Richard Ferrand, candidat d’Emmanuel Macron au poste de président du Conseil constitutionnel pour les neuf années à venir, a été validé par le Parlement à une voix près grâce à l’abstention des 11 députés du Rassemblement national. Mais que cache véritablement cette décision des élus de Marine Le Pen de permettre la nomination à la tête du Conseil constitutionnel d’un intime d’Emmanuel Macron parmi ses tout premiers soutiens ?
Écris le tout premier commentaire