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«La loi du service citoyen a été mise à pied, il faut la remettre en service», propose Éric Ciotti
Europe 1
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26/01/2025
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News
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00:00
Europe 1 Soir Week-end, 19h21, Pascal Delatorre Dupin.
00:04
Bonsoir Éric Ciotti, merci d'être avec moi dans ce studio,
00:08
président fondateur de l'Union des droites pour la République et député des Alpes-Maritimes.
00:11
Évidemment, on va revenir sur votre proposition pour améliorer les finances de la France,
00:16
un traitement choc que vous proposez.
00:17
Mais d'abord, je voudrais vous faire évidemment, Éric Ciotti, réagir à l'actualité.
00:21
On a appris il y a quelques instants dans l'affaire du drame d'Elias,
00:25
qui prend un coup de couteau, qui décède parce qu'il n'a pas voulu donner son portable.
00:28
Il a 14 ans, qu'un des deux mineurs, parce que ce sont des mineurs qui l'ont agressé,
00:32
bien connu des services de police, 16 et 17 ans,
00:35
qui a reconnu avoir donné ce coup de couteau.
00:38
Franchement, Éric Ciotti, est-ce qu'à un moment, il ne faut pas faire évoluer la justice pénale pour les mineurs ?
00:43
Bien sûr, vous savez, ça fait des années qu'on en pense, d'abord, qu'on en parle.
00:47
Je veux dire ma stupéfaction, mon horreur devant ce crime abominable.
00:54
Il y a 25 ans, 26 ans, Jean-Pierre Chevènement parlait de sauvageons,
00:59
ensuite Nicolas Sarkozy de racaille,
01:02
et pendant ce temps, la situation continue à se dégrader,
01:07
parce qu'on n'a pas la fermeté nécessaire,
01:10
parce qu'aujourd'hui, près de 180 000 mineurs sont mis en cause,
01:14
seuls dans des procédures pénales,
01:18
seules la moitié font l'objet d'une condamnation,
01:21
seules la moitié de cette moitié fait l'objet de condamnations à de la prison,
01:26
et à peine 9% à de la prison ferme.
01:30
Il y a quelques centaines de mineurs en prison aujourd'hui,
01:34
sur les 180 000 que j'évoquais.
01:37
Ce n'est plus admissible qu'il y ait cette impunité d'un système global à une absence de volonté politique.
01:44
Vous savez, moi je prône le retour de l'expression politique, du volontarisme politique.
01:50
Les français veulent plus de fermeté,
01:52
et on a un système pénal, on a un système politique,
01:56
qui finalement installe une forme d'impunité.
02:00
Il y a 15 ans maintenant, quasiment,
02:03
j'avais fait voter une loi qui installait un encadrement militaire,
02:07
de type militaire, pour les mineurs délinquants,
02:10
ça s'appelait le service citoyen,
02:12
où on avait déjà placé, c'était sous la présidence de Nicolas Sarkozy,
02:15
les derniers mois de sa présidence,
02:17
quelques dizaines de mineurs délinquants dans des centres,
02:20
qui existent aujourd'hui.
02:21
Ça coûte beaucoup d'argent ça, Éric Sutti.
02:23
Ce qui coûte, rien ne sera assez cher,
02:26
par rapport à la perte d'une vie,
02:28
comme on la déplore aujourd'hui.
02:30
Et ça coûte beaucoup moins cher,
02:32
qu'un long parcours ensuite,
02:34
de délinquance, voire une incarcération.
02:37
Donc c'est à ce moment là qu'il faut agir,
02:40
et avec des encadrements qui n'étaient pas avec des animateurs,
02:43
socio-culturels comme on dit,
02:45
avec d'anciens militaires,
02:47
qui redonnaient à ces jeunes,
02:49
le sens de l'autorité,
02:50
qui les faisait levé-tôt,
02:52
qui avaient un appel au drapeau,
02:54
qui leur apprenaient un travail,
02:56
qui les encadraient.
02:57
Cette loi, elle a été mise à pied par Mme Taubira,
03:01
et ensuite par les gouvernements Macron.
03:03
J'ai essayé, et je vais redemander d'ailleurs à M. Darmanin,
03:07
de la remettre en service.
03:08
Elle est toujours dans le code de procédure pénale.
03:13
Simplement, il n'y a plus de moyens budgétaires.
03:16
Donc je fais cette proposition ce soir à Gérald Darmanin,
03:19
qui parle beaucoup,
03:21
et je peux approuver ses propos,
03:24
mais maintenant il faut qu'il passe aux actes.
03:26
D'accord, vous lancez effectivement un défi en tout cas,
03:30
à relever à Gérald Darmanin,
03:31
qui réunit demain ses procureurs
03:32
pour essayer de trouver des solutions justement,
03:34
face à cette violence des mineurs aujourd'hui.
03:36
Mais violence extrême,
03:37
c'est un coup de couteau pour un portable.
03:40
Il ne faut plus qu'il y ait d'excuses de minorité,
03:42
dans la réponse pénale.
03:44
Aujourd'hui, on a des mineurs très violents,
03:46
on a des caïds,
03:47
on a aussi des mineurs qui viennent de réseaux étrangers,
03:50
qui sont utilisés notamment par les trafiquants de drogue,
03:53
par les narcotrafiquants,
03:55
ou bien dans les récents rapports qui ont été publiés,
03:58
il est démontré l'utilisation,
04:00
particulièrement par la DZ Mafia,
04:02
de mineurs et de mineurs étrangers,
04:05
ce qu'on appelle pudiquement les mineurs non accompagnés,
04:09
les clandestins illégaux.
04:11
Donc c'est vers ces mineurs qu'il faut agir.
04:14
Pour les mineurs étrangers, naturellement,
04:16
leur place, je le dis aussi, est dans leur pays.
04:19
Comment la France accepte de prendre à sa charge,
04:22
y compris de façon très lourde, budgétairement.
04:25
Je prends un exemple pour les Alpes-Maritimes,
04:27
c'est 20 millions d'euros,
04:29
obligatoirement placés à la charge des départements,
04:32
alors que ces mineurs,
04:33
ils devraient être dans leur pays d'origine.
04:35
Ils viennent pour beaucoup des pays du Maghreb,
04:38
ou de Côte d'Ivoire,
04:39
ce sont des pays que l'on connaît,
04:41
on devrait systématiquement,
04:42
et c'est même une question de dignité,
04:44
ces mineurs, ils ont des parents,
04:46
il faut qu'ils rejoignent leurs parents,
04:48
ils n'ont rien à faire en France.
04:50
Et vous interpellez donc sur ces deux questions,
04:52
Gérald Darmanin peut-être, ce soir ?
04:53
Absolument, il faut qu'on se saisisse de ces problèmes,
04:56
qu'il y ait une réponse pour les mineurs étrangers délinquants,
05:00
et qu'il y ait des structures de placement
05:02
beaucoup plus adaptées que celles qu'on a aujourd'hui,
05:05
qui sont défaillantes.
05:06
Et on a besoin d'argent pour tout ça,
05:07
Éric Chottier vous proposait des mesures choc,
05:09
ça a été publié dans le JD News,
05:12
des mesures choc pour essayer de rétablir
05:14
les finances de la France,
05:16
qui sont, vous le savez, chers auditeurs d'Europe,
05:18
au plus mal au programme.
05:20
Donc, je lis,
05:21
une rupture radicale avec la politique menée,
05:23
120 milliards de baisse de dépenses publiques par an,
05:26
pour 100 milliards de gains de croissance par an.
05:29
Oui, c'est une thérapie de choc ça,
05:31
mais comment vous l'obtenez, Éric Chottier ?
05:33
De façon volontariste,
05:36
là encore on a vu dans les pays étrangers,
05:38
ce qui est fait en Argentine,
05:40
ce qui est fait aux Etats-Unis,
05:42
avec ce département de l'efficacité ministérielle.
05:45
Aujourd'hui, on a un constat,
05:47
on a des structures publiques,
05:49
qui sont devenues très coûteuses,
05:51
inefficaces,
05:52
et qui empêchent notre pays de produire.
05:55
Nous ne produisons plus que des impôts et des normes,
05:58
parce qu'il y a une forme de bureaucratie
06:01
qui paralyse l'initiative,
06:02
qui bloque l'esprit d'entreprendre.
06:05
L'esprit d'entreprendre, c'est quelque chose d'essentiel.
06:08
Nous avons 400 000 normes.
06:11
Le Premier ministre a dit lui-même
06:13
que ça nous coûtait 4 points de croissance.
06:16
4 points de croissance, c'est 110 milliards d'euros.
06:19
On propose d'en annuler immédiatement un quart.
06:23
Nous avons 1200 institutions
06:26
aux côtés des services de l'État,
06:28
qui font doublon quelquefois avec l'appareil d'État.
06:31
Moi, ce que je veux, c'est un État qui rende la justice,
06:34
qui protège les Français en matière de sécurité,
06:37
qui nous défend dans l'extérieur.
06:39
C'est pour cela que l'État est fait.
06:41
La justice, la police, la défense nationale,
06:44
ces missions sont de moins en moins bien assurées,
06:47
alors qu'on pourrait rajouter l'éducation et la santé,
06:50
que de l'autre côté,
06:51
on dépense toujours plus d'argent public,
06:54
et comme on dépense toujours plus d'argent public,
06:56
on est le pays au monde où il y a les impôts les plus élevés.
07:00
Chaque année, je le redis, on gagne la coupe du monde des impôts,
07:03
c'est un triste record,
07:05
et nous sommes aujourd'hui sur-endettés,
07:07
3300 milliards,
07:09
on va être à la fin de l'année presque à 3500 milliards,
07:13
ça veut dire que M. Macron aura généré,
07:16
à la fin de son quinquennat,
07:18
1500 milliards d'euros de dettes.
07:20
C'est monstrueux !
07:22
C'est pour ça qu'il faut s'attaquer à ça.
07:24
Donc on propose une réforme de l'État aussi,
07:27
on propose qu'il n'y ait plus que deux échelons territoriaux,
07:30
la commune et les provinces,
07:33
qui regrouperaient toutes les compétences
07:35
détenues aujourd'hui par les départements,
07:37
les régions, les métropoles,
07:39
tout cela fait doublon,
07:41
tout cela crée en plus de la confusion,
07:43
tout cela crée des normes, des contraintes.
07:45
Il faut un immense vent de liberté
07:48
pour donner confiance,
07:50
redonner confiance à ceux qui entreprennent,
07:53
et puis, moi je ne suis pas un ultra-libéral idéologique,
07:58
moi ce que je souhaite c'est qu'on simplifie,
08:01
on allège, on dépense moins,
08:03
pour que l'État, là où on en a besoin, soit plus efficace,
08:06
et pour que les Français gagnent plus,
08:09
parce que l'enjeu c'est d'augmenter la croissance,
08:12
et donc il y ait plus de pouvoir d'achat.
08:14
C'est tout cela qui nous guide.
08:16
Je ne suis pas sûr que vous soyez bien d'accord avec le ministre des Finances
08:18
qui était chez nos confrères de l'LCI,
08:20
Monsieur Lombard qui dit un peu ce soir,
08:22
on n'est pas un pays libéral, on est un pays d'État,
08:24
on est un pays de protection.
08:26
Ça n'a pas dans ce sens-là, quand on entend ce genre de discours.
08:28
Monsieur Lombard est un socialiste,
08:30
qui négocie avec les socialistes, un budget socialiste.
08:33
Il a une vision, quand je l'ai entendu dire,
08:35
c'était encore plus choquant,
08:37
qu'une entreprise n'était pas là pour être rentable,
08:40
mais une entreprise qui n'est pas rentable,
08:42
c'est l'Union Soviétique.
08:44
C'est ahurissant d'entendre de tels discours.
08:47
C'est un retour, un arrière terrifiant.
08:49
Mais on a déjà décroché considérablement
08:53
par rapport aux États-Unis,
08:55
par rapport à beaucoup d'autres pays d'Europe,
08:57
par rapport à la Suisse.
08:59
Et là, on a l'impression que c'est retour vers le passé,
09:02
qu'on a des politiciens de la 4ème République,
09:05
prisonniers des appareils,
09:07
prisonniers désormais des socialistes,
09:09
qui nous gouvernent.
09:11
C'est totalement ahurissant.
09:12
D'ailleurs, je lance un appel à mes amis des Républicains.
09:16
J'ai présidé les Républicains.
09:18
Je ne vois pas, je ne comprends pas
09:20
comment les Républicains peuvent soutenir une telle politique,
09:23
soutenir un tel gouvernement,
09:25
et être désormais alliés avec le Parti Socialiste.
09:28
Bien qu'ils aient été alliés aux élections, c'est vrai,
09:31
malheureusement avec le Nouveau Front Populaire,
09:33
ce qui nous conduit à cette situation aujourd'hui.
09:36
Et c'est une question qu'on pourra poser effectivement.
09:38
Vous les interpellez ce soir.
09:40
Ce programme est très, très ambitieux.
09:42
Dans quel but, Éric Ciotti, vous le faites ?
09:44
Est-ce que vous pensez peut-être à la prochaine étape,
09:46
peut-être la présidentielle ?
09:47
Certains disent déjà qu'ils y pensent.
09:50
En tout cas, le grand rendez-vous sera en effet l'élection présidentielle.
09:55
Et vous, Éric Ciotti ?
09:57
Je souhaite que ces idées de liberté
10:01
et de protection en matière de sécurité,
10:04
notre pays a besoin d'autorité.
10:07
L'autorité est défaillante partout,
10:09
on le voit malheureusement avec les tragédies qui peuplent l'actualité.
10:13
Notre pays a besoin d'identité
10:15
pour conserver ce que nous sommes.
10:17
Et notre pays a besoin de liberté.
10:19
Moi, je veux simplement porter ces idées
10:22
dans les grands débats futurs,
10:24
comme je l'ai fait aux élections législatives,
10:26
avec une méthode claire,
10:28
celle de l'alliance des droites.
10:30
Mais vous avez le droit de penser aussi à la présidentielle.
10:32
Ça ne se prépare pas une présidentielle deux mois avant.
10:35
Vous avez le droit de penser, Éric Ciotti.
10:37
Je pense à l'intérêt du pays.
10:39
Aujourd'hui, je vois une France frappée par un grand déclassement.
10:42
Par un déclin avancé,
10:44
du fait de l'irresponsabilité
10:47
de ceux qui nous gouvernent depuis trop longtemps.
10:49
Et le rendez-vous de la présidentielle
10:52
devra permettre de changer radicalement cette politique.
10:56
Mais c'est une option que vous avez sur la table, Éric Ciotti.
10:59
Nous avons une méthode,
11:00
c'est celle de l'union des droites.
11:02
C'est celle que je veux faire triompher.
11:04
Moi, je ne me retrouve pas dans ce conglomérat des centres
11:08
qui va de M. Philippe à M. Hollande.
11:12
Tout ça est ridicule.
11:14
Tous ces gens ont échoué.
11:16
Quand je vois aujourd'hui le discours de M. Philippe,
11:19
là aussi, on dirait être dans un autre temps.
11:22
Edouard Philippe qui estime que la France est malade,
11:24
qu'il ne faut pas lui nuire,
11:26
ne pas prendre de décision qui envenimerait la situation.
11:29
Tout l'inverse de votre politique de tronçonneuse, Éric Ciotti.
11:32
La décision qu'il a prise qui a envenimé la situation,
11:36
c'est l'appel qu'il a lancé à voter communiste.
11:39
Pour les élections législatives, M. Philippe a dit,
11:41
il faut voter communiste.
11:43
C'était dans sa ville, mais ça valait pour tout le pays.
11:46
Eh bien, ça, ce sont des décisions dangereuses.
11:48
Ça, ce sont des décisions irresponsables.
11:50
Et quand je le vois aussi attaqué aujourd'hui avec violence,
11:54
la politique a été choisie très largement,
11:57
majoritairement par le peuple américain,
12:00
je me dis qu'il fait partie de ce vieux monde
12:03
totalement, totalement décalé
12:06
et qui n'a aucune réponse.
12:08
La seule réponse, c'est le pseudo cordon sanitaire,
12:12
ces balivernes qu'on ressasse depuis des années
12:16
et qui, finalement, ont amené la France là où elle est,
12:19
dans les abîmes.
12:21
Donc, je leur dis, et les Français le savent,
12:23
ces gens leur mentent.
12:25
Ils les ont trahis, ils les ont trompés,
12:27
ils ont dirigé la France et ils nous ont menés dans le mur.
12:31
Et donc, il faut balayer tout ça.
12:33
Il faut balayer tout ça, Éric Ciotti.
12:35
Rendez-vous en 2027 ?
12:36
Nous serons des acteurs de ce rendez-vous.
12:38
Non, mais vous, Éric Ciotti !
12:40
Pas moi, personnellement.
12:42
En tout cas, vous mettez un programme.
12:44
Notre formation politique sera au rendez-vous de tout cela.
12:46
Bon, on aura l'occasion d'en reparler, Éric Ciotti.
12:49
Merci beaucoup d'être venu dans le studio d'Europe 1 ce soir-ci.
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