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Le spécialiste des relations internationales, Patrick Martin-Genier sur le relativisme permanent d’Emmanuel Macron : «Emmanuel Macron ce qu’il aime, c’est séduire ou transgresser».

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Transcription
00:00Oui, bien sûr. Rappelez-vous les campagnes électorales qu'il faisait pendant la campagne présidentielle, notamment en Marseille, il avait cette fougue.
00:06Et là, personne ne nie le fait que la défense des océans, la propreté des océans, c'est important.
00:11Mais en fait, il est dans son personnage, le président de la République, condamné à prendre de la distance par rapport aux faits quotidiens qui intéressent aujourd'hui les Français.
00:20Le rôle du président de la République sur la scène internationale est fondamental et c'est cela qui lui importe.
00:25Et c'est vrai que peut-être essaye-t-il de se concilier les grâces des écologistes parce que c'est une lutte prioritaire et vous remarquerez qu'il a parlé du Groenland.
00:34Alors, que vient faire le Groenland dedans, Patrick ?
00:36Eh bien, parce qu'il y va le 15 juin. Il va y aller pour contrer Donald Trump. Il va se rendre au sommet de l'OTAN au Canada.
00:44Il va faire une halte au Groenland à l'invitation de la première ministre danoise, Mette Frédéricsen, et du premier ministre groenlandais.
00:50Et il va dire non, le Groenland n'est pas à vendre.
00:53Donc, il va y aller, effectivement, pour lui. Il veut se mettre comme atteinteur.
00:57Mais là-dessus, il a raison.
00:58Il a tout à fait raison.
01:00Il a l'énervement simulé et un peu grotesque.
01:03C'est la première fois qu'on voit Emmanuel Macron.
01:05Comme le chef de la politique étrangère en France.
01:08Non.
01:08Non.
01:08Sous-titrage FR ?

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