Une Française et un Tunisien, «en situation irrégulière» selon la préfecture, doivent se marier samedi. Pour l’édile Marlène Mourier, il s’agit «manifestement d’un mariage de complaisance» et «insincère». Mais pour l’avocat Anthony Bem, «le maire n’a pas le droit de s’opposer au mariage, seul le procureur peut le faire».