Geoffroy Lejeune : «Prendre une nouvelle nationalité, ça doit ressembler à tomber amoureux.»

Geoffroy Lejeune : «Prendre une nouvelle nationalité, ça doit ressembler à tomber amoureux. Ça doit être aussi fort que ça.»

Transcript

00:00C'est plus facile d'assimiler des individus que des communautés, voire des deuxièmes nations.

00:04D'ailleurs, ça se paye très cher.

00:05Ça, c'est la première chose à laquelle on est confronté.

00:06Ensuite, deuxièmement, quel est le chemin ?

00:08Le chemin, c'est celui que donnaient Pascal et les mesures de Bruno Retailleau,

00:11en poussant tous les curseurs, chacun les plus loin possible.

00:14En fait, prendre une nouvelle nationalité, ça doit ressembler à tomber amoureux.

00:18Ça doit être aussi fort que ça.

00:20Je suis d'accord avec ça.

00:20Ça doit être se dépouiller de tout ce qu'on a été.

00:22Allons-y.

00:23Mais dans les moyens, pourquoi ?

00:24Non, mais ce n'est pas une question de moyens, là, pour le coup.

00:25Non, ce n'est pas une question de moyens, du tout.

00:27D'ailleurs, ce n'est pas une question d'argent.

00:28C'est une question, il faut exiger les dispositions mentales, psychologiques, etc.

00:33C'est super dur, c'est très violent ce qu'on leur demande en réalité.