Regardez L'œil d'Alex Vizorek du 16 mai 2025.
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AmusantTranscription
00:00RTL, l'œil d'Alex Vizorek.
00:04Bonjour Alex.
00:04Bonjour Amandine.
00:05Jean-François Copé, soutien de Bruno Retailleau dans la course à la tête des Républicains
00:09et restez pour votre chronique.
00:10Au revoir, un bon papa.
00:14Mais oui, c'est ça, vous êtes le bon copain de Bruno Retailleau,
00:19qui n'a pas pu venir, trop occupé sans doute à jouer au boomerang
00:22avec des OQTF algériens qu'il essaye d'envoyer loin au-dessus de la Méditerranée,
00:26mais qui reviennent.
00:28Ils ne sont pas cools les Algériens.
00:29On leur envoie des ressortissants, ils nous renvoient leur merde de pâte à tartiner pour obèses.
00:33C'est du foutage de gueule, ce n'est pas un bon deal, monsieur d'Auvert.
00:37Et donc, c'est le bon copain qui est là.
00:40Et évidemment, il a de la chance de vous avoir, vous, comme soutien,
00:42car vous avez une expérience unique en élection à la présidence des Républicains.
00:46Ça se confirme.
00:48Puisque vous avez connu la joie de la victoire, mais aussi la frustration de la défaite,
00:52et ça lors de la même élection, ce qui n'est pas évident.
00:56Oui, vous êtes dans l'autre sens en l'occurrence.
00:58Alors évidemment, pour l'auditeur de droite, il se dit, bon, ce n'est pas le vrai Retailleau qui parle.
01:03Il est un peu surpris, un peu déçu.
01:05Vous voyez, comme si on prend des places pour le concert de Paul Nareff,
01:07et c'est Obispo qui se pointe, quoi.
01:10Ce n'est pas mal, non, ce n'est pas mal.
01:12On peut aimer Obispo, mais si on a demandé Paul Nareff.
01:13Et voilà, pour RTL aussi, c'est un souci d'équilibre, car en fait, on le dit à l'auditeur.
01:19Hier, on recevait Laurent Wauquiez, aujourd'hui, Jean-François Copé.
01:22Et j'ai l'impression que les Républicains, c'est un peu comme les factures à Big Maillon.
01:25On voit double, à chaque fois.
01:27Oh oui, c'est une vieille rêve, c'est une vieille rêve.
01:29Ouais, mais bon, c'est mon métier.
01:31Quand à l'auditeur neutre...
01:32Non, non, je vous remercie, ça me touche beaucoup.
01:36Il y a vous et Martinez dans la boîte qui pensaient ça, ça me touche.
01:39L'auditeur neutre, il se dit, tiens, est-ce qu'on n'en fait pas un peu trop pour l'élection interne d'un chef,
01:44d'un parti qui représente 6,5% des Français ?
01:47Mais bon, en foot, on dirait, voilà, LR, c'est au milieu du tableau, quoi.
01:50Et quand Angers change d'entraîneur, ça ne fait pas la une de l'équipe.
01:54Deux jours de suite, oui.
01:55Jean-François Copé qui a affirmé récemment que le positionnement de Bruno Retailleau,
01:59c'était le seul antidote à Marine Le Pen.
02:01Oui, alors bon, je ne suis pas pro en pharmacologie,
02:04mais sauf erreur de ma part, l'antidote n'est pas censé donner exactement les mêmes effets secondaires
02:09que le poison inséminé.
02:12Parce que sinon, on peut dire, la seule antidote au cyanure, c'est l'arsenic, c'est sûr.
02:16Après, j'aime bien l'idée de comparer des politiques à des médicaments.
02:20Je suis certain que vous auriez aimé ajouter, Laurent Wauquiez, c'est l'homéopathie de la droite.
02:25Ça fait beaucoup parler, mais on n'est pas sûr que ça fonctionne.
02:29Attends, vous avez un fils de proctologue devant vous.
02:31C'est comme vous voulez, mais on peut en parler.
02:33Attendez, j'y arrive, vous avez pour intervenir.
02:36Moi, c'est des sujets sur lesquels je suis un collab.
02:38Si vous voulez qu'on parle de maladies hémoridaires, on y va.
02:41Non, j'ai mieux.
02:42Jean-Luc Mélenchon, c'est le dragé FUCA de l'électeur de gauche.
02:46Son nom sonne un peu daté et à la fin, il nous fait chier.
02:50Non, non, qui a dit ça ?
02:51Ce n'est pas moi, ce n'est pas moi, ce n'est pas moi.
02:53Oui, allez passer à la suite.
02:54Autre chose, Nicolas Sarkozy, à qui le barracelet électronique a été retiré hier, l'ancien président,
03:01a pu demander une libération conditionnelle avant la moitié de sa peine compte tenu de son âge 70 ans.
03:06Pile au beau moment, les beaux jours reviennent.
03:09Ça aurait été dommage d'avoir une marque de bronzage autour de la cheville.
03:13Coup de peau, pile 70 ans.
03:15Mais quel âge il avait, Paul Bismuth ?
03:18Est-ce qu'on a vérifié ?
03:19Est-ce que non ?
03:19Peut-être lui doit le garder.
03:21Non, mais tant mieux pour lui, évidemment.
03:23Et puis si c'est la loi, c'est comme ça.
03:25Mais c'est quand même fou.
03:26On vit dans un pays où, à 64 ans, on est encore assez jeune pour continuer à travailler comme ouvrier agricole.
03:31Mais à 70 ans, on est trop vieux pour porter un bracelet de 150 grammes à la cheville.
03:35Quelle indignité.
03:37C'est une honte.
03:38J'étais un peu démago, j'avoue.
03:40Surtout que je vois aussi le bon côté des choses.
03:42N'étant plus limité dans ses mouvements, Nicolas Sarkozy n'a désormais plus d'excuses
03:46pour ne pas venir rechercher son fils Louis,
03:48qu'il a laissé à la garderie dans les médias de son parrain, Martin Bouygues.
03:52Mais ben non, à peine libéré, Nicolas Sarkozy aurait plutôt choisi de s'envoler pour le Cap-Nègre,
03:56la résidence secondaire de son épouse, Carla Bruni.
03:58Bien sûr, il est allé au Cap-Nègre, ou comme l'appelle Bruno Retailleau, le Cap.
04:02Est-ce qu'on est certain qu'il a ses papiers ?
04:04Bon, on est en fin de semaine.
04:09Gros soulagement, oui, oui, ça se sent.
04:12Il y a encore Dupont-Moretti tout à l'heure, mais après, je débranche.
04:17Gros soulagement pour Nicolas Sarkozy de pouvoir enfin quitter ses horribles conditions de détention,
04:21passer comme ça trois mois dans un calvaire,
04:23enfermé dans une petite ville du 16e arrondissement.
04:26Il a bien mérité un petit manoir.
04:27Merci beaucoup, Alex, Jean-François Copé.
04:34Merci à vous d'être venu ce matin.
04:35Et effectivement, Alex, on vous retrouvera tout à l'heure puisqu'à 8h,
04:38et car c'est Éric Dupont-Moretti qui sera notre invité.
04:42Il est pile 8h.
04:44Merci.
04:45Merci.
04:46Merci.
04:47Merci.