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Zoï, un modèle unique de médecine préventive
Europe 1
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20/05/2025
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00:01
Europe 1, l'invité de la France Bouge.
00:03
Alors il y a un rituel Ismaël Emélien, c'est qu'avant d'échanger, il y a le rituel du pitch de la France Bouge,
00:09
c'est-à-dire pendant une minute, vous allez pitcher ZOITREMA.
00:14
C'est quoi ? C'est à vous, vous avez une minute.
00:17
On vous fournit le mode d'emploi de votre corps.
00:20
Donc le concept c'est qu'on réalise un check-up qui nous permet de récolter des données,
00:23
on analyse ces données, on les traduit en diagnostics et en recommandations
00:27
qui sont activables et granularisées pour que vous puissiez changer ce qui doit être dans votre mode de vie,
00:33
adopter les comportements les plus bénéfiques pour réduire les risques auxquels vous pourriez être exposé
00:37
et améliorer à la fois votre qualité de vie et votre espérance de vie en bonne santé.
00:41
Le constat c'est que chacun subit un peu son mode de vie parce qu'on ne sait pas à quoi on est personnellement exposé.
00:45
Donc on va investiguer pour être capable de personnaliser l'approche de la manière la plus granulaire et la plus précise possible.
00:51
Moins d'une minute, on a tous très bien compris.
00:54
Si je résume Ismaël Emélien, merci de vous être prêt à cet exercice du pitch.
00:56
C'est un check-up personnalisé, ultra personnalisé parce qu'en fait le check-up c'est toujours personnalisé.
01:02
C'est même en réalité un check-up qui n'est pas suivi de changements comportementaux, pour nous c'est un échec.
01:07
Donc le check-up c'est l'entrée dans le processus, mais on accorde une importance encore plus importante,
01:12
encore plus forte à ce qui se passe après le check-up, c'est-à-dire à la mise en oeuvre des recommandations
01:16
exactement qu'on est amené à formuler.
01:18
Mais qu'est-ce qui vous différencie des check-ups qui existent partout ?
01:22
Vous avez un moyen de vérifier s'ils vont appliquer vos recommandations ?
01:27
Oui, on a un moyen.
01:28
La plupart des membres qui ont rejoint Azoï reviennent au bout d'un an.
01:32
Donc on commence à avoir, c'est un tout petit peu trop tôt pour tirer des conclusions statistiquement solides.
01:37
Parce que la start-up existe depuis 2021.
01:39
Oui, mais le centre a ouvert, les premiers check-ups ont été faits à la fin de l'année 2023.
01:43
D'accord, donc c'est très récent.
01:44
C'est un an et demi qu'on est en opération.
01:46
La manière qu'on a aujourd'hui de mesurer c'est le déclaratif,
01:49
et on a les deux tiers de nos membres qui déclarent que leur qualité de vie s'est améliorée dans les quelques mois qu'on suit le check-up.
01:55
On a une maman comme ça qui est revenue pour la deuxième fois il y a quelques semaines,
01:59
et qui avant même de commencer la conversation avec son médecin lui a dit,
02:02
vous savez quand je dis à mon fils de 6 ans ce matin que je revenais chez Azoï,
02:05
et elle a dit, il m'a répondu, mais maman tu te rappelles quand tu étais vieille ?
02:08
C'est vrai, vous avez dit ça.
02:10
En tout cas, vous vous aidez à rajeunir, ça nous intéresse tout ça.
02:14
Quand on est soumis à un mode de vie compliqué,
02:18
quand on est soumis à un mode de vie compliqué,
02:19
qu'on soit entrepreneur, qu'on soit cadre dirigeant,
02:22
qu'on soit une maman qui travaille.
02:25
Parfois c'est les trois.
02:26
Parfois c'est les trois, exactement.
02:27
On a besoin d'optimiser tout ce qu'il peut l'être,
02:29
et les sportifs, on en a entendu un, sont suivis de manière ad hoc,
02:32
ce n'est pas le cas du commande des mortels, entre guillemets.
02:36
On essaie d'apporter ce service pour s'assurer que votre mode de vie,
02:38
la manière dont vous mangez, ce que vous mangez,
02:40
l'heure à laquelle vous mangez, le sport que vous pratiquez...
02:41
Mais on sait qu'on mange mal, à moins d'avoir une rigueur géniale,
02:44
on ne se mange pas toujours très bien, non ?
02:46
Louise, vous êtes très légumes, fruits...
02:48
Bien sûr, sans que très légumes par jour.
02:49
Bravo, moi ce n'est pas mon cas.
02:51
On sait quand on est...
02:53
Ce qu'on sait, c'est des approches très génériques.
02:55
Donc on essaie tous, à tâtons, d'essayer d'adopter,
02:58
on sait très bien qu'il faut bien dormir, faire du sport,
03:00
pas manger gras, pas manger sucré, pas manger salé, pas fumer, pas boire...
03:03
Voilà, on connaît les grands commandements.
03:05
Donc comment vous vous différenciez ?
03:07
Dans la capacité à personnaliser de manière vraiment très granulaire
03:10
la recommandation qui en sort.
03:11
Ça veut dire quoi, granulaire ?
03:12
Ça veut dire, par exemple, je vous donne un exemple concernant,
03:14
on va doser les neurotransmetteurs.
03:16
Donc on va doser les hormones qui servent à faire fonctionner
03:19
vraiment votre organisme tout au long de la journée.
03:21
Le niveau de dopamine, qui est l'hormone qui commande à votre corps
03:23
de se réveiller le matin, ce qu'on appelle l'énergie,
03:26
dans le langage de tous les jours.
03:28
À ce niveau de dopamine, on l'utilise tout au long de la journée,
03:29
et on l'épuise.
03:30
C'est normal, et après on va se coucher.
03:32
Mais en fonction du niveau avec lequel vous vous réveillez
03:34
et de la vitesse à laquelle vous l'épuisez,
03:35
c'est ça qui explique que vous avez toujours un coup de barre à telle heure
03:37
que la pratique sportive que vous avez prévue...
03:39
Et comment vous arrivez à le mesurer, Ismaël ?
03:40
Ça, c'est la partie de check-up.
03:42
Non, mais comment ? Avec une prise de sang ?
03:43
Non, on vous demande de recueillir votre salive et vos urines
03:46
pendant 24 heures avant le check-up.
03:47
Donc vous recevez chez vous un kit d'autoprélèvement
03:50
avec un protocole très simple.
03:51
Tout est opéré par le téléphone,
03:54
donc les reminders arrivent au bon moment.
03:56
Donc le protocole est très simple à mettre en oeuvre,
03:58
très accompagné.
03:58
Et vous arrivez le lendemain du check-up avec ces prélèvements
04:00
qu'ensuite on intègre dans les prélèvements
04:02
qui sont analysés à l'issue du check-up.
04:03
Pour les résultats.
04:04
On est dans cette France Bouche ce soir dédiée à la Deep Tech
04:07
et plus précisément au MedTech.
04:10
Vous, vous utilisez quoi Ismaël Emélien
04:12
pour arriver à ces check-up aboutis de santé,
04:15
très précis, très personnalisés ?
04:18
Vous utilisez quoi comme technologie ?
04:19
Alors on a tout créé en interne.
04:21
Vous avez tout créé ?
04:21
Oui, la clé pour nous c'est la donnée,
04:23
donc la manière dont elle est récoltée,
04:25
dont elle est identifiée,
04:26
on sait quelles données elle est chargée,
04:27
de quelle manière,
04:28
la manière dont elle est stockée,
04:29
protégée,
04:29
dont elle est anonymisée,
04:31
dont elle est analysée,
04:32
dont elle est restituée.
04:32
Donc vraiment chaque étape implique des solutions ad hoc
04:35
et on a travaillé pour s'assurer que tout était fait
04:38
de manière à déboucher sur la promesse que j'évoquais,
04:41
c'est-à-dire des recommandations
04:42
que vous aurez comprises
04:43
et que vous aurez envie de mettre en oeuvre.
04:45
On a d'ores et déjà aujourd'hui
04:46
la plus belle cohorte de patients asymptomatiques au monde
04:49
en matière de données de santé.
04:50
Ça veut dire quoi ?
04:51
Ah oui, il y a des arts qui vont bien ?
04:52
Les arts qui vont bien,
04:53
ce qui est un peu en matière de prévention,
04:55
ce qui est un des graals de la médecine,
04:56
parce que pour des raisons assez évidentes,
04:59
il y a un biais de sélection
05:00
dans beaucoup d'études cliniques
05:01
et qu'on va s'adresser à des patients
05:02
qui ont déjà démarré une pathologie.
05:04
Donc vous c'est en amont ?
05:05
Nous c'est en amont.
05:05
C'est en amont.
05:06
Donc une application personnalisée
05:08
pendant un an, vous voyez ?
05:10
Donc on va remplir des données au fur et à mesure ?
05:12
Alors d'abord, si vous l'acceptez,
05:14
on est synchronisé avec votre téléphone,
05:15
donc tout ce que votre téléphone récolte,
05:17
on le récolte et on le corrèle,
05:19
on le lit aux données de santé
05:20
qu'on a récoltées lors du check-up.
05:21
On peut être amené à vous poser des questions.
05:23
Il y a des médecins chez vous ?
05:24
Bien sûr.
05:24
C'est que des personnes médicaux.
05:25
Donc des radiologues, des gynécologues,
05:27
des gastros ?
05:29
Vous êtes combien dans l'entreprise ?
05:31
On est 145.
05:32
Avec des médecins à temps plein chez vous ?
05:33
Alors c'est des médecins qui pratiquent la médecine
05:35
dans un cadre libéral, exactement.
05:36
D'accord.
05:37
Mais le check-up est opéré à 100%
05:39
par des personnels médicaux qualifiés.
05:41
Il paraît que l'endroit est extraordinaire.
05:43
On se sent dans un spa,
05:45
on se sent partout,
05:46
sauf dans un univers médical
05:48
qui peut parfois nous oppresser,
05:50
nous angoisser au moment d'un check-up
05:51
et donc de l'attente des résultats.
05:52
C'était un des paris pour nous
05:54
que d'arriver à créer les conditions
05:56
dans lesquelles on envisage sa santé
05:57
de manière différente.
05:58
En matière de prévention,
05:59
la solution ce n'est pas le docteur,
06:00
c'est vous.
06:01
Si vous ne changez pas ce qu'il doit être,
06:02
il n'y aura aucun effet
06:03
sur votre qualité de vie
06:04
et sur la réduction des risques
06:05
auxquels vous êtes associés.
06:06
On a essayé de recréer un parcours,
06:08
de le réinventer
06:08
et de s'assurer par exemple
06:10
qu'il n'y a pas de temps d'attente.
06:11
Donc le temps que vous passez chez nous,
06:12
c'est un temps qui est à 100% médicalement utile.
06:14
Donc on a inversé complètement le parcours,
06:16
vous êtes installé dans une suite,
06:18
on a une vingtaine,
06:19
ça s'appelle comme ça,
06:20
il y en a une vingtaine
06:20
et il y a 17 des 20 examens
06:22
qu'on réalise
06:23
qui sont pratiqués dans la suite.
06:24
C'est-à-dire que le matériel
06:24
et les professionnels viennent à vous.
06:26
Donc vous ne croisez pas
06:26
des personnes que vous connaissez,
06:28
vous n'attendez pas
06:29
entre deux étages
06:30
ou deux examens
06:32
ou deux consultations.
06:33
Donc ça participe
06:34
d'un rapport différent à sa santé
06:35
et ça oriente différemment
06:37
les décisions qu'on est amené
06:38
à prendre ensuite
06:39
et ça accroît la volonté
06:41
de mettre en oeuvre
06:41
les changements qui sont nécessaires.
06:43
Donc vous,
06:44
quand vous avez voulu lancer ça,
06:46
je reviens un peu à l'origine,
06:47
Ismaël Emélien,
06:48
vous, pour ceux qui ne vous connaissent pas,
06:50
vous avez été quand même
06:51
le conseiller spécial
06:52
du président de la République,
06:53
d'Emmanuel Macron,
06:54
jusqu'en 2019.
06:56
Et qu'est-ce qui a fait
06:57
que vous avez basculé
06:58
vers l'entrepreneuriat
06:59
et vers le médical ?
07:00
Qu'est-ce qui vous est arrivé ?
07:02
J'ai rencontré un médecin exceptionnel
07:04
qui s'appelle le docteur Dall
07:04
qui nous a quittés,
07:06
qui est décédé il y a
07:06
quelques semaines
07:07
et qui avait inventé
07:10
dans sa pratique médicale individuelle
07:12
une approche préventive
07:13
qui dépasse le dépistage.
07:15
Et ça, c'est important aussi.
07:15
Ce qu'on a entendu
07:16
au départ de l'émission,
07:17
c'est des check-ups
07:18
très tournés vers le dépistage.
07:19
Ils sont formidablement utiles,
07:21
c'est un milliard de fois
07:21
mieux que rien.
07:22
Mais ce n'est pas suffisant pour vous ?
07:23
Ce n'est pas suffisant.
07:25
Comme on l'indique,
07:26
le dépistage,
07:26
c'est la vocation
07:27
à identifier une pathologie
07:28
après qu'elle ait démarrée
07:29
le plus tôt possible
07:30
parce que plus on intervient tôt,
07:31
plus on est capable
07:32
de la régler.
07:33
Il se trouve qu'il y a
07:36
comportement.
07:37
On parle de la moitié
07:38
des pathologies chroniques.
07:39
Par le comportement.
07:39
Un certain nombre de cancers.
07:41
La quasi-totalité
07:42
des maladies cardiovasculaires
07:42
sont évitables
07:43
par le comportement.
07:44
Comportement de sommeil,
07:45
comportement alimentaire,
07:46
comportement de sport,
07:47
exposition à la pollution.
07:49
Et c'est tout ça
07:49
qu'on vient mesurer.
07:51
Chez eux.
07:52
Voilà, traduit en recommandation.
07:53
Donc vous, vous avez cette rencontre,
07:54
vous quittez notre président
07:55
pour aller faire ça.
07:56
Je l'avais quitté avant.
07:57
Vous l'avez quitté.
07:58
Vous êtes heureux
07:58
de votre nouvelle vie ?
07:59
Je n'ai jamais été aussi heureux,
08:00
professionnellement.
08:01
Ça marche bien en plus ?
08:02
On a le sentiment
08:03
de contribuer à inventer
08:05
quelque chose,
08:05
de changer quelque chose
08:06
pour nos membres.
08:07
On travaille avec des gens
08:08
formidables
08:08
qui viennent inventer.
08:10
C'est un territoire,
08:11
mes collègues le diront
08:13
aussi bien si c'est mieux que moi,
08:15
mais c'est un territoire
08:15
très nouveau.
08:17
Et la technologie
08:17
permet enfin
08:18
de franchir des barrières
08:19
qui apparaissaient
08:20
comme étant impénétrables
08:21
pendant longtemps.
08:22
Vous parlez de membres
08:23
et pas de patients,
08:25
Ismaël Eméliens.
08:26
Vous avez raison
08:26
parce que c'est un check-up
08:27
qui est très cher.
08:29
Onéreux.
08:29
Non mais onéreux,
08:30
oui, c'est vrai.
08:30
Rappelez les prix.
08:32
3 600 euros
08:33
TTC
08:34
pour une année
08:35
d'accompagnement
08:36
et le check-up évidemment.
08:37
Et le check-up,
08:38
c'est cher non ?
08:40
C'est onéreux,
08:41
c'est-à-dire que ça reste
08:41
une dépense conséquente
08:42
qui n'est pas à la portée
08:43
de tout le monde
08:44
où on s'en faut.
08:45
C'est pas cher
08:47
au regard de ce qu'on en obtient.
08:48
De ce que vous proposez.
08:49
C'est pour ça que je fais la différence.
08:49
Oui, je comprends.
08:50
Et si vous aviez envie
08:52
de faire le même check-up
08:53
sur le plan médical,
08:53
c'est-à-dire juste la réunion
08:54
des analyses biologiques,
08:55
des consultations,
08:56
de l'imagerie,
09:01
ça vous traite
09:01
deux fois et demi plus cher.
09:03
Donc la simple valeur
09:04
des acteurs médicaux
09:04
est largement supérieure.
09:06
C'est pas si élevé que ça.
09:08
Parce que notre objectif,
09:09
c'est de démocratiser.
09:10
Alors voilà,
09:10
l'objectif,
09:11
vous êtes à Paris,
09:12
l'idée c'est de faire
09:13
plein de zoïs partout ?
09:14
Oui,
09:14
c'est de faire des centres
09:15
comme celui qu'on a ouvert
09:16
dans toutes les grandes villes du monde.
09:18
Et de se servir
09:20
de cette approche
09:20
plus haut de gamme
09:22
pour financer
09:22
la démocratisation du service.
09:24
Et offrir le même service médical,
09:25
le même service technologique
09:26
à un prix
09:27
très significativement inférieur.
09:28
Vos clients
09:29
ce sont donc les entreprises,
09:30
j'imagine.
09:30
Il y a des particuliers
09:31
qui mettent...
09:33
Un bon tiers de nos clients
09:34
c'est des particuliers.
09:36
Pourquoi zoïs ?
09:38
C'est vers la vie en grec.
09:40
On a une approche
09:41
à la fois qui est
09:42
philosophiquement tournée
09:42
vers la vie.
09:43
Donc à la différence
09:43
des Américains
09:44
qui cherchent à étendre
09:45
l'espérance de vie.
09:46
Nous ce qui nous intéresse
09:46
c'est l'espérance de vie
09:47
en bonne santé.
09:48
Vous n'allez pas vivre
09:48
150 ans en venant chez les zoïs
09:50
mais on va essayer
09:51
de mettre en oeuvre
09:51
toutes les solutions
09:53
pour que jusqu'au dernier jour
09:54
vous puissiez aussi profiter
09:55
de vos capacités motrices,
09:56
cognitives,
09:57
de manière satisfaisante.
09:59
Et parce qu'on avait envie
10:00
de montrer qu'on pouvait
10:01
depuis la France
10:01
avec une équipe française
10:02
construire un acteur
10:04
qui a des ambitions
10:04
internationales.
10:05
Vous restez autour de la table
10:06
de La France Bouge
10:07
Ismaël Emélien
10:08
cofondateur et CEO de Zoïs.
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Europe 1
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Entrisme : «Il ne s'agit pas d'attaquer l'islam mais de lutter contre l'islamisme politique», selon Georges Fenech
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Le blind test d'Hélène Darroze
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Le poulpe au houmous de Fabrice Mignot
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Le domaine du Château La Coste
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7:32
«Une grande partie de nos lois migratoires ne s'appliquent pas aux Algériens, pourtant premiers bénéficiaires des titres de séjour», souligne Nicolas Pouvreau-Monti
Europe 1
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5:59
Luana Belmondo et Rome
Europe 1
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17:19
«Il y a une détestation des forces de l’ordre à LFI et dans une partie de l’ultra-gauche», insiste Marc Ferracci, ministre chargé de l'industrie et de l'énergie
Europe 1
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