Passer au player
Passer au contenu principal
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Favori
Partager
Plus
Ajouter à la playlist
Signaler
Interpelé par MNF,Diomaye révèle les stratégies du gvrmt sur la baisse des prix _on a parlé avec.._
Seneweb TV
Suivre
il y a 6 mois
Catégorie
📺
TV
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
C'est pour ça qu'on m'a appelé, pour qu'on me dise ce qu'il faut de la Sénégalaise.
00:08
Si c'est ce qu'on m'attend, je ne vais pas me présenter.
00:12
Du moment qu'on m'a appelé, j'ai eu confiance en moi.
00:17
C'est vrai.
00:19
La première chose, c'est par rapport aux partenaires.
00:22
Nous voulons donner du respect à la Sénégalaise.
00:26
La Sénégalaise, où elle est allée, où elle est allée, nous l'accueillons.
00:30
Parce qu'on ne peut qu'apporter du respect à la Sénégalaise.
00:35
Si nous voulons que nos partenaires nous respectent, nous devons être respectables.
00:40
Nous ne pouvons pas être respectables dans la contre-vérité.
00:44
Prenant en compte tous ces éléments-là,
00:47
qui m'ont décrit vis-à-vis de la Sénégalaise,
00:50
par rapport à ce qu'on attend, par rapport aux efforts et aux redressements qu'on doit faire,
00:53
évidemment, nous avons choisi d'entendre la Sénégalaise dire la vérité.
01:00
C'est difficile.
01:02
Mais la vérité, c'est qu'il faut d'abord voir ce qui est vrai.
01:06
Et si c'est vrai, il faut faire face à la vérité.
01:10
Comment faire face à la vérité ?
01:12
D'abord, il faut dire qu'il n'y a pas de manque d'argent.
01:19
Il n'y a pas de prix. Au contraire.
01:22
Il y en a d'autres.
01:24
Mais, Dieu merci, Alhamdoulilah.
01:27
Si on a fait tout ce qu'on pouvait pour le moment,
01:30
ce n'est pas possible à chaque fête.
01:32
C'est très difficile.
01:34
Donc, d'abord, s'il y a des points que nous avons marqués,
01:39
je pense que le gouvernement a marqué ces points,
01:43
parce qu'il n'y a pas de manque, il n'y a pas de manque d'argent.
01:46
Donc, Dieu merci.
01:48
Au début, quand j'ai fait mon discours,
01:51
j'ai demandé à d'autres d'aller au top.
01:53
C'est ce qu'on a fait.
01:56
Ils sont venus.
01:59
Le prix qu'on a vu aujourd'hui,
02:03
c'est de 100 francs.
02:05
Ce n'est pas rien, parce qu'il n'y a personne qui a acheté ce prix.
02:09
Si on avait acheté plus de 100 francs,
02:11
on l'aurait déjà acheté.
02:13
On l'aurait déjà acheté.
02:15
On a parlé du marché international, etc.
02:18
Mais non.
02:20
C'est pourquoi on a acheté,
02:22
malgré tout ce qu'on a acheté,
02:24
et personne n'a parlé du marché international.
02:26
Je rappelle, je l'ai oublié.
02:28
Quand je suis venu,
02:30
j'ai demandé au directeur du commerce intérieur
02:33
de nous expliquer la situation.
02:35
Parce que les Sénégalais sont fatigués.
02:38
Ils ont besoin d'acheter ce prix.
02:41
On leur a dit que le prix était de 450 francs.
02:47
Je leur ai demandé pourquoi.
02:49
Ils m'ont dit qu'ils n'avaient pas de TVA.
02:51
Ils n'avaient pas le droit de douane.
02:53
Je leur ai demandé ce qu'ils pouvaient acheter.
02:55
Ils m'ont dit qu'il n'y avait rien.
02:57
Ils n'avaient pas le TVA qu'ils voulaient acheter.
02:59
Ils n'avaient pas le droit de douane qu'ils voulaient acheter.
03:02
On leur a dit qu'ils devaient acheter à la Colihal.
03:05
On leur a donné une stratégie
03:08
pour répondre à la question de la réduction des prix.
03:11
On leur a demandé pourquoi le prix était élevé.
03:14
On leur a dit qu'ils allaient acheter.
03:17
Ils n'avaient pas de maîtrise du prix.
03:19
Ils étaient dans le cours de transport.
03:22
Ils ont parlé avec les opérateurs.
03:24
Ils ont dit qu'ils allaient importer.
03:26
Je leur ai dit que le ministre allait aller à Indre.
03:30
Avec sa équipe.
03:31
On a regardé comment on pouvait gagner
03:34
les frais de transport.
03:36
Le prix qu'on leur a livré
03:38
sur le prix du port.
03:40
C'est ce qu'on a acheté.
03:44
Quand on l'a acheté,
03:46
d'abord il y avait 500 000 tonnes de riz.
03:49
On ne pouvait pas l'acheter.
03:51
Je leur ai demandé pourquoi on l'a acheté.
03:53
Ils m'ont dit qu'il y avait des problèmes de transport.
03:56
C'est pour ça qu'on est allé à Indre
03:58
pour parler directement avec eux.
04:01
Pour voir ce qu'on pouvait acheter.
04:03
Ce qui nous permettait d'acheter.
04:05
Non seulement on a parlé avec eux.
04:08
On a supprimé deux intermédiaires
04:10
pour acheter.
04:12
Mais on a un quota double.
04:14
On a acheté 500 000 et on a un quota d'un million.
04:18
Quand on s'est rendu compte qu'on allait acheter,
04:21
on s'est rendu compte qu'on allait acheter.
04:23
C'est pour ça qu'on a discuté.
04:24
C'est pour ça qu'on a discuté.
04:26
Qu'est-ce qu'il y avait dans le marché,
04:29
on a dit qu'on allait acheter.
04:31
C'est pour ça qu'on a annoncé en décembre.
04:34
J'ai demandé au ministre
04:36
est-ce qu'on était sûrs que sur le marché aujourd'hui,
04:39
qu'on allait acheter à un prix plus bas que celui qu'on avait acheté,
04:43
qu'on allait acheter dans le marché,
04:45
il m'a répondu oui.
04:47
Et dans notre perspective,
04:49
il y a peut-être quatre quotas,
04:51
mais il y a peut-être d'autres sur le marché international.
04:52
Je lui ai dit qu'on attendait,
04:54
qu'on ait le droit de le maîtriser.
04:56
C'est ce que vous avez vu.
04:59
Les stratégies, c'est de dérouler
05:02
dans les autres secteurs d'activité.
05:06
Par exemple, le BTP.
05:08
Le BTP a des problèmes,
05:11
comme les autres secteurs,
05:13
parce que le Sénégal a des problèmes dans ce contexte.
05:16
Il y a beaucoup de dette intérieure.
05:19
Le secteur, il y a des problèmes.
05:20
Il y a des problèmes,
05:22
parce qu'on peut éponger toute la dette extérieure
05:26
pour avoir une relance économique.
05:28
Il y a des injections financières.
05:30
Mais ce qu'on injecte,
05:32
en fait, les banquiers l'aspirent
05:35
parce que c'est un endettement du secteur privé.
05:39
Qu'est-ce qu'il nous faut faire aujourd'hui ?
05:41
Il faut discuter
05:43
avec ceux que vous connaissez,
05:45
des différents secteurs.
05:46
Je vais vous parler maintenant
05:49
de ce qui s'est passé dans le bureau.
05:52
Mais en attendant,
05:54
par rapport à ce qui est disponible,
05:57
on va faire des injections.
06:00
Parce qu'en arrivant,
06:02
d'abord, dans le secteur agriculture,
06:04
les opérateurs,
06:06
on voit qu'il y en a pour 2020,
06:08
pour 2021,
06:10
pour 2022 et pour 2023.
06:13
Ils ont tout payé.
06:14
Ils ont tout payé.
06:16
Ils ont fait de l'argent cher.
06:18
Ils l'ont payé de 22%.
06:20
Après, il y a eu une double quantité.
06:25
Donc, si on regarde les différents secteurs,
06:27
des efforts ont été faits.
06:29
Comme je vous l'ai dit,
06:31
dans la campagne de 2024,
06:33
il n'y en a qu'un.
06:35
Il y a environ 3 milliards d'euros
06:37
qu'on doit payer.
06:39
Donc,
06:41
dans le secteur opérateur,
06:42
dans un secteur comme le BTP,
06:44
on a fait de l'effort.
06:46
C'est insuffisant, certainement.
06:48
Parce que ce qu'on a, le BTP,
06:50
ça fait beaucoup.
06:52
Avant de pouvoir répondre maintenant
06:54
à tout ça,
06:56
une relance de l'activité efficace,
06:58
il faut que l'on regarde
07:00
comment dégager des couloirs budgétaires.
07:02
Parce que si on ne le fait pas,
07:04
ce qu'on peut faire
07:06
sur l'impôt sur le plan intérieur,
07:08
c'est ce qu'on a le plus besoin aujourd'hui.
07:10
Parce que le marché international
07:12
au regard de l'annotation
07:14
de la situation budgétaire du Sénégal,
07:16
ce qu'on doit faire,
07:18
c'est que
07:20
l'intérêt du service de la dette
07:22
doit être aspiré.
07:24
Parce qu'il est énorme,
07:26
18 500 milliards, en réalité,
07:28
il n'y en a pas.
07:30
Et surtout, le service de la dette,
07:32
il faut que l'on le diffère
07:34
pour qu'il sorte du mandat précédent
07:36
et qu'il tombe sur notre mandat.
07:38
C'est pourquoi quand on regarde,
07:40
on sait que ce n'est pas soutenable.
07:42
C'est pourquoi,
07:44
le ministère de l'Economie et des Finances
07:46
et le ministère de l'Economie,
07:48
des Plans et de la Coopération,
07:50
et notamment le ministère des Finances et des Budgets,
07:54
ont travaillé sur le service actif
07:57
de la gestion active de la dette.
08:00
La gestion active de la dette,
08:02
c'est ce qui nous permet
08:04
de faire des reports et des échéances
08:06
pour, si on fait une mobilisation
08:08
à l'intérieur,
08:10
répondre aux besoins d'investissement
08:12
et de relancer l'activité.
08:14
Alhamdoulilah rabbil alamin,
08:16
le service des autorités
08:18
est bien apprécié des partenaires.
08:20
Et on a des offres,
08:22
mais on les étudie aussi
08:24
pour ne pas commettre les mêmes erreurs
08:26
que nos prédécesseurs.
08:28
L'urgence politicienne
08:30
ou l'urgence de la pression sociale,
08:32
c'est vrai qu'elle est là.
08:34
C'est pourquoi on fait des choix
08:36
qui ne sont pas économiques, lucides.
08:38
On ne peut même pas se les permettre.
08:40
C'est pourquoi,
08:42
on a pris une décision
08:44
de ne pas faire la pression sociale.
08:46
On a pris une décision
08:48
de ne pas faire la pression sociale.
08:50
C'est pourquoi on ne peut pas
08:52
faire la pression sociale.
08:54
Maintenant,
08:56
le mécanisme est sauté.
08:58
On va le restaurer
09:00
quand il sera révélé.
09:02
Mais mieux,
09:04
on va faire
09:06
pour qu'on puisse
09:08
faire des choix
09:10
et qu'on puisse
09:12
faire des choix
09:14
et qu'on puisse
09:16
faire des choix
09:18
pour l'avenir.
09:20
C'est pourquoi,
09:22
on a pris une décision
09:24
de ne pas faire la pression sociale.
09:26
Mais il faut que
09:28
l'on puisse faire
09:30
les choix
09:32
pour que
09:34
l'avenir
09:36
soit bien.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire
Recommandations
1:21
|
À suivre
Région-Dimbokro / Le médiateur délégué sensibilise les populations de Bongouanou à des élections apaisées
Agence Ivoirienne de Presse
il y a 1 jour
6:52
ONU : Le président colombien, Gustavo Petro appelle à l’unification des armées pour « libérer la Palestine »
Média Archives
il y a 3 jours
11:35
Trafic de Drogue : Le Président Colombien mouille Trump
Média Archives
il y a 3 jours
2:27
Région- Man / La société SMS équipe l’école primaire de Floleu d’ouvrages sociaux de base
Agence Ivoirienne de Presse
il y a 2 jours
1:46
Région- Man / Le sous-préfet de Koua multiplie les efforts pour éviter les troubles électoraux
Agence Ivoirienne de Presse
il y a 2 jours
12:28
BASSIROU DIOMAYE FAYE À L’ONU : «Nous ne pouvons ni nous taire ni détourner notre regard car Gaza ne vit plus»
Média Archives
il y a 4 jours
2:30
Retour en images sur les visites de courtoisie du Chef de l'État auprès des khalifes généraux de Médina Baye, Léona Niassène et Léona Kanéne.
Idoles TV
il y a 1 an
3:34
Débordement du bassin de Keur Kab à Touba : D'importants dégâts dans les champs
Seneweb TV
il y a 2 semaines
29:54
Inondations à Dakar : La descente du Pr. Diomaye dans les zones sinistrées de Thiaroye
Seneweb TV
il y a 6 semaines
1:06
les vacances de Diomaye Faye
Seneweb TV
il y a 6 semaines
8:15
Revue de Presse du 6 Aout 2025 avec Mantoulaye Thioub Ndoye
Seneweb TV
il y a 2 mois
9:05
Revue de Presse du 6 Aout 2025 avec Fabrice Nguema
Seneweb TV
il y a 2 mois
4:57
Revue de Presse du 6 Aout 2025 avec Mouhamed Alimou Ba
Seneweb TV
il y a 2 mois
2:30
Revue de Presse du 6 Aout 2025 avec Mouhamed Ndiaye
Seneweb TV
il y a 2 mois
2:54
Revue de Presse du 5 Aout 2025 avec Mouhamed Ndiaye
Seneweb TV
il y a 2 mois
10:53
Revue de Presse du 5 Aout 2025 avec Fabrice Nguema
Seneweb TV
il y a 2 mois
4:02
Revue de Presse du 5 Aout 2025 avec Mouhamed Alimou Ba
Seneweb TV
il y a 2 mois
8:32
Revue de Presse du 4 Aout 2025 avec Mantoulaye Thioub Ndoye
Seneweb TV
il y a 2 mois
4:36
Revue de Presse du 4 Aout 2025 avec Mouhamed Alimou Ba
Seneweb TV
il y a 2 mois
8:54
Revue de Presse du 4 Aout 2025 avec Fabrice Nguema
Seneweb TV
il y a 2 mois
2:41
Revue de Presse du 4 Aout 2025 avec Mouhamed Ndiaye
Seneweb TV
il y a 2 mois
8:19
Revue de Presse du 1er Aout 2025 avec Mantoulaye Thioub Ndoye
Seneweb TV
il y a 2 mois
2:59
Revue de Presse du 1er Aout 2025 avec Mouhamed Ndiaye
Seneweb TV
il y a 2 mois
9:22
Revue de Presse du 1er Aout 2025 avec Fabrice Nguema
Seneweb TV
il y a 2 mois
6:15
Revue de Presse du 1er Aout 2025 avec Mouhamed Alimou Ba
Seneweb TV
il y a 2 mois
Écris le tout premier commentaire