:22
Vous le savez, il y a parfois un an d'attente.
04:24
Vous le savez, il y a même des CMP
04:26
où il y a deux ans d'attente.
04:28
Dans quel type de maladie,
04:29
dans quel type de psychologie,
04:30
pardon, de pathologie,
04:32
on attend deux ans pour avoir un an ?
04:33
Bien sûr que, malheureusement,
04:34
je sais tout ça,
04:35
et c'est bien l'objet de ce plan.
04:37
Donc, un grand premier plan,
04:38
vous l'avez compris,
04:39
de repérage,
04:40
et ensuite de pouvoir traiter,
04:42
de pouvoir mettre dans des parcours de soins.
04:44
Ces parcours de soins,
04:44
ils doivent être sur les territoires,
04:46
dans les maisons de santé pluridisciplinaires,
04:48
dans les CMP.
04:48
Il y a des financements qui sont présents
04:50
au niveau des agences régionales de santé
04:52
pour pouvoir mobiliser.
04:54
Nous avons Mon Soutien Psy
04:55
avec 6 000 psychologues
04:57
qui sont pour l'instant présents dans le dispositif.
05:00
L'objectif est de passer à 12 000.
05:02
Il y a 75 000 psychologues.
05:03
Vous savez très bien que les psychologues,
05:05
que les professionnels du secteur
05:06
sont très critiques vis-à-vis de ce dispositif.
05:08
Ça peut être la prise en charge en urgence
05:09
puisque dans 40% des cas,
05:11
la pathologie psychiatrique, malheureusement,
05:14
se décompense sur un mode d'urgence.
05:16
C'est de doter chacune de nos urgences en France
05:18
d'un professionnel formé, infirmier, médecin,
05:21
infirmier en pratique avancée
05:23
pour prendre en charge.
05:24
Mais je n'ai pas compris.
05:25
Pour les CMP où il y a deux ans d'attente,
05:27
qu'est-ce qu'on fait concrètement ?
05:27
Il va y avoir des phases de délai de consultation
05:30
sans rendez-vous pour justement,
05:31
quand il y a eu un repérage,
05:33
notamment dans un établissement scolaire...
05:35
Quand il y a deux ans d'attente,
05:36
c'est que les psychiques y travaillent
05:37
sont totalement débordés ?
05:38
Je vous parle de coupe-fil.
05:40
C'est-à-dire que quand vous dépistez un jeune
05:43
qui peut éventuellement, potentiellement,
05:45
passer à l'acte,
05:46
l'idée, c'est qu'une fois qu'il a été repéré
05:48
par des troubles de son comportement,
05:50
c'est de pouvoir le mettre dans un parcours de soins,
05:52
de pouvoir le prendre en charge.
05:54
Et dans chacun des CMP qui existent de partout en France,
05:57
avec des moyens supplémentaires,
05:59
des agences régionales de santé,
06:00
nous allons pouvoir prendre en charge ces jeunes,
06:03
pourquoi pas les hospitaliser quand il y a besoin,
06:06
avec des parcours qui seront construits.
06:09
Mais je ne peux pas attendre...
06:10
Donc des dispositifs d'alerte ?
06:12
Je ne peux pas attendre 5 ans
06:13
qu'une infirmière en pratique avancée soit formée,
06:16
10 ans qu'un médecin soit formé.
06:17
Il faut agir maintenant.
06:19
Il y aura des mesures très fortes sur la formation,
06:21
puisque d'ici quelques semaines,
06:22
je vais supprimer le numerus clausus,
06:24
le numerus apartus,
06:25
pour former plus de médecins.
06:27
Vraiment ?
06:28
Vraiment, le 17 juin, c'est prévu.
06:30
C'est inscrit à l'ordre du jour du Sénat.
06:32
C'est une proposition de loi
06:33
que j'avais portée en décembre 2023.
06:35
Parce que là, à ce jour,
06:36
il faut combien de psychiatres ?
06:38
Parce que, que tout le monde comprenne,
06:40
il y a un vrai problème d'attractivité.
06:42
C'est-à-dire que chaque année,
06:43
il y a des postes qui sont proposés à l'internat.
06:45
Et les étudiants en médecine
06:47
ne veulent pas faire de psychiatrie.
06:48
Par 500 internes de psychiatrie par an,
06:51
l'objectif, c'est de passer à 600
06:52
et de pouvoir aller bien plus loin.
06:54
Donc, il faut aussi que les 15 000 psychiatres
06:57
puissent s'investir, s'ils le souhaitent,
06:59
dans la formation.
07:00
Donc, il y a des valences universitaires
07:01
qui leur seront proposées.
07:03
On fera en sorte que chaque étudiant en médecine
07:05
et en paramédical puisse effectuer un stage
07:08
durant son parcours de formation en psychiatrie.
07:10
Donc, le numéro de clausus,
07:11
vous allez le doubler ?
07:12
On va le supprimer.
07:12
Et on fera en fonction des besoins du territoire.
07:14
Oui, c'est mon projet de loi.
07:16
Et on pourra aussi rapatrier
07:17
tous les étudiants français
07:18
qui sont partis en Roumanie, en Belgique,
07:20
étudier pour qu'ils reviennent en France.
07:21
Il y a trop de besoins en France.
07:22
Et ça, c'est spécifique à la psychiatrie ?
07:24
C'est spécifique à tout le monde.
07:26
Le numerus clausus,
07:28
si on le supprime,
07:29
c'est de pouvoir former plus de médecins.
07:31
Et après, parmi ce volume de médecins formés,
07:33
l'idée, c'est de construire l'attractivité
07:36
de la filière psychiatrie.
07:37
Je travaille notamment avec les jeunes psychiatres
07:40
pour faire en sorte de pouvoir avoir davantage
07:42
d'étudiants en psychiatrie.
07:44
60% des internes pensent que la psychiatrie
07:48
est une sous-spécialité
07:49
et 30% en ont peur.
07:51
Je pense que nous avons des mesures à travailler
07:53
sur l'attractivité de la filière,
07:55
les conditions d'exercice en psychiatrie.
07:57
Il faut que la psychiatrie ne soit pas...
08:00
Si, elles sont dans le plan.
08:01
La psychiatrie ne doit plus être
08:02
le parent pauvre de l'hôpital.
08:04
Donc, il y a des sujets importants à traiter.
08:06
Après, il y a un autre sujet
08:07
que vous n'avez pas évoqué,
08:09
qui est au-delà de la disparité territoriale.
08:12
C'est les réseaux sociaux.
08:13
Tout n'est pas la cause des réseaux sociaux.
08:14
Mais moi, je soutiens cette mesure
08:16
de supprimer l'accès aux réseaux sociaux
08:18
pour les moins de 15 ans.
08:20
On l'a vu pour la pornographie.
08:22
C'est inadmissible.
08:23
Et tant mieux si les plateformes ferment.
08:24
Ça ne dépend pas de votre ministère.
08:25
Ça ne dépend pas de mon ministère,
08:26
mais c'est transversal.
08:27
Et je soutiens l'action de la ministre
08:28
au numérique, Clara Chapaz.
08:30
C'est les addictions qui sont encouragées.
08:32
C'est des tutos pour se suicider.
08:36
C'est ça qui est proposé à nos étudiants
08:38
et à nos jeunes.
08:39
Donc moi, je ne souhaite...
08:40
Non, mais je ne souhaite...
08:41
Non, mais je ne peux pas vous laisser dire ça.
08:45
Mon ministère, c'est de prendre la santé,
08:47
le soin de la santé de nos jeunes.
08:49
Et un des principaux facteurs
08:50
qui nuit à la santé de nos jeunes,
08:52
je vous ai évoqué les tutos
08:53
pour apprendre à se suicider.
08:54
Je vous ai évoqué les tutos
08:56
qui font la promotion
08:57
de la maigreur extrême.
08:58
Je pense qu'on doit protéger notre jeunesse.
09:00
Sur les pénuries de médicaments,
09:02
il y a des familles qui alertent,
09:03
il y a des vies qui sont brisées,
09:05
il y a des professionnels
09:06
qui vous interpellent
09:07
en signant une tribune dans le monde,
09:09
par exemple.
09:10
Il y a depuis plusieurs mois,
09:11
cinq mois maintenant,
09:12
des pénuries de psychotropes
09:14
qui sont extrêmement graves.
09:16
Est-ce que ça...
09:17
Ça fait partie du plan.
09:18
Donc si vous avez lu le plan
09:19
et ses 26 mesures,
09:20
vous avez trouvé la mesure
09:21
effectivement en lien avec la NSM
09:23
sur une mission particulière
09:25
sur la pénurie de médicaments
09:27
qui est d'une façon générale
09:28
très grave,
09:29
qui dépend des conditions
09:30
de souveraineté sanitaire de la France
09:32
puisqu'il faut pouvoir être autonome
09:34
dans la production de médicaments.
09:35
Et il y a un certain nombre de mesures
09:37
avec les dispensations à l'unité,
09:39
avec les grossistes répartisseurs
09:41
qui ne doivent plus vendre à l'étranger
09:43
et de pouvoir avoir aussi
09:44
une substitution de traitement.
09:46
Merci monsieur le ministre.
09:48
Et merci Sonia De Villers.
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